Bonjour! Alors j'essaie une nouvelle sorte de fiction, je veux dire que ce n'est pas avec l'histoire d'amour/haine de Lily et James comme histoire principale. J'espère que vous allez aimer parce que moi je trouve ça pas mal bien, c'est normal, c'est moi qui l'ai écrit! Lol! Alors, lisez et dites moi ce que vous en pensez! Je veux seulement ajouter que aucun des personnages ne sont à moi! Est-ce que quelqu'un connaît le nom de jeune fille de Alice? J'ai entendu d'une nouvelle façon de répondre aux reviews… mais je ne comprend pas trop… est-ce que quelqu'un pourrais me répondre avec ça s'il vous plait!

Chapitre 1 : L'introduction

Dans la pénombre d'un cartier malfamé d'une banlieue de Londres, un petit garçon d'environ cinq ans se recroquevillait dans le coin d'une pièce, terrorisé. Des ecchymoses recouvraient son petit corps frêle. Il se cachait, derrière les rideaux de sa fenêtre; de son père. Celui-ci, grand aspirant de la magie noire et partisan de celui qui disait devenir le maître du monde, venait de prendre son garçon à aider un jeune enfant moldu qui venait de se blesser.

-Sirius Black! Tu va sortir de ta cachette immédiatement parce que je si je dois te chercher, je vais encore plus m'enrager, cria la voix de son père.

Ne voulant pas s'attirer les foudres de son père, il sortit de derrière le rideau et alla le voir, tremblant comme une feuille.

-Je t'ai déjà dis de ne pas me fuir quand je dois te punir, dit son père d'une voix menaçante.

-Mais…..

-Et de ne pas me répondre quand je ne te pose pas de question.

-Excusez-moi père.

-Chéri! Viens ici! Je dois te parler, cria une voix féminine à l'étage du dessous.

-Tu es très chanceux, jeune garçon, que ta mère sois là, dit-il avant de disparaître dans les escaliers.

-Sirius Black! Ça ne se fait pas de traiter les sang-de-bourbe comme des sangs purs, prends exemple sur ton frère, il est plus jeune que toi et se comporte déjà mieux que toi, siffla Mr Black.

-Excusez-moi père mais ce sont des êtres humains comme nous, répondit le jeune garçon de sept ans.

Le père gifla férocement son fils. Les larmes montèrent aux yeux de Sirius. Du sang coula sur le bord de son nez. Le jeune garçon ne bougea pas d'un poil.

-Retiens la leçon, les sang-de-bourbe sont des êtres infâmes qui ne méritent pas d'être sorcier.

Il jeta une faible dose de doloris à son fils qui hurla de douleur avant de s'effondrer sur le sol. Son petit frère, se tenait derrière son père. C'était lui qui l'avait prit sur le fait. Regulus prenait un plaisir malin à espionner son frère et rapporter tout ce qu'il faisait qui était mal vu de la famille Black.

-Sirius Black! Combien de fois vais-je devoir répéter qu'il faut se comporter en gentleman ici? S'exclama Mme Black en giflant négligemment son fils. Je ne le dirai pas à ton père cette fois mais tâche de ne plus refaire cette erreur.

Elle jeta un sort qui rasa les cheveux de son enfant, signe de la famille, voulant dire qu'il avait fait quelque chose de mal. C'était très rare que Sirius ait les cheveux longs. Selon ses parents, pratiquement tout ce qu'il faisait méritait de se faire raser les cheveux.

La mère Black venait de trouver son frère en train de sauter sur son lit. L'enfant de huit ans avait eût envie de se détendre un peu, de s'amuser au lieu de toujours agir en gentlemen. Quand sa mère eût disparue, le petit Regulus apparût au détour du couloir.

-Vilain garçon, il s'est encore fait raser les cheveux, siffla le plus jeune frère.

Sirius attrapa Regulus par le collet et le plaqua au mur. Il le toisa de ses yeux bleus électriques.

-Toi, laisse moi tranquille, dit-il d'un voix menaçant avant de partir prendre sa cape.

