Aucune de ces deux histoires ne m'appartient. Je ne perçois pas d'argent. J'écris par simple plaisir. J'aime beaucoup les deux personnages et j'avais envi de les mettre en valeur ensemble (ce qui n'a jamais été fait) dans cette mini-fiction qui ne fera que cinq ou six chapitres.
Bonne lecture. Et désolée pour les fautes d'orthographes.
PS: Si l'histoire vous plaît ou non, laissez un petit commentaire (justifié si il est négatif), cela fait toujours plaisir.
Chapitre 1
Il pleuvait en ce dimanche soir. Quoique, rien d'habituel pour un mois d'octobre. Les mois d'octobre et de novembre sont les mal-aimés des calendriers. Ces deux mois sont sans saveur. L'excitation de la rentrée était retombée et les fêtes de fin d'années n'étaient pas assez proches pour dire des égayer. Ouais, ces deux mois, c'était vraiment de la merde.
Rima Kuran fit tournoyer son attrape-rêve d'un doigt, tout en le locataire par la ficelle qui permettait de l'accrocher. Elle était allongée sur le dos, dans son lit, le regard hypnotisé par l'objet. Quand son bras n'eut finalement pu de force, elle le laissa retomber le long de son corps dans un soupir. Elle coula un regard mauve-bleuté ennuyé vers la fenêtre. La pluie s'igne transformée en bruine. La jeune fille était déjà morose, le temps ne l'aidait pas.
Mais pourquoi avait-elle fait cela? Pourquoi? Qu'est-ce qui était passé par la tête? Elle ya pas bu, pourtant. Grand-mère Kuran disait que l'alcool rendait les filles idiotes. Et Grand-mère prenait la mouche, quand Rima lui faisait remarquer le nombre de Daiquiri qu'elle s'enfiltera à la longueur de la journée. C'était simple, Rima avait toujours connu sa Grand-mère avec un Daiquiri * à la main. Elle se demandait même si elle était informée qu'elle avait des tendances alcooliques? Enfin, qui aurait réellement eu le courage de lui dire? Parce que Grand-mère, c'était un phénomène. Même son père, Kisuke Kuran et Grand-père Kuran, respectivement un mètre quatre-vingt cinq et un mètre quatre-vingt dix, né lui disaient rien. Alors qu'elle faisait, à peine, un mètre cinquante.
Les seules qui se tiennent tête à Grand-mère, sa mère, Juri Kuran, l'ancienne Toya et Mémé Toya. A ne pas croire, sa mère et Grand-mère s'colombie, mais quand ça se prénvent le choux, ça fort faire peur. En même temps, personne n'a envie de voir sa mère que les yeux tellement exorbités qu'il pourrait en tomber, et une vieille folle vocifère des noms d'oiseaux avec un verre à cocktail comme arme. Mais le pire, c'était quand Mémé, avec son trait d'oeil tatoué, se fusillaient silencieusement du regard avec Grand-mère. Parce qu'entre elles, pas besoin de motifs pour être en guerre. C'était comme ça, pas autrement.
Pour en revenir aux faits, Rima ni pass hier soir. Tout ce qui était fait, c'était avec une lucidité déconcertante. Elle se demandait bien où elle finirait si elle buvait. Sûrement dans un délire au Very Bad Trip . Peut-être avait-elle fait cela dans l'ambiance de la soirée? Elle essaya de s'en convaincre quelques minutes, avant de secouer la tête.
Non, elle s'était ennuyée à mourir à cette soirée. Et elle savait dès le début, elle est passée à l'endroit là bas. Mais, la seule a choisi qui j'étais poussé à l'aller, c'est Lisanna Strauss. L'une de ses deux meilleures amies.
Tout le monde à une amie comme Lisanna Strauss. Une fille au corps et au visage plutôt banal, plus à l'intelligence et à la précance surdéveloppée. Le genre de fille qui avait tous les garçons à des pieds, sans avoir spécialement quelque chose de plus qu'une autre. Lisanna avait été invité à une fête de Terminale, par un Terminale. Toshiro, ou un nom comme ça. Le garçon était mignon. Rima trouvait they iraient plutôt bien ensemble.
(* Cocktail alcoolisé à base de rhum)
Le stade est de ne pas avoir été créé à la fête. Sauf des fêtes de collégiens, où, quand tu buvais du Champomy cul-sec, t'étais le roi de la soirée. Non, les soirées de lycéens, la foi de l'alcool, les gens qui font des trucs peu catholiques dans les placards et les filles habillées à la salle de jeu.
Lisanna les avait supplié, elle et Vivi Nefertari, le dernier morceau du trio. Vivi avait dit non. Point. Pas de possibilité de réflexion. La Strauss avait posé ses grands yeux bleus azur sur la blonde Kuran. Rima avait d'abord résisté, avant de se laisser amadouer par son ami aux cheveux platines. Lisanna lui avait parlé de Genki Murasame. Le garçon qui faisait monter le rouge aux joues de la Kuran rien que d'autrui.
