La guerre faisait rage, les femmes restaient à la maison tandis que les hommes allaient à la guerre. Les femmes ce faisaient violer et tuer, ma mère en faisait partie. Mon père est celui qui ma plus influencer dans la vie. Je me rappelle son parfum, la senteur de ses cheveux, la sécurité que je ressentais en restant auprès de lui, son courage et sa bonne humeur. Avec le temps, j'ai appris que toutes les histoires avaient une fin, qu'elle soit joyeuse, réconfortante, triste ou déchirante. Quant ma mère est morte, mon père n'a plus jamais été le même. Il ne souriait plus comme avant, la chaleur de sa bonne humeur ne fut jamais la même, mais il resta mon idole. Je l'ai entendu pleurer qu'une fois et s'était après la mort de ma mère. Je vais toujours me rappeler de mon père appuyé contre le mur de l'entrer de la maison en pleurant, je me suis approchée de lui et je l'est pris dans mes bras, il m'a entouré de ses bras en retour. Nous sommes restés comme sa pendant des heures. J'avais 5 ans, vous vous dite sans doute que j'étais un peu jeune pour me rappeler de tout cela mais croyez moi, si vous avez vécu la guerre vous me comprendriez. Plus tard, mon père m'a envoyé dans une famille situer près d'un petit village perdu où la guerre n'avait pas atteint. Les paroles qu'il ma dit resterons à jamais gravées dans ma mémoire:

"Je vais t'aimer toute ma vie et même après. Ne laisse jamais personne te faire du mal. Tu est ce qu'il y a de plus précieux pour moi. Sois à la hauteur de ta mère. Ne fait pas la même erreur que moi, Rei. Moi, je n'ai pas su protéger mes proches mais je suis sur que toi tu va être capable de faire tout ce que tu désir dans se monde, je suis fier de toi. Sois forte Rei. Souviens-toi de ton père… De moi."

Depuis ce jour, les gens du village mon élevés comme garçon et non comme une fille. Depuis ce jour, les gens de village croyait que j'étais un garçon, tous sauf les Anciens. Âpres avoir reçu Drigger, l'esprit du tigre blanc, j'ai compris que ma place n'était pas dans ce petit trou perdu. Je devais sortir de là. J'ai ramassée mes affaires et je suis partie. J'ai marché trois longues journées jusqu'à une ville. C'est là que mon histoire commence vraiment.