Bonjour/Bonsoir, comment allez-vous ?
Eh bien voilà, certains m'avaient déjà suivie mais ne m'ont jamais revue... ( Oui, je suis l'auteur qui n'arrive jamais à achever ses fictions ) . Bref, je suis de retour, comme d'habitude, avec une liste de scénario ( ne me demandez pas combien j'en ai, mais j'en possède beaucoup des scénarios, qui me plaisent tous les uns que les autres ). Voici les meilleurs scénarios ou plutôt thèmes qui m'ont beaucoup inspirée pendant quelques... heures ? ou jours. Je les ai développés en version Dramione ( of course ), mais l'inspiration sera présente en combien de temps ? C'est pour ça, que j'ai décidé de créer cette " histoire " ou plutôt de vous mettre mon chapitre 1 ( et mes futurs chapitres 1 ). Ils sont destinés à être pris, si ça vous intéresse, reviewez-moi seulement en me disant. ( En passant, regardez les reviews pour savoir si le chapitre 1 a déjà été pris ). Si vous voulez savoir un peu plus sur le récit, n'hésitez pas à me poser des questions sur les couples, ce que j'imaginais dans la suite de l'histoire ( à vrai dire, là où je me suis arrêtée dans un chapitre 1, c'est là où j'ai été bloquée... Oui, j'avoue, de mes crimes. ) Bref, j'ai décidé de vous faire partager mes scénarios car ça me plaît de savoir ce que pense les lecteurs sur mes idées, mon écriture, et mon français surtout ! ( Oui, on n'est pas très copains, lui et moi. ) Bref, si vous voulez ce qu'il y a en dessous, reviewez-moi, demandez-moi la permission, créer une histoire à partir de ça ( avec un petit passage où il y aurait mon nom peut-être, pour que vous me créditez (a) ). Bref, j'arrête avec mes brefs, je vous laisse lire ce premier début intitulé " Ca a commencé comme ça et ça s'est achevé ainsi " . Je trouve toujours les titres avant l'histoire, je ne sais pas trop pourquoi... Bon, je me tais. Ah oui, je tiens à préciser que les personnages appartiennent à J. ( Respect. ) et que mes textes seront surement très courts, comme en-dessous. Chut à moi.
Bonne lecture !
oOo Tu es mon inspiration, ma muse, ma vie oOo
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Premier Début
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~ Ca a commencé comme ça et ça s'est achevé ainsi ~
Nous étions en plein mois de décembre, et la neige ne cessait de tomber. Elle était légerte mais épaisse. La neige avait déjà recouverte bien le sol. Un enfant venait de passer son après-midi à jouer dans la neige avec ses amis. Et il avait de la neige partout, de la tête au pied. Il décida finalement de rentrer, et arriva justement à l'heure du goûter. Il gelait encore, et même si dans la maison, il y avait du chauffage, il préféra garder ses habits. Il se dirigea vers le salon où il était sûr de trouver sa mère. Une femme brune, moyennement grande, mince et très belle. Comme il le disait souvent, sa mère était " la plus belle fille qu'il connaissait " . Elle était assise sur le canapé, devant le cheminée et lisait un livre, comme d'habitude.
- Coucou Maman, disait-il.
- Coucou. Mais.. Tu es tout mouillé ! Enlève moi ses vêtements, et pose-les sur le radiateur pour qu'ils sèchent, s'il te plait.
Le petit garçon obéit. Il avait un profond respect pour ses parents et ne protestait jamais, quand il trouvait ça juste. Et il trouvait que trois quart de son temps, ses parents étaient toujours justes et qu'il ne commettait presque jamais d'erreur - ce qu'il le rendait parfois fou -. Ses parents étaient studieux, mais lui, l'était-il ? Il n'avait pour l'instant que cinq ans, et ce qu'il aimait, ce n'était pas lire comme sa mère, mais plutôt de profiter de sa jeunesse enfantine.
Sa mère s'était levée et s'était rendue dans la cuisine.