Genki Murasame était un être parfait. Il excellait dans son équipe de baseball, il n'était pas le capitaine. Sa moyenne aux alentours de vingts, avec ses options. Il y avait une magnifique tignasse noire aux recettes bleutées, des yeux gris perçants, un sourire avec des belles dents blanches et un corps massif. La seule à choisir qui gâchait légèrement le tableaux, était le fait qu'il était un peu plus petit que Rima. Mais Rima faisait un mètre soixante-treize. Vivi était plus grande que elle, de cinq bons centimètres.
Enfin, Rima s'reste laissée avoir au jeu. Elle avait suivi Lisanna dans cette soirée. La seule a choisi qui lui avait dit ses parents, et ses lui disaient toujours depuis qu'elle était en âge de sortir, était: « Ne te rend pas ridicule, sois une fille respectable, nous te faisons confiance. Tu es assez grand pour savoir ce qui est bon pour toi, et l'heure à laquelle une fille raisonnable doit rentrée ». Ses parents ne leur interdisaient jamais rien, avec son frère et sa soeur. Ils savaient d'eux-mêmes, par elle ne savait quel miracle, les limites à ne pas franchir. Et bizarrement, cette méthode d'éducation a été adoptée sur les enfants de la famille Kuran.
Kaname, fils grand-frère, était l'un des meilleurs élèves de terminale. Il avait même son propre magasine sur le net, Réflexion . Son journal traitait entre autres, des analyses qu'on souhaite faire des écartements des comportements entre les jeunes d'autrefois et ceux d'aujourd'hui. Aucune personne n'est encore dans le secondaire ne lisait son journal. Il n'y avait pas d'étudiants en psychologie et philosophie. Des gens hyper calés. Comme son frère, qui vous assurera le prochain Freud ou Jung.
De plus, même si elle ne correspond pas à son objectif, Kaname était plutôt beau garçon, avec sa chevelure brune et ses yeux bruns rougeâtre qu'il tenait de leur mère. Enfin, il était pu sur le marché aux dernières nouvelles. Non, Kaname jamais dit qu'il avait une petite amie. Rima l'avait dévoué en entrant malencontreusement dans la chambre de son frère, pour tomber sur une boîte de préservatif vide. Bon, juste comme indice, parce que Kaname a eu du succès auprès des filles et de toutes sortes de boîtes de capote. Non, Rima à aucune idée des performances sexuelles de son frère, et elle ne voulait surtout pas le savoir. Tout ça, c'était de la déduction.
Mais elle savait que Kaname avait quelqu'un, parce qu'il avait changé de marque de préservatif. Ceux-là, c'est une boîte de luxe. Genre, à quinze euros la boîte de douze. Et non, elle n'était pas une expérience en capote. C'était Vivi qui ont été fait découvrir ça, cet été. Parce que Vivi était passé aux choses sérieux avec Portgas D Ace, son petit ami.
Avant cet été, le seul souvenir que Rima avait d'un préservatif était ce qu'elle avait vu au collège. Dans une conférence sur la prévention sexuelle. Quand, sur leur demande de déroulement sur les fruits et légumes de formes phalliques. Elle avait eu une banane à moitié pourrie qui s'était désintégrée en bouillie, quand elle avait mis le codom autour. Résultat, un préservatif contenant une instance de banane. L'intervenante, il fait un commentaire sur cette fille et son petit ami, elle ne le reverrait assurément pas de si tôt. C'est alors que cette peste de Aiko Nakamichi avait lâché de sa petite voie nasillarde: « Encore faut-il qu'elle se trouve un mec». Ce qui était fait rire une partie de la classe. Aiko était l'une des raisons pour lesquelles, Rima était très heureuse d'avoir enfin seize ans pour entrer au lycée.
Et depuis cet été, Rima savait qu'il existait différentes sortes de préservatifs. Et à cause de Vivi. Car elle avait eu l'occasion de demander à Ace, si il avait fait il lui fallait. Donc, elle les avait embarqué dans une histoire pas possible avec Lisanna. Rima avait découvert qu'il avait des goûts, des couleurs, des textures et même des tailles. Des tailles ?! Mais, comment un garcon vous raconte-t-il? Il se mesurait le kiki? Finalement, quand Vivi s'était décidée un peu par hasard, il avait fallu aller les acheter à la pharmacie. La Nefertari ne voulait pas, voiture elle habitait le quartier. Et la pharmacienne était une bonne amie à sa mère. Donc, Lisanna et Rima et cet été à sa place.
Ne connaissant la dimension de Ace, les deux amies prirent plusieurs tailles de même marque. Et au moment où elles se dirigent vers la caisse pour payer, Lisanna fourra les boîtes de contraceptif dans les mains de la Kuran, avant de s'enfuir à toutes les jambes. La blonde se retrouva avec cinq boîtes de codé dans les soutiens-gorge, alors que la mère de Lisanna arrivant droit sur elle avec un sourire aux lèvres. Sourire qui laissa place à la gène en voyant ce que l'amie de sa fille tenait. Surtout dans cette quantité. Il y eut un blanc entre les deux femmes.