Il sortit par la porte d'en arrière, sachant pertinemment que personne ne se rendrait compte de son absence. Tant qu'il ne faisait rien de mal, personne ne se souciait de savoir il était où, même s'il ne venait pas manger.

L'aîné des enfants Black traversa le boisé qu'il y avait au bout du rond-point. Il alla s'asseoir en haut d'une colline où l'on voyait un cartier plus riche. Bien que sa famille soit riche, ils ne vivaient pas heureux. Dans cette vallée, il apercevait souvent des parents jouant dehors avec leurs enfants, il y avait des parcs partout. Sirius rêvait d'une vie plus belle, où il vivrait dans le manoir qu'il y avait au bout de la rue, où il aurait des parents qui l'aimeraient pour ce qu'il était, où il n'avait pas de frère pour l'embêter.

Soudain, un jeune garçon avec des cheveux en bataille sauta sur son dos.

-Salut!

-Tu es qui toi? Demanda Sirius en reculant, sourcils froncés.

-Je suis le plus fort du monde! Répondit le jeune garçon aux cheveux bruns.

Il semblait avoir le même âge que lui. Ses grands yeux bruns chocolat pétillants et ses épaules larges malgré son jeune age lui donnaient un air imposant.

-Et toi, tu es qui?

-Je ne suis certainement pas le plus fort du monde puisque tu l'es déjà.

-Ce que tu es drôle! Répondit le brun en riant allègrement.

-Moi je suis probablement le moins important de la planète, dit Sirius en s'en allant, traînant les pieds.

-Pourquoi tu dis ça? Tout le monde est important, non non non, nous allons te renommer… toi tu vas être…l'ami du plus fort du monde, dit fièrement son nouvel ami.

-Nous sommes ami? Demanda Sirius, les yeux écarquillés.

-Est-ce que tu as envie de te chicaner avec moi? Demanda son ami dont il ne connaissait pas le nom.

-Quoi! Si je veux me chicaner avec toi?

-Oui, est-ce que tu veux? C'est juste une question pour savoir si on est amis, rien de plus.

-Ha ok… et bien non, je n'ai pas envie de me chicaner avec toi, répondit Sirius.

-Alors nous sommes amis! Ce n'est pas compliqué en! S'exclama-t-il en riant.

-Alors…euh…si nous sommes amis, je peux savoir ton nom? Demanda Sirius.

-Oh oui! Suis-je bête, je ne me suis pas présenté! Je m'appelle James Potter! Et toi?

-Sirius, je m'appelle Sirius, répondit-il, gardant volontairement son nom de famille pour lui.

-Et bien Sirius, je crois que c'est le début d'une longue amitié, dit sagement James en le prenant par les épaules.

C'est ainsi que, chaque jour, ou presque, James et Sirius se retrouvaient sur la colline, pour se raconter le peu de leur vie qui était déjà passé. En fait, James parlait beaucoup plus de la sienne et Sirius se contentait d'écouter, de raconter les quelques moments heureux qu'il avait eût jusqu'à présent.

-Tu sais quoi? Je suis fatigué de toujours venir ici pour se voir, je me disais, une journée nous pourrions aller chez moi et l'autre journée chez toi, qu'est-ce que tu en dis? Demanda James, un jour.

-Non!... En tout cas pas chez moi, je veux dire, ça serait bien, j'aimerais bien voir où tu habite, mais chez moi ce n'est vraiment pas une bonne idée, dit Sirius, apeuré.

-Ok… Alors seulement chez moi, tu viens? Demanda James.

Il se demandait vraiment ce qui se passait chez Sirius. Il arrivait souvent avec des bleus, parfois avec un bras cassé. À chaque fois que ses cheveux devenaient plus longs, il se les rasait et ça n'avait pas l'air de l'enchanter.

-Maintenant?

-Pourquoi pas? C'est juste là, dit James en pointant le manoir des rêves de Sirius.

Sirius écarquilla les yeux et haussa les sourcils en ouvrant la bouche très grande.

