Avertissement : Cette fic a un rating T, mais j'ai longuement hésité entre le T et le M. Certains chapitres seront violents et choquants, et, si vous trouvez qu'il vaut mieux que je mette un rating M, n'hésitez pas à me le dire dans une review. Au risque de me répéter, certains chapitres de cette fic comporteront des scènes de tortures violentes et difficiles pour les lecteurs les plus jeunes. Le rating n'est pas là pour rien.
Disclaimer : Les personnages sont à J.K.Rowling, et la fic, si je l'ai écrite moi-même, m'a été inspirée par une autre fic, Violence aggravée sur mineur, par Orchideus. Celui (celle)- ci m'a gentiment autorisée à reprendre l'idée principale de sa fic, que vous pouvez retrouver dans la liste de mes fics préférées. Si vous aimez ma fic, allez voir la sienne, c'est à peu près la même en mieux !
Je précise que j'écris en même temps une autre fic nommée « Une vie avec mon parrain », et j'essaye d'écrire un chapitre sur deux, donc ne vous étonnez pas si je traîne un peu à poster. Et pour ceux qui aime l'époque des maraudeurs, j'en écris une autre sur ce sujet, alors n'hésitez pas à faire un tour sur celle-ci !
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31 juillet. James arpentait les rues du chemin de traverse. Pourquoi fallait-il qu'il s'y prenne toujours à la dernière minute ? Demain était le jour de l'anniversaire de sa petite sœur, Nina, et il n'avait toujours pas de cadeau. Il n'y avait vraiment pas beaucoup de monde sur le chemin, les familles sorcières attendant encore quelques semaines avant de faire les courses de fourniture scolaires. Soudain, James se retourna. Il était persuadé d'avoir entendu des voix familières et désagréables derrière lui. Il n'y avait personne. Il continua d'avancer, et tourna dans une ruelle plus petite, où il n'y avait personne. Il sentit son cœur s'arrêter. Quelqu'un venait de pointer une baguette magique sur sa nuque. Il s'immobilisa, et glissa sa main dans sa poche, mais une poigne ferme lui saisit le poignet et lui arracha sa baguette. Deux mains se refermèrent sur ses épaules et le forcèrent à avancer au fond de l'impasse. Il fut jeté violemment sur le sol, et put enfin se retourner vers ses agresseurs. Ils étaient une dizaine, tous vêtus de cagoules et capes noires. L'un d'entre eux s'avança et enleva sa cagoule. James le reconnut aussitôt.
-Rogue… Rends-moi ma baguette !
-Pourquoi, tu as peur ? demanda Rogue d'une voix sarcastique. Ne t'inquiète pas, ta baguette, je vais te la rendre. Mais seulement après que tu ais fait quelque chose pour moi…
-Comment ça ?
-J'ai un petit compte à régler avec toi, Potter. Et je compte bien faire d'une pierre deux coups. Mais l'endroit est un peu mal choisi pour discuter tranquillement. Tu as l'intention de te rendre docilement, ou est-ce que tu as besoin d'une leçon d'obéissance auparavant ?
James leva la tête, et remarqua que les dix sorciers derrière Rogue avaient leurs baguettes pointées sur lui. Et même physiquement, ils étaient beaucoup plus forts et plus grands que lui. Malgré sa haine qu'ils lui inspiraient, il savait garder la tête basse dans certains moments. Se battre contre eux était un combat perdu d'avance. Il se releva et l'un des sorciers s'approcha de lui. Il lui pointa sa baguette sur le torse et murmura :
-Stupéfix !
James sentit le sortilège lui frapper la poitrine, avant de s'écrouler sur le sol, inconscient.
