Jeune inconnu.
La première fois que je les ai vus, c'était aux abords de la ville de Seattle, je m'étais retirer assez loin dans la forêt, là ou commence une ligner de montagne. J'étais faible ne voulant plus vivre ainsi, la seule chose que je me rappelais de mon existence était la peine et la souffrance. Je n'avais plus ni famille (enfin je crois) ni amis (si j'en avais eu…) ma tête ressemblais a se grand désert ou je ne savais comment j'avais atterris quelque temps plus tôt, vide désespérément vide. Je ne sais pas la date de se jour, je ne savais rien rien du tout.
Depuis combien de temps j'errais ? A se moment la je ne le savais pas encore, mais ma vie allais changer du tout au tout, et tout sa grâce a eux.
Ils se rassemblèrent cachant en leurs centre une humaine, qui me fixai avec un air que je ne reconnu pas tout de suite, de la peur, non, de la curiosité, légère cependant, non un chagrin se reflétais dans ses yeux, mais pourquoi, en quelque seconde je sus que se que je voyais dans ses yeux étais le reflet de mon propre regard. Puis je me suis tourné tour à tour vers chacun de ses visages qui me fixait intensément, il y avait trois femmes et quatre hommes tout aussi inhumains que moi et en leurs centre cette humaine qui me fixai toujours. Mais ils étaient différents des vampires que j'avais déjà pu rencontrer, ils avaient les yeux couleur dorée et non cramoisie. Se détail m'étonna au plus au point, je ne comprenais pas en quoi il différait des autres de leur espèce.
La brune, qui avait les cheveux cours en épis, était figée ces comme si elle regardait dans le vide et son visage n'exprimais rien. Une autre brune, elle, me contemplait et me souris tendrement, se qui me troubla. La blonde me dévisageais et alternativement dévisageais son voisin le plus proche, et de loin le plus imposant, celui-ci fit de même, puis me demanda en me montrant l'humaine du doigt si j'avais un petit creux, sa phrase achever il m'adressa un sourire qui sans que je puisse me l'expliquer me réchauffa le cœur. Le blond crollée me fit un peu peur avec toute ses marques de morsures sur son visage et son cou, pourtant il m'observa et dans ses yeux je perçu des milliers de questions mais il ne dégageait aucune hostilité. Le jeune homme aux cheveux cuivrés m'examinait comme s'il était en grande discussion avec moi je fronçai les sourcils. Enfin le dernier se rapprocha et me dit d'une voix calme
- Comment t'appelles-tu ?
…. (Je ne répondis pas tout de suite réfléchissant à la question pauser) le garçon aux cheveux cuivrée répondit a ma place.
- Il ne se souvient pas de son nom… en faite il ne se souvient de rien du tout.
La j'avoue ne pas avoir compris. Les autres le regardèrent perplexe mais il confirma d'un hochement de tête.
- Est tu blessé ? me demanda l'homme qui m'avait déjà parlé.
Je lui fis non de la tête, ne comprenant pas où il voulait en venir.
- Je m'appelle Carlisle, et voici ma famille Edward, Jasper, Emmett, Rosalie, ma femme Esmé, Alice et Bella.
Je fis un signe de tête pour les saluer, aucun son n'arrivais à sortir de ma gorge, j'étais trop faible, de un parce que je mourrais littéralement de faim, de deux je ne savais pas depuis combien de temps je n'avais pas fermé l'œil, et de trois je m'inquiétais de tout ses visages inconnu tourner vers moi.
Carlisle (si j'ai bien retenu son prénom) me tendis une main pour m'aider à me relever, je regardais celle-ci avec appréhension. Puis scrutais son regard pour essayer de voir se qu'y se cachait derrière cette invitation, ne voyant rien de préoccupant je mis ma main dans la sienne, sa peau était agréable au toucher. Une fois relever il regardait la ou je m'étais tenu un dixième de seconde auparavant. Suivant son regard je vis une tache de sang assez conséquente. Rapidement je relevais la tête mais mon sang apparemment n'avait pas défait sur eux.
Sans me demander mon avis il regarda mon bas du dos rougis et me dis
- Ca dois te faire souffrir vu la plait que tu as, comment est-ce arriver ?
Je cherchais dans ma mémoire brumeuse la raison de cette blessure, ne m'en souvint pas pour autant.
- Désolé mais je n'en sais strictement rien ça ne doit pas être bien grave cependant, je ne la sens même pas.
- Je suis médecin accepterais tu de venir avec nous a la maison pour que je te soigne ? Ça ne prendra pas longtemps puis après si tu veux t'en allez personne ne te retiendra, par contre si tu désires en profiter pour te rafraîchir et dormir dans un bon lit nous serons heureux de t'accueillir pour la nuit.