- Je vois que tu es précautionneuse, fit remarquer madame Strauss avec un petit geste vers les boîtes. C'est ... bien.
- C'est pas du tout ce que vous croyez, tenté Rima.
- Non, chérie, tu n'as rien à m'expliquer, tu es grande maintenant, terminé la Strauss en posant une main sur l'épaule de la jeune fille, avant de loucher sur la boîte. XS? Tu mérites mieux, ma grande.
Rima était encore rouge de honte, rien que d'autrui. Vivi et Lisanna ont eu un fou rire. Le soir, quand elle rentra chez elle, ses parents l'assiste, assis dans le salon, l'air grave. Elle soupira en s'asseyant. Elle était accompagnée, sa mère était une copine à la mère de Lisanna. Elle avait été informé de Juri, que sa fille débauchée ne se cachait plus pour acheter plusieurs boîtes de contraception d'un coup, avec l'idée d'adaptation aux joies du sexe sans retenue.
- Rima, chérie, commença sa mère. Nous savons que tu viens d'avoir saisi et tu rentres au lycée au mois de septembre. Nous savons que tu grandis, mais nous ne pensions pas, que c'est bien et soudain. Mon bébé, quand as-tu fait ça?
- Jamais, avait répondu la blonde. Je n'ai encore jamais fait.
- Mais pourquoi des capotes dans ce cas ?! S'agaça légèrement son père.
- Je ne peux pas vraiment le dire, ajoute Rima.
Si elle avouait que c'était pour Vivi, Madame Nefertari le saurait et elle n'imaginait pas la sanction. Les Nefertari étaient très strictes. Son paternel a eu l'idée d'être passé dans une suite dans ses cheveux blonds, ce qui avait eu l'effet de l'ébouriffer. Son père ressemblait à un évadé d'asile avec son teint rouge et ses cheveux en pétard.
- Comment s'appelle ce garçon ?! S'exclama son père. Je veux le numéro de ses parents pour en parler.
Tandis que Monsieur Kuran s'agitait dans tous les sens, Rima en eut assez. Elle lâcha d'une voie nette, en se pertinente à quelques centimètres de son père:
- Papa, Maman, je suis vierge. Vierge. Vierge, répéta-t-elle en épelant chaque lettre du mot. J'ai eu un seul petit ami, mais il s'est révélé homosexuel au bout de deux jours de relation. Si j'ai acheté des préservatifs, c'est pour que Vivi et son petit ami puissent faire zizi panpan tranquille. Rien d'autre. T'as compris, papa? Je suis vierge!
Il y eut un blanc dans le salon. Son père vira du rouge colère, au rouge honteux. Elle vit sa mere se retenir de rire.
- Alors, t'as jamais? Répéta son père.
- Je suis pur comme de l'eau de roche. Je peux? Demanda-t-elle en montrant l'escalier pour regagner sa chambre.
- Oui, termine son père, ébahi.
Rima tourna les talons, mais elle entendit son père lui glissait: « Je n'ai jamais douté de toi, ma chérie . »La bonne blague. Son père était tellement vieux jeu et sur-protecteur. Et il avait eu un virus refilé ce à Kaname. Cette manie hérissait d'agacement les poils de Ruka.
Ruka était en première. Et malheureusement, Rima savait que sa grande soeur faisait exprès de jouer le stéréotype de la blonde, parfois. Même si Ruka n'était pas blonde. Plutôt châtain clair. Avec de grand yeux marrons. Ruka n'aimait pas l'école, et c'était réciproque. Sa soeur voulait être mannequin. Et vu son physique, elle était sûre d'y arriver. Ruka a eu du culminer dans le mètre soixante quinze et son corps était sans imperfections. Elle avait déjà fait quelques campagnes de pub et des défilés. Plus elle est à la hauteur de la saison pour la série exigée par monsieur Kuran. Ruka pendant donc, quand même se coltiner le bac.
Attention, Ruka appelle le maquillage, les beaux habitudes, et tout ce qui brillait. Mais elle était très loin d'être idiote. Un jour, elle s'est révélé à Rima qu'elle jouait la fille naïve, car les garçons puissants et riches n'aimaient pas les femmes trop intelligentes. Les hommes ont rapidement leurs propres femmes leur fassent de l'ombre. Et Ruka savait que le monde du mannequinat était peuplé d'hommes puissants. Sa soeur savait qu'elle est une carrière sur deux mots trop évolués. Rima ne savait pas si Ruka avait une raison, mais vu son succès chez les garçons, elle était plutôt pour cette théorie. Néanmoins, aucun garçon ne trouvait jamais la grâce aux yeux de Ruka. Elle était exigeante.
Enfin, Ruka n'était pas exigeante seulement avec les garçons, mais dans tout les domaines. Elle est une gentille comme une véritable garce. D'ailleurs, sa soeur était la sorcière du lycée. Bien que cela a été mis à l'épreuve, à quoi ressemble-t-il, en savoir plus sur la grande menace féminine du lycée était votre soeur ainée. Beaucoup de filles n'osaient plus approchant Rima, en sachant que Ruka Kuran était sa soeur.
