Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas.

Notes : Ceci est un os coupé en trois parties. Bonne lecture.


Hinata Shoyo respirait à fond. Ce match était dur. Comme tant d'autres. Mais battre des champions aux côtés de Kagayama avait développer ces talents pour ce sport qu'il avait toujours admiré. Il buvait sans penser. Il préférait se concentrer sur le reste de cette confrontation. Le volleyeur à la chevelure rousse, courrait et sautait, c'était un de ses atouts qui faisait de son équipe. Une des plus redoutée du tournoi. Pas seulement lui et ses feintes. Mais le jeu de l'équipe entière. Même son rival Tsukishima y avait sa place. Quand le coup de sifflet annonçait la fin du match. Le jeune homme criait, ils avaient gagné. Il sautait sur les autres membres de l'équipe, y compris Kageyama. Ces congratulations duraient un bon moment. Mais il était l'heure de rentrer et de se reposer. Le voyage en mini-bus serait bien calme. Surtout que la nuit couvrait de son manteau sombre le ciel. C'est donc naturellement que l'équipe s'endort, laissant les adultes discuter tranquillement. Le duo Kageyama et Hinata côte à côte, le rouquin s'appuyant sur le passeur aux cheveux sombres. Quand l'entraîneur s'arrêtait à l'école, c'est sans surprise que l'équipe s'éveillait. Les deux premières années se regardèrent un instant rougissant, avant de se faire bousculer par les autres. Le groupe enfin sorti entièrement. L'heure était au bilan, comme à leur habitude, les deux garçons restèrent pour se faire des passes. Après une bonne heure, ils devaient rentrer. Il était bien plus de minuit. Trop tard, ils bâillèrent en même temps, ce qui faisait rire Yachi, la petite manageuse de première année recrutée peu avant les tournois. Les garçons sortirent à regret du gymnase. Hinata pris son vélo parqué là. Il serait les poignées.

« Repose-toi, crétin de Kageyama.
-Toi aussi imbécile !
-Pff. »

C'est ainsi que les deux hommes se dirent au revoir, ils se (reverraient demain de toute façon. La marche entre la maison des parents de Kageyama n'était pas bien longue. Il arrivait chez lui sans croiser personne, hormis quelques chats. Ce qui le fit penser à Nekoyama et son équipe. Il avait hâte d'en découdre dans un vrai match. La nouvelle tendue se perfectionnait de plus en plus. Il était toujours surpris de voir Hinata courir à l'aveugle. Bien que sur le terrain, il s'y était adapté. C'était d'un tout autre niveau. Comme si à eux deux, ils formaient qu'un seul être. Ridicule.

Le petit joueur de Karasuno pédalait à toute vitesse. Il était déjà tard. Mais il savait que son futon l'attendait sagement. Il glissait les clés à l'intérieur. La campagne n'était pas toujours rassurante. D'ailleurs. Il sentait une présence tout près. Sûrement, un animal sauvage, ce n'était rare dans ces environs. Il lâchait un soupir bien à l'abri dans la petite maison. Il ne chipotait pas plus longtemps pour s'allonger dans son lit. Il s'endormait rapidement. Paisiblement, un simple sourire venant se figer sur ses lèvres.

Le joueur de volley se réveillait tout courbaturé, comme d'habitude, pourtant, il se sentait différent. C'était sûrement dû à la victoire. Ce sentiment d'allégresse ne pouvait pas le quitter. C'était ça. Il lâchait un bâillement avant de rejoindre sa famille. Enchanté de le voir en forme, malgré quelques douleurs. Après un bon déjeuner et un bain rapide, ça irait bien mieux. Déjà, le repas, bien fourni, lui donnait de l'énergie à revendre. Le bain ne serait que bien mieux. Mais, il remarquait une flaque de sang sous son pied. Il s'était sûrement écorché quelque chose. Il mit un pansement après s'être essuyé. Il s'habillait rapidement avant d'enfourcher son vélo. Il roulait à bonne vitesse. Se demandant pourquoi il avait si mal au derrière. Il était tombé qu'un fois sur les fesses, c'était un peu démesuré. Il rangeait sa bicyclette. C'est sans surprise qu'il vit certains de l'équipe déjà présent, y compris ce crétin de Kageyama. Il courrait à petite foulée.

