Chapitre 1 Prologue :
Bip ….. Bip … bip
Un Le réveil résonnait dans ma chambre pour déclarer que mon voyage au pays des rêves était terminé et qu'il était temps d'aller en cours. Autant dire que je n'étais pas motivé.
Je m'appelle Elyone, j'ai 19 ans et je suis à la fac. La faculté C'est un endroit génial, bien qu'il y ait beaucoup de travail niveau cours. Avec tous le travail personnel qu'il faut fournir je n'ai plus autant de temps que je voudrais à consacrer à ma passion, les mangas.
J'adore les mangas, je pourrais passer mes journées à en lire. Je les aime tous énormément, mais mon préféré, c'est One Piece. Toutes les semaines, j'attends avec d'impatience la sortie des chapitres Mais je ne peux pas me permettre de négliger mes études.
C'est donc d'un pas décidé (enfin, plutôt en mode zombie) que je me levais de mon lit pour aller prendre une douche. J'ai ensuite coiffée ma magnifique chevelure rousse. J'ai beaucoup de chance, en plus de mes cheveux roux, j'ai hérité des yeux verts de ma mère.
En sortant de mon appartement, je vérifiais que la porte était bien fermée à clé puis je décent descendais les escaliers.
Une fois dehors, je commençais à marcher en direction de la fac. Le trajet n'est pas trop long, donc je prenais mon temps pour flâner un peu aux alentours.
Et Là, je vis un groupe d'enfant qui jouait un peu trop près de la route à mon goût. Je décidais de me reprocher un peu lorsqu'un petit garçon décida de ce mettre sur la route sans voire la voiture qui arrivait à toute vitesse.
Je me précipitais pour pousser l'enfant mais je n'ai pas eu le temps d'esquivé la voiture. Ce qui se passait je mettrai plutôt passa ensuite était un peu flou.
Je reviens à moi, allongée sur le sol, couverte de sang. Je ne sentais plus rien, c'était comme si je rêvais. Des gens se sont précipités vers moi, essayant de voir comment j'allais, mais c'était inutile. Je le savais, je sentais que la vie m'échappai ma vie s'échapper. Il y avait comme une force qui m'attirait, puis est devenu blanc, j'avais l'impression de m'élever. Alors j'ai lâché prise et me laissait emporté loin.