Salut à vous, ami(e)s lecteurs/lectrices ! Je tiens d'abord à vous remercier de vous intéresser à ma fan fiction ! Star Wars est un univers qui me passionne. Depuis que je suis tout petit, j'en suis fan ! Bref, dans cette histoire, vous suivrez les aventures de deux personnages (OC) qui partagent un même souhait : libérer la galaxie et réinstaurer la paix.
Je tiens à préciser que cet univers ne m'appartiens pas puisqu'il est la propriété de Disney (sauf les OC et les lieux que j'ai inventé). Bon, c'est évident ^^ mais par la suite, des personnages connus risquent d'apparaître. Et non je ne vous dirais pas lesquels ! ;-) Cela sera une façon pour moi de leur rendre hommage :-)
Petite précision chronologique :
- la datation se base sur la Bataille de Yavin, qui correspond à la destruction de la première Etoile de la Mort par l'Alliance Rebelle (Star Wars épisode IV : Un nouvel Espoir)
Si vous avez d'autres questions sur d'autres éléments, n'hésitez pas à me les poser dans les commentaires, je serai ravi d'y répondre ! :-)
Sur ce, je vous laisse embarquer à bord de ... votre chaise, fauteuil, canapé (et j'en passe) pour partir en hyperespace vers une galaxie lointaine ... très lointaine ...
Bonne lecture ! J'espère que vous apprécierez ! :-)
Révolte Fraternelle
~ PROLOGUE ~
Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine ...
Coruscant, 8 ans avant la Bataille de Yavin :
La pluie commençait à tomber. Il faisait sombre dans les bas-fonds, d'ailleurs c'était sûrement l'un des endroits de la galaxie qu'il détestait le plus. Coruscant montrait parfaitement les inégalités qui pouvaient régner entre les différentes classes sociales ... Il n'avait jamais vu cela sur sa planète natale. Là-bas, tout le monde était considéré de la même façon, c'est comme cela que lui et sa sœur avaient été élevés. Malheureusement, depuis la proclamation de l'Empire, cette façon de voir les choses n'était plus d'actualité ...
L'attente commençait à devenir longue. Le casque qu'il portait sous sa capuche grise dissimulait son inquiétude. Celui-ci avait appartenu à un soldat clone qu'il avait connu. Le casque comportait une bande rouge qui partait du menton, continuait sur le côté gauche et se terminait en formant une pointe, tel un tentacule, sur le haut du casque. Sur le côté droit, au-dessus de la visière, un bouclier rouge était dessiné. Il avait également récupéré le plastron de l'armure clone pour protéger son torse, ainsi que les parties protégeant les avant-bras. Son manteau gris était long et ample, comme ceux que portaient les Jedi auparavant.
Mais que fait-elle ? pensa-t-il. Sa sœur aurait dû arriver depuis un quart d'heure au lieu de rendez-vous. De ce fait, il décida de la contacter par comlink.
- Lhin ? Tu me reçois ? Que fais-tu ?
- Désolée ! Juste un petit contre temps frérot ! Quatre Zabraks viennent de s'en prendre à notre contact, ils lui ont dérobé sa clef multi-pass, je les ai vus partir vers toi ! Je suis avec lui, on arrive.
- Ok, bien reçu.
Lorsqu'il raccrocha son comlink à sa ceinture, il vit deux speeders se diriger vers lui à vive allure.
- Tiens tiens ... C'est sûrement eux ...
Il sortit son pistolet blaster DL-18 et tira vers eux en espérant attirer leur attention. Bingo ! Ils se mirent à ralentir puis s'arrêtèrent devant lui. Les quatre Zabraks descendirent de leurs speeders. L'un d'eux, d'une carrure plus imposante que les autres, s'approcha.
- Hé toi ! Dégage de là en vitesse si tu comptes rester vivant !
- Bonjour messieurs ! Calmez-vous un peu ! Je veux juste négocier, c'est tout.
- Négocier ?
- Exactement ! Vous avez un objet sur vous qui m'intéresse, que vous venez d'ailleurs de dérober lâchement.
Le Zabrak qui s'était avancé le premier l'attrapa par le col d'un air furieux :
- Comment ?! Tu nous traite de lâches ?! Réfléchis à ce que tu dis avant de nous causer !