- Un chocolat chaud, mon chéri ? quémanda la femme.
- Oui, s'il te plaît maman.
Il se déshabilla donc et après avoir finit de se débarrasser de ses vêtements mouillés, et les avoir posé sur le radiateur le plus proche, il se dirigra vers la cuisine à son tour, et s'assit autour d'une table.
- Qu'est-ce que tu as fait cet après-midi ? se renseigna la brune avec un sourire bienveillant.
- Bien avec Albus, James et Hugo, on a fait une bataille de boules de neige. J'ai fait équipe avec Hugo, et évidemment on a perdu ! Il y a eu triche ! Ils ont tous attaqué Hugo, et quand j'ai commencé à me lever, ils ont tout jetés sur moi !
- Tu pourras te venger demain surement. Entre aujourd'hui et demain, la neige ne devrait pas fondre de sitôt ! Ton chocolat chaud est prêt, mon chéri.
La femme au foyer présenta le chocolat chaud sur la table et embrassa le front de son fils. Le petit garçon mit ses mains gelées sur la boisson chaude, et y resta pendant un petit moment avant que la température n'excède sa limite. Quant à sa mère, elle s'orienta vers une autre pièce, isolée et composa le numéro d'un homme qu'elle connaissait très bien. Ca sonna, et elle s'appuya un peu sur le bureau. On décrocha.
- Allô ?
- Bonsoir, j'aimerai savoir si Monsieur Malefoy est toujours dans son bureau.
- C'est vous Madame Malefoy ? Je vous le passe tout de suite. Attendez, je change de ligne.
- D'accord, merci Anna.
Il y eut un transfert pendant quelques secondes avant qu'un homme ne répondit à l'appareil :
- Oui ? Chérie, c'est toi ?
- Oui, mon amour. J'ai eu Ginny ce matin, et elle nous invite ce soir à aller dîner chez eux.
- La veille de la veille de Noël ? J'ai même pas encore acheté les cadeaux. Surtout ce que Scorpius voulait.
- Fais-le alors tout de suite, proposa-t-elle. Ginny a bien insisté pour que tu sois présent. Elle veut que tout le monde soit là.
- Et Anna ? Tu y as pensé à Anna, je vais pas la laisser seule au bureau.
- Anna est grande Drago. Et en plus, elle mérite bien des heures de congés Drago ! C'est bientôt Noël, et il faut qu'elle prenne du repos, qu'elle fasse comme toi, des achats. Bref. Fais ce que tu veux. En tout cas, je veux te voir à la maison avant dix-neuf heures.
- D'accord, dit le patron avec un petit soupire sourd que sa femme entendit très bien.
- Promets le moi.
- Pourquoi ? !
- Promets le moi, Drago !
- Je te le promets.
- Bien, bisous.
- Bisous.
La femme raccrocha. Elle afficha un sourire satisfait. Quand elle faisait promettre à son mari, son mari tenait toujours sa promesse. Il avait une honneur dans sa famille à tenir certaines choses, comme les promesses, les " Je te jure ", ou encore " Je te fais le serment ". Combien de temps avait-elle déjà passé avec lui ? Leur histoire avait commencé à Poudlard... Ca faisait surement plus de six ans et moins de sept ans. Elle retourna dans la cuisine pour retrouver son fils et lui annonça :
- Va te changer Scorpius, s'il te plait. On va dans quelques heures dîner chez tonton Blaise.
La seule fille de la famille Weasley avait épousé le meilleur ami du prince des Serpentard. Comment cela est-il arrivé ? C'était une longue histoire, tout comme celle que partageait Monsieur et madame Malefoy.