« Kageyama, fais-moi des passes ! »

Sans attendre le manège commençait entre les deux garçons, comme ça, jusqu'à vint le temps de se préparer pour les cours. D'un ennui profond. Avec sa légère douleur, il ne savait pas comment interpréter un tel mal. Il se grattait la tête. Il avait sûrement dormi dans une mauvaise position. Il bougeait pas mal dans son sommeil.

Kageyama de son côté avait remarqué la gêne de son partenaire. Comme ce dernier ne semblait pas plus s'en préoccuper de ça. Il laissait cet idiot se débrouiller avec ça. Si ça devenait handicapant pour la suite. Il le signalerait au capitaine. Il écoutait juste ces cours, gardant un œil sur Hinata, perdre un de ces meilleurs alliés serait bien dommage pour leur groupe.

Le volleyeur aux cheveux roux se levait précipitamment quand la cloche sonnait le temps de midi, c'est naturellement de son coéquipier le suivit. Heureusement qu'il était petit et qu'il ne courrait pas. Sinon, le passeur aux cheveux sombres n'aurait pas pu le suivre. C'est sans surprise que le jeune homme commandait une masse importante à la cantinière. Qui répondait avec plaisir au besoin du jeune sportif. Karasuno reprenait un peu du prestige grâce à cette équipe. Le jeune joueur se recevait un regard de tueur de la part de son collègue, bien que tenté par cette famine. Il savait qu'il ne pourrait pas manger tout ça. Il mangeait plus, c'était sûr, mais pas comme cinq. La dame de cantine roucoulait en laissant ce garçon manger à son aise.

« Pas de bento aujourd'hui ?
-Nope, pas eu le temps. Du coup, mes parents m'ont passé de quoi manger. Et toi ? Pas un de tes sandwichs ?
-J'avais envie de changer. Puis comme si j'allais louper le jour où la cantinière fait des sobas.
-Je savais que tu étais un gourmand dans le fond. »

En l'entendant grogner, le rouquin rigolait de bon cœur alors que le repas continuait sans plus de soucis que ça. C'était normal que ces deux garçons se cherchaient un peu. Sans un peu de conflits, ils étaient bien moins utiles sur le terrain. Ils se faisaient confiance l'un et l'autre. Leur relation fonctionnait comme ça. L'entraînement se passait comme tant d'autres. Quelques accrochages avec Tsukishima où encore des balles qui allaient voir si elles y étaient. C'était comique. Les joueurs s'en allèrent progressivement, quand c'était le tour du duo phare de l'équipe. Ils se regardèrent un moment.

« Fait attention à toi.
-Je fais toujours attention, crétin de Kageyama.
-Si tu le dis. Mais soigne ton derrière. Tu sautais comme un puce à qui il manquerait une patte.
-Salopard. »

Après une courte course-poursuite, Hinata prit son vélo et rentrait chez lui, l'esprit un peu embrouillé sur ce qu'avait raconté le passeur. Quel était cet étrange phénomène. Il se changeait rapidement. Il remarquait des marques rouges sur ses flancs. Il soulevait un sourcil. C'était rien sûrement. Il se couchait simplement, disant bonne nuit à toute sa famille avant ça.

Hinata rêvait ce soir-là, mais de volley, comme d'habitude ou de corbeau, mais d'autre chose. Qu'est qu'il faisait dans le gymnase et nu ? Il regardait autour de lui. Il sentait quelque chose de visqueux et de désagréable sur lui. Il avait beau tenter d'enlever, rien, n'y faisait. Il devait sortir de ce rêve. Heureusement, son rêve changeait. Il avait chaud. Il se sentait de plus en plus bien. Comme rempli. C'était agréable. Que ça continue. Et ça continuait, jusqu'à son rêve devint ordinaire.

