Désolée pour les différences de paroles ... j'ai les livres en anglais, donc je fais mes traductions ... et la traduction francaise a des erreurs !! donc je préfère garder mes paroles !! ;)
Esme Island
Point de vue d'Edward
J'apercevais au loin l'ile d'Esme, bien que ne l'ayant jamais vu de mes propres yeux, je la reconnue tout de suite. Carlisle et Esme avaient tant de souvenirs de leur lune de miel, enfin leurs lunes de miel pour être exact, que j'avais l'impression d'y avoir moi-même passé des vacances.
‟Bella, regardes là-bas." Dis-je assez fort pour qu'elle m'entende malgré le bruit du bateau, tout en pointant un doit vers l'horizon.
Elle ne répondit pas pendant 1 ou 2 minutes, certainement le temps que ses yeux humains puissent voir l'ile en question, puis elle murmura ‟Ou sommes nous ?"
Dirigeant le bateau vers le nord de l'ile pour l'amarrer, je souris largement ‟C'est l'Ile Esme." Les docks n'étaient que des planches de bois construit sur les ordres de Carlisle pour permettre d'accoster plus facilement d'un bateau. Une fois le moteur éteint, on pouvait entendre toute la végétation de l'ile ainsi que sa population animale et les remouds de l'eau.
‟L'ile Esme ?" La voix de Bella était basse, incrédule.
‟Un cadeau de Carlisle, Esme a proposé de nous la prêter." Lui répondis-je en plaçant les valises sur le ponton. Elle paraissait surprise, je l'imaginai alors découvrant le solde de mes comptes en banque. Les nôtres, étant désormais mariés. Mariés. Cette pensée me fit de nouveau sourire, je ne pouvais m'empêcher de réagir ainsi à chaque fois que je me souvenais qu'elle était ma femme. Ma femme.
Toujours souriant, je me retournai vers ma femme et la pris dans mes bras pour l'amener sur les docks.
‟N'es-tu pas supposé attendre le seuil de la porte ?" Me demanda-t-elle à court de souffle, alors que nous descendions du bateau.
Je lui répondis d'une légère grimace ‟Tu sais à quel point je suis consciencieux." La portant dans mes bras, je marchai le long du chemin de sable à travers la végétation, en direction de la maison déjà éclairée. J'avais demandé à Gustavo de faire quelques préparatifs avant notre arrivée, dont certains pour le confort de Bella, comme de mettre le chauffage pour qu'elle n'ait pas froid en ma présence, bien sur je n'avais pas partagé la raison avec Gustavo. J'espère que j'ai pensé à tout. Chaleur, nourriture, … si je pouvais tout prévoir aussi facilement. Comment être sur que je ne vais pas la blesser ?
Le cœur de Bella s'accéléra, ses respirations se firent plus profondes. Je baissai les yeux vers son visage pour déceler la cause de ce changement mais elle garda son regard sur la maison. Peut être avait elle peur de ce qui allait se passer, elle était humaine après tout, il était normal qu'elle ait peur … pfff, qui est-ce que j'essaye de leurrer ? Je suis tout aussi stressé qu'elle et pas seulement sur le fait de la blesser, mais pour l'acte en lui-même ... après tout c'est sa première fois, c'est ma première fois à moi aussi, c'est notre première fois, est-ce qu'elle va … est-ce qu'on va … avoir du … plaisir ? Si j'avais été humain, c'était certain j'aurai rougit. Je connaissais les bases, merci - ou pas - à Emmett et Rosalie qui s'en donnaient à cœur joie, et bien que j'essayais toujours de ne pas écouter leurs pensées, je ne pouvais pas totalement les exclure. Sur le moment je ne savais plus si j'avais peur de la blesser ou de ne pas lui donner de plaisir.
Arrivés sur le porche, je posais les bagages pour ouvrir les portes, nous étions au seuil, je contemplai ma Bella attendant de croiser son regard pour effectuer l'une de nos premières étapes de mari et femme. Femme, que c'était bon de dire ce mot. Enfin de penser car j'avais trop de trac pour dire un mot.