Ainsi, quand Rima lui demande l'aide à choisir une tenue pour la soirée des Terminales. Elle savait que cela est une quitte ou une double. Soit Ruka serait dans une bonne période, soit dans sa période sanglante. Heureusement, elle fut bien lunée. Elle prêta une jolie petite robe noire simple, à la manche courte avec un peu de tulle, resserré à la taille. C'était un souvenir d'un tir. Rima savait que sa soeur y tenait particulièrement. Elle acheta des collants ni trop opaque, ni transparente. Selon Ruka, le collant opaque a été autorisé à partir du mois de novembre, sauf si la météo était à la neige dès le mois d'octobre. Pour ce qui était été des collants transparents, ils sont permis pour les débuts des beaux jours et autres. Sinon, faute de goût absolue.
Elle avait forcé un peu le maquillage de sa cadette. Rima était une fille. Une adolescente de plus. Elle avait des imperfections. Donc, elle avait déjà l'habitude de mettre un fond de teint, une poudre matifiante et du mascara. De plus, elle vise à lisser ses cheveux rebelles pour leur donner un mouvement joli. Néanmoins, la connaissance en matière de beauté s'arrêtait là, avec quelques crèmes et vernis à ongles. Rima s'émerveilla, comme s'horrifia, de la quantité choisie de qu'elle ignorait. Ruka lui étala une multitude de produit sur le visage. La jeune eut un horrible sentiment, elle ne voulait pas ressemblait à un pot de peinture. Cependant, quand sa soeur lui montra le résultat, elle trouva cela naturel. « Tout ça, pour ça?»Avait-elle pensé. Bon, c'était vrai, sa peau avait plus de reflet, comme sublimé. Ses yeux avait une teinte fumée. Et ses lèvres ont une douce couleur rosé.
- Le rouge à lèvres est sans transfert, selon sa soeur.
Rima avait papillonné des yeux pendant dix minutes. Sans transfert ? Puis, elle avait compris que «sans transfert» signifiait que le rouge à la lèvre ne laissait pas de trace sur ce qu'elle était toucher. Elle a été remarqué au tribunal de la soirée, quand elle est l'idée, et que son verre sans aucune trace de rouge à lèvre. Le tout accompagné d'un chignon décoiffé, de mignonne petite derbys et d'une petite veste en cuir rouge. Rima s'était trouvée cool. Pas sexy, mais exotique .
Kaname avait donné son approbation sur la tenue.
Pouka a réussi a ne pas te rendre pouf, tu es jolie. Pour une fois, elle réussit un truc, la sorcière.
Cette dernière a été essayée d'étrangler l'ainé, qui a eu lieu aux éclats en voyant le peu de force de sa soeur.
- Sinon, avait repris Kaname. Te laisses pas faire par les terminales, ce sont tous les inconvénients. Surtout les garçons. Si jamais, ça ne se passe pas comme tu le veux, appelles-moi, je viendrais te chercher.
- Merci, ai dit la blonde avec un sourire.
Son frère posa une main sur sa tête, alors que Ruka le prit par le cou pour le serrer contre elle. Ils s'étaient séparés, quand la mère de Lisley avait klaxonné pour montrer sa présence. C'était elle qui jouait les chauffeurs. Lisanna la trouva jolie. Rima trouva son amie très belle, mais un peu trop maquillé. Les yeux de Lisanna sont trop clairs pour supporter un smocky eyes si prononcé. La platine a eu recours à des courts-métrages, et avait mis un combi-short à motif graphique, des collants de la même teinte que les siens, des talons et une jolie veste en daim.
Finalement, madame Strauss les déposa devant le lieu du rendez-vous. La musique était à fond, et la fête battait son plein. Des jeunes, à moitiés déshabillés, buvait de l'alcool sur la pelouse devant la maison. Rima eut un léger frisson, il commençait à faire froid, quoique l'alcool pendentif leur tenir chaud. De plus, dès qu'elle vit cela, la blonde sentit elle déjà pas la place ici. Cependant, Lisanna avançait sans même faire attention autour d'elle. Rima la suivit sans rien dire.
Quand elles entrèrent, le boum les frappèrent de pleins fouet, tout comme la masse de gens regroupés derrière la porte. Les gens ne leur jetèrent même pas un regard. Les quelques personnes qui ont été vu, ont des filles, et elles ont l'intention, avant de lever les yeux au ciel. Le poids dans la poitrine de la blonde doubla. Elle n'aimait pas cet endroit. Tout d'un coup, Lisanna la tira par le bras pour rejoindre Toshiro, qui lui faisait des signes. Rima sentit fils a chanté pulser dans ses veines, quand elle vit Genki. Qu'allait-elle lui dire? Certes, elle savait à toi de la fête, mais elle ne pensait pas qu'elle lui parlerait, ni rien. Elle pensait juste pouvoir le mater, d'un petit coin tranquille.
