Les perso de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer, je ne fais que les emprunter pour utiliser mon imagination!!!
Bonne lecture à tous.
Voici une fic spécial, que j'espère que vous aimerez. J'attends vos reviews ;)
Point de vue de Bella
Je m'appelle Isabella Swan et j'ai dix sept ans. Je vis à Forks depuis l'âge de dix ans, mon père m'a reprit à cause de la maladie de ma mère, elle ne pouvait donc plus s'occuper de moi. Je déteste Forks, c'est froid et mouillé! J'étais en première au Lycée et depuis mon arrivé à Forks je n'avais jamais quitté mes amis.
Il y avait Alice, ma meilleure amie depuis le primaire et son frère jumeau Edward, avec qui je m'étais toujours très bien entendu. Alice et Edward ne se lâchaient jamais, donc je l'avais toujours côtoyé, mais sans avoir eut une discussion avec lui. Par ci par là, je lui répondais, mais pas plus. J'avais aussi deux amis assez spéciaux, Rosalie et Jasper Hale, les jumeaux incontournables, intéressants tout de même, blonds aux yeux bleus! Ah oui, j'allais oublier l'autre jumeau! Emmett était le premier triplé des Cullen, il faut dire qu'il ne se tenait pas avec son frère et sa sœur, dû mon oubli. Emmett, Edward et Alice étaient des triplés, issus d'une insémination artificiel il y avait dix huit ans. Esmée et Carlisle ne pouvaient avoir d'enfants, donc voilà, ils ont eut un trois pour un.
Je qualifiais ces triplés d'une drôle de façon, ne se ressemblants aucunement, je leur avais trouvé une signification à chacun d'eux. Emmett était le gros nounours, musclé et fort aux cheveux bouclés noir. Alice était vraiment petite, plus que moi encore, je l'appelais le lutin aux cheveux noir, elle les portait court et de tout côtés. Je gardais Edward pour la fin, il était vraiment spécial, différent des deux autres, il était un dieu de la beauté. Ses cheveux cuivrés en bataille lui allaient à merveille, ses yeux d'un vert sublime étaient le comble de sa beauté et sa grandeur, je n'en parle même pas… il était grand et émincé avec une démarche exquise et je ne parle même pas de sa voix! Il était le seul à avoir les yeux d'une, sublime couleur, tandis que les deux autres avaient les yeux d'un noir d'encre.
Avec tout ça, il y avait aussi Jacob, mon demi-frère, issue d'une aventure d'une Quileute avec mon père. Jacob avait deux ans de moins que moi. Il avait perdu sa mère deux ans après mon arrivé, donc je ne vous parle pas de la surprise que j'aie eut quand il a atterrit chez moi, j'avais un frère que je n'avais jamais su son existence. Mon père avait été dans la même surprise que moi quand il avait reçu la lettre le lendemain de la mort de Sara. Nous avons donc dû déménager. Ça avait fait mon affaire, car ça m'avait rapproché de ma meilleure amie et de sa fratrie bizarre, en soi, bof, ce n'avait été que mon impression.
Et dans tous ça y'avait fallu que les jumeaux Hale tombent amoureux de deux des membres Cullen. Alice était avec Jasper, ils faisaient un drôle de coupe, une enjouée avec un grand timide. Rosalie s'était aguichée d'Emmett, bof, ils faisaient un merveilleux couple. Il n'y avait que moi et Edward qui n'avions pas encore trouvés notre âme sœur.
Je commençais mon année, Alice arriva à l'école, j'étais assise sur le terre plein du stationnement entrain de lire un livre. Je la regardai, cherchant ce qui lui manquait et je trouvai en passant à Edward.
- Oh! Ton frère colleur n'est pas avec toi?
Elle mit ses points sur les hanches.
- Ne parle pas d'Edward comme ça!
Elle se relaxa et continua.
- Il a un rendez-vous ce matin avec Carlisle. Edward a attrapé une sorte de virus, je ne sais pas quoi.
Je commençai à paniquer et j'agitai mes mains dans tous les sens.
- Ce n'est pas grave j'espère?
Ma voix en tremblait. Alice sourit de toutes ses dents et se mit à rigoler.
- Je le savais que t'avais un béguin pour mon frère!
- Moi? Non pas du tout! J'étais inquiète c'est tout!
Je rougissais, j'en étais sur. Je continuai.
- Car je sais que si tu venais à le perdre, tu en mourrais à ton tour.
J'avais trouvé une solution, mais pas la bonne.
- T'inquiète, il va juste être en retard, il n'a pas voulu se lever ce matin.
C'était ben Edward ça, à tous les lundis ça lui arrivait, j'aurais dû m'en douter au lieu de faire la folle et de donner de faux espoirs à ma meilleure amie.
- Comme d'hab!
- Oui.