La maison ressemblait beaucoup à celle de Forks, la plupart de nos résidences se ressemblaient d'ailleurs. J'allumai les lumières, révélant la large pièce précédemment éclairée par la lumière du clair de lune qui traversait le mur vitré. Et en son centre un énorme lit. Bien qu'ayant déjà vu la pièce en souvenir, le lit me parut extrêmement grand, une vague de peur me traversa. Je m'arrêtai pour allumer la dernière lumière et sentis que le cœur de Bella n'avait pas ralentit, elle devait elle aussi être impressionnée par la taille de ce lit. Je la remis sur ses pieds avant de lui dire ‟Je vais … chercher les valises."
Laissés sur le porche, j'attrapais nos bagages, je les déposai et ouvrai celle de Bella sur un buffet, découvrant les fanfreluches, je supposais Alice d'y être pour quelque chose. Je me rapprochai de Bella qui s'était avancée dans le centre de la pièce, une goutte de transpiration perlait sur son cou, je caressai sa nuque brulante pour l'enlever et compenser la chaleur.
‟Il fait un peu chaud ici. J'ai pensé …" Commençai-je, hésitant ‟que se serait mieux."
‟Consciencieux" murmura-t-elle. Je ris, le son de mon rire m'apparut soudain nerveux. Est-ce que Bella l'avait remarqué ? Ce n'était pas dans mon habitude de ne pas être en contrôle, j'étais en général sur de moi, voulant toujours contrôler de ma soif, contrôler les mouvements de mon corps pour qu'ils ne soient pas trop rapides ou trop forts.
‟J'ai essayé de penser à tout ce qui permettrait de rendre les choses … plus faciles." Expliquai-je.
Bella déglutit, ai-je dis quelque chose qui l'a mise mal à l'aise ? Ou est-ce seulement le trac qui était la raison de son attitude pensive.
‟Je me demandai, si … d'abord, … " Bella avait le don de me rendre nerveux, normalement les vampires sont placides, surement parce que pour nous il n'y a pas d'urgence, nous avons toute l'éternité devant nous, mais depuis le premier jour ou j'avais rencontré Bella, elle m'avait complètement transformé.
‟Peut être que tu aimerais prendre un bain de minuit avec moi ?" J'avais toujours l'air aussi peureux. J'étais tellement moins sur de moi depuis que je la connaissais, j'avais fuis pour Denali, j'avais attendu de connaître ses sentiments pour lui dire que je l'aimai, autant de souvenirs ou je m'étais traité de lâche.
Je pris une profonde respiration pour reprendre contenance. ‟l'eau sera très chaude. C'est le genre de plage que tu aimeras."
‟Ca me parait bien." Sa voix se brisa à la fin de la phrase, je n'étais pas le seul à appréhender ce qui allait se passer. Quelque part j'aurais préféré qu'elle ne soit pas si nerveuse elle-même, c'était son idée et j'avais peur qu'elle ne doute de plus en plus et finisse par regretter son choix.
‟Je suis sur que tu aimerais une ou deux minutes humaine …" J'espérai ainsi la mettre plus à l'aise. ‟C'était un long voyage."
Ma femme acquiesça, pendant que mes lèvres caressaient sa gorge. Je ris, j'étais encore sensible en pensant qu'elle était ma femme, Ne résistant pas à partager cette joie, je lui dis ‟Ne soyez pas trop longue, Mrs Cullen." Que c'était bon de dire ça.
Bella sursauta à son nouveau nom, ou était-ce l'air frais de mon souffle contre sa peau chaude ? Je l'embrassai tendrement du cou jusqu'à l'épaule. ‟Je t'attends dans l'eau."
Je me dirigeai vers les portes qui donnaient directement sur la plage et enlevai ma chemise par-dessus la tête puis la laissai sur le sol.
Arrivé dehors, je remerciai intérieurement la chaleur étouffante de l'air qui contrastait grandement avec mon corps gelé, Bella n'aura aucune restriction à être avec moi pendant notre lune de miel. J'espérai seulement que tout le reste se déroulerait aussi facilement que les idées m'étaient venues.
