Je ne possède pas SDK
Bonjour à vous ! C'est encore moi Nanamy . . . Et voui ! Je vais vous embêter avec une petite histoire qui me trottais dans la tête depuis un certain temps. Cette fiction sera très courte (elle se termine au chapitre suivant) car je dois me concentrer sur Yuya Ishanty et bien sûr, sur Carnet de Voyage avec ma petite Chibi-yuya que j'adore beaucoup Hihihi
Bref j'espère que vous allez aimer, laissez-vous plonger et guider par cette fiction toute mignonne !
Je dédie cette courte fiction à tous les fans du Kyo x Yuya (Je pense surtout à toi. . .Peckforever(trèès grandeuh fan du Kyo x Yuya ) et à Nadeishiko (avec sa soeur) . .et bien sûr à beaucoup d'autres ! XD)
Allez bonne lecture !!
Bye bye
Chapitre 1:Une rencontre
D'D'D'oOoOoD'D'D
« Maman !! Maman !! Raconte moi encore l'histoire de ta rencontre avec papa !! » S'écria une petite fille en tirant sur la manche de sa mère.
La belle maman regarda sa fille avec bienveillance. Un sourire naquit sur ses lèvres et elle répondit d'une voix douce à sa petite.
« Bien sûr, Yuko. Viens on va se mettre dans le jardin, pour profiter de cette belle après-midi. »
La fillette, très heureuse de cette réponse, courut en direction du jardin de la petite maison familiale.
Le jardin n'étais pas bien grand, mais il y régnait une ambiance chaleureuse et réconfortante.
Au centre du gazon il y avait une petite table avec quatre chaises et un parasol, un petit chemin de pierre y accédait. Sur le coté de cet aménagement, il y avait une balançoire qui semblait usée. Tout autour du jardin il y avait des fleurs en tout genre. De couleurs variées, rose, violet, rouge, jaune . .
La fillette âgée de moins de dix ans attendait patiemment sa mère.
Lorsqu'elle la vit arriver, elle lui fit un énorme sourire.
Sa maman qu'elle adorait tant était une belle femme blonde avec des yeux magnifiques et une taille fine. La mère s'avança près de sa fille en déposant un plateau comportant des biscuits et de la limonade fraîche avec tous les accessoires pour en profiter.
« Maman raconte moi !! » S'impatienta Yuko, sur sa chaise.
La maman la regarda avec un grand sourire. Cette histoire, son histoire, elle l'avait déjà raconté maintes et maintes fois à sa fille, mais elle s'en lassait jamais.
« Calme toi, et laisse-moi te raconter comment j'ai rencontré ton père, le grand. . »
« Onime no Kyo !! » Termina la tête blonde qui était maintenant surexcitée.
La mère poussa un soupir de lassitude, vraiment cette enfant la surprendra toujours, bien qu'elle connaisse cette histoire sur le bout des doigts, elle ne se lasse jamais de l'entendre de sa bouche.
« Bon reprenons et cette fois ne me coupe pas la parole, promis ? »
« Promis » murmura doucement la fillette de peur que sa mère se fâche et ne raconte plus l'histoire, car comme le disait son papa, maman s'emporte trop vite et nous casse les oreilles.
« Tu es une gentille fille.. Bon commençons. . »
C'était par une belle journée d'automne dans les rues de Tokyo, qui dit belle journée à Tokyo durant cette saison, dit pluie et grisaille.
A cette époque j'étais une jeune étudiante en l'histoire de l'art. L'art me passionnait, surtout l'art occidental, tel Picasso - peintre Espagnol, ou Van Gogh - peintre néerlandais . . . et j'en passe.
J'étais moi-même une petite artiste peu reconnue grâce à mes tableaux. Mon professeur à l'époque Mr. Sanada me disait souvent que j'avais beaucoup de talent, quoiqu'il voulut plutôt que je découvre son lit. Ce n'est rien ma belle, c'est juste une expression, non je t'expliquerai ça plus tard, non ne demande pas à papa car il se fâchera. Je continue. . .
En ce temps j'étais une jeune femme libre et fière découvrant la vie citadine. J'étais pleine d'espoir et de rêves.
