Salut tous le monde! de retour de vacance! enfin, 15 jours sans internet et voila ma fic enfin fini! ça fait du bien de pouvoir se concentrer un peu lol donc voila la suite tant attendue de Hohanna, pour ceux qui me lise pour la première fois, sachez qu'il faut avoir lu Hohana pour comprendre cette fic, désolé, pour les autre c'est un prolongement 1ans et demi plus tard voila bonne lecture à tous, moi je vais tirer la langue dans mon coin lol cette canicule va me tuer! mdr

la petite élyon

Chapitre 1

20h30, Sally Donovan venait de terminer son service, les bureaux du Yard étaient désert, même son chef Lestrade était partis plus tôt aujourd'hui, elle ferma son ordinateur et passa ses mains sur son visage fatiguer en soupirant.

Un énième rapport de terminer enfin ! Ce psychopathe de Sherlock Holmes ne les avait pas ratés cette semaine ! 3 affaires dont une de triple meurtres, 3 affaires résolu passé à ce faire traité d'imbécile et de moins que rien, surtout elle et Anderson, elle n'en pouvait plus, bon ok Anderson avait quelque peu bâclé l'autopsie manquant un indice, il avait des soucis familiaux en ce moment , ça peut arriver ! il n'en avait donc jamais lui ? Non bien sur, le détective était froid comme la pierre ! Elle était persuader qu'il n'avait jamais eu de relation avec quelqu'un, qu'elle femme serait assez folle pour être avec un type pareil ? Qui adore les affaires de meurtres et qui conserve des yeux humains dans son micro onde.

Une fois son ordinateur éteins elle étira ses bras au dessus de sa tête en soupirant, se leva pour attraper sa veste, et sortie des bureaux du Yard éteignant la lumière en partant, elle soupira en pensant prendre une bonne douche en rentrant et ce glisser dans son lit au plus vite ! elle marcha dans la rue et s'engouffra dans une station de métro pour rentrer chez elle, elle descendit les escaliers et trouva l'endroit curieusement désert, bon ok il était 2h du matin mais il y avait toujours du monde dans le métro, des gens comme elle qui prenait leur quart ou qui finissait leur travail ou même des jeunes qui trainer, à croire que c'était une station fantôme ! elle attendit sur le quai mais n'entendait absolument aucun bruit, ils n'avaient quand même pas fermer la station à cet heure ci ? non elle n'aurai pas pu descendre, les escalier auraient était bloquer ! elle marcha le long du quai vers d'autre quai plus loin, peut être qu'elle allait finir par rencontrer quelqu'un, ce n'était pas prudent à cet heure ci mais elle n'avait pas peur, elle était agent du Yard et armé, elle en avait vu d'autre !

Pendant un petit moment seul le bruit de ses talon résonnait sur le quai, quand elle fini par entendre du bruit, elle s'approcha doucement mais ne parvenais pas à entendre d'où sa venait, elle entendait des voix, des hommes ils étaient plusieurs, et apparemment ce n'était pas une petite réunion de courtoisie, un trafic de drogue ? Elle sortit son révolver de service et enleva ses chaussures trop bruyante qu'elle abandonna dans un coin, et marcha prudemment.

elle aurait du prévenir ces collègues mais rien que d'appeler aurai attiré l'attention des hommes, elle ne voulait pas se faire descendre, mais en même temps en tant qu'officier de police elle ne pouvait pas simplement faire demi tour comme si elle n'avait rien vu. Elle marcher en collants sur le quai, s'approchant doucement pour se rendre compte qu'un attroupement d'homme était rassemblé sur les rails, à l'extrémité du quai la ou le tunnel commencer. Elle se cacha au bout du quai contre le mur qui la délimiter du tunnel au plus pres des hommes de dos qui ne l'avait pas remarqué tous occuper à leur discussion autour de plusieurs caisses

-vous m'aviez promis 13 caisses de M45 monsieur Mc Carty je n'en vois que 6 fit un homme de petite taille à la voix glacial

-je comprend monsieur Moriarty mais, j'ai eu quelque soucis d'approvisionnement, il va falloir attendre un peu avant d'avoir le reste de la marchandise fit l'homme un peu hésitant

Sally n'en croyait pas ses yeux et ses oreilles, Moriarty, l'ennemie juré du psychopathe dans le métro de Londres à acheter des armes. La ça devenait vraiment glauque, elle ne devait pas trainer ici

-je vous ai pourtant payé monsieur, et je ne peux pas attendre, j'ai besoin de ses armes maintenant ! Vous comprenez, alors vous appelez vos fournisseur maintenant et vous tenter de régler ce petit…problème, ou sinon vous risquez d'en avoir un gros ! fit Moriarty à l'homme qui tremblait de la tête au pied

Sally pouvait voir Moriarty de face mais l'homme auquel il parlait était de dos, elle enregistra le plus de donnée visuel qu'elle pouvait, quand elle se souvint que son portable pouvait filmer, elle le sortis et filma la scène qui se dérouler sous ses yeux toujours cacher par le mur qui délimiter la fin du quai et l'entrée du tunnel pour le métro. Dans quelle galère s'était-elle embarquer encore ? Mais avec ces images peut être que le psychopathe ne la traitera pas de bonne à rien pour une fois ! elle avait hâte de voir sa tête ! Ses images valaient de l'or !