Le petit Scorpius ne se fit pas attendre, il monta dans sa chambre où il trouva sur son lit, un smoking " junior " . Il n'aimait pas beaucoup ce genre de tenue, pas très pratique pour jouer tranquillement avec les copains. Et puis de toute façon, il savait comment aller finir cette soirée. Ses parents avec ses tontons et ses tatas allaient se mettre à raconter le bon vieux temps, en parlant de Poudlard, et sa mère rajouterait comme quoi les examens étaient très importants, et ses amis ainsi que son père, diraient qu'elle était une fille qui pensait seulement à ses devoirs. Sa mère commenterait qu'elle a quand même réussi ses examens grâce aux révisions des années précédentes en avance et que ça a été dure de réviser qu'en même temps de participer à la bataille avec " L'Elu " , alias Harry Potter, qui était aussi son tonton. Et puis les tontons raconteraient que son papa était tout à l'opposé de tonton Harry, qu'il était même au service de Voldemort, que Voldemort ne se disait pas, que seul tonton Harry osait ainsi que le directeur Dumbledore. Combien de fois Scorpius avait-il entendu ces histoires ? Parfois il se demandait, s'il ne l'avait pas vécu lui même. Mais cette fois-ci, ses parents précisaient encore plus. Il était forcé de rester à table, et écouta donc l'histoire, le soir venu.
- Tu te souviens Drago de comment on se détestait ?
- Tu parles chérie ! Le pire, c'est que c'est Po... Harry qui nous a amené à cette situation... Tu sais, ce jour où on devait préparer le sapin, raconta Drago.
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~ Année scolaire 1997 - 1998, Septième année. Mi-décembre. ( Point de vue de DM )
" - Granger, ramène ton cul, on va décorer le sapin.
- Le petit Malefoy propose à la Miss-Je-Sais-Tout d'aller décorer le sapin de Noël avec lui ? C'est une blague Malefoy ? demandait-elle en continuant de lire son livre Noël dans le monde des sorciers.
- Oui. C'était censé être Pottie, mais je sais pas où il est. Je suis sûr qu'il joue à cache cache. Donc s'il ne veut pas venir décorer le sapin, tu viendras décorer le sapin. "
- Attends, attends, mon amour, ça a commencé un peu avant je crois. Plutôt, comme le début de la rentrée, ça te rappelle quelque chose ?
- Non... Pas vraiment...
- Laisse-moi te réveiller. Ca a commencé à la rentrée, quand Ron, Harry et moi, nous sommes descendus du Poudlard Express...
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~ Année scolaire 1997 - 1998, Septième année. Rentrée, septembre. ( Point de vue de HG )
" Nous étions descendus du train, et déjà, que monsieur Malefoy, nous agressait déjà.
- Hey ! Pottie, tu as passé de bonnes vacances dans ta famille de sang-de-bourbe ?
Il ricana s'ensuivit de ses deux gardes, de la p'tite blonde et du métisse. L'année commençait bien, j'aurai voulu le mettre mon poing dans sa figure comme en troisième année. Il se serait calmé et enfuit. Il l'aurait arrêter de nous embêter pendant un certain temps. " Un coup de poing ne te fera pas de mal, Malefoy. " avais-je pensé. Mais je me suis retenue. "
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- Ouais, interrompit Drago, mais c'est pas très intéressant...
- Comment ça ?
- Je veux pas dire que c'est pas très intéressant. Je veux juste dire, que dire que tu voulais me donner un coup de poing, que tu étais très en colère, comment je riais... Bref, tu mets trop de narration Hermione. Et puis, de toute façon, si tu commences de là, on a mon moment pour le Nouvel an. Laisse moi continuer mon histoire.
- Si tu veux, après tout..., lâcha Hermiione un peu vexée.
- Nan mais chérie, je voulais pas te blesser, excuse-moi, s'excusa le blond.
- Elle est pour quand l'histoire, demanda Cho Chang.
- Ouais, pour quand, insista Ginny.
- Laissez-moi donc, continuer. Regarde, je vais me rattraper Hermione.
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~ Année scolaire 1997 - 1998, Septième année. Mi-décembre. ( Point de vue de DM )
" - Granger, ramène ton cul, on va décorer le sapin.
