Bonjour à tous ! Tout d'abord je tiens à préciser que c'est ma première vraie fanfiction (et certainement la dernière), et que je n'ai absolument aucun talent pour l'écriture, voilà c'est dit ! Je souhaite simplement vous proposer une nouvelle aventure qui, je l'espère, vous intéressera et vous fera bien marrer. Oui, toi, jeune fangirl, tu as frappé à la bonne porte ! Ah, et le "Mary-Sue", très peu pour moi; j'espère vraiment que ça se verra.
J'évite le M pour une raison simple, mis à part le fait que je ne saurais pas rendre un lemon potable, c'est pour éviter que ça tourne trop dans la romance, surtout que l'équipage risque de s'agrandir, ect...
Mais bon, si vous êtes gentils ...
Sur ceux, bonne lecture !
« Bordel, qu'est-ce que c'est que ce délire ? »
C'est par ces mots que commença notre histoire.
ONE YAOI
Chapitre 1 : A l'aube d'une f*cking aventure.
Il n'est même pas 8h et voilà que je me retrouve dehors, paumé, en plein milieu de nul part, pensais-je. Je venais à peine de me lever dans une rue, complètement différente de la mienne. Je regardais autour de moi, cherchant un endroit reconnaissable, mais tout m'étais inconnu. J'étais pourtant certain d'être éveillé, et de m'être endormi la veille dans mon lit. Je savais bien que j'étais du genre à dormir un peu n'importe où, mais au pas au point de me réveiller dans la rue.
J'étais dans une ruelle grise et étroite, qui n'avais pas l'air plus accueillante que ça. Sans me poser plus de questions, je me leva, puis avança dans la ruelle déserte. Il fallait au moins que je rentre chez moi. Mais à mesure que j'avançais, je sentais quelques … changements. Je sentais une différence au niveau de mes oreilles, qui semblaient avoir un peu enflées, mais je n'y fit pas plus attention que ça. En revanche, je sentait qu'il faisait de plus en plus froid. Je baissa alors la tête, pour découvrir qu'une partie assez intime de mon anatomie était à découvert. Je m'arrêta alors, sentant mon cœur s'arrêter brutalement. Puis, pris de sueurs incontrôlées, je compris alors que j'étais totalement nu, et perdu, qui plus est.
Je pris cette fois le temps de m'assurer que j'étais bien seul dans cette rue, avant de m'écrier : « Bordel, qu'est-ce que c'est que ce délire ? »
Je priais et me rassurais du mieux que je pouvais, espérant que personne n'ai abusé de moi pendant la nuit ou ai fait encore d'autres choses plus terrifiantes. Pourquoi ce genre de choses doivent tomber sur moi ? Pensais-je.
Je parti alors en quête de quelque chose pour me vêtir, mis à part mes mains qui n'empêcheraient pas le gens de fuir en me voyant. N'importe quoi aurais fait l'affaire, une serviette, un bout de tissu, même un sac poubelle. Mais ce que je redoutait le plus sur le moment finis par arriver. Un passant avait tourné dans ma rue. Je couru alors vers un lampadaire, espérant naïvement qu'il me cacherait, comme dans les dessins-animés pour enfants. Mais tout ce que je pu espérer sur l'instant c'était que la personne approchant aurait le sens de l'humour. Ou soit aveugle. Ou fasse une crise de foie.
En attendant un miracle, je me cachais toujours du mieux que je pouvais, serrant les dents. Je voyais la silhouette se rapprocher du coin de l'œil, sentant la honte m'envahir petit à petit. Puis, il arriva. C'était un homme, il devait avoir mon age. J'étais déjà un peu soulagé. Il poursuivit sa route, sans me prêter attention. Je fis mine de ne pas le regarder, et de rester concentrer sur le mur qui se dressais devant moi. Jusqu'à-ce que je sente une main chaude se poser sur mon épaule.
Le jeune homme me retourna, pour voir mon visage (et accessoirement mon état de nudité la plus complète). Je détourna vivement le visage, fermant les yeux, ne cessant de me répéter « faites qu'il soit pas méchant, faites que ce soit pas un policier, faites que ce soit pas un tueur, faites … qu'il soit au moins pas gay ! »
Il se recula, ajusta ses lunettes, puis déclara : « Toi, t'es pas du coin. »
C'est tout ? Je m'attendais à quelque chose de plus- « Alors, c'est combien ? »
Voilà, quelque chose comme CA ! Je le pris par le col, oubliant totalement de cacher mon corps, puis lui cria : « Je vends pas mes services, connard ! Par contre, ça serait vraiment sympa si vous pouviez me passer un truc pour m'habiller, ce que vous voulez. Et me dire où on est. »
Il attrapa ma main, puis ajouta « Si ça peut te faire plaisir. Je ne peux rien refuser à un beau gosse comme toi. »
Je fis une mine déconfite, puis relâcha quelque peu mon emprise. «Je te dirais tout ce que tu veux, et pour t'habiller, tu n'as qu'à prendre le short et les sous-vêtements qui se trouvent dans mon sac, je n'ai que ça. Ils sont propres, je viens de les acheter je te les offre. Maintenant lâche moi s'il te plaît. » me dit-il.