Je me rappelle ma première exposition, c'était à ce moment là que tout a commencé. Le 10 octobre 1998, la même année où les français gagnèrent la coupe du monde de football, mon frère était dans un état. . . Bref ce n'est pas important. Donc en ce 10 octobre j'ouvrai les portes de mon monde intérieur. Okuni, une de mes amies m'aida beaucoup pour l'ouverture, grâce à son sens hors du commun des relations. . .Bref passons.
Alors j'étais entourée par mon amie et mon professeur et nous attendions avec une grande excitation les premiers visiteurs.
Au bout de quelques minutes insoutenables nous accueillions les premier curieux.
Je fit la connaissance d'une certaine Mahiro qui est devenue ta marraine justement. Au premier regard je vis très vite que c'était une personne timide, mais après qu'on ait discuté des mes oeuvres et la vie à Tokyo, j'ai sus alors que je m'étais trompée royalement. C'était une fille énergique et pleine d'entrain. Très important vu comment se comporte son petit ami, qui est maintenant son mari. Hidetada alias Tigre-rouge. Il utilise ce pseudonyme pour ses romans très particuliers. Euh, non Yuko tu ne peux pas les lire, c'est réservé aux grandes personnes. Quand tu pourrais les lire. . Pas avant d'avoir la majorité au moins. Bon je continue. . .
Je fis aussi la connaissance de plusieurs grands artistes venus ici pour découvrir les nouveaux talents.
J'ai eu la joie de rencontrer Kyoshiro Mibu, un grand sculpteur . . oui c'est le monsieur rigollot qui vient nous voir souvent.
La fête était à son plein et mon exposition faisait fureur, j'avais même vendu la moitié de mes tableaux, j'étais si heureuse. Jusqu'à ce qu'un homme me fasse une remarque désobligeante.
« C'est quoi ces pitreries, on es dans le musée des horreurs ? » avait-il dit d'une voix cinglante.
J'étais vraiment furieuse contre cet homme qui osa cette remarque, certes tout le monde ne peut pas aimer, mais le dire de cette façon, y a des limites à la connerie humaine quand même.
« Mais pour qui vous vous prenez pour dire ce genre de chose ? » Lui répondis-je folle furieuse.
« Pour Onime no Kyo. »
Mon coeur rata un battements, je ne sais pas si tu te rends compte mais à l'époque Onime no Kyo était comme le mélange d'Apollon et de Christophe Colomb de la peinture, il a lui même inventé son propre style, et qui a fait le tour du monde !! C'est comme Durkheim pour les sociologues, euh c'est le père fondateur de la sociologie. .Bon comment t'expliquer c'est comme le Saint Graal, tu comprends ? Euh c'est comme. . . Antique café, ton chéri . .euh Bou !! Oui c'est ça c'est comme Bou ! Tu comprends ?? Non calme toi, oui c'était simplement une comparaison pour que tu comprenne ce qu'il représente. Ne va pas dire à ton père que je l'ai comparé à ce blondinet, il ne le supporterai pas.
Bon alors il me dit son nom et là je crois rêver, parce que j'ai toujours admiré son travail. Ses peintures si brutes, mais en même temps sensuelles, érotique . .érotique ? Euh je t'expliquerai ça une autre fois.
Mais malgré mon admiration pour cet homme que je rencontre pour la première fois, il me vient un sentiment de dégoût, il me répugne. Et je lui répond folle de rage.
« Et alors ? »
Sur le coup il paraît surpris mais il ne lâche pas l'affaire et semble même amusé par la situation.
« Et alors, Onime no Kyo est le plus grand artiste que la terre n'ai jamais porté !! Et s'il dit que vos peintures c'est de la merde, alors c'est de la merde!! » S'écria une voix aigu très désagréable
« La ferme Akari » dit simplement le démon avant de repartir continuer sa visite suivi de très près par cet Akari.
J'ai eu à peine le temps de détailler Kyo, mais malgré son fichu caractère, il est comme on le dit, beau comme un dieu. Akari devait être sûrement sa compagne car durant toute la soirée elle le collait comme un chien et lui ne disant rien, il observait simplement mes tableaux.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu un pincement au coeur.