- Le petit Malefoy propose à la Miss-Je-Sais-Tout d'aller décorer le sapin de Noël avec lui ? C'est une blague Malefoy ? demandait-elle en continuant de lire son livre Noël dans le monde des sorciers.
- Oui. C'était censé être Pottie, mais je sais pas où il est. Je suis sûr qu'il joue à cache cache. Donc s'il ne veut pas venir décorer le sapin, tu viendras décorer le sapin.
- Mais t'es devenu fou par Merlin ! C'est peut-être la responsabilité d'Harry mais s'il vient pas, c'est ton problème, s'exclama-telle avant de commencer à se retourner et de s'en aller - dans une démarche très sexy - . En plus, c'est pas en me donnant des ordres que tu auras quoi que ce soit.
- GRANGERRR, cria le blondinet. S'il te plait.
Elle s'arrêta et se retourna avec un sourire intéressé. - Et à demi-pervers. Bon, bon. Avec un sourire intéressé et des yeux pétillants, que si on regardait des secondes en plus dans les yeux, on allait fondre. -
- Qu'est-ce que vient de dire Malefoy ?
- Ne me fais pas répéter. Viens m'aider, dis-je avec des nerfs assez... contrôlés.
- Répète. Je veux une phrase complète où je retourne à la bibliothèque. Et si je croise Harry en chemin, tu sais ce que je lui dirais ? Juste parce que tu as été malpoli avec moi, je lui demanderais gentiment de venir avec moi à la bibliothèque, et tu te retrouveras...
- Oui, c'est bon, j'ai compris, coupais-je.
J'avais bien compris de quoi elle voulait parler. La Granger savait comment s'y prendre niveau chantage, je devais l'avouer. - Mais pas seulement niveau chantage ! Hein, ma tigresse ? ! Ouais, c'est bon, je me calme. - J'étais donc contraint à répéter. Et je ne me suis pas fait attendre.
- Granger, s'il te plait, peux-tu venir m'aider à décorer ce sapin, dis-je en roulant les yeux et soupirant à la fin, ce qui m'avait donné une voix assez bizarre.
Elle s'est arrêtée et a déclaré :
- Non, désolé Malefoy, il faut que j'aille réviser pour demain. Le contrôle ne se fera pas sans mon cerveau.
- QUOI, m'écriai-je.
- Quoi, quoi ? quémanda la jeune brune avec un petit sourire que je voyais bien transparettre.
Je me suis donc calmé et je lui ai répondu :
- J'espère que c'est une blague vu ton sourire Granger, et viens, maintenant, m'aider, s'il te plait.
- Bon d'accord, lâcha-t-elle.
Elle retourna donc sur ses pas, c'est-à-dire vers le sapin.
- En quoi, puis-je t'aider ?
- Passe moi des guirlandes s'il te plait.
Elle m'en tendit une et avec une incantation, je réussis à la mettre autour du sapin. Le sapin était gigantesque. J'avais besoin de Granger pour tenir la guirlande en serpent car sinon elle allait se mettre de travers et on m'aurait passé un savon. Je prenais le rôle de Préfet de chef très à coeur. En fait, juste pour profiter des choses privilégiées. Les guirlandes mises, les boules ensuite aussi ainsi qu'un tas d'autres décors que Granger avait bien pris soin de me les tendre doucement afin de ne pas les briser en milles morceaux comme l'année dernière où Cornac McLaggen et Melinda Bobbin étaient préfets en Chef et qu'il y a eu un petit problème. En fait Melinda Bobbinavait abandonné Cornac, il avait donc dû décorer le sapin tout seul. Poudlard s'était retrouvé avec un sapin assez original et drôle mais véritablement dégoûtant. Cette fois-ci le sapin, était absolument magnifique. J'avais fait un bon travail et la fierté régnait en moi.
- Enfin terminé, m'exprimais-je avec un soupir de soulagement.
- Je ne crois pas que tu aies finit Malefoy, déclara Hermione.
- Comment ça ?
- Il reste l'étoile à accrocher au sommet du sapin. Tiens.