Après avoir dit salut à Alice, je me dirigeai à mon casier. Cette année là, tout avait viré de bord, je perdis Alice dans mes cours pour la première fois et gagnai Edward par la même occasion. À l'entré de la classe, il était là, assis à la paillasse où il restait la seule place disponible. Je soupirai, pas parce que j'étais déçu, mais parce que j'allais être assis à côté de mon ami sans savoir quoi lui dire, à part un bonjour matinale. Nous avions pourtant passé l'été ensemble, mais sans tout de même s'adresser la parole. Nous allions y remédié, j'en étais sûr. Qui sait qui allait faire les premiers pas? Ben moi évidemment!
J'allai m'installai à côté d'Edward.
- Salut Ed!
- Ne m'appelle pas comme ça!
J'étais ébahis, je l'avais toujours appelé ainsi et ça, depuis mes dix ans.
- Désolé, je recommencerai plus.
Je baissai les yeux et la tête également. Des doigts tièdes me remontèrent le visage, me forçant à regarder mon voisin.
- Y'a pas de mal Bella.
Il me sourit et lâcha mon visage, j'en soupirai intérieurement, j'avais carrément arrêté de respiré. Je repris mon souffle et ouvris mon manuel et plongea mes yeux dedans. Mon cœur battait la chamade et je ne savais pas pourquoi.
Le reste de la mâtiné se passa différemment des autres années, j'allai d'un cours à un autre en compagnie d'Edward, il resta silencieux, comme d'habitude. L'heure du lunch arrivé, Alice vint nous rejoindre à notre table, comme les autres années, ça avait été l'inverse, Edward venait nous rejoindre. Je me penchai vers mon amie, j'étais assise entre eux deux.
- Ton frère n'est pas très bavard, il a fait le muet tout le matin.
Alice rigola dans sa barbe.
- Il va devoir changer s'il faut qu'il soit avec toi. Tes journées vont être longues sans moi.
- Oui, t'as raison. Mais est-ce qu'il serait attardé et que tu me l'aurais jamais dit?
Je regardai Edward du coin de l'œil, il ne nous écoutait pas. Alice me répondit.
- Mais d'où te viens cette idée?
- De son comportement, il est bizarre, indépendant et silencieux.
- Il est juste réservé et renfermé. Tant fait pas un jour il va débloquer.
Je le regardai de nouveau. Il était toujours dans l'ignorance de notre conversation. Je regardai Alice.
- Il en met du temps à débloquer, il est comme ça depuis que je le connais.
- En fin de compte il va peut être ne jamais changer.
Alice rigola encore une fois, mais plus fort. Edward la regarda des yeux froncés.
- Qu'est-ce que j'ai encore fait?
- Rien Edward, rien.
À ce que j'ai pu comprendre, ça lui arrivait souvent. C'était vraiment de drôle de triplés. Pour la première fois je lui adressai la parole.
- Ta sœur est toujours de même?
Il me regarda comme ci j'avais crié mort.
- Euh non! Pourquoi?
- Pour rien.
Edward haussa les épaules et retourna à son plat. Le reste de la journée avait été pénible sans Alice. Edward va devoir changer d'attitude s'il veut travailler avec moi.
À la sortie sur le parking, il m'attendait près de ma Chevrolet, seul. Seul? Bizarre, mais où était Alice? Je me plantai devant lui, le fixant un moment.
- Ta sœur?
- Pas là!
- Mais où?
- J'en sais rien, je lui ai dit de ne pas m'attendre.
Enfin, il avait formulé sa première vraie phrase de la journée. Il s'améliorait. Mais qu'est-ce qu'il faisait à côté de ma camionnette alors? Il apposa sa main sur la porte de ma voiture pour m'empêcher d'y entrer. Je soupirai.
- Non attends!
- Qu'est-ce que t'as Edward?
Il soupira à son tour et me regarda droit dans les yeux.
- Tu me trouves bizarre?
J'ouvris la bouche, il me coupa. Je n'eux pas le temps de répondre.
- Dis-toi que je suis loin de l'être et je ne suis pas non plus attardé comme tu dis.
Oh non! Il avait tout entendu! Je mis ma main sur ma bouche.
- Je suis désolé Edward, je n'ai pas voulu…
Il lâcha la porte, je l'ouvris et m'assis à l'intérieur. J'abaissai ma fenêtre et mis le contacte de ma voiture. Je le regardai.
- Je suis vraiment désolé, je regrette d'avoir dis ça.
Je voulais pleurer, j'étais sûr que je pleurais, car je sentais mes joues humides.
- Tu es pardonné.
Il passa sa tête à travers la fenêtre et déposa un doux baiser sur mes lèvres. J'en frissonnai. Il sortit sa tête et je démarrai en trombe. Oh non! Qu'est-ce que je viens de faire? Je l'avais planté là après qu'il m'avait embrassé. Je freinai sec et je mis mon visage dans mes mains. J'étais amoureuse et je venais de m'en rendre compte. Et je venais d'apprendre que lui aussi. Je partis en sanglot. Après un court instant une main me remonta le visage, je me rendis compte que j'étais encore dans le stationnement et qu'Edward m'avait suivi des yeux. Il essuya mes larmes de son pouce. Il me sourit.