A la fin de la soirée, après avoir remercié tout le monde de sa venue, Okuni me dit, que Kyo, le célèbre démon avait acheté une de mes peintures. Il m'avait acheté 'ce tableau '. Ce n'était pas n'importe quel tableau banal, car je l'avais peint selon plusieurs sentiments que j'avais éprouvés. Oui mais puce c'est le tableau que l'on a dans le salon. C'est un le tableau qui raconte l'histoire d'un grand samurai d'antan. Par une drôle de coïncidence ce samurai porte le même nom que Kyo. . Oui désolé je m'égare, tu connais bien la légende du grand samurai Kyo et de ses amis les quatre sacrés du ciel, oui avec les méchants Mibu, oui ma puce, tu as raison. Je continue tu veux bien ? Oui Kyo c'est le plus fort, mais tu permets ?
Donc il avait acheté ce fameux tableau et nous devions lui remettre dans les jours suivants. Mais le problème c'est qu'à l'époque je n'avais pas beaucoup d'argent donc je dus donner les tableaux aux destinataires moi-même, aidée bien sûr par Okuni. Pourquoi ? Parce qu'elle avait une belle part d'intérêts, tu sais c'est le genre de femme qui ne perd jamais le fil des choses.
Après avoir fait le tour de la ville au moins quatre fois avec des chaussures neuves, t'imagine même pas l'état de mes pieds lorsque je suis rentrée chez moi.
Donc mon dernier client était ce fameux Onime no Kyo.
Et bien sûr Kyo ne voulait pas faire comme les autres, donc il habitait dans un immense gratte ciel et bien sûr au dernier étage.
Heureusement que Dieu inventa l'ascenseur parce que j'étais au bord de la crise de nerf, oui ma chérie ce n'est pas dieu qui inventa l'ascenseur, mais c'est une façon de parler. Oui ma chérie tu as raison.
Bon.
Alors j'entre dans 'merci encore Bouddha' l'ascenseur et j'appuie sur le dernier étage. Lorsque j'aperçois cette Akari crier
« Retenez l'ascenseur! »
Je me rappelle de ce qu'elle avait dit sur mes tableaux de 'merde ' alors la colère m'envahit et je l'ai regardée avec un air sadique que je ne me connaissais pas, puis je lui dis :
« Désolé mais j'ai les mains pleines »
Puis les portes se fermèrent et au dernier moment elle hurla
« Garce »
Et je lui répondis en lui tirant la langue.
C'est vrai c'est méchant, mais j'étais tellement furieuse contre elle et son adulation envers Kyo. Je la comprends il est tellement particulier mais y a des limites à la connerie humaine.
Durant tout le trajet, j'entendis cette stupide musique pour occuper les gens, mon dieu quelle musique de ... Oui pardon c'est pas beau de dire des gros mots, oui ma chérie. Bref à cause de cette musique la rage me monta à la tête, oui ma chérie il m'en faut peu, mais j'étais tellement à fleur de peau que mes nerfs ont lâché.
J'arrivais à destination, j'étais devant une immense porte, j'étais vraiment impressionnée, moi qui vivais dans un petit studio minable. C'était vraiment pas juste. Bref.
J'attendis 5 minutes après avoir sonné pour que l'on vienne m'ouvrir, mais rien.
Je voulus toquer de toute mes forces quand la porte s'ouvrir d'elle même, mais personne. Elle devait sûrement être mal fermée.
J'entrais dans l'antre du démon.
J'entendis du bruit et je me laissa guider, je traversa l'appartement qui était magnifique, incroyable. Je reconnus des tableaux magnifique de grands hommes, des sculptures datant de l'Antiquité Romaine, magnifiques. J'étais éblouie par ce lieu.
J'entrai dans une salle, où le bruit s'intensifiait, je veux dire que c'est le sifflement d'une personne qui m'attira dans ce lieu.
Ce que je vis, je ne pourrais jamais l'oublier.
Kyo torse nu couvert de peinture, en train de peindre sur une toile immense. Je me sentis rougir soudainement. Pourquoi? Parce qu'il était beau ma chérie, très beau en cet instant,mais je devais quand même retrouver mes esprits.
Je raclai ma gorge pour lui montrer que j'étais là, spectatrice de cette scène particulièrement gênante enfin pour moi. Cependant il ne daigna pas se retourner.