Elle me tendit une étoile gigantesque mais magnifique. Je regrimpais donc sur l'échelle, mais le sapin était vraiment très très grand, il mesurait d'après Dumbledore, je crois cinq mètre. Il m'aurait fallu une plus grande échelle mais mon échelle magique était arrivée à sa taille maximale, trois mètres. J'avais entendu la Gryffondor rire ou plutôt pouffer parce que je n'arrivais pas à atteindre le sommet du pic.
- Si ça t'amuses tant que ça Granger, tu as un autre boulot.
- Qu'est-ce donc ?
- Tu vas poser l'étoile sur le sapin !
- Et comment veux-tu que je la pose si de taille, je suis plus petite que toi ?
- Tu vas monter sur mes épaules.
- Mais t'es malade ! Je vais tomber !
- T'inquiète Granger, je te ferai pas tomber. Promis. Et puis, tu sais bien à quel point je suis fort, donc, aucun risque que tu tombes.
- Elle est bonne celle-là, marmonna-t-elle.
- J'ai tout entendu. S'il te plait Granger, pourrais-tu mettre l'étoile en haut du sapin ? S'il te plait. Merci d'avance.
J'étais donc redescendu de l'échelle. J'ai du attendre que mademoiselle veuille bien me faire un peu confiance, mais j'avais utilisé la politese, et le point faible de cette vieille Granger, c'est qu'elle acceptait tout, du moment qu'on lui était reconnaissante et qu'on lui demandait gentillement. Donc, elle est monté sur mes épaules, elle a tremblé un peu et m'a bien tiré.
- Granger, si tu pouvais éviter de tirer mes cheveux, ça serait très chouette.
- Parle pour toi, t'es pas à deux mètres ou trois du sol, et t'as pas le vertige. Je t'ai dit que j'avais le vertige, j'espère, sinon voilà. Donc, si tu pouvais faire vite, avant que je ne le regrette, que je te torture et que je m'évanouisse, ça serait génial Malefoy.
Je m'étais donc exécuté de peur que je finisse en calvitie à dix-sept ans, tout jeune, profitant de sa jeunesse encore. Je suis arrivé en haut de l'échelle et je l'attendais donc.
- Tu l'as mise ? interrogeais-je.
- Euh... Penche toi un peu en avant. PAS TROP, PAS TROP, s'écria-t-elle.
- C'est bon, calme toi Granger !
Elle réussit finalement à le mettre et elle se mit à crier un " Ouhou " en levant ses deux bras et sautant un peu sur moi. Bien évidemment, nous sommes tombés. Elle n'a rien eu évidemment, car Merlin avait béni la Granger de toute malchance. Mais moi, je m'étais retrouvé par terre, au sol, le dos, bien congelé par le carrelage et une certaine douleur.
La Granger avait crié, et elle s'était retrouvée sur moi.
- Granger ? Granger ?! Si tu m'entends, relève-toi.
Elle ne me répondit pas et ne se releva bien évidemment pas, j'en avais conclu qu'elle s'était évanouie et je soupirais. J'ai du la relever. Elle s'était probablement cognée ou évanouie automatiquement. Sans savoir comment, j'étais assez proche d'elle pour sentir son parfum à la vanille. Et je dois avouer que j'avais un faible pour la vanille. - Et tu l'as toujours ! commenta Hermione - Je l'ai donc emmenée à l'infirmerie, personne ne rodait dans les couleurs, et heureusement. On m'aurait posée pleins de questions et j'aurai dû encore inventer une histoire.
Quand je suis retourné dans mon lit, j'avais toujours l'odeur de la vanille, et je ne sais comment, mais j'ai commencé à me poser des questions sur la Granger... "
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- On a commencé à décorer le sapin, et ca s'est achevé à ce que j'ai son odeur sur moi.
Voilà, voilà. Je suis pas très fière de ma fin, elle est pas trop fin de début/chapitre...
Que pensez-vous donc ?
A la prochaine, pour un début... dramatique.
PrincessReckless