- T'embêtes pas avec lui, on lui met une raclée et on s'en va, répondit l'un des trois autres.
- Ouais, on n'a pas que ça à faire.
L'homme au manteau gris regarda fixement son agresseur, et répondit :
- Ça tombe bien ! Moi non plus je n'ai pas de temps à perdre.
Dans un élan de colère, le Zabrak lui asséna un coup de poing au ventre, puis un deuxième dans le casque. À la suite de cela, il fit plusieurs pas en arrière pour reprendre sa respiration et se remettre du choc.
- Ha ... Ha ... je vois ... sacré crochet ... donc les négociations sont terminées ?
- Je n'aime pas les petits malins dans ton genre. Les gars, montrez-lui qui on est !
Chacun d'eux sortirent une arme blanche dans un but précis : le tuer. En réponse, l'homme déploya son bâton de métal qu'il sortit de sous son manteau, prêt à contre attaquer.
Le plus petit l'attaqua de front. Trop lent. Le bâton de métal vint le frapper au visage et l'envoya valser contre le mur. Le plus fort revint à la charge en essayant à nouveau d'atteindre son casque. L'homme l'esquiva de justesse et riposta violemment : l'extrémité de son bâton scintilla d'une lumière blanche et vint brusquement rencontrer l'épaule de son agresseur. Un craquement sourd se fit entendre. Le Zabrak poussa alors un cri de douleur et fut projeté dans la ruelle à cause du choc. Les deux derniers hésitèrent en voyant leurs compagnons à terre.
- C'est tout ce dont vous êtes capable ? Je m'attendais à mieux de votre part …
Derrière lui, l'un des deux assaillants encore debout se mit en position d'attaque, le visage débordant de haine.
- Tu vas payer pour ton insolence.
Sans attendre, le Zabrak s'élança sur lui, l'attrapa et réussi à le poignarder dans le dos. L'homme en gris laissa s'échapper un gémissement lorsque la lame ressortie de sa chair puis se retourna pour lui infliger le même sort que ses acolytes. Sans laisser au dernier le temps de réagir, il tendit sa main ouverte vers lui. Aussitôt, celui-ci se mit à flotter dans les airs, complètement immobilisé par une étreinte invisible qui se resserrait petit à petit sur son corps.
- Re ... relâchez moi ! Par ... pardon ! Ne me faites pas de mal ! Pitié !
- On dirait que votre discours n'est plus le même ... Saches qu'habituellement je préfère toujours résoudre les conflits par la parole. C'est l'opportunité que je vous offre maintenant. Réponds-moi simplement : qui vous envoie ?
- Je ... je ne sais pas ! On a reçu un message crypté ... On nous a proposé une bonne prime donc on a sauté sur l'occasion ! Mais on regrette maintenant !
- D'accord ... Cela ne m'avance pas vraiment ... En plus vous me faite perdre mon temps ! Quoi que ... un peu d'action ne fait pas de mal ...
L'un des Zabraks, toujours à terre, reprit ses esprits :
- Un Jedi ? Vous êtes un Jedi ?
L'homme tourna la tête vers lui :
- Non je n'en suis pas un.
Celui qui flottait dans les airs prit de nouveau la parole :
- Relâchez-nous !
- Avant cela, donnez-moi la clef.
En les voyant tous reprendre connaissance, il les immobilisa au sol.
- Sachez que vous avez eu de la chance de tomber sur quelqu'un de compatissant comme moi. Si je le voulais, je pourrais resserrer cette étreinte et vous briser. Mais je ne suis pas Dark Vador et encore moins avec l'Empire.
L'homme cessa d'immobiliser celui qui détenait la clef multi-pass.
- Tiens, prend là et laisse-nous partir.
- Ah ! Voilà ! Ce n'est pas si compliqué !
Au moment même où il prit la clef, un flash de lumière l'aveugla. Il fit quelques pas en arrière, et, déstabilisé par la situation, relâcha les quatre voleurs. Lorsque la vue lui revint, il ne vit personne autour de lui. Ils s'étaient échappés, mais la mission était accomplie. Il retira son casque pour reprendre une bouffée d'air puis s'assit contre un mur. En passant sa main dans son dos, il ressentit une vive douleur là où la lame l'avait transpercé.
- Je crois que Lhin ne va pas être très contente de me retrouver dans cet état ... murmura Khel Mar.