Là, la mayonnaise monta, nan ma chérie c'est encore une expression. . Comment ça je ne sais pas faire de mayonnaise ? Je ne vois pas le rapport. Bref.
« Monsieur Kyo, voici le tableau que vous avez acheté la semaine dernière. . . S'il vous plaît pouvez-vous signer le reçu ? »
Pas un regard, il devait vraiment être plongé dans ce qu'il faisait, ou alors il m'ignorait complètement et le faisait exprès. Ce qui m'agaça encore plus.
« Mais dites-moi si je vous gêne ? »
« Tu me gêne. »
Je lève un sourcil, il ose me répondre et me tutoyer alors que nous ne nous connaissons pas, alors là c'est le comble. C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Oui c'est encore une expression mais ne me coupe plus merci !
Je ne sais pas pourquoi j'ai réagis comme ça, mais je pris la première chose qui me vint sous la main et lui jeta en plein figure, j'e m'aperçus plus tard que c'était un bouteille d'eau et que maintenant il était trempé.
« Oups! » je fis un pas en arrière j'avais certes maintenant son attention mais il ne semblait pas vraiment calme.
«. . . »
« Euh .. . Je suis désolée mais vous ne m'écoutiez pas alors. . Euh . . Ne m'approchez pas ! » Lui criais-je très anxieuse de sa démarche et surtout de son regard, je crois que là il fut surpris par mes propos. Je crois que je comprends un peu mieux avec le recul, car je pense que c'est la première fois qu'une femme lui disait ça, alors qu'il est torse nu et dans son appartement.
« . . . »
« Non, je veux seulement une signature. . . Une SI-GNA-TURE!!! vous ne comprenez pas le japonais ?? » alors que je lui beugle ça, je me retrouve prise au piège contre le mur et je plonge mes yeux dans les siens. . . Je suis de plus en plus rouge.
« . . . »
« Si vous faites encore un pas de plus !! Je . . . Je n'hésiterai pas à me défendre !! » lui dis-je en enlevant ma chaussure et en lui faisant face. Mais il ne s'arrêta pas pour autant et il semblait même sourire.
Je n'aimais pas vraiment cette situation, car il ne parle pas et on ne sait jamais ce qu'il pense. Cette situation ne me plaisait pas du tout. Prise de panique je lui lance une de mes chaussures qu'il esquive sans difficulté et je prends l'autre. Ma chaussure à la main, j'ai l'air d'une idiote, puis je dis d'un air assez désespéré.
« Je veux seulement votre signature. »
Il est tellement proche de moi que je sent son souffle sur ma peau et j'essaie de lui planter ma chaussure sur son torse mais il me stoppe le bras et me répond à l'oreille.
« Bien entendu qu'est-ce que tu espérait d'autre? »
Il s'éloigne en prenant le papier en main, je me sent vraiment idiote. C'est vrai quoi, moi une petite artiste inconnue et lui un homme célèbre, les contes de fée n'existent plus. Il s'était bien fichu de moi et ça me faisait rager au plus au point.
Il partis derrière une porte et j'en profitais pour remettre mes chaussures et admirer son lieu de travail. C'était une grande pièce avec du parquet et des plantes exotiques. Pendant que j'étais attentive à chaque recoin de la pièce je n'entendis pas la personne qui venait.
« Mon Kyo d'amour !! Je t'ai acheté ton saké et je ... Mais qu'est-ce que vous faites là ? » dit la voix.
Je me retourne et vis avec effrois cette Akari.
« Tiens ne vous ai-je pas croisée auparavant ? Madame ? » Lui demande avec un air sarcastique.
« Madame ? » Répète-t-elle comme furieuse de cette caractéristique. Non ma chérie, les femmes ont horreur de paraître plus vieilles que leur âge, tu comprendra quand tu sera plus grande.
« Quelle est la raison de votre visite ? Chez moi ? » Continua la vieille femme, non elle n'est pas vieille mais cela m'amuse de l'appeler comme ça. Oui tu as raison ma chérie, maintenant tu comprends pourquoi elle est tellement méchante avec toi ? C'est parce que tu es jeune et très belle. Bon reprenons.
Alors que je veux lui répondre que je veux seulement une signature que Kyo intervient.