Elle avait pris une grande inspiration, et collait son sourire le plus lumineux sur son visage. Elles ont fait la bise à tout le monde. Et quand se fut le tour de Genki, Rima crut qu'elle allait défaillir. Elle avait senti son parfum. Un parfum à la mode, pas le pub ne cessait de passer à la télévision. En fait, quand elle y repensait, le parfum que tout les garçons portaient en ce moment. Il lui a été jeté un coup d'oeil, avant de lui faire un sourire. Qu'elle lui avait rendu rendu. Puis la discussion avait commencé, Lisanna y participation activement. Rima n'osait rien dire, de peur de passer pour une cruche. Elle se contentait de boire son verre de soda.
Puis, au bout d'une bonne heure de discussion, alors que Lisanna partait danser avec Toshiro. Il se passa quelque chose. Quelque a choisi d'incroyable. Genki lui tendit la main. Elle le fixa pendant quelques minutes.
- Allez, petite seconde, sur va aller danser un peu, fit-il de sa voie rauque.
Elle n'était rien dit, elle avait juste poser son verre, avant de suivre. Dès ils ont rejoint la piste, il était encore collé à elle en posant ses mains sur sa taille. Rima s'était un peu croquant. Elle n'est pas encore été aussi proche d'un garçon. Puis, au son de la musique, elle s'était détendue. Après tout, quel que soit le mode de vie? Aucun. Mais alors, pourquoi elle ne participe pas bien en faire cela? Elle n'arrivait pas à s'amuser. Et pourtant, elle était avec Genki. Pas le plus beau garçon du lycée, plus l'un des plus populaires.
Au bout de quelques danses, elle se sent oppressée, elle se détache du terminale avec un petit sourire d'excuse. Elle chercha Lisanna du regard, et elle la viande au loin suivre Toshiro à l'étage. Cela la coupa net dans son élan. Elle ne voulait pas assister à ce qui allait suivre. Plus surtout, elle fut choqué de voir sa meilleure amie faire cela. Elle ne pensait pas Lisanna si ouverte ... aux propositions.
Abandonnée de tous, elle se dirigea vers le buffet, où elle se servit un autre soda. Elle scruta la foule de gens qui dansait. Elle regarda des filles danser. Danser comme des allumeuses. Rima avait dansé comme elles, quelques minutes auparavant. Elle se dégouta elle-même. Elle n'était pas à sa place ici, elle n'était pas encore prête pour ce genre de soirée. Peut-être Lisanna, mais pas elle.
- Tu sais, tu auras beau le coller comme tu veux, lâcha une terminale qu'elle ne connait pas en prenant une boisson. Il ne posera jamais les yeux sur toi. Ou sinon, juste pour le cul. Enfin, maintenant il ya dansé avec toi, participe à toi-même à tout le monde qu'il fait sauter. C'est toujours comme ça.
Rima sentit un haut le coeur la prendre. Elle comprend ça danser. Elle ... non. Les gens ne pouvaient pas déduire des choses pareilles d'une danse. Elle devint blême. La terminale éclata d'un rire mauvais, avant de tourner les talons. La blonde jeta un regard circulaire à la pièce, pour se rendre compte, que tout le monde l'observation. Des sourires mesquins aux lèvres. Rima le savait. Sa réputation était faite. Tout comme Kaname était reconnu comme une génie, Ruka comme une sorcière. Elle, elle serait reconnue comme une salope.
Elle avala difficilement sa gorgée. Sa gorge était serrée, ses yeux la brulaient. Elle recula de quelques pas, avant de se cogner contre quelqu'un.
- Rima? Appela une voie qu'elle attendait bien.
Elle se retourna pour découvrir l'un des cousins, Aido Hanabusa. Il était en première dans un autre lycée. Elle ne pensait pas le voir, ici. Enfin, maintenant elle et pensait, Hanabusa faisait parti des populaires de lycée. Il était suffisant pour la beauté et les cheveux blonds. Elle a été tenue pour toute la suite que vous êtes à cette fête.
Hanabusa pencha la tête sur le côté en regardant sa cousine. Il observa l'assemblée qui les scrutait. Il tourna la tête vers Rima, sans comprendre. Que se passait-il? Il ouvrit la bouche, mais il n'y a pas le temps de choisir. Elle se jeta dans ses bras, les larmes aux yeux. Hanabusa resserra doucement son étreinte.
- Calmes-toi, qu'est-ce qui se passe? Rima? Appela-t-il.
- Hanabusa? S'enquit une voie grave.
Le blond se tourna vers son frère ainé, Kain Aido, en terminale. Autant Hanabusa était fluet et petit (le mètre soixante-quinze), autant Kain était roux, grand et massif. Kain pencha la tête sur le côté, avant que son estime de la surprise en voyant sa cousine. Il jeta un regard à Hanabusa, qui haussa les épaules. Il remarqua à son tour les services de l'assistance. Il poussa un soupir d'exaspération en se passant une main dans les cheveux.
- Allez, sur bouge, décida Kain. Il ya trop de monde, ça m'agace.
Il dit cette dernière phrase avec un regard méprisant aux auditeurs. Personne ne fit de réflexion. Personne n'oserait se frotter à quelqu'un comme Kain. Il n'existe pas de parler, pour montrer qu'il était quelqu'un. Son charisme était écrasant. Quasiment autant que Kaname.