Je le regarda un instant, avec méfiance, puis le lâcha entièrement. Je pris le sac plastique posé à terre, puis enfila rapidement les vêtements. Je demanda, soucieux : «Pourquoi mes les offrez-vous ? », il répondit : «Ici tu es dans la partie sud de Water Seven, à mi-chemin entre le quartier résidentiel et le quartier touristique. Le quartier touristique est tellement fréquenté que les rues ont des allures de vagues humaines. Il est difficile de retrouver quelqu'un, surtout un homme qu'on aurait vu qu'une seule fois. » Il connais bien la ville apparemment, mais il ne vaux mieux pas que je reste de trop avec un type aussi louche. Pensais-je.
« D'accords, je te crois. » Lui dis-je. Cette fois j'avais tout ce qu'il me fallait, des habits, des infos. (Oui, il m'en faut peu.) J'allais enfin pouvoir quitter cette ville bizarre et tenter de rentrer chez moi. Je le remercia d'un coup de main, puis je partis dans le sens inverse.
Avant de me retourner brutalement vers lui et de prendre fermement ses deux épaules. « Water Seven ? Vous avez bien dit Water Seven? Mais … c'est aussi une ville de One Piece ! » Il me regarda fixement, l'air très étonné, puis ajouta : «Tu es le premier à me parler de ça. Tu n'es vraiment pas du coin alors. Ou alors tu viens de .. » Il réfléchi un instant, puis pris ma main et s'élança à toute vitesse dans la rue. Il pris plusieurs intersections, me traînant derrière lui sans s'arrêter. « Vous m'emmenez où comme ça ? »
Je remarqua alors ses oreilles proéminentes ainsi qu'une grande queue jaune qui sortait de l'arrière de son short. Je commençais à me poser beaucoup de questions, mais je gardais l'idée qu'il ne s'agissait que d'un rêve, et que rien ne serait cohérent. Il continuait sa route, sans me répondre. Nous courrions pendant 2 bonnes minutes, traversant la ville à toute allure, slalomant entre les passants, jusqu'à finalement arriver devant une gigantesque fontaine bordée de six autres petites. «Oui, sept fontaines, et alors ? Je ne vois pas ce que tu ... » Je l'observa un instant, commençant à comprendre puis je me retourna lentement.
En face de nous se trouvais … la mer. Elle s'étendait jusqu'à l'horizon, venant s'échouer sur les immenses portes de la ville.
Le jeune homme m'observais attentivement depuis notre arrivée et se mit soudainement à rire. « Ha ha !J'en étais sûr. Personne dans ce monde ne peut être aussi émerveillé par la mer que toi ! Tu sais pourquoi ?» Je le regarda, hochant la tête avec le même air ébahi, avant qu'il ajoute : « Parce que tu ne viens pas de ce monde ! Tu es le premier qui me parle de 'One Piece' de cette façon ! »
Je m'assis alors à terre, secouant ma tête. J'avais l'impression de devenir fou. C'est pas possible, c'est un rêve.
Je serais dans le monde One Piece ? Qu'est-ce que je fout là ? Ça n'existe pas ! Pensais-je.
Je releva ma tête, puis lui demanda : «Est-ce que je rêve ? »
Il se remit aussitôt à rire, puis me releva.
«Certainement pas ! Et tu sais quoi ? Tu es celui que je cherchais. »
Je me recula avec une mauvaise appréhension.
«Non, je ne parle pas de ça.. Écoute, depuis beaucoup de temps je souhaite partir d'ici, tu vois, partir en mer, former mon propre équipage ! Je sais que tu dois connaître beaucoup plus de ce monde que moi, alors tu pourrais être un membre très précieux !
-Tu veux dire... que tu veux que j'intègre ton futur équipage, alors que tu viens à peine de me rencontrer ?
-Exactement ! Et de toute évidence tu n'a nul part où aller, ni où te loger. (Et puis t'es sacrément mignon.) Même si tu voulais partir d'ici pour essayer de retourner chez toi, il te faudrait forcément une embarcation, je me trompe ?
-Non, c'est vrai..
-Et si tu es toujours persuadé que tu rêves, dis-toi que tu n'as rien à perdre !
-Et bien je …
-Bienvenue dans ce cas !
-Eh ! J'ai même pas-
-Il va falloir que j'aille prendre quelques affaires avant qu'on parte ..
-Attends, je-
-Et que je t'achète quelques fringues aussi !
-Écoute moi !
-Au fait, je m'appelle Pep's. Et toi c'est ?
-Je ..! Hum, Cam's. Je m'appelle Cam's. Change pas de sujet comme ça !
-Dans ce cas allons-y ! »
Et c'est ainsi que commença une toute nouvelle aventure pour moi, qui s'annonçait mal partie d'avance. Qu'est-ce que j'allais devenir, surtout avec ce type ? Faites que je sorte bientôt de ce rêve.
Fin du Chapitre 1