-Vraiment! Je veux dire, c'est vraiment la que tu habites!

-Oui… pourquoi? Ça a l'air de t'ébahir, dit James, surpris et enjoué de la réaction de Sirius.

-C'est juste que c'est la maison où j'ai toujours rêvé d'habiter, répondit Sirius, fixant la maison.

-Alors viens, s'exclama James en s'élançant dans la colline.

Ils dévalèrent la colline. Sirius s'enfargea dans une petite racine qui sortait du sol et tomba sur James. Ils déboulèrent le reste de la pente.

Arrivé en bas, Sirius allait s'excuser mais quand il vit James éclater de rire, il comprit que ce n'était pas grave, il rie même avec lui.

-Bon, viens, je vais te faire visiter la maison de tes rêves. En fait, tu sais que ce manoir appartient à ma lignée depuis le XVI siècle. C'est très vieux, mais très beau.

-Moi je l'adore, dit Sirius, tout ébloui.

Sa maison, bien qu'il soit riche, était vraiment miteuse de dehors et en dedans, tout était sombre. Ici, toutes les couleurs resplendissait. Mais on voyait surtout du rouge et du or.

-Viens, maintenant, la dernière et meilleure pièce, ma chambre, dit James en ouvrant une porte en chêne.

-Wow, dit simplement Sirius en entrant dans la chambre.

Il y avait un énorme lit à baldaquin, d'épais rideaux bleu marin tombaient le long des fenêtres et entouraient le lit. Les murs étaient verts forêt et bleu marine comme les rideaux. Une énorme commode ornait le mur de gauche.

-C'est vraiment beau ta chambre.

-Oui c'est vrai en, dit James, tout fier de sa chambre.

Il alla se jeter sur le lit, s'attendant à ce que Sirius fasse de même. Il releva et constata que Sirius était toujours sur le pas de la porte.

-Tu viens? Lui demanda-t-il, comme s'il était un extra-terrestre.

-Désolé, je n'ai pas l'habitude, dit Sirius en allant s'asseoir sur le lit.

-Non non non, premièrement, il ne faut pas être désolé, parce que ce n'est pas grave, deuxièmement, ça n'a pas l'air de se faire chez toi, alors, je vais te montrer, dit James en retournant sur le pas de la porte. Viens ici, ajouta-t-il à l'adresse de Sirius.

-Bon, alors ce que tu fais, tu cours, rapidement, et tu t'arrête juste avant de foncer dans le lit et à ce moment là, tu sautes dessus, tu comprends? Regarde, je vais te montrer, dit James en s'élançant.

Il fit exactement comme il avait dit.

-Ton tour.

Sirius imita et tomba sur le lit en souriant.

-Tu vois, ce n'est pas compliqué.

Les deux garçons se mirent à rire.

-Alors maintenant, à toutes les fois que tu vas venir ici, tu dois sauter sur mon lit ok? Dit James, le plus sérieusement du monde.

-D'accord. Mais je crois que je ferais bien d'y aller, ce n'est pas une bonne idée que je traîne ici trop longtemps, si mes parents me cherche, je vais être dans le trouble, dit Sirius en se levant.

-D'accord, tu sais comment te rendre jusqu'à la colline?

-Oui, bye James, à plus, dit Sirius en s'en allant.

-Bye.

-James, murmura Sirius en le brassant.

On était en plein milieu de la nuit et les deux garçons avaient maintenant dix ans. Aucun des deux ne savait que l'autre était sorcier. Quand Sirius venait chez lui, James faisait bien attention à ce qu'il ne voit de magie.

-Mm? Qu'est-ce qu'il y a? Grogna James.

-Allez, fais moi une place, IL va me trouver, dit précipitamment Sirius.

Avec « IL », fallait pas rigoler. « IL » était le père de Sirius.

James fit une place à Sirius. Après deux ans d'amitié, Sirius ne lui avait toujours pas dit ce qui se passait dans sa famille. Il avait trop peur de perdre son ami, que celui-ci aussi se rende compte qu'il n'était qu'un minable.