Je me défis du reste de mes vêtements, les mis sur un arbre près de la plage et marchai lentement sur le sable jusqu'à ce qu'il y ait assez d'eau pour plonger. N'ayant pas besoin d'air, je me retrouvai vite loin du rivage. Bien que ce soit agréable de pouvoir nager sous l'eau sans avoir besoin de respirer, c'était également déroutant de ne pas pouvoir compter sur son odorat. Pour nous les vampires, l'odorat était très important, toutes nos actions – ou presque – étaient en relation avec ce sens. Je ne vis pas beaucoup d'animaux, pour ne pas dire aucun … dès que j'apercevais ne serait-ce qu'un petit poisson, leurs instincts leur disaient de se sauver.
Je revins vers la plage et me tournai vers la lune, pour attendre ma Bella. L'astre était superbe mais j'avais l'impression de ne pas réellement le voir, trop concentré sur mes doutes, je ne voyais que le visage de Bella. Ai-je raison d'accepter la requête de Bella ? Carlisle m'avait dit qu'il avait confiance en moi, que j'étais assez fort pour ne pas la mettre en danger. Mais si c'était aussi intense qu'il me l'avait dit et que je ne puisse pas me contrôler ? Bella avait déjà tant sacrifié, elle sacrifiait sa vie pour être avec moi pour l'éternité, elle avait même accepté qu'on se marie … certes sous la condition qu'on fasse l'amour avant sa transformation … ‟Ne sois pas un lâche." Me dis-je à moi-même. Carlisle a confiance en moi, Bella a confiance en moi. Je dois juste me concentrer et me contrôler, comme je le fais tous les jours quand je la serre dans mes bras.
Soudain, j'entendis ses pas s'arrêter derrière moi, Bella souffla pour se donner courage – enfin, je supposais - c'est pourquoi je ne me retournai pas pour l'accueillir et également pour ne pas l'embarrasser d'avantage, bien que l'idée de voir ses joues s'empourprer était tentante.
Mes mains étaient à la surface de l'eau, je ne me souvenais pas d'avoir été à la plage pendant mes années humaines mais cependant j'avais vu dans leurs pensées, les plagistes le faire pour sentir la chaleur du soleil sur leurs mains. Bella avait vraiment le don de me rendre plus humain, j'espérais simplement que se serait suffisant.
Elle entra dans l'eau, les légers mouvements de vague ne m'atteignirent pas mais je pu les entendre. Lentement mon amour arriva à ma droite et posa sa main sur la mienne et elle dit ‟Magnifique" en regardant à son tour la lune.
‟C'est vrai." Dis-je peu convaincu par la beauté de la lune, je me retournai pour faire face à ce qui était pour moi la beauté absolue et entrelaçai nos doigts sous l'eau. J'espérai que celle-ci était assez chaude pour que Bella ne sente pas la froideur de mon corps. ‟Mais je n'utiliserai pas le mot magnifique. Pas avec toi, te tenant ici en comparaison."
Suis-je à ce point nerveux, que je puisse dire autre chose que mes pensées ? A nouveau, la pensée que Bella me rendait plus humain me traversa. Elle sourit à mes mots, visiblement gênée et flattée, elle plaça sa main droite à l'endroit ou mon cœur se trouvait. Je tressaillis légèrement au touché, Mon souffle se fit plus inégal, moi qui avait l'habitude de maitriser mes émotions j'étais totalement sous tension, apeuré par ce que nous allions faire. Elle était nue près de moi, je sentais la chaleur de son corps irradier l'eau dans un périmètre de 20cm autour d'elle. Tout me donnait encore plus de désir, sa nudité, sa chaleur, son regard, ses courbes, mais tout me rappelait également que j'avais pouvais lui faire mal.
‟J'ai promis que nous essayerons. Si …" je vais trop fort, non il ne faut pas l'effrayer, c'était tellement important pour elle. Je me tendis à la penser de la blesser autant physiquement que mentalement. ‟Si je fais quelque chose de mal, si je te blesse, tu dois me le dire à la seconde." Murmurai-je.
Bella acquiesça sans détourner une seule fois son regard. Elle avait visiblement foi en moi, ce n'était pas assez pour m'enlever toutes mes peurs cependant. Elle fit un autre pas vers moi et pencha sa tête contre mon torse. ‟N'aies pas peur. Nous serons ensemble." Bien que sa voix était basse, l'assurance se faisait sentir, cela semblait si facile en entendant mon amour le dire.