L'homme tenta d'appeler ses fournisseurs, mais après moult discussion, il ne parvint pas à obtenir les caisse d'arme manquante, Moriarty attendis que l'homme ait raccrocher et ouvrit une des boites devant lui

-ils sont charger ? fit il en sortant un révolver, l'homme pâlit

-oui monsieur, ils sont prêt à l'emploi ! fit il

-bien voyons ça, fit il en levant l'arme vers l'homme l'abattant froidement, le tir la fit sursauter violement et trembla dans toute la station.

En sursautant, Sally fit tomber son téléphone par terre, celui-ci résonna sur le sol juste après la détonation, les hommes présent ainsi que Moriarty tournèrent leur regard vers la source du bruit, elle était cuite !

-nous avons de la compagnie mes cher amis fit Moriarty qui avait aperçu la jeune femme rattrapant son téléphone et se mettant à couvert trop tar,

des points rouge courait sur le sol, il y avait des snipers, ils cherchait leur cible, elle avait le choix, sois tenter de riposter avec son arme mais elle n'aurait pas vraiment le temps de tirer qu'on l'aura transformer en passoire avant qu'elle n'appuie sur la détente, ou bien elle sortait de sa cachette en courant et rejoignait les escaliers, sa seule chance de survie remonter à la surface ! elle était bien consciente qu'elle allait se faire tirer dessus comme du gibiers, mais après tous adolescente elle était championne d'athlétisme, elle courait très vite,

Elle choisis la course, et se mis à courir le plus vite possible, elle évita quelque balles mais une vint se lui bruler la peau sur l'épaule gauche, elle continuer de courir, une autre siffla à ses cheville la brulant, elle pris son arme et tira à l'aveuglette derrière elle, ne regardant pas, si sa pouvait les ralentir tant mieux, elle arriva jusqu'au escalier, elle entendait des hommes courir derrière elle, il fallait qu'elle remonte à la surface, c'était sa seul chance de survie, si elle arriver vivante sur le trottoir en haut ! elle monta les marche 4 à quatre, elle n'avait jamais monter des marche aussi vite de toute sa vie, elle remonta à la surface et continua de courir à l'air libre, ne s'arrêtant pas, elle était blesser légèrement, les balle ne l'avait qu'érafler, elle était contente d'elle, elle n'avait rien perdu de sa rapidité à la course, elle continua à courir, ne voulant surtout pas s'arrêter, ce fichant du sang qui couler de son épaule et de sa cheville, et du fait qu'elle courait pied nu sur le bitume. Elle fini par s'écrouler sur une double porte en verre, il y avait de la lumière et une personne à l'accueil, elle avait juste eu le temps de lire clinique sur la devanture, et de voir la personne de l'accueil accourir pour lui ouvrir, elle s'effondra dans ses bras.

Mycroft Holmes finisser un dossier important dans son bureau, Anthéa passa lui souhaiter bonsoir son sac à main sur son épaule

-bonne nuit patron ! fit elle joyeusement elle avait terminer ses heures, elle rentrait chez elle

-bonne nuit Anthéa à demain ! fit Mycroft sans lui accorder un regard, mais ce n'était pas de l'impolitesse ou de l'indifférence, juste l'habitude, ils travailler ensemble depuis 10ans maintenant

-n'oubliez pas de rentrer chez vous monsieur, sinon le ministre va vous donner le catalogue pour vous acheter un lit ! fit elle en rigolant

-j'ai déjà un hamac sur mon balcon pourquoi pas ! fit il en souriant à la remarque de sa collaboratrice, il ne rentrait pas chez lui souvent, il était tellement pris dans son travail qu'il oublier de rentrer.

-vous me surprendrez toujours monsieur, bonne soirée, fit elle en quittant le bureau laissant la porte ouverte

Elle marcha le long du couloir, disant bonsoir à certain de ses collègues qui quitter leur bureau en fermant à clef, elle regarda la date sur son portable avant de le ranger, elle en avait eu assez pour la journée, 10 ans aujourd'hui qu'elle travailler pour Mycroft Holmes, jamais elle n'aurai pensé tenir aussi longtemps, ho pas que le bonhomme soit insupportable, enfin disons un peu moins excentrique que son cadet, presque normal, mais tellement exigeant,

elle se souvenait de son premier entretien d'embauche avec lui, ou du moins avec l'agence qui devait les mettre en relation, une femme d'un certain âge revêche, l'avait prise dans son bureau, disant qu'un certain monsieur Holmes cherchait une assistante compétente et digne de travailler au gouvernement, elle avait presque sauté de joie, une offre comme ça, surtout pour elle sortant à peine de l'école, n'ayant que quelque expérience de terrain. La femme l'avait avertis, cet homme était très exigeant, il en était à sa 4ième collaboratrice en un mois, c'est ce qui lui avait fait peur au début, d'être la 5ième sur la liste, de tomber sur un patron cingler qui exiger trop, malgré tous, elle l'avait trouver, exigeant oui, mais aussi très honnête envers elle, et très magnanime, en échange elle devait faire ses preuves, et elle avait prouver de nombreuse fois qu'elle méritait cette place, cela faisait 10ans que Mycroft n'avait pas recontacté cette agence qui lui avait présenter tellement d'idiote avant de lui présenter Anthéa.