Le roux s'adapte à un signe de tête à Hanabusa. Ce dernier prit sa cousine par le cou, avant de quitter la pièce, puis la maison. Ils s'arrêtèrent devant la maison, à l'endroit tranquille où il n'y avait personne. Rima s'assit à côté de Hanabusa, alors que Kain resta debout. Ils ont assisté quelques instants qui est calme, avant de lui demander de raconter LELES.
Rima renifla de manière peu élégante, tout en remerciant spirituellement l'inventeur du mascara étanche, et sa soeur d'avoir penser a lui en mettre. Elle eut un peu de mal à trouver les mots pour bien expliquer. Plus finale, Kain et Hanabusa comprirent, même sans explications claires.
Kain secoua la tête de droite à gauche, en quatre ses ses poings serrés dans ses poches. Il détestait ce genre de fête à cause de ce type d'incident. Les cancans, les commérages, les bavardages, les déformations. Il haïssait cela au plus au point. Général, il n'allait à bureaux parti Que verser EVITER ne se Hanabusa Que Fasse de la drogue Mettre Dans fils verre. Ce qui se pu être fort possible, vu la tête dans l'air du blond et l'engouement qu'il provoquait chez les filles.
Hanabusa chiffonna affectueusement les cheveux de sa cousine. Hana connaissant l'envers du décor. Il savait que derrière les fêtes, la popularité et les beaux visages, il n'y avait que la méchanceté gratuite. Le cadet Aido savait que sa cousine savait se défendre, elle est un besoin de personne pour ça. Mais, cette méchanceté était pu désarmer un guerrier. Ce n'était plus que des mots, mais les mots font tout aussi bien que les gestes. Rima était jeune, elle prenait encore tout à coeur. Elle serait moins touchée dans quelques mois.
Subitement, Hanabuse eut une révélation:
- Tu parles de Genki Murasame?
La blonde hocha la tête, ses yeux sont rouges et enflés. Kain et Hanabusa poussèrent un soupir en même temps.
- Ce mec est un connard, déclara Kain.
- Un goujat de première, ajouta Hanabusa. Il ne sort pas les filles que pour coucher. Et malheureusement, il existe encore des filles qui se font pour le physique.
Les deux cousins lancèrent un regard à l'encontre de la jeune fille. Elle baissa les yeux, honteuse. C'est bon. Rima s'en tribu d'être tombé dans le stéréotype de l'adolescence. Pas besoin d'en rajouter. Mais qu'est-ce qu'elle est en savoir? Toutes les filles du lycée vénéraient Genki.
- Si cette fille t'a dit ça, c'est simplement par jalousie, fit Kain. Tu devrais le savoir. Quand quelqu'un a beaucoup de prétendants, il n'y a pas de succès dans les pattes. Surtout quand il ya l'esquisse d'un favori. Tu n'aurais jamais dû t'approcher de ce mec, Rima. Tu n'as jamais prêté attention de se qui se disait sur ses ex? Tu as été idiote.
- Non, je suis désolée, s'excusa la blonde. Je n'ai rien fait. Je ne lui ai même pas adressé la parole. C'est lui qui m'a appuyé par le biais de la traduction, parce que Lisanna était partie avec Toshiro. Je n'ai pas vu le mal.
- Rima, le mal est partout avec ce genre de gars, sermonna le grand roux. Ces mecs pensent ils sont les rois du monde parce que trois femelles se battent pour eux. Ils se croient tout permis. Je ne sais même pas ce que tu es foutre ici? C'est un vrai baisodrome, les filles bien ne sortent pas dans le genre de soirée sans être accompagné d'un petit ami. Mais où Kaname avait-il la tête?
- C'est vrai ça, remarqua Hanabusa. Commentaire vous êtes ici?
- Lisanna, une amie, m'a demandée l'accompagnement pour un jus il lui-même, se justifia Rima. Mais je ne veuxais pas et aller au début. Elle m'a dit qu'elle raterait son coup de foudre à cause de moi, vu que si je n'y allais pas, personne ne voudrait l'accompagnement.
- Je dirais plutôt qu'elle aura raté son coup de morsure, marmonna Kain dans ses dents.
Hanabusa lui lança un petit regard suppliant pour qu'il se calme.
- Tout ce que je peux dire, reprit Hanabusa. Ce n'est pas une été une amie sur ce coup là pour le planter pour un garçon. Surtout un mec comme Toshiro, dont la plus grande satisfaction personnelle est son nombre d'amis sur les réseaux sociaux.
Rima se sentit mal. Très mal. Elle sentait toutes ses désillusions tomber les unes après les autres. Elle était une expérience d'une naïveté improbable. Elle avait cru les choses sur les gens sans les connaître, et surtout, le plus dur avaler, Lisanna s'était servie d'elle. Pour un garçon.