Je l'enlaçai tendrement et lui dis ‟Pour toujours." Puis l'entrainai lentement sous l'eau. Levant son menton de ma main droite, mes lèvres trouvèrent les siennes, la différence de température était quasiment inexistante dans l'eau chaude.
Je ré-enroulai mon bras autour de Bella pour caresser son épaule et fis le chemin jusqu'à ses cheveux pour resserrer encore d'avantage notre étreinte. Mon autre main se déplaça vers le creux de ses reins.
Les bras de Bella, précédemment coincés entre nos bustes s'enroulèrent autour de moi, plaquant ainsi sa poitrine contre mon torse. Le touché de ses seins fermes contre ma peau m'électrisa, j'ouvris les yeux de peur en réalisant soudain que Bella aurait bientôt besoin d'air.
Nos deux corps soudés remontèrent à la surface, Bella prit une profonde respiration pendant que j'embrassais son cou, de sa gorge à son épaule, je repris le chemin inverse mais descendis légèrement en arrivant à sa clavicule, Bella releva sa tête pour me laisser accéder à la naissance de sa poitrine, ma mains retenait sa tête en arrière. Elle émit un petit gémissement qui me fit frémir de désir et de satisfaction.
Ses mains se déplacèrent lentement, remontant de mon dos jusqu'à mon cou. Elle releva la tête, je n'avais pas besoin de lire son esprit pour savoir qu'elle voulait m'embrasser à nouveau. Notre baiser était plus précipité, il évoquait notre désir mutuel. Bella se resserra contre moi, je du me rappeler de ne pas la serrer de toutes mes forces en retour, et elle m'embrassa la mâchoire puis arrivant à mon oreille, elle murmura ‟Je t'aime, Edward." Elle ancra ses yeux dans les miens, je n'avais plus peur de lui faire mal … enfin, presque.
Prenant appui de ses bras, elle encercla avec ses jambes ma taille, ‟Tu veux qu'on retourne dans la maison ?" lui demandai-je gentiment. D'après ce que m'avaient dit mes frères, l'acte amoureux était tellement fort que je préférai avoir autre chose à serrer, mordre ou même frapper que Bella, si la sensation se faisait trop puissante. Un petit regard coquin naquit dans les yeux de ma femme et je me demandais soudain si je n'avais pas la même expression. J'étais tellement focalisé sur ma peur de la blesser que j'en oubliai presque la peur de faire l'amour pour la première fois, mais à ce moment précis tout ce que je sentais c'était le désir grandir de plus en plus.
Bella ne desserra pas ses jambes et m'embrassa pendant que j'utilisai toute ma vitesse pour nous emmener dans la maison.
Plus lentement, je m'approchai du lit, et me pencha dessus pour nous y allonger, sans peser tout mon poids sur son fragile petit corps. Fragile petit corps, je recommençai à ressentir une vague de peur, mais essayai de me rassurer immédiatement, Bella a promis de prévenir si ça se passait mal. Mon expression avait du changer, rattrapé par mes inquiétudes car Bella se redressa et me dit plus sure que jamais ‟Ca va aller."
Je me mis sur le flan, et commença à caresser son épaule, descendant le long de son bras, elle se mit également sur le côté et m'embrassa tout en courbant le dos pour recoller nos deux corps, ma main aidait son geste en appuyant sur sa colonne. Je repris le parcours de son corps en descendant ma paume le long de son dos jusqu'à ses fesses ou je bifurquai sur sa cuisse et la relevai sur ma hanche. Nos baisers devenaient de plus en plus intenses, les doigts de Bella effleuraient les muscles tendus de mon bras puis les entrelaça dans mes cheveux.
Avec sa main derrière ma tête, elle interdit l'interruption de nos baisers alors qu'elle se rallongeait sur le dos, me penchant légèrement sur son corps. Ma main abandonna sa cuisse pour partir à la conquête de sa poitrine, aussi doucement que je le pouvais je caressai ses seins raffermis par le désir. Je quittai sa bouche pour l'embrasser dans le cou, elle gémit à nouveau sentant ma cuisse presser contre son sexe.
