Mot de l'auteur : Bonsoir à tous, c'est la première fois que je poste ici. Ça fait longtemps que j'écris des fan-fics (peut-être depuis bien avant 2014). Il y a longtemps, je m'exerçais sur des forums et les commentaires de mes lecteurs m'ont beaucoup aidé. J'ai tellement progressé grâce à eux ! Aujourd'hui je ne poste plus mes histoires en ligne, et j'ai décidé d'y remédier.

Voici donc une fanfic Doctor Who concernant le Docteur et Rose, après leurs adieux. Ce n'est pas ma première fic, mais je ne sais plus où elle se situe dans ma chronologie perso. Je posterais tout ce que j'ai écrit.


Ce qui me plaisait le plus chez toi ?

Eh bien ce n'est pas la même chose que pour les humains. Ce n'était pas sexuel… C'était ta musique.

Si tu pouvais entendre à quel point elle était merveilleuse… Si tu pouvais seulement entendre la musique de l'Univers… Tu trouverais cela fantastique. Tu aurais le sourire jusqu'aux oreilles… Et moi je serais heureux parce que je t'entendrais chanter.

Tout le monde chante plus ou moins… Martha chante bien, mais ce n'est pas la même chose… Je n'ai jamais entendu ma musique. Mais quelques fois, le soir, je me plais à penser que ma musique ressemble à la tienne. Qu'elle serait aussi belle.

C'est-ce qui me fascine chez toi. Ta musique, ton âme. En riant le TARDIS me disait que tu devais être chanteuse dans une « incarnation » précédente.

Mais voilà. Ta mélodie. Je ne l'entends plus. Elle s'est doucement terminée sur un accord parfait se cassant contre un mur. Terminée sur une note allant très bas dans les graves. J'ai su que tu pleurais. Et je suis parti. À nos adieux sur la baie du Méchant Loup ta mélodie m'a brisé tous les cœurs. J'aurais voulu la faire repartir joyeusement.

Et devine quoi ? Après j'ai entendu la mienne. Mais j'ai pleuré. Parce que ce n'était pas la tienne. Je suis bête. Et même idiot. Parce que j'aurais dû te la montrer plus tôt. Mais j'avais peur.

Toute chanson s'arrête forcément un jour. Je ne voulais surtout pas que ta chanson s'arrête… Et c'est égoïste de ma part…

C'est pourquoi, ce soir à mon piano, j'écris la musique de l'Univers, mon Univers, ta musique. Et je la joue.
Pour qu'elle ne s'arrête plus jamais.