Au fil des années, elle avait appris à connaitre son patron, un petit peu, elle ne se méler pas de sa vie priver mais contrairement à ce qu'elle avait déjà pu croiser, il lui parler et pas juste pour lui donner des ordres, avec le temps il n'avait même plus à lui donner d'ordre, elle savait exactement ce qu'il voulait, ou il allait et ce qu'il faisait. Elle était son ombre et son bras droit. Et lui il était comme son mentor, il lui en avait tellement appris. Et ce soir elle avait juste une pensée nostalgique des ses première années dans ces bureaux.

Mycroft n'avait rien dit mais avait regarder la date lui aussi, 10ans, il rester songeur sur le temps qui passer quand quelqu'un frappa à sa porte, il leva la tête, un responsable

-ha monsieur le directeur administratif, que puis je pour vous en cette heure tardive ? fit Mycroft de son flegme légendaire

-rien du tout mon cher ! croyez moi, mais je suis venu vous mettre au courant fit l'homme en s'asseyant sur une chaise devant le bureau de mycroft qui referma un dossier, l'homme semblait mal à l'aise

- que vous arrive-t-il monsieur ? vous me semblez…..tendus fit il en l'observant

-toujours cette faculter d'observation, fit l'homme en le regardant dans les yeux demain matin, vous accueillerai votre nouvelle collaboratrice

-je vous demande pardon ? je suis très satisfait d'Anthéa ! fit mycroft qui ne voulait en aucun cas avoir à ce passer de sa collègue et amie depuis 10ans

-non ce n'est pas ce que je voulait dire, je ne sais même pas comment l'appeler, mais le ministre à décider de vous dépecher une collaboratrice pour vous aider dans vos dossiers ! vous gardez Anthéa bien sur, mais vous devrait à l'avenir, partager vos dossier et vos affaire avec cette femme

Mycroft fulmina, il s'en sortait très bien tout seul, il n'avait absolument pas besoin de passer son temps à former une petite écerveler pour partager des affaires top secrète avec elle. En plus il detester le travail en équipe ! il avait sa méthode de travail et detester la partager !

-vous savez ce que je pense de tout cela monsieur fit mycroft d'une voix glacial, je n'ai pas le temps de former des jeune fille de bonne famille fraichement débarquer dans le service grace à quelque chèque sous la table, je ne peux pas travailler en équipe vous le savez ! j'ai ma méthode

-vous communiquer bien avec les autre, et puis avec vos collègue de terrain et Anthéa tenta l'homme qui sortis un mouchoir de sa poche pour s'éponger, si mycroft entrer dans une colère noire, autant s'y préparer

-monsieur le directeur administratif fit mycroft qui tentait de se controler, son petit monde aller gentiment s'écrouler

-attendez mycroft ! déjà d'une il ne s'agit pas d'une jeune fille fraichement débarquer de l'école, mais d'une femme d'age mure, avec beaucoup d'expérience, et je crois presque aussi exigente que vous, le ministre soutien qu'il a peut être trouver votre alter égo féminin

-je lui en voit ravis mais je n'en ai absolument pas besoin ! vous connaissez ma position monsieur, et les dossier sensible que je traite ! je n'ai absolument pas le droit à l'erreur et surtout je n'ai pas le temps de disputer mon territoire et mes dossiers avec une femme, quelque soit son age qui viendrait tous chambouler ! suis-je clair ? fit Mycroft au bord de la crise de nerf

-vous n'avez pas le choix mycroft ! en plus elle devra officier dans votre bureau

-QUOI ?! fit mycroft en s'étranglant à moitié vous plaisantez jespère ? fit il sur le point de tuer l'homme en face de lui

-absolument pas, j'était charger de vous annoncer la nouvelle, comme à chaque fois que l'on vous fait ce genre de farce n'est ce pas ? fit l'homme, agaçer d'être toujours l'annonceur de mauvaise nouvelle et de se prendre tout en pleine face

-bien sur ! fit mycroft se souvenant du nombre de nouvelle adorable comme celle-ci que cet homme était venu lui annoncer depuis qu'il travailler ici ! mycroft était même sur, qu'il pourrai à sa retraite ouvrir un centre de yoga tellement il était passé pro dans la matière de la patience afin de ne surtout pas tuer ses collègue de travail !

-bien, sur ce je vous souhaite une bonne nuit monsieur Holmes fit l'homme en se levant pour quitter le bureau

- c'était ironique jespère ? fit mycroft avec une pointe de sarcasme dans la voix

-bien entendu cher collègue ! fit l'homme avant de partir

Mycroft passa ses nerf sur un paquet de feuille à jeter qu'il passa une à une dans le broyeur à papier imaginant que c'était son collègue. Demain aller être un jour compliqué.