Il se réveillait avec des souvenirs très flous de ses songes. Quel était ce rêve et pourquoi il puait autant. ? Il ne transpirait pas tant que ça. Il se précipitait pour se laver en profondeur. Comme si quelque chose le genêt, pas de sang cette fois. Juste cette vilaine odeur après un nettoyage, plus rien. Il ne restait que vivre sa journée habituelle. C'est-à-dire, Volley, cours, Kageyama, re-volley et renter à la maison. Rien à signaler. À part ces rêves qui venaient de plus en plus le hanter.

Rien ne changeait, jusqu'à un certain jour, où la chaleur écrasante fit perdre connaissance à Hinata. Il s'était entraîné avec acharnement, si bien que toutes ses forces l'avaient quitté. Directement, l'entraîneur l'avait emmené à l'infirmerie. Mais son inconscience dura. C'était autre chose. C'est donc inquiet que le capitaine de le prof responsable de l'équipe l'accompagna avec la mère de ce dernier qui se demandait bien ce que son fils avait.

Hinata se réveillait le jour d'après, alors que l'horloge indiquait qu'il était plus de midi. Il se frottait les paupières, bien lourdes. Sa mère était là. En train de somnoler. Il caressait la main de cette dernière. Elle ouvrit les yeux doucement avant de sourire grandement serrer fort son fils contre lui.« J'ai eu si peur pour toi, Hinata. Que tu te réveillerais jamais.
-Je suis debout maman. J'ai quoi ?
-Je vais appeler ton médecin, je crois qu'il pourra t'expliquer mieux que moi. Ne t'en fais pas, mon bébé. On s'occupe de toi.
-Maman, j'ai quinze ans. »

Hinata vit bien son sourire triste. Il sentit comme une poigne lui serrer le cœur. Il se sentait encore un peu fatigué. Il regardait simplement par la fenêtre à moitié allongé sur son lit. Il se demandait comment Karasuno se débrouillait sans lui. Il savait que Kageyama et les autres faisaient de leur mieux. Il pouvait s'absenter un peu du terrain. Ce n'était pas évident, mais ils étaient à eux tous un groupe bien huilé. Il soupirait longuement. Le temps s'était comme ralenti pour lui. Il retournait quand il entendit le son distinctif de la porte qu'on ouvrait. Il regardait le médecin, un homme d'une trentaine bien entamée avec une barbe sombre de trois jours au moins. Il semblait terriblement sérieux. Le joueur de volley avalait avec difficulté sa salive. Qu'allait-il lui annoncé ? Il avait peur. Sa mère, voyant la détresse de son enfant pris sa main.

« Jeune homme, je suis dans le regret que vous avez ce qu'on appelle une infection sexuellement transmissible. Vous avez de la chance dans votre cas. C'est soignable. Grâce à la médecine moderne. Mais nous devons vous gardé une semaine voir deux dans l'hôpital. Désolé, je sais que l'équipe de Karasuno compte sur vous. Mais les médicaments ont un effet secondaire qui vous rend somnolant.
-Merci de vous occuper de moi. Mais comment j'ai eu ça ? Je n'ai pas le souvenir d'avoir fait des trucs sexuels avec qui que se soit.
-Voilà qui est problématique. Nous avons fait des prélèvements. Votre mère a autorisé à la police de les analyser. Êtes-vous d'accord avec cette décision.
-Oui, bien entendu. Ma mère est une personne sage. Quand elle le veut. »

Hinata se fit pincer la joue par sa mère. Ce dernier se mit à rire avant de chahuter un peu avec cette dernière. Le médecin, les laissa un peu s'amuser avant de signaler sa présence d'une quinte de toux factice.

