L'air se sent humide, et Francis sait que la tempête n'est pas loin. Il a peur. Il ne veut pas savoir que passera demain. Mais, il déjà sait. Demain, Jeanne sera brûle sur le bûcher. Il devrait être là. Il faut écoute ses cris. Il faut voir son belle Jeanne brûlée.
Francis voir le ciel, gris et solitaire. Il pense maintenant que Dieu ne peut pas exister. Il est trop cruel. Il est inhumain. Et Francis ne peux pas faire rien mais pleur. Le ciel pleut avec lui. Les éclairs commencent, comme si le ciel veut célébrer la mort certain de la mademoiselle qui à aider son pays avec tout sa vie. Les nuages couvert le soleil. L'orage commence.
Demain, il pleurera plus. Mais il promet à lui-même qu'il ne pleurera pas devant de Jeanne. Elle a été fort pour lui, ainsi il sera fort pour lui. Mais aujourd'hui est le 29 de Mai de l'année 1431. Aujourd'hui, il se permettra pleurer. Il s'oubliera de tout le mal du monde. Il se souviendra de tout le temps qu'il a passé avec cette femme extraordinaire.
Il se souvient. Se souvient de la première fois qu'il l'a voit. Elle très belle avec ses cheveux blonde et ses yeux bleues et sa souris de bonheur. Mais il ne l'aime pas car elle est belle. Il l'aime car elle est courageuse. Se souvient de la première fois qu'il l'a voit au bataille, sa sabre un bâton de mort ses yeux brillant avec détermination la passion avec laquelle elle combattait l'amour qu'elle a pour son pays, et partant pour Francis.
Il rire même si il pleut, pendant qu'il se souvient de quand il l'a embrassé. L'embrasse a duré seulement une seconde, la meilleur seconde de sa vie. Quand s'a fini, elle l'a giflé. « Mais pourquoi vous avez fait ça ! » elle l'a demandé. Il a rougi. Il avait être la première fois que une femme n'a pas veut son embrasse. Et il avait être la première fois qu'il s'avait senti si peu sûr dans les affaires de l'amour. Alors, il a haussé les épaules et a parti.
Ses larmes arrêtent. « Car je t'aime » il souffle. « Car je t'aime » il répète, plus fort ce fois.
Le tonnerre secoure la terre. Les éclairs clignotent. Et le pays qui s'appelle la Royaume de France pleure avec le ciel pour les mots qu'il n'avait pas le courage de dire à la femme qui les mérite.
N/A : Je ne parler pas le français, mais je l'ai étudié pendant trois ans au lycée. Ainsi, je suis désolée pour mes erreurs, grammatique et pas. Si vous voulez m'aide, s'il vous plaît écrivez-moi un review, dites-moi comment je peux améliorer mon français ! Merci beaucoup pour sa lecture !