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Froid. Ce fut la première sensation qu'il éprouva. Il avait froid. Il essaya de bouger, mais sentit que ses mains étaient attachées par des chaînes rouillées qui lui entaillèrent les poignets. Il ouvrit les yeux. Il se trouvait dans un cachot éclairé par une ampoule au plafond. Il était attaché contre un mur, les bras en croix, incapable de bouger, et presque nu. Il ne portait que son boxer, tous ses autres vêtements lui avaient été enlevés. L'humidité du cachot le faisait frissonner tout autant que ses ravisseurs devant lui. Rogue s'avança vers lui, et James demanda :
-Qu'est-ce que tu veux ?
-Te faire souffrir. Et aussi tester quelques unes de mes potions. Comme je te l'ai dit, je vais faire d'une pierre deux coups. Non seulement tu vas payer pour tout ce que tu m'as fait, mais en plus tu vas me faire le grand plaisir de me servir de cobaye.
-Ne me touche pas ! Je refuses de te servir de cobaye pour tes expériences ! cria James en se débattant.
L'un des sorciers derrière Rogue s'avança et demanda :
-Tu préfères peut-être nous servir de pute ? Remarque, c'est vrai que pour ça, tu serais très certainement parfait…
Il tendit une main blanche aux longs doigts et lui caressa doucement la joue. James essaya de se soustraire à son contact en secouant la tête, mais ne répondit rien. Le sorcier se tourna vers Rogue, et lui dit :
-Au fait, avant que tu passes à tes expériences… J'ai encore quelque chose à t'apprendre. Ce serait l'occasion idéale, tu crois pas ?
-Hum, en effet… approuva Rogue.
James était de plus en plus effrayé. Qu'est-ce qu'ils comptaient lui faire ? Le sorcier commanda :
-Pointe ta baguette sur lui. Fais le vide dans ton esprit, ne pense à rien d'autre qu'à lui, et à l'effet que le sortilège va avoir sur lui. Et quand tu penses ne pas pouvoir être plus concentré que tu ne l'es déjà, vas y.
Rogue ferma les yeux quelques secondes, puis les rouvrit et cria :
-Endoloris !
Une décharge de douleur aussi intense que brève parcourut le corps du Gryffondor, qui eu un sursaut de douleur. Mais il n'y eut rien d'autre, ce qui ne rassura pas James pour autant.
-Tu n'étais pas assez concentré sur les effets du sort, commenta le mage à coté du Serpentard. Ferme les yeux. Concentre-toi sur lui. Tu le vois se tordre de douleur sous l'effet du sort, tu peux presque l'entendre hurler à mort. Tu vois la douleur, la pitié dans ses yeux.
Rogue resta silencieux cinq secondes, puis :
-Endoloris !
James sentit des plaques chauffées à blanc parcourir l'intégralité de son corps. Il avait l'impression d'être en train de brûler vif. Il hurla de douleur, se débattant contre ses chaînes qui le blessaient davantage. Les larmes lui montaient aux yeux, la douleur devenait insoutenable. Ca ne s'arrêtait pas, la douleur toujours plus intense continuant à l'envahir au fur et à mesure qu'il se vidait de ses forces en essayant de combattre la douleur. Puis soudain, tout s'arrêta. James resta immobile, telle une poupée de chiffon, uniquement retenu par les chaînes rouillées enfoncées dans sa chair. Il essaya de respirer mais n'y parvint pas. L'air du cachot ne parvenait pas jusqu'à ses poumons. Il suffoqua pendant plusieurs secondes, cherchant vainement un peu d'oxygène. Le sorcier s'approcha de lui et pointa sa baguette sur sa gorge.
-Respirio.
Une grande bouffée d'air frais envahit les poumons du Gryffondor, qui inspira longuement pour reprendre sa respiration.
-Pas mal, Severus, sourit le sorcier. Le sortilège en lui-même était excellent. Mais tu dois apprendre à le doser.
-Comment ça ?