« Les policiers viendront demain après-midi. Tenez-vous près. Et prenez vos médicaments. »

L'homme s'en allait laissant les deux rouquins seuls. La mère s'en allait disant qu'elle reviendrait avec Natsu et son père. Ce qui laissait un moment de solitude au garçon. Il bâilla et s'endormit. Laissant le médicament agir. Il se réveillait qu'à la voix sévère de Kageyama, qui n'était pas seul. Nishinoya, la capitaine, le barbu et Tanaka étaient là. Content de les revoir, il riait avec eux de bon cœur. Le petit feinteur leur manquait. Tous partirent après une bonne demi-heure. Kageyama restait le dernier.

« Tu as intérêt à revenir rapidement.
-Je te manquerai idiot de Kageyama.
-Ne dis pas n'importe quoi ! »

Le passeur s'en allait à son tour. Hinata ne restait pas longtemps seul, car l'infirmière était accompagné de sa famille et de son repas. Il mangeait, écoutant la journée de sa petite sœur ; il la serrait contre lui avant d'embrasser sa petite joue. Ils s'en allèrent alors que la nuit tombait.

Le lendemain se passait un peu près pareil, sauf, la visite des policiers. Un duo homme et femme qui semblait très complices. La dame congédia son collègue qui mesurait presque deux mètres. La dame s'installait sur la chaise d'hôpital.

« Je sais qu'on t'a dit que tu avais une maladie. D'après ce que j'ai pu comprendre lorsque j'ai parlé avec le médecin, il y a quelques instants. Tu aurais été abusé.
-Madame... »

Hinata se mit à pleurer, sans qu'il puisse comprendre pourquoi il se sentait si sale et si honteux. C'était lui la victime. La dame respectait la bulle d'intimité du jeune homme. Mais ce dernier avait besoin de contact. Il vint chercher la main de madame policière.

« Pardon, j'ai besoin de soutien, même si ce n'est qu'une main. Ça m'aide à tenir.
-Je comprends. Je continue ou pas.
-Autant le dire sans vous arrêter cette fois, au moins, je me sentirai un peu mieux.
-D'après les analyses du laboratoire. Il s'agirait de six hommes à priori, nous avons pu identifier deux d'entre eux, car ils avaient des dossiers judiciaires. Malheureusement, on ne sait pas celui qui t'as donné cette vilaine affection. Car aucun des deux ne l'avait. L'enquête ne finira tant que nous ne ferons pas justice.
-As-tu souvenir du comment ça arrivé.
-Non aucune, madame. Désolé.
-Je vois...
-Merci, encore. Maintenant laissez-moi seul... »

Hinata avait à nouveau les larmes aux yeux. Voulant se montrer fort. Il s'était retenu tout ce temps. Quand il entendit que le silence. Il laissait ses barrières exploser. Il pleurait avec force, si bien qu'il s'endormît comme ça. Les joues creusées par sa tristesse. Les visites furent interdites, même pour la famille. Qui sourirent tristement. Le volleyeur devait être dévasté. Ils rentrèrent chez eux sans encombre. Seulement un des violeurs était là. Le père assommait avec son balai le garçon et appelait la police. Les résultats d'analyse viendront demain.

Le jour d'après se passait sans accro, Hinata se sentait seul. Il tentait de se balader dans l'hôpital sans succès. La fatigue le rattrapait bien trop vite. Il s'ennuyait ferme. Il était content de Kageyama vienne avec les cours, mais aussi avec une réserve de mangas qui avait dû peser des tonnes dans son sac de sport. Le passeur rougissait.