J'eu du mal a prendre cette décision, je me battais contre mon envie folle de les suivre et de comprendre leur style de vie, voir leur habitat, connaitre chacun d'eux un peu plus que sur un simple regard, et l'envie de me sauver de ne pas me retourner et d'oublier cette rencontre qui, sans que je me l'explique, avait déjà changer un petit quelque chose en moi, mais dans leurs attitudes tout me donnais envie de croire que je pouvais leurs faire confiance, s'est alors que j'accepta leurs proposition.
Nous marchâmes à pas lent depuis quelques temps déjà quand je sentis mes forces m'abandonner, j'avais les jambes lourdes, et l'estomac dans les talons, j'étais épuiser autant physiquement que moralement. Je sentis une petites pressions se glisser autour de ma hanche j'eu un mouvement de recule puis regarda a ma gauche c'était le jeune garçon aux cheveux de cuivre… Edward me souvenais-je j'aurais aimé me dégager, mais j'étais tellement soulager de l'appui qu'il m'apporta que je n'en fis rien. Il raffermit ça prise, je le fixais incertain (mon manque d'énergie se lisait-elle si facilement sur mon visage ?) quand je me rendis compte que nous avions cessé de bouger je détournais le regard. Cet a se moment que je m'aperçu qu'il manquait deux personnes de leur famille, l'humaine et la petite brune aux cheveux cours. Pourquoi sont-elles parties serais-ce a cause de moi ? Comment arrivaient-ils à rester dans une ville assez longtemps que pour y prendre résidence ? Et leurs yeux, pourquoi était-il d'une autre teinte que les autres vampires ? Comment arrivaient-ils a ne pas centre tué aussi nombreux qu'ils étaient ? Et l'humaine que faisait-elle avec eux ? Pourquoi n'avait-elle pas peur ? Peut-être ne s'avait-elle pas qui ils étaient ? Non elle devait sûrement le savoir.
A se moment il interrompit mes réflexions :
- Je leur ai dit de partir car même si je sais que tu ne nous veux aucun mal, ont ne connaît pas encore tes réactions. Nous ne nous nourrissons que de sang animal, nous sommes végétariens en quelque sorte (il eu un petit rire bref) c'est pour cela que nous pouvons nous installées pour une période beaucoup plus longue que ceux de notre espèce, ont est une famille unie, comme tu as pu le constaté, nous avons un lien très fort, et comme le sang animal à remplacer le sang humain dans nos vie, nous sommes moins sur la défensive et les sentiments ne sont plus voilée par la soif dévorante. L'humaine, Bella me rappela t-il, sait pertinemment qui nous sommes (il leva les yeux au ciel) elle est … ma petite amie, et la meilleure amie d'Alice, elle n'a jamais eu peur de nous, enfin de notre famille du moins.
- Mais comment… (Je le regardais avec des yeux rond la bouche grande ouverte, je me ressaisi avec beaucoup de difficulté je dois dire).
- Je suis désolé mais tu avais tellement de questions dans la tête que je n'ai pas pu m'empêché d'y répondre. Je sais lire dans les pensé me dit-il les sourcils légèrement froncé et les muscles bandé il avait sûrement peur de ma réaction après cette déclaration.
- C'est assez déroutant mais pratique lui répondis-je en souriant. Je croix que je n'ai plus de questions pour l'instant, a si peut-être une, somme nous bientôt arrivée ?
Il se détendit et me fit grâce d'un large sourire.
- Bientôt, regarde au bout du chemin tu devrais déjà voire le début de la propriété.
Il pointa un doigt vers le nord et je sentais déjà sous mes pieds le tracée de se chemin. Relevant la tête, je découvris effectivement que les arbres s'écartaient légèrement, que les herbes hautes et les fougères étaient éparpiller ça et la, que la terre redevenait égale, je vis le toit puis les murs blancs et d'énormes fenêtres qui recouvraient quasiment la totalité de la façade.
- Ces …. Magnifique.
- Plutôt oui me répondit Carlisle avec un petit sourire j'avais l'impression que ma réaction lui rappelait quelque chose, mais quoi ?
Carlisle me montra le chemin jusqu'à son bureau qui faisait aussi office de cabinet médical dans les cas d'urgence. Je me demandais qu'elles genres de problèmes ils pouvaient bien avoir pour que se lieu soit utiliser.
Il me fit asseoir sur la table qui se trouvait juste à ma droit, une fois assis il voulu retirer ma chemise, j'eu un mouvement de recul encore une fois que je ne m'expliquai pas cette fois.
- Es-je fait un faut pas ? Me demanda t'il, plantant ses yeux d'or dans les miens.
- Non désolé, c'était instinctif je ne me l'explique pas moi-même.
- Puis-je ? Me dit-il avec précaution.
- Allez-y je suis préparer maintenant.