-Tu n'attendais rien de lui, donc en ces circonstances, ça allait. Mais si tu avais voulu le torturer pour lui faire admettre quelque chose, même s'il le voulait, il serait incapable de parler. J'ai même dut intervenir pour qu'il puisse respirer. Tu as fait durer le sort trop longtemps par rapport à ce qu'il est en mesure de supporter. Tu dois apprendre à l'évaluer, à savoir à peu près ce qu'il peut supporter, tu comprends ? Ce que tu lui a envoyé, un adulte aurait put y résister, alors qu'un gamin de 10 ans en serait mort, tu me suis ?
-Ouais.
-Pour l'instant, ça devrait aller, je pense que tu peux passer à tes potions.
James entre-ouvrit les yeux et vit Rogue déboucher une fiole contenant une potion verte. Puis il en tira une autre contenant un liquide couleur lilas. James reconnut cette dernière potion : c'était une solution cicatrisante, que sa mère, médicomage à Ste Mangouste, utilisait souvent. Rogue sortit un couteau de sa poche, et l'enfonça profondément dans la bras de James, avant de lui tracer une longue entaille. Un faible cri de douleur s'échappa des lèvres du Gryffondor, puis Rogue recommença, et lui traça une deuxième entaille qui acheva de lui déchirer le bras. Il prit la potion lilas et en versa sur l'une de ses entailles. La douleur s'estompa aussitôt et sa plaie se referma en une mince cicatrice blanche. Rogue versa cette fois sa potion verte, sur son autre coupure. Une intense brûlure lui parcourut le bras avant de se répandre dans tout son corps. Il hurla de douleur. La brûlure se calma assez vite, mais ne s'estompa pas pour autant. Rogue examinait son bras, là où, autour de l'entaille crée par le couteau, se trouvait maintenant une longue marque rouge.
-T'en penses quoi, Rogue ? demanda l'un des sorciers dont la voix rappelait quelqu'un à James.
-Il aurait peut-être fallu mettre un peu moins de racines d'asphodèle, murmura celui-ci. Par contre, je ne voit pas d'où peut provenir la brûlure… Mais je sais comment avoir une idée de la question.
Il prit une potion rouge dans un sac posé contre le mur, et s'approcha du Gryffondor.
-Bois ça !
James détourna la tête. Il était hors de question que Rogue lui fasse boire ses préparations aussi hasardeuses que dangereuses. Deux des sorciers derrière lui s'approchèrent, l'un d'eux le saisi par les cheveux et lui tira la tête en arrière, en l'obligeant à ouvrir la bouche. Rogue lui versa la potion dans la gorge et les deux sorciers le forcèrent à avaler. La potion avait un goût amer et presque épicé, et James toussa pendant un moment. Cependant, la sensation de brûlure disparut. Le Serpentard examina sa blessure pendant quelques secondes, puis le saisit par les cheveux et l'obligea à le regarder.
-Ecoute-moi bien, Potter. On va bientôt te laisser partir, mais je te déconseille vivement de parler de ça à qui que ce soit.
-Sinon quoi ? demanda James.
-Tu sais, Potter, intervint l'un des sorciers en noir, on sait beaucoup de choses sur toi.
-Ah ouais ? demanda-t-il, sceptique.
-Oui, par exemple, le fait que tu habites à Godrics Hollow, ou encore, que tu as une sœur en première année à Poudlard…
Le mage se rapprocha de lui, et continua, presque en murmurant :
-Une sorcière de premier cycle. Donc totalement inoffensive dans le monde moldu. Tu vois ce que je veux dire ?
James ne répondit rien, même s'il avait parfaitement compris. Le sorcier continua :
-Tu dis un seul mot à qui que ce soit, et c'est sur elle que Rogue continuera ses expériences, je me suis bien fait comprendre ?
Le Gryffondor acquiesça d'un simple hochement de tête, malgré la rage qui bouillonnait en lui.
-Et maintenant, repris Rogue, je vais te donner de quoi te souvenir de moi pendant le reste des vacances.