« Ferme la Akari. Ici c'est chez moi ! Et elle, c'est mon modèle ! »
« Quoi ?? » Même si nous étions 'ennemies' nous répondîmes en même temps à Kyo.
Toutes les deux choquées par les propos du démon.
« Pourquoi elle ? Alors que tu peux avoir les plus belles femmes du monde, tous les mannequins!!! » Hurla Akari folle de rage.
« . . . »
« Kyo !!! »
« Euh . . . Je suis désolée de vous interrompre en pleine scène de ménage mais j'aimerais récupérer mes papiers. » Dis-je sur un ton moqueur, que Kyo n'apprécia pas vraiment.
« Je change de style Akari. Je veux découvrir un nouveau domaine, celui des Planches à pain » Dit-il sur un ton las mais son sourire fit l'effet d'une bombe pour moi. Pourquoi ? T'aimerai qu'on te traite de planche à pain ? Non ? Bah moi non plus, je poursuis :
« Non mais comment osez vous ? Bon je récupère mes papiers et je vous laisse avec votre vieille femme. Au revoir ! » Lui hurle-je dessus en prenant au passage mes papiers de ses mains. Je me retourne et pars aussi vite que possible.
Je descends par l'ascenseur et enfin sors de ce maudit immeuble quand soudain je m'aperçois que cet abruti n'a pas signé mes papiers, je suis bonne pour y retourner. Je n'ai plus la force pour l'affronter alors je préfère rentrer chez moi.
Houlà houlà, il se fait tard ma puce. Je te raconterai la suite demain. Viens rentrons je dois préparer le dîner avant que ton père ne rentre.
La petite fut déçue sur le moment, mais Yuya la rassura, car demain elle terminerai son histoire.
Elles rentrèrent. Yuya prépara le dîner pendant que Yuko était dans sa chambre en pensant à la rencontre de son père et de sa mère. Comment ces deux-là que tout opposait tombèrent amoureux ?
Yuya en pleine cuisine n'entendit pas son mari arriver. Kyo s'était appuyé contre la porte et observait les moindres gestes de sa femme, qu'il trouvait magnifique malgré les années passées.
Il regarda encore quelques instants avant de s'approcher d'elle et de la prendre par la taille. Elle sursauta quand il lui susurra.
« Je suis rentré et je suis affamé. »
« Oh Kyo ! Bienvenu ! J' ai presque fini, nous pourrons bientôt nous mettre à table. » Annonce gaiement la blonde sans se retourner.
« Je n'ai pas faim de ça. » Répondit le démon en faisant glisser ses mains sous les vêtements de la belle qui sursauta, surprise.
« Mais. . Ky . . Kyo. » Bégaya Yuya qui se retenait de gémir quand elle sentit la langue de son mari passer le long de son cou.
« J'espère que tu es en forme car tu vas avoir une longue nuit. » Murmurera le démon qui voyait sa femme rougir de plus en plus. Malgré les assauts incessants de son mari elle rougissait, cela réjouit le démon. Après toutes ces années elle restait la même qu'il avait aimée. Même s'il était peu démonstratif de ses sentiments envers sa femme, il l'aimait sincèrement.
« Je ne crois pas pouvoir attendre cette nuit » Ajouta le brun en mordillant l'oreille de sa femme.
« Je. . Mais . . Yuko. . Elle. . » tenta Yuya .
« Bien. Hé ! La gosse reste dans ta chambre, maman et moi nous devons avoir une très longue discution. » Beugla le père de famille à la petite qui répondit aussitôt par un
« VVVOOOOUUUUUIIIII!!!! »
Yuko savait que lorsque son père l'appelais ainsi ou 'môme','gamine'. .etc et qu'il parlait de discutions, elle devait l'écouter sans rechigner sinon elle se ferait disputer violemment. Elle avait appris cette règle à ses dépends, lors d'une autre discutions entre son père et sa mère.
Mais comment son père et sa mère tombèrent amoureux ? Cette question restait sans réponse pour elle, mais elle était bien décidé à élucider ce secret.
Reviews ? Merci. . Alors comment trouvez vous la gamine ? Moi je craque ! Elle est trop mimi !! XD Bref, la suite au prochain numéro (j'ai toujours voulut dire ça lol)
