Bienvenu dans ce recueil d'OS sur l'univers de la série Sherlock . J'ai commencé la série récemment, je suis encore a la moitié , mais j'aime tellement ! Et je ne parle pas de l'accent de Sherlock . Il FAUT le voir en Vostfr, la VF est un sacrilège !

Bon trêve de blabla. Merci d'avoir cliqué, de lire, et un grand merci si vous laissez un commentaire !

P.S. Cette histoire est écrite pour le thème Pyramide des nuit du FOF : un thème par heure, une heure pour écrire (en vrai trois jours mais dans l'heure c'est plus fun)

Eurys

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Episode 1 : LE MASSACRE DE LA PYRAMIDE

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Essoufflé, John essayait tant bien que mal de suivre le rythme de Sherlock. Si le détective consultant n'était pas un grand sportif, il devait admettre qu'il lui arrivait d'avoir l'endurance d'un marathonien.

Mais ce n'était pas le cas de Watson.

John eu à peine le temps de s'arrêter sur la dalle d'entré de la pyramide qu'il s'engouffra dans le couloir à la suite de Sherlock qui éclairait le passage d'une lampe torche.

Et ce fichu couloir montait ! C'était dans des moments comme celui-ci qu'il se demandait pourquoi, mais grand dieu pourquoi il suivait ce sociopathe de Holmes.

Ils arrivèrent à un premier palier qui desservait deux autres sombres couloirs. Un coup d'œil à Holmes lui suffit pour comprendre qu'il était en train de déduire leur route. Il profita de ce moment de répit pour reprendre son souffle, et de toute façon une intervention de sa part serait plus inopportune qu'autre chose.

Sherlock fini par indiquer le couloir de gauche et s'y aventura sans même vérifier que son assistant le suivait toujours.

—John ! Prenez une de ces pioches.

Le docteur ne prit pas la peine de répliquer quoi que ce soit et prit l'outil demandé. Sherlock était Sherlock.

Cette fois ci le chemin était parfaitement plat au grand plaisir des jambes du docteur Watson, ils marchèrent ainsi un moment, avec en bruit de fond les marmonnements répétitifs du détective.

—ICI ! S'exclama Sherlock.

John faillit lâcher sa pioche ainsi qu'un cri de surprit. Sherlock s'était arrêté en plein milieu du chemin, face au mur, un sourire aux lèvres.

—Le trésor et la John ! Je l'ai enfin trouvé, il est la !

—Parfait. Maintenant nous pouvons aller avertir les autorités compétentes, nous ne devrions même pas à être ici.

Car bien évidement le détective avait usurpé l'identité de son frère pour parvenir à pénétrer les lieux, et à un moment ou un autre ils seront découverts, cela John le savait bien.

—Rho arrêtez d'être aussi ennuyant John ! Il est juste la, combien de temps avons-nous encore ?

John soupira et regarda sa montre. 7 minutes. 7 minutes pour que Sherlock Holmes relève le défi de Jim Moriarty, à savoir trouver ou se trouve le trésor caché de la pyramide de Khéops.

—7 minutes. Mais vous l'avez trouvé ! De toute façon s'il est derrière ce mur nous ne pouvons rien faire de plus.

—Non, je ne l'ai pas encore trouvé, se contenta de répondre Sherlock.

—Bon sang mais vous voyez bien qu'il s'amuse avec vous ! Explosa John. Pourquoi faut-il que vous jouiez le jeu ?

—Oh John, il en arrive des fois où j'envie presque votre esprit si banal. Mais j'ai besoin d'enquête, d'énigmes, ou tout me parait barbant ! Si vous, des devinettes plus élémentaires les unes des autres vous suffisent, moi j'ai besoin de plus, d'une énigme à mon nivaux ! Et cela, seul Jim Moriarty sait m'en procurer.

John était si habitué à la mise en lumière de son esprit ordinaire qu'il ne s'en offusqua pas. Non ce qui l'inquiétait était que Holmes ressemblait à un drogué… et que seul Moriarty pouvait lui fournir sa dose.

Il n'eut pas le temps de réagir quand son ami s'empara de la pioche et l'envoya fracasser le mur de granite.

—Sherlock ! Arrêtez ça !

Mais le détective n'arrêta pas, effaçant hiéroglyphe après hiéroglyphe sous l'œil effaré du docteur.

—Sherlock ! Ce sont des vestiges, des trésors de l'humanité, arrêtez ça !

—L'humanité, n'a pas, besoin de dessins sur des murs ! Répliqua-t-il entre chaque coup de pioche.

John se prit la tête entre les mains, assistant impuissant au désastreux massacre de ces empreintes du temps. Puis finalement une brèche se créa et s'agrandit et quand le trou fut assez grand, Sherlock arrêta de creuser.

De l'autre côté du mur, un amoncellement de parures, armes et objets d'or fin, incrustés de pierres reflétaient la lumière de la lampes.

Sherlock sorti son téléphone portable, prit une photo et l'envoya, sonnant la fin de la chasse.

—Eh bien voilà, ce ne fut pas très dur ! Conclu Sherlock Holmes un sourire aux lèvres.

Watson lui n'en était pas tellement sur. Comment le vrai Mycroft Holmes et le pays tout entier pourront expliquer au gouvernement égyptien le saccage de la pyramide de Khéops ?

Tout ça pour satisfaire la curiosité de deux hommes complètement barrés.

—Vous venez John, il est presque l'heure du thé !