Rima n'en voula pas réellement à son amie, après tout, la Strauss était peut-être réellement amoureuse. Mais, elle pensait que son amie penserait un peu plus à elle au lieu d'aller s'enfermer dans une chambre à l'étage. Lisanna savait pourtant que Rima n'était pas comme elle. Qu'elle n'arrivait pas se fondre dans la masse comme elle. Dans un certain sens, Lisanna l'avait jeté comme un morceau de viande aux loups. Non, Rima n'était pas en colère, elle était déçue.
- Je pense qu'il est temps de l'emplacement, lâcha Kain. Nous allons te raccompagner, j'ai ma voiture.
- Mais Lisanna, tenta Rima.
- Elle n'a pas eu besoin de toi pour se faire tringler, elle n'a pas besoin de toi pour rentrer chez elle, concl le roux.
- Il est une raison, elle est en train de consoler, pas encore là bas, concéda Hanabusa. Un comportement inacceptable, une réponse inacceptable. Si tu comme peur d'avoir mauvaise conscience, envoies lui un sms.
Alors, c'était ce que Rima avait fait. Elle avait envoyé un message, avant de rentrer chez elle. En voiture avec ses cousins. Il était à peine minuit. Les parents sont encore dans le salon, ils ont été surpris de voir si tôt, mais rassurés d'un autre côté. Kisuke avait vu les yeux rouges de sa fille, mais Juri lui avait fait signe de la tête pour il se taise. Leur fille paraissait fatiguée, sa mère préférait lui parler demain, au calme.
Après s'être démaquillée et lavée, la blonde s'était mise au lit et avait bizarrement trouvé le sommeil. Elle était restée assez tard pour quelqu'un qui avait dormi à minuit. Quand elle s'était levée, ses parents sont partis faire des cours en urgence avant midi dans la supérette du coin, ouverte le dimanche matin. Son frère n'était pas réveillé. Seule sa soeur petit-déjeunait tranquillement. Un grand sourire apparu sur le visage de l'ainée. Rima savait que sa soeur voulait tout savoir.
Au début, la blonde répondant à la fougue à sa soeur. Puis, elle se dit que de toute façon, lundi prochain, à la location de vacances scolaires de la Toussain, tout le monde ne parlerait que de danse langoureuse avec ce porc de Genki. Alors, elle raconta tout à Ruka. Rima ne lut même pas d'étonnement dans les yeux chocolat du mannequin.
- Je m'en doutais, lâcha-t-elle nonchalamment en buvant une gorgée de thé. Tu ne parles jamais de garçon. Genki Murasame est le seul nom de garçon qui est sorti de ta bouche. Facile d'en déduire des choses.
Rima rougit légèrement. Etait-elle si prévisible?
- Quoiqu'il en soit, reprit Ruka. Tu n'as rien à reprocher, ce n'est pas de ta faute. Tu n'as pas à avoir honte. Tu n'as rien fait. Justement, en pleurant comme une madeleine, tu leur comme donner les raisons de croire des choses. La prochaine fois, tu ignore le royalement et tu passe la tête haute. Ils se lasseront à force.
Rima écarquilla les yeux. C'était facile pour sa soeur de dire ça, elle faisait peur à la moitié du lycée, mais pas elle.
- Et si quelqu'un me pose une question sur Genki? Demanda-t-elle. Parce que tu sais autant que moi il ya toujours quelqu'un pour venir parler de ça.
- Tu réponds d'un ton cinglant: « Genki qui? ». Joues là, garce. Tu peux élargir le fichier. Je ne comprend pas, suis-je la seule méchante de la famille? Il n'y a que moi qui ai le grain de la méchanceté?
La blonde leva les yeux au ciel en tartinant un morceau de douleur. Néanmoins, Ruka ajouta avec plus de sérieux:
- Allez petite soeur, tu t'en fiches de se que pense les autres. Le plus dur, ce sera de revoir tout le monde à l'emplacement. Montres que tu es forte et tout se passera bien.
Sa soeur prit sa tasse pour repartir vers les chambres à l'étage. Elle glissa à l'oreille de Rima en passant:
- Et sinon, sur les tabassera.
La benjamine rigola doucement. Après ça, Rima retourna à l'étage, et après une douche, elle s'attaqua à ses devoirs. Après tout, elle a été deux fois de suite et une semaine été déjà passée. Elle s'est bien déroulée à un moment. Et puis, la prestation de penser à la soirée d'hier.
Elle passe le reste de sa journée. Néanmoins, elle ne s'attendait pas à avoir fini à dix-huit heures. Elle est en mesure d'être aveugle de devoirs, ce n'est pas si longtemps. Il ne lui restait qu'un livre à lire tout au long de la semaine. Rien d'effroyable dans la charge de travail. Alors qu'elle était en train de ranger ses affaires, tout en s'installant dans son lit pour lire « Les liaisons dangereuses », elle reçut un message de Vivi. Elle lui demandait le commentaire s'était passée la soirée, et elle à l'intention des nouvelles de Lisanna.
Rima Kuran:
La soirée est trop longue à expliquer. Mais c'était nulle. Je suis repartie avant Lisa, j'ai rencontré Kain et Hanabusa. Ils m'ont raccompagné. Pas de nouvelles de Lisanna depuis.