A nouveau, il sortit une potion de sa poche, et obligea James à la boire. La potion n'avait aucun goût particulier, et James ne ressentit absolument rien. Ce qui ne le rassura pas. Slughorn leur avait toujours dit que les potions qui n'agissent pas tout de suite sont celles qui ont un effet progressif, et à long terme. Rogue agita sa baguette, et le Gryffondor s'étala par terre, libéré des chaînes. Deux minces filets de sang coulaient le long de ses poignets, sa peau ayant été déchirée par les fers trop serrés autour de ses bras.
-T'as déjà fini tes conneries ? grogna James.
-Pourquoi, s'étonna l'un des sorciers, tu en veux encore ?
-Rogue, j'ai l'impression que notre petit lion va avoir besoin d'une leçon d'obéissance, tu ne crois pas ?
-Parfaitement ! répondit celui-ci en esquissant un rictus.
Sans signe avant coureur, l'un des sorciers lui balança un coup de pied dans les côtes. Pendant cinq minutes, il resta sur le sol, recroquevillé, pendant que la bande enchaînait les coups de pieds et de poings. Lorsqu'ils s'arrêtèrent, James bascula sur le dos, respirant difficilement, terrassé par la douleur. Il était à la limite de l'inconscience, et sentait à peine son sang s'écouler de ses nombreuses plaies. L'un des Serpentards lui jeta sa robe de sorcier, qu'il enfila difficilement, et deux sorciers le forcèrent à se remettre debout. Puis ils transplanèrent avec lui et atterrirent dans le chemin de Traverse, là où ils l'avaient coincé quelques heures avant. Il faisait déjà nuit, et il n'y avait personne sur le chemin. Rogue siffla :
-N'oublie pas, Potter. Tu ne dit pas un mot à qui que ce soit, et surtout pas à Black. Tu sais sur qui on fera nos expériences sinon.
Ils le lâchèrent, jetèrent la baguette de James par terre et transplanèrent. La douleur devenait plus frappante, plus insupportable à chaque mouvement qu'il faisait. Il se sentait de plus en plus faible. Il avait la tête qui tournait. Il s'accrocha contre un mur, se redressa et s'efforça de faire deux pas. Mais il n'avait plus de forces. Il ne devait pas lâcher maintenant. Personne ne le retrouverait dans cette impasse… Il serra sa baguette, la leva et murmura faiblement :
-Luxor sangua.
Des étincelles rouges jaillirent de sa baguette et brillèrent à quelques mètres de hauteur, au dessus de l'endroit où il se trouvait. Il essaya de faire un pas, mais n'y parvint pas. Il tomba en avant et se sentit glisser lentement dans un long trou noir.
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Lorsqu'il se réveilla, James fut surpris de constater qu'il n'avait mal nul part. Par contre, il se sentait plus faible et épuisé que jamais. Il resta immobile, et ouvrit lentement les yeux.
-James ? Vous allez bien ?
Il tourna la tête vers la voix qui l'avait appelé. Tout le décor autour de lui était d'un blanc immaculé. Une femme aux cheveux blonds, portant une blouse blanche, était debout à coté du lit sur lequel il était allongé. Sainte Mangouste, pensa-t-il aussitôt.
-Qu'est-ce qui s'est passé ? demanda-t-il dune voix faible et tremblante.
-Vos parents se sont inquiétés en ne vous voyant pas rentrer le soir. Ils ont voulu aller à votre rencontre sur le chemin de Traverse, et ont été attirés par les étincelles que vous aviez lancé. Vous étiez inconscient, et dans un grand état de faiblesse. On vous a aussitôt transféré ici.
Elle hésita un moment, puis demanda :
-James ? Vous souvenez vous de ce qu'il s'est passé ?