-Il ne va pas te trouver ici, dit James avec confiance. Je ne vois pas pourquoi il te trouverait ici.

-Il allait me b… me punir d'avoir mal agis et je me suis enfui, et il m'a suivit. Mais j'ai couru jusqu'à la porte de devant alors je ne crois pas qu'il m'a vu entrer ici. J'ai la frousse James, dit Sirius, enseveli sous les couvertures.

-Sirius, il est temps maintenant, tu dois me dire ce qui se passe dans ta famille. Pourquoi tu la fuis autant? Je peux t'aider, j'en suis certain. En tout cas, c'est sûr que je ne vais pas te laisser tomber, tu es un super ami, le meilleur même, dit James, vraiment sérieux.

-Tu crois ça? Que je suis ton meilleur ami?

-Je ne le crois pas, j'en suis certain.

Sirius soupira mais sourit tout de même. Il devait lui avouer maintenant, tout ce qu'il subissait depuis sa naissance. Il se redressa quelque peu avant de ronger l'ongle de son pouce gauche.

-Bon… d'accord… mais tu promets de rester mon ami après en? Parce que je ne veux pas perdre mon seul ami, dit Sirius, regardant la porte close.

-Juré craché, dit solennellement James.

-Alors voilà….

Il lui raconta tout, sans cacher de détail. Il ne voulait pas que son ami ait pitié de lui mais il voulait lui dire la vérité. Naturellement, il lui avait caché que ses parents lui jetaient des sorts, ne sachant pas qu'il était sorcier. Après qu'il eût fini, James n'en revenait pas. Il avait les sourcils froncés de rage.

-Mais c'est insensé! On doit faire quelque chose, dit James avec détermination.

-Que veux tu faire? Ma famille est très influente.

-Tu ne m'as toujours pas dit ton nom de famille, fit remarquer James.

-Ce n'est pas important.

-Si. Tu sais le mien alors j'ai bien le droit de savoir le tien, dit le brun.

-Mon…mon nom de famille c'est… Black.

-Tu es un mage noir! S'exclama James en se redressant.

-Non! Tu vois, c'est pour ça que je ne voulais pas… alors ça veut dire que tu es sorcier, dit Sirius.

-Tu n'es vraiment pas un mage noir en? Parce que sinon je ne vais plus jamais te parler, jamais de la vie, menaça James.

-Mais non! Pas du tout, tu te rappelles ce que j'ai dit qui m'arrivait dans ma famille, c'est parce que je ne suis pas comme eux, je n'ai pas les mêmes idées. Je ne suis pas un fanatique de la magie noire, même que j'hais la magie noire.

-D'accord, je te crois alors, ça veut dire que nous allons aller à Poudlard ensemble alors?

-Oui, mais je vais probablement être envoyé a Serpentard et toi Griffondor, ma famille va à Serpentard depuis la nuit des temps.

-Oui, avec la grande ressemblance que tu as avec eux, c'est certain, dit sarcastiquement James.

-Bon, peut-être que… mais je n'aime mieux pas y penser, de toute façon c'est encore dans un an et environ deux mois.

-C'est sûr. Moi j'ai hâte. Je vais tout faire pour que l'école se rappelle de moi, dit James avec détermination.

-Et qu'est-ce que tu vas faire? Demanda Sirius, intéressé par l'idée.

-Je ne sais pas encore… je te le dirai quand je saurai.

-Ok.

-Bon, on devrait dormir, IL ne va jamais arriver. De tout façon, même s'IL réussit à savoir que tu es ici, IL ne trouvera pas, la chambre tellement elle est loin de la porte et qu'il y a des couloirs dans tous les sens.

-Oui, c'est vrai. Merci de m'héberger James, dit Sirius, vraiment reconnaissant.

-Ce n'est rien, dit James en le serrant dans ses bras comme un frère. Allez, bonne nuit.

-Bonne nuit.

Voilà! C'était le premier chapitre de ma nouvelle fiction! Donnez moi des nouvelles de ça! J'espère que vous avez aimé!