OS:
L'élection
France déprimait.
-Allons, sa vas aller Francis, dis toi que ce n'est que pour cinq ans, lui dit Arthur.
-Ah, et la drôle de guerre, c'était quoi?
-Oui, bon, ce n'est pas la même chose... ça ne concerne pas une guerre...
-Quant sais-tu? Ça se pourrait!
-... C'est pas un peu exagéré? Fît l'Anglais.
-C'est le bien être de mon peuple qui m'inquiète! Tu sais qu'il a pour idée d'imposer des ordonnances? Ça revient à de la dictature! Sans parler de ses lois sur le travail! Il veut les exploiter tels des esclaves ou quoi?
-Tu aurais préféré l'autre peut être?
-Et avoir une raciste/xénophobe/antisémite/homophobe/ ect au pouvoir? Quand il gèlera en Enfer!
-Bah alors de quoi tu te plains?
-Même si la majorité des français ont voté pour lui, il n'empêche que c'était un vote par défaut. Beaucoup de français sont déçus et inquiets pour l'avenir...
-N'exagères pas!
-... D'ailleurs, je crois que je vais faire comme beaucoup.
-Quoi donc?
La France regarda Angleterre avec un air pincé.
-Ma sœur Belgique m'a proposé des vacances chez elle pour quelques temps, surtout quand je vois que t'as autant de sensibilité qu'une petite cuillère. En plus, ils font du bon chocolat les Belges.
Ainsi, Francis laissa planter là Arthur.
Et c'est là que se décida à intervenir Amérique.
-Faut pas déconner avec les élection! AH AH AH!
-Et c'est un Bloody Wanker de bouffeur de hamburger qui me dit ça ?! S'énerva l'Angleterre, lançant un regard venant tout droit de sa période pirate.
Morale de l'histoire:
Ne jamais, au grand jamais parler d'élections avec les nations.
Ça apporte toujours des emmerdes.
