Chapitre 1
Introduction
Lors de leur premier voyage à Narnia les Pevensie avait laissé quelqu'un derrière. Impuissant ils étaient sortis de l'armoire aux nombre de trois, pourtant ils étaient quatre à entrer. Ils étaient revenus dans leur monde, un monde qui avait oublié celui qui était leur frère...
Lors de leur deuxième voyage, une ombre semble se débarrasser de leurs ennemis. Une silhouette qui traverse les champs de bataille avec agilité et dextérité , comme un danseur sauvant bon nombre de Narniens.
Mais malgré leur bienfaiteur les Narniens rentre perdant de l'assaut mené contre le château de Miraz. Une dispute éclate entre Peter et Caspian. Caspian se retranche dans l'hôtel dédié à Aslan. Des adeptes de l'ancien temps et de la sorcière blanche Jadis trouvent là une opportunité rêvé de la faire revenir. Ils utilisent le prince afin de terminer l'incantation.
Mais Peter arrive à temps pour s'interposer, aider de l'ombre qui retenait le loup-garou, la sorcière et le nain.
Et malgré toute sa volonté, Peter savait que les d'Irène Jadis étaient fondés et véridique.
L'ombre réussi à tuer le loup continuant son combat avec la sorcière et le nain.
Peter commençait à se laisser convaincre.
L'ombre entailla le nain fourbe et trancha la tête de la sorcière la tuant sur le coût.
Peter tendait la main vers Jadis. L'ombre fendit l'air de son épée tuant le nain.
Peter était sur le point de toucher la sorcière antique quand soudain le bloc de glace dans lequel elle était piégé se brisât et éclata en mille morceaux laissant voir celui qui venait de tous les sauver d'un hiver éternel.
La silhouette encapuchonné se tenait devant la gravure du grand lion, entre les deux pilier encore debout, les bras au-dessus de sa tête l'épée brandit.
Caspian se releva contemplant avec admiration cette personne quel qu'elle soit qui avait tenu tête sans faillir aux trois narniens corrompu et avec assurance à l'ancienne sorcière. Alors que lui était resté prostré dans la confusion.
L'ombre baissât lentement les bras et rengainât son épée dans son fourreau.
Les sœurs Pevensie étaient arrivées essoufflé sans doute alerté par les bruit du combat qui avait eu lieu.
Deux mains pâle allèrent jusqu'à la grande capuche, qui cachait le visage de leur bienfaiteur, et la souleva avec légèreté pour la laisser retomber dans son dos la tête baissée. Il la releva et ...