Son odeur était enivrante, je voulu la goûter, pas boire son sang mais lécher du bout de la langue son corps brulant ; j'emmenai donc ma bouche descendre le long son corps, de la courbe de sa poitrine au plat de son ventre où ne voulant pas aller trop vite avec des caresses plus intimes, j'arrêtai juste au dessus du pubis et repris le sens inverse.
Les courbes de Bella étaient telle que je les avais imaginées – les pensées errantes des vampires, et puis j'étais un adolescent de 17 ans après tout – elles n'auraient pu être plus parfaites. Sa peau douce comme du satin m'incitait à continuer mes caresses, j'étais hypnotisé par sa perfection. Remontant lentement sur sa magnifique poitrine, je regardai un instant ma main sur son sein droit et ris intérieurement à la pensée que ces 2 parties de nos corps étaient faites l'une pour l'autre – comme j'étais fait pour Bella et vice versa – ils étaient de la bonne taille, ni trop gros, ni trop petits, juste ce qu'il fallait par rapport à mes mains. Je repris les lèvres de mon amour, savourant à nouveau son merveilleux parfum, pendant qu'elle dessinait le contour de mes omoplates.
Bella descendit ses mains le long de mon dos, jusqu'à mes fesses, et je compris lorsqu'elle écarta les cuisses qu'elle voulait que j'entre en elle. Une nouvelle vague de stress me submergea, cependant – contrairement à toutes mes précédentes pensées – je n'avais plus peur de la blesser. Les caresses étaient faciles car bien que je n'ai jamais vu son corps auparavant je l'avais déjà caressé, certes jamais aussi intensément et alors qu'elle était nue mais c'était plus facile que ce qui allait suivre ; et même si je connaissais la théorie, passer à la pratique était impressionnant, autant pour un humain que pour un vampire.
Tous les deux silencieux, nous ne communiquions alors que par les regards ; Bella devait elle aussi avoir peur. Tout ce qu'indiquait le sien était de l'amour et du désir, je soupçonnais le mien de trahir ma peur car Bella m'embrassa férocement pour me redonner confiance. Bien que ce soit pour elle aussi sa première fois, elle paraissait très détendue ; ses caresses cependant étaient précipitées comme si elle craignait que je ne change d'avis, ou bien était elle plus paniquée que je ne le pensais ?
D'un mouvement lent du bassin, attendant le moindre signe de Bella, je la pénétrai, la sensation était immense, je n'avais jamais rien connu de tel auparavant, rien d'aussi intense, boire le sang n'était rien, boire le sang humain n'était rien, boire son sang n'était rien. Tout en me concentrant sur mes mouvements pour qu'ils ne soient pas trop brusques, je la scrutai attentivement pour déceler mes moindres faux pas.
Elle remonta ses jambes sur mes hanches et se cambra tout en gémissant. Elle était si belle sous le plaisir, je la remerciai intérieurement d'avoir insisté sur cette demande.
Progressivement elle me serrait avec plus de force que je l'en pensais capable, sa respiration ainsi que ses battements de cœur se faisaient plus rapides.
Tout à coup une vague de chaleur me traversa le corps, je m'accrochai à ses hanches, l'espace d'une seconde, puis réalisant avec horreur que je la serrai fortement, j'attrapai la première chose qui était à ma portée et mordis férocement tout en grognant de plaisir.
Bella ne parut se rendre compte de rien, elle s'accrochait toujours à moi, une main dans mon dos, l'autre restée sur mes fesses, elle criait également tout en relevant sa tête en arrière, submergée par la jouissance.
Doucement je me penchai légèrement sur mon amante pour l'embrasser. Ce baiser fut lent, doux ; bien que passionné par l'expérience que nous venions de partager, il était plus sensuel que bestial.
Un sourire immense naquit sur les lèvres de Bella et je cru pendant un instant qu'il ne s'en irait jamais, elle semblait exténuée, il est vrai que pour elle c'était une longue journée, je m'allongeai à ses côtés et la serrai contre moi.
Tout près de son oreille je murmurai ‟Je t'aime ma Bella." Et commençai à chantonner sa berceuse mais elle s'était déjà endormie.
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