« Tu dois t'ennuyer. Déjà que tu n'es pas fort en classe. On n'a pas besoin que tu le soit plus. Je viendrai demain avec d'autre devoir.
-Merci pour les mangas.
-D'abord, l'école. Les mangas, c'est pour t'occuper. Je ne sais pas trop ce que tu aimes, alors j'ai pris ce que je pouvais.
-Tu es vraiment un pote Kageyama.
-Bon, je file, j'ai entraînement moi. Je dois me faire à Tsuki, je vais finir par le frapper ce type. Pire que toi. Mais au moins, il est plus grand que toi crevette.
-Ta gueule ! »

Le passeur filait à la vitesse de la lumière, sans un regard, avait-il dit quelque chose de mal? Il n'en savait rien. Hinata regardait ses devoirs, certains étaient marqués des petites notes de Yachi qui était bien plus doué que Kageyama en classe. Il sourit. Ce crétin avait pensé à tout. Même malade, il faisait partie de l'équipe. C'était beau. Il était ému. Il était à des lieux que l'équipe de Karasuno s'était promis de frapper ces pauvres types qui avaient touché à leur oisillon le plus prometteur. Le voleyeur passait son séjour à l'hôpital, assez tranquillement, il voyait le passeur tous les jours. Ça lui faisait plaisir. Quand bien même, ils n'arrêtaient de se chamailler pour rien. Quand vint le jour de sortie. L'équipe était venue le chercher. Ils avaient fait la fête chez lui. On les voyant partir un à un, il commençait à avoir peur. Il choppait la manche de Kageyama.

« Reste, s'il te plaît. J'ai peur qu'ils reviennent...
-La police surveille votre maison, puis ta maman va tout fermer. Il suffit que tu montres à ces types que tu sais te défendre. Sans devoir te lancer des fleurs, parfois, tu fais peur. »

Hinata se mit à rire. Il ne savait pas qu'il pouvait effrayer le grand Kageyama. Rassuré. Il le laissait partir. Pourtant quand il arrivait dans sa chambre. Une crainte pointait dans un coin de sa tête. Il n'osait pas s'approcher du Futon, pourtant, c'était un différent. Il semblait moins sale, comme neuf. Ce qui était le cas. Sa famille avait pensé à tout. Mais il sortit de la chambre. Il ne pouvait dormir là. Il s'allongeait sus la table chauffante, qui était éteinte en cette saison. Il dormait là. Et la nuit passait sans rien ne se passe. Il se réveillait au réveil de sa mère faisant le bento pour son mari. Il frottait ses yeux encore ensommeillés.

« Bonjour maman.
-J'aurai dû me douter que tu n'arrives pas à dormir dans ta chambre. On t'adore. Mais on a pensé à la pension pour toi...
-Maman, désolé. Je vais rester. On va repeindre et changer la déco tous ensemble?
-C'est de la faute de ceux qui ont profité de notre naïveté. Nous sommes presque autant responsables qu'eux. Et oui, on fera ça tous ensemble.
-Maman, jamais je ne détesterai pour ça. »

Hinata était entré dans son mode sérieux. Il vit le faible sourire de sa maman. Il frottait ses cheveux roux, bien plus longs que les siens. Bien qu'il ne fût pas toujours d'accord avec sa maman. Il aimait. C'était une mère gentille et attentive. Le père saluait le fils, avant de partir au travail. Il reviendrait avec un tas de couleurs et de jolies choses récupérées.

« J'espère que ça ne t'empêchera pas d'aimer quelqu'un, fiston.
-Je n'ai encore aimé personne papa, donc je ne peux pas te dire.
-J'espère que ça ira alors.
-Ne t'en fais pas.
-N'oublie pas que ton équipe t'attend à l'entraînement. À ce soir. »

Hinata sentit clairement son père lui déposer des clés dans sa main. C'était celles de la maison. Elle serait sûrement fermée à son retour. Il sourit en voyant qu'un corbeau à côté d'un renard sur ses clés. Comme un signe. Il rit doucement. Son père avait un drôle de sens de l'humour, celui propre aux adultes. Il n'en savait pas plus que ça. Il gardait simplement ces clés comme les sauveurs de sa santé. Celle qui avait été mise en danger par imprudence.