Japan se réveilla sur un tapis il regarda la pièce dans la quelle il se trouvait : une chambre de type babylonien assez somptueuse.

-Tu te réveille enfin ?

Il tourna la tête et vit Turkey qu'es ce que ses mains pouvaient être lourdes. Il se rappela Il avait été en guerre contre Turkey et avais perdu

-Qu..qu'es ce je fais là ?

-A vrai dire tu es dans mes appartements.

-Désoler, mais cela ne répond pas à ma question.

-Si tu ne te souviens pas tu es mon esclave à présent tu m'appartiens.. entièrement. Mais je vais être gentil, je te laisse la fin de la journée avec le reste de tes combattants.

Japan se fit donc conduire aux vrais cachots où se trouvaient ses soldats qui avaient fièrement combattus pour lui mais le sort que leurs réservaient cette défaite étais dans le meilleurs des cas devenir esclave, tout comme lui. Mais après tout, le japonais préférer mourir d'épuisement dans un champ plutôt qu'être à la merci de Turkey.

Il fut tirer de ses pensés par une troupe de soldats babyloniens qui les emmenaient dans la soute d'un bateau. Japan fut soulager de voir qu'on l'avait pris pour un de ses soldats, il n'allait pas finir comme il le pensait il avait peut être même une chance de s'enfuir.

Personne dans cet endroit humide, infesté de bêtes et de marchandises en tout genres ne saurait dire le nombre de jours qu'ils passeraient sur mer.

Mais dès que la lumière du jour revint à leurs pupilles ils furent amenés presque à bout de force sur la place principale.

Ils ont durent restés des heures sous le soleil, Japan quant à lui restait debout sous cette chaleur à crevée essayant de se faire à sa nouvelle vie quand soudain il sentit quelque chose de très doux contre sa jambe : c'était un chat qui miaulât dès qu'il se sentit remarqué entièrement captivé par ce petit être il se mit à genoux afin de le caressait, le chat qu'en à lui jouaient sur les chaînes qui tillaient.

-Sale esclave…

Japan se retourna pour apercevoir son vendeur un fouet levé au dessus de sa tête. Il ferma les yeux tout en serrant le chat contre lui.

Il attendit un peu mais rien ne se passais. Il recouvrir les yeux et vit que quelqu'un tenais le fouet.

Il avait bien le type grec : très grand et assez fort, la peau hâlée et des grands yeux verts olive.

-Kurios … ? (merci Monsieur Haushalter)

La personne que le vendeur d'esclaves venait d'appeler « seigneur » regarda notre petit Kiku(j'ai rien trouvée d'autre sorry) , déposa un genoux à terre tendant la main vers le japonais et demanda :

-Je peux…avoir…mon chat… ?

-Oh..bien sur.

Dès que Japan rendu le chat, l'animal se nichât derrière l'épaule de son maitre.

-…Combien coût-il ?

-Ah mais vous n'avez pas besoins de payé.

Juste après que le vendeur lui remis une clef, il tendit à celui qui venait de devenir officiellement son esclave.

-Viens..