Bonjour à toutes et à tous !
Plus d'un mois après la publication de l'épisode 2, j'arrive enfin avec l'épisode 3. Cet épisode a été un peu plus difficile à écrire que les précédents, et comme j'ai eu de nombreuses choses à faire en parrallèle... enfin voilà !
J'espère que cet épisode vous enthousiasmera, n'hésitez surtout pas à me dire ce que vous en pensez, et si vous voulez que je continue.
La série Buffy contre les Vampires ne m'appartient pas, je ne fais que remettre en scène les personnages créés par Joss Whedon et son équipe, afin de partager avec vous ce que mon esprit se perd à imaginer.
Cet épisode est largement inspiré du livre jeu "La nuit je suis Buffy Summers" de Chloé Delaume , livre que je vous conseille si vous êtes fan de la série.
Bonne lecture !
La peau du septième nourrisson se détache difficilement, l'injection ne résout en rien le problème du dépiautage à vif, ce qui contrarie au plus haut point le docteur Grey, pas celui avec 50 nuances de folie, plutôt celle qui passe cinquante pour-cents de son temps dans un ascenseur. Elle est fatiguée de sa nuit de garde, et n'attend qu'une chose retrouvée le silence de son appartement. Les hurlements de la patiente en chambre capitonnée raisonnent encore dans sa tête, et il a fallu en plus que la patiente de la chambre 314 s'y mette aussi. Heureusement, un bon tranquillisant en est venu à bout, parce qu'il n'y avait plus de camisoles de libre depuis l'arrivée de la meute de Scott. Elle est fatiguée de sa nuit de garde, et n'attend qu'une chose retrouvée le silence de son appartement.
Alors que le docteur Grey, fini enfin l'extraction des organes, elle entend les incantations s'élever des chambres des sœurs Halliwell, elle sait que c'est le signe que les psychotropes cessent de faire leur effet, et qu'elle va bientôt laisser la place à l'équipe de jour.
Elle passe par les vestiaires avant de céder sa place, elle y croise une infirmière qui s'apprête à prendre son poste. Elle lui confie l'ambiance de la nuit : « L'homo refoulé à encore draguer l'infirmier pendant une crise de somnambulisme.
- J'en parlerais à son psy.
- Il faudrait envisager de l'attacher pendant la nuit, il pourrait violer les autres résidents.
- Même endormi, les patients pourraient le mettre KO. »
Elles rigolèrent toutes deux, alors que l'infirmier en question entra pour se changer avant de partir. L'infirmière sortie et commença ses visites. Elle inspecte les chambres libres, constate que certaines d'entre elles sont encore marquées par les corps en début de décomposition qui ont été dépecé pendant la nuit. Elle pense laissait les restes pour les lycanthropes, et sort fumé sa première clope.