- Je t'ai dit que tu étais pardonné.
- Non ce n'est pas ça… j'aurais pas dû m'enfuir…
Je ne finis pas ma phrase, Edward déposa encore ses lèvres sur les miennes et ce baiser dura un moment avant qu'il ne s'arrête. Après m'avoir regardé passionnément, il contourna ma voiture et s'installa côté passager. Je le regardai longuement.
- Ta voiture?
- Alice est partie avec.
- Oh!
Je redémarrai ma voiture et je le conduisis sur le bord de la route, près du chemin de sa villa. Il coupa le moteur et se pencha vers moi et m'embrassa de nouveau et puis ne lâcha pas ma joue de sa main.
- Je t'aime Bella, je te veux comme petite amie.
- Oh! D'accord! Je vois!
Je lui souris et à mon tour je l'embrassai, mais plus fougueusement en lui tenant la tête. Je réalisais enfin que je l'aime depuis un bon moment et que je voulais plus envers lui. Je désirais son corps. Je lâchai sa tête pour lui retirer sa veste, le baiser prit fin. Il me regarda de ses yeux doux.
- Je te désir Bella depuis longtemps.
Je lui relevai son T-shirt et lui lança mon désir.
- Je te veux Edward, là, maintenant! Je veux essayer ça avec toi et personne d'autre.
Il me retint par les poignets.
- Bella? Tu es sûr?
J'avais cru qu'il allait refuser au moment où il m'avait prit les bras, mais non, il voulait être sûr de ma décision.
- Oui Edward, c'est toi que je veux. Ici dans la Chevrolet!
Il sourit et retira son chandail et m'embrassa par la suite. Je l'aidai à me retirer le pantalon. Edward me caressa les hanches tout en continuant de m'embrasser, ce baiser m'excitait, il avait des lèvres exquises. Il baissa sa main jusqu'à ma féminité et caressa mon sexe…
- Non Edward attend!... je…
- Tu ne veux plus?
- Non c'est pas ça! Je suis nerveuse à l'idée de cette première fois.
Je réalisai que j'y avais été un peu trop vite avec lui, je le désirais, mais nous aurions dû attendre quelques semaines avant de le faire. Je voulais essayer ce truc comme pour tous les autres jeunes de mon âge, en réalité je n'étais peut être pas une bonne fille comme mon père le prétendait. Et j'allais faire subir le même sort à Edward, l'embarquer dans mon piège. Il me sortit de ma pensée en m'embrassant dans le cou.
- Tu veux toujours Bella?
- Oui, essayons-le ensemble… je veux savoir ce que ça fait.
- Attends, je dois nous protéger.
- T'as ce qu'il faut?
- Oui.
Il fouilla dans ses poches. Il était plus intelligent que je le croyais. De toute façon nous en avons tous reçu un en cours de sexologie aujourd'hui. Il baissa sa braguette et en sortit son membre dur et apposa le préservatif sur son sexe. Il baissa le siège passager et s'installa dos dessus. Il me tendit les bras pour que je vienne le rejoindre, je me plaçai maladroitement par-dessus lui. Il écarta mon sous vêtement et avec sa main il plaça son sexe sur les abords du miens. Doucement il s'introduit en moi, me faisant faire une grimace silencieuse et de ses fesses il fit des vas et viens lentement, je me penchai et l'embrassai, j'étais bien. J'étais excité, j'étais mouillé, je le désirais plus profondément. Il continua plus rapidement tout en m'embrassant dans le cou. Ça me chatouillait dans le bas ventre, une sensation extra, j'en eus la chair de poule, j'étais sur le bord de jouir quand lui, il se crampa et respira fortement, je suivis la cadence et nos corps fusionnèrent ensemble. Il arrêta ses élancements et enfouit sa tête dans mon épaule.
- J'ai aimé Edward, tu as bien fait ça.
- Moi aussi, j'ai aimé.
Après s'être rhabillé et m'avoir embrassé, il me dit à demain, mais je ne savais pas que le moment que nous venions de passé avait été le dernier. Car à mon arrivé, mon père nous annonçait notre prochain départ pour la France. Il avait eu une promotion en ce qui concernait son travail. Jacob avait été excité à l'idée de déménager, mais moi, j'allais perdre le garçon que je venais à peine d'apprendre à aimer, ainsi que tous mes amis de Forks.
J'avais averti Edward de mon départ, j'étais sûr qu'il en sera malheureux, mais je lui avais promis que je reviendrai une fois mes études terminés et que mon cœur lui sera toujours éternelle. Mon père avait voulu que je refasse ma vie et de ne plus penser à mes amis de Forks. Donc j'avais été interdit de contact. J'avais appris alors que ce n'était pas temporaire.