Et voilà où elle était au présent. Allongée sur son lit, à jouer avec son attrape-rêve, tout en s'inquiétant, avec Vivi, de la disparition soudaine de Lisanna. Rima hésita à appeler chez la platine pour avoir de ses nouvelles. Mais elle culpabilisait déjà d'entendre les sanglots des parents et des frères et soeurs Strauss dans le combiné. La blonde se sentit extrêmement coupable. Elle n'aurait jamais dû repartir sans Lisanna.
Tout d'un coup, son téléphone vibra. Elle s'attendait à un énième message d'angoisse de Vivi, quand elle se rend compte que c'était un coup de fil. Un appel visio Skype de Lisanna.
- Allô? Décrocha-t-elle.
- Rima? Répondit la blanche.
Un visage disponible sur l'écran. Rima crut ne pas reconnaître Lisanna. Son teint était blafarde et brillant, ce qui a été marqué par le fait que l'on considère le charbonneux et ses portait encore les habitudes de la veille. Elle ya pas de dormir. Par contre, la blonde reconnaît les murs gris de la chambre de la platine.
- Assister à deux minutes, s'adapte à Lisanna. J'appelle aussi Vivi.
Quelques secondes plus tard, une deuxième tête, bleue celle-ci, apparaissant dans l'écran de Samsung de la Kuran. Vivi, qui sortait de la douche au vu de ses cheveux mouillés, eut un mouvement de recul en scrutant le téléphone.
- Bon chanté, Lisanna! T'as une tête de zombie! Un vrai macabé!
- Je sais, je sais, je viens de rentrer chez moi, expliqua-t-elle. J'ai pas dormi de la nuit. Enfin, je crois pas.
- Comment ça ça? Tu crois pas? S'horrifia Rima.
- Eh, pourriture, tu m'as abandonné! S'exclama la blanche avec un doigt rageur vers l'écran.
- Je te ferais dire que tu m'as abandonné en première, pouffiasse, rétorqua Rima.
- Ok, ok, j'avoue, désolée, chérie, concéda Lisanna avec un air coupable. Message de Tu es partie tôt d'après ton dernier message.
- Ouais, je me faisais chier, mentit la blonde.
Elle n'a pas le courage de tout raconter à ses amies. Elle se sentait déjà assez nulle comme ça d'avoir complurer.
- Un pote à Toshiro a dit que tu es partie en pleurant, lâcha la Strauss.
Cette réflexion coupa le souffle à la jeune fille. Le destin avait décidé d'autrement que elle apparemment.
- J'ai dansé avec Genki, une terminale m'a fait une mauvaise réflexion, et je ne sais pas pourquoi. Peut-être la fatigue? Je me suis mise à pleurer, expliqua vaguement Rima. Puis, Kain et Hanabusa m'ont vu et sur est reparti. Point. Et toi? Ta mère est lieu te rechercher?
- Pas cool ta soirée, Rima, fit remarquer Vivi. Ma pauvre, je suis désolée que tu es pleurée.
- C'est pas grave. Je m'en envoietris, je suis grande, fit la Kuran.
Même si, vu son ton, elle essaye plus de se convaincre elle-même que les autres. Lisanna se racla la gorge.
- C'est un pote à Toshiro qui m'a ramené en voiture, lâcha-t-elle. J'ai dit à ma mère que j'avais dormi chez toi Rima, donc gaffes pas.
- Et tu comme dormi chez qui? Du coup? Questionna Vivi.
- Une partie chez les gars qui organisent la fête et l'autre partie, chez Toshiro.
- Et donc? Demanda Rima.
- Et donc? Répéta Lisanna.
- Tu l'avez fait? Simplifia Vivi.
Rima savait. Elle savait en ce dimanche vingt neuf octobre, elle était la dernière de son groupe d'amie à être encore vierge. Cela ne la gênait pas. Encore heureux, être vierge n'était pas une tare. C'était juste que cela lui faisait l'objet, les effectifs de la réalité ne sont pas les mêmes. Qu'elles ne grandissaient pu à la même allure. Enfin, elle s'en fichait. Rima voulait perdre cela ... quand elle serait prête. Grand-mère se ficheras sûreté de sa tête en désant qu'elle gâchait sa jeunesse. Tandis que Mémé la poussière limite à assister au mariage.
Lisanna s'adapte à un petit clin d'oeil pour confirmer les pensées de ses amies. Vivi poussa un cri qui tira Rima de ses pensées. Elle écouta ensuite Vivi poser un nombre incalculable de question bizarre. Puis, elles se mirent à comparer leurs premières fois respectives. La Kuran se sentit légèrement perdue. Les filles parlaient, elle tentait de s'imaginer, mais cela restait trop abstrait pour elle. Certes, elle savait à quoi ressembler les dessous d'un homme, et comment l'acte se faisait en lui-même. Plus elle ne veut comprendre les sensations dont elles parlaient.
- Bon, sinon, je vous ai pas juste appelé pour parler de mon dépucelage, lâcha Lisanna. Mardi, c'est Halloween, et j'ai un plan pour s'amuser.