Prudemment il me retira ma chemise il examina la blessure avec grand soin avant de la nettoyer avec délicatesse, me recousu me mit une grande bande de gaz et la fixa avec du sparadrap, après avoir fini son travail il vient se poster devant moi, me souris et me dit que tout était terminer. Et s'inquiétant de mon bien être me demanda si ça n'avait pas été trop pénible pour moi, et si je désirai d'autre calment. Je lui répondis que je n'avais rien sentis et que tout allait bien.
Il me regarda attentivement : mon cou mon torse, et son sourire s'évanouis.
- Mais que t'es t-il arriver ?
- pardon ?
- Tu as vu toutes tes cicatrices ? Certaines ont l'air encore fraîche pas plus de deux ou trois semaines ? Me répondit-il en me regardant droit dans les yeux attendant ma réponse.
J'entendis une respiration saccadée au rez-de-chaussée, puis des pas précipiter, la porte percuta avec force le mur de notre pièce, a cette instant l'image sous mes yeux changea, avant que je puisse voir qui entrais, je me retrouvai dans une forêt , assombri par la densité des feuilles, quatre vampires m'encerclaient l'air furieux, l'un d'eux m'appela Noah (je découvris enfin mon prénom, je l'avais chercher depuis si longtemps) puis il me dit de les suivre sans histoire, plutôt mourir m'entendis-je lui répondre, à ta guise me lança t il, et il fondit sur moi. Je me vis changer d'apparence devenir une sorte de loup-garou mon cœur rata un battement, quand je compris que je le savais depuis le début je me calmai aussitôt, tout en continuent à regarder cette scène. Je me vis me protégé avec mes bras comme un bouclier, puis je lui pris la jambe et l'arracha d'un geste brusque, il hurla, j'eu a peine le temps de me retourner qu'un autre étais déjà sur moi il me percutât de plein fouet, une autre se lança sur mon dos je tombais a la renverse elle me lâcha, tandis que l'autre s'accrochais essayant toujours de me mordre le cou, je le décapita d'une seule morsure je n'avais plus que trois adversaire, je sentis que je perdais l'équilibre, je secouais la tête pour éclaircir ma vue, et l'attaque repris de plus belle, la vampire se jeta sur moi visant ma gorge elle me rata de peux j'eu juste le temps de faire un pas de côté, je me retournais et attrapa un de ses bras le lui arracha d'un geste, elle hurla de rage et de douleur, je savais qu'il fallait vite en finir car elle serais encore plus coriace à tuer si elle s'emportait trop dans sa folie meurtrière, elle me pris un bras et me fit tourner violemment j'allais me fracasser sur un arbre, j'étais sonner et elle étais déjà sur moi, que pouvais-je faire a par rouler sur moi-même pour gagner un peu de temps. Je repris mes esprits, je ne voulais pas finir ainsi, je me relevai l'attrapa a la volée par le cou et serra, serra si fort que ça tête sauta comme le bouchon d'une bouteille, j'en avais fini avec elle, j'avais eu chaud, très chaud. J'attendais une nouvelle attaque, mais rien ne vins, se qui me surpris, je regardais autour de moi je savais qu'il me restait deux adversaire, j'aperçus l'unijambiste rampant pour s'enfuir (oh non m'entendis-je penser, je ne te laisserais pas filer) je le rattrapai et démembrai son corps pour qu'il n'en reste plus rien. Je me retournais pour affronter le dernier mais il était déjà loin, ma vision se brouilla j'avais l'impression que le temps s'accélérai puis revins à la normal, je vis de la fumer, je compris que je l'est avais fait brûler pour être sur de ne jamais recroiser leur routes. Les images disparurent soudainement laissant place à une lumière blanche éclatante, puis des formes flouent se dessinaient devant moi.
Revenant à la réalité je découvris que j'étais allongé sur le sol, tout les yeux braquer sur moi.
- Ca vas allez dit Alice pour ça famille, il se calme déjà.
En entendant ces mots je sentis un apaisement soudain.
- Que c'est-il passé ? me demanda Carlisle.
- Il se souvient du jour ou il à reçu ces cicatrices, il c'est aussi rappeler son prénom Noah apparemment ; répondit Edward.
Je battis plusieurs fois des paupières puis les visages se brouillèrent, j'entendis Edward dire il s'endort.
Carlisle lui demanda depuis combien de temps j'avais veillez, deux semaine lui répondit-il, depuis son attaque, il voulait mettre le plus de distance avec se qu'il essai de fuir.
Alors qu'il reste, ici il ne craindrait plus rien, proposa Esmée.
Nous verrons se qu'il en pense ! Conseil de famille répondit Carlisle, Emmett vas le porter dans la chambre d'Edward le canapé fera la faire en attendant que nous trouvions un lit, puis viens nous rejoindre, je n'entendis plus rien, mais cependant je sentais encore qu'on me soulevait du sol puis… plus rien.
