Avis à la population déjantée qui peuple
le site de I´m Scat and a fanfic fan (ça se dit
ça?)!(Non, je ne suis pas anglaise, c´est un coup de
folie ,fréquent je précise)Ceci est le fruit de mon
imagination débordante et débridée : C´est
ma première fanfic que je confie aux soins intensifs de ff. Je
vous en prie, soyez indulgents . Si vous avez décidé de
me décourager, ou que vous êtes douée de raison
(c´est au choix) envoyez moi des tomates mais BIO (lol) ! Si au
contraire vous avez vous aussi sombré dans la folie pure et
irrécupérable (Dsl) envoyez moi des reviews !(Moi à
ta place je prendrais la deuxième option )
Allez soyez
sympas et , mon dieu faites que ma boite aux lettres ne devienne pas
un potager ! ;)
Bizz Scat
PS et un petit conseil : Si vous
n´aimez ni les anges ni les elfes (en particulier Legolas)
arrêtez immédiatement de lire.(J´ai dit arrêtez
!)Je me demande d´ailleurs ce que vous fabriquez dans cette
section...
PPS : Ce n´est pas une fanfic
humoristique je tiens à le préciser (c´est plutôt
le genre d´histoire d´amour qui se termine bien à
la fin ).Les personnages du SDA n´appartiennent qu´a
Tolkien (sniff) .Les autres n´appartiennent qu´a moi et à
moi seule !(mon préccciiieeuuuxxx)
Chapitre 1 : Une messagère venue des cieux
Battant de mes ailes affreusement ensanglantées, je me raccrochai à la vie par cette pensée :il fallait que je tienne jusqu'à ce que je trouve le roi du Gondor. Malgré mes nombreux écarts de route et la fatigue qui m´assommai après le rude combat, je devais tenir parole. J´avais fait cette promesse à mon père qui devait être en ce moment dans les bras de la mort , car lorsque je l´avais quitté, il était mortellement blessé. A cette pensée empreinte d´une tristesse infinie, une larme m´échappa pour se mélanger à la boue et au liquide chaud et rouge qui maculait mon visage. Je n´avait même pas prit le temps de me débarrasser de mes habits et de mon heaume à moitié brisé dans la terrible bataille, ce combat qui opposait les anges de ma race et les hommes du Rohan contre les orques rescapés de Saroumane luttants avec l´énergie du désespoir. Au détour d´un groupe de nuages dense, j´aperçus enfin le but de mon voyage : Fondcombe, demeure de maitre Elrond. Je savais qu´ Aragorn et la reine Arwen étaient venus une dernière fois revoir Elrond avant de régner ensemble sur les terres du Gondor. Mais, alors que j´arrivais au dessus du pont surplombant le fleuve en contrebas, je me sentis terrassée par l´ampleur de ma blessure au ventre, large plaie béante d´ou s´échappait un conséquent filet de sang, la fatigue et la tristesse. Je dégringolais alors du ciel azuré laissant la trace de mon passage en lançant plusieurs plumes tachées de sang dispersées par le vent durant ma longue chute.
L´été était déjà là, cela se sentait dans l´air. L´elfe de la communauté se tenait devant la fenêtre de sa chambre, respirant encore une fois l´air calme à la pensée qu´il devrait bientôt quitter ce havre de paix. Il devait en effet retourner dans la forêt de Mirkwood en compagnie de Gimli qui avait tenu à l´accompagner. Gandalf était resté à Fondcombe et s´apprêtait à partir, tout comme les hobbits qui étaient, eux, repartis dans leur Comté hier au soir . Les membres de la communauté s´étaient en effet réunis à Fondcombe pour se retrouver autour d´un banquet à se remmémorer les différents évènements de ce qui allait bientôt devenir la " Guerre de l´anneau ". Il allait détourner les yeux lorsqu´il vit une forme noire dans le ciel, qui se rapprochait. Ce qu´il vit alors le pétrifia de surprise : " Ca " avait des ailes ! Alors qu´il se précipitait au dehors et que la forme se rapprochait pour atteindre le pont, elle chuta dangereusement. Legolas l´avait presque atteinte et, dans un bond formidable dont n´étaient capable les seuls gens de sa race, il parvint à rattraper la personne, car il s´agissait d´une personne, il en était persuadé. Après avoir atterri dans la poussière, il s´agenouilla et se mit à examiner l´étrange créature. Il enleva d´une main le heaume à moitié défoncé qui lui protégeait le visage, révélant ainsi une cascade de cheveux blonds qui dégringolèrent sur les épaules de la jeune étrangère. Malgré la boue et le sang séché, il pouvait deviner la finesse de ses traits. Elle ressemblait à ces beautés qui peuplent les légendes et, malgré les immondices qui lui couvraient le visage, elle possédait une aura douce et bienfaisante qui se dégageait d´elle.
Durant ma courte chute, je vis quelqu´un se précipiter
sur moi et me rattraper de justesse avant que je ne m´écrase.
Sous le choc, je me grimaçai : Cet individu, parfait exemple
du preux chevalier sans peur et sans reproche venait, sans le vouloir
bien sûr, de me rattraper par la taille et me serrai fort sur
la blessure. Je fermai les yeux sous la douleur lancinante qui
m´enserrai le ventre malgré l´armure , comme une
énorme tenaille. De plus, mes ailes étaient elles
aussi, en piteux état.
Un souffle léger comme une
brise le rassura quand à la santé de cette femme : elle
n´était pas morte. Elle ouvrit les yeux, d´un
marron noisette et il put y lire une souffrance atroce et une
tristesse accablante. Elle esquissa une grimace de douleur :il
s´aperçut qu´il plongeait la main dans un large
plaie qui lui parcourait sur toute le la longueur le coté
droit. Il la retira vivement et elle parut vaguement soulagée.
Elle remua les lèvres mais il ne put saisir qu´un seul
mot :Aragorn.
Je rouvris les yeux et trouvait face à moi un grand elfe blond avec des yeux bleu comme le ciel. C´était hélas la douleur déchirante qui m´avait réveillée un instant et non pas le merveilleux visage rempli de sérénité de mon sauveur. J´esquissai un rictus tout en souffrant horriblement. Il parut comprendre et retira précipitamment sa main qu´il avait enfoncée dans ma blessure. Je devais lui dire de m´emmener sans tarder au roi et remuait faiblement ce qui me restait de lèvres, une entaille m´arrachant une pensée de souffrance, et dans un dernier sursaut et une étincelle de raison, je parvins à souffler, avec ce qui me restait d´air dans les poumons, le nom du roi du Gondor. Enfin, je m´effondrai dans l´inconscience et dans les bras de l´inconnu avec, comme dernière image, ses yeux magnifiques remplis d´émotion et aussi bleu qu´une nuit étoilée dans lesquels je m´élançais sans crainte.
D´accord, la prochaine fois je ferai plus long promis (pas taper !)