Il resta silencieux quelques secondes. Oui, il se souvenait très bien de ce qui s'était passé. Et il se souvenait encore mieux de la menace que Rogue lui avait jetée avant de le laisser partir. Si tu dis un seul mot à qui que ce soit, c'est sur Nina qu'on continue nos expériences. Nina n'avait absolument rien à voir dans cette histoire. C'était lui qui avait martyrisé et humilié Rogue pendant tant d'années. C'était à lui d'en payer les conséquences.
-Non. Je m'en souviens pas, répondit-il.
-Ils ont sûrement dut vous jeter un sortilège d'amnésie pour être sûrs que vous ne parliez pas.
J'aurais préféré, pensa-t-il.
-Est-ce que vous savez pourquoi je me sens si f… épuisé ?
-Nous pensons que vos ravisseurs ont testé différentes potions sur vous. L'une d'entre elles était une potion d'affaiblissement, une véritable saleté. Ses effets sont à longs termes, et vont s'estomper au fur et à mesure des vacances. Je crains que vous soyez obligés de passer le reste des vacances scolaires au lit, vous n'aurez pas la force de vous lever avant la rentrée, dans le meilleur des cas. Et malheureusement, il n'y a aucun antidote à cette potion.
« Et maintenant, repris Rogue, je vais te donner de quoi te souvenir de moi pendant le reste des vacances . » Je comprends ce que ce salaud voulait dire… Si je suis pas en forme pour la rentrée, il le regrettera toute sa vie…
-Vous êtes encore extrêmement fatigué. Je vous laisse vous reposer.
Elle sortit, et referma la porte derrière elle. James se laissa retomber sur son oreiller, et referma les yeux. Il s'endormit presque immédiatement.
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Des voix à coté de lui le tirèrent du sommeil. Il ouvrit les yeux et distingua les silhouettes de Sirius, Remus et Peter à coté de lui.
-Tiens, fit remarquer Sirius avec un sourire, la belle au bois dormant est réveillée…
-Qu'est-ce que vous faites là ? demanda James d'une voix endormie.
-On vient visiter ! déclara Remus. A ton avis ? On est venus voir comment t'allais ! On était déjà venus juste après qu'ils t'aient retrouvé sur le chemin de Traverse, t'étais dans un sale état…
-Ouais, confirma Sirius en souriant tristement. Ils t'avaient bien tabassés… Les médicomages ont dit que c'était étonnant que tu ne te sois pas évanoui tout de suite après avoir reçu ces coups. Tu sais pas qui t'as fait ça ?
-Non, je me souviens de rien. D'après les médicomages, c'est à cause d'un sortilège d'amnésie.
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Un mois plus tard, James, Sirius, Remus et Peter se trouvaient sur le quai 9 ¾, près à monter dans le train. James se sentait encore très faible, et Sirius le soutenait par l'épaule. Une voix cria :
-James !
Il se retourna, pour voir une fille de 12 ans courir vers lui. Elle avait des yeux noisettes et des cheveux noirs identiques à ceux de James, et une légère paire de lunettes. Ses cheveux étaient coiffés en deux longues tresses, et un sourire très joli était dessiné sur son visage. Elle ressemblait à James comme deux gouttes d'eau.
-Je te manque déjà, petite sœur ? rigola-t-il.
-Tu vas pas me manquer longtemps, je te rappelle qu'on est censés être dans la même école. Papa et Maman te disent juste de pas faire trop de bêtises, la tante Stephie te dit que son magasin de farces et attrapes sera toujours ouvert pour toi, et qu'elle peut t'envoyer tout ce que tu voudras par hibou, et moi, je te dis de te dépêcher à trouver une copine !
Sirius éclata de rire, et James se contenta de sourire, persuadé qu'il aurait déjà étranglé sa sœur s'il avait été capable de faire deux pas sans tomber. Ils montèrent dans le Poudlard Express, où ils croisèrent Rogue. Celui-ci esquissa un rictus en voyant que Sirius était obligé de soutenir James, qui le foudroya du regard. Rogue pouvait toujours courir, il trouverait bien un moyen de se venger sans mettre Nina en danger.
