Avant propos
Bonjour à tous,
Me revoici avec une nouvelle fanfiction sur le thème de noël. A l'occasion d'un échange de fanfictions comme cadeau de Noël sur le forum .com/ j'ai commencé à écrire ce petit quelque chose. Pour ne pas changer on y retrouvera mon couple fétiche, c'est à dire Drago/Harry (mais pas dans l'immédiat), alors si vous n'aimez pas les yaoi, au revoir.
Je vous laisse lire en paix, bonne lecture à tous et, n'oubliez pas les reviews =)
Rating: k+ et oui la romance n'est qu'au second plan de l'histoire.
Personnages: Drago Malfoy est le grand vainqueur de cette fanfiction, mais on y retrouve également Harry Potter, Doby, Ron Weasley et, peut-être quelques autres personnages secondaires.
Genre: Aventure, romance et, un peu d'humour tout de même, pour la légèreté !
Disclaimer: Rien à faire j'ai beau demander, les personnages ne sont toujours pas à moi, mais bel et bien à J. à qui j'emprunte sa merveilleuse série. Quant à l'intrigue c'est à Charles Dickens que je l'a doit =)
Résumé:
C'est la veille de Noël et alors que Drago Malfoy apprend qu'il ne rentrera pas chez lui pour les fêtes, une suite d'évènement étrange va se produire. HP/DM
PROLOGUE
Drago Malfoy détestait Noël. Cette fête qu'il pensait bonne pour les moldus, se propageait dans le cœur des élèves, ainsi que des professeurs, à mesure que la date du 25 décembre approchait. Mais si le jeune héritier Malfoy, ne pouvait tolérer pareille festivité, c'est qu'elle amenait avec elle, son lot de niaiseries et, de bons sentiments. Plus que le cœur d'un Malfoy, (s'il y avait lieu de cœur), ne pouvait en supporter.
Heureusement pour le jeune homme à tête blonde, cette fête était également synonyme de bons temps. Outre les innombrables repas de fête auxquels il allait pouvoir participer, c'était également une des rares périodes de l'année où il y avait des vacances. Ce qui incluait de rentrer chez soi et, donc de rester loin de certaines personnes indésirables, (autant dire la grande majorité de Poudlard).
Mais plus que des repas et, la possibilité de retourner dans son propre foyer, il y avait une chose qui ravissait le Serpentard en cette période; briser les espoirs de nombreux élèves. En effet, le jeune homme ne trouvait pas meilleure période pour savourer le mal qu'il infligeait à ses camarades. Il ne pouvait y avoir meilleure période, que la fête de Noël et, son sentiment de générosité et, de grandeur d'âme qu'elle inspirait aux gens, pour abattre la tristesse autour de soi.
C'est sur ce sentiment de triomphe, qui remontait le moral du jeune homme, en cette période de fête, qu'il descendit dans l'intention de prendre son petit déjeuner, ainsi que son courrier.
Arrivé à la table de sa maison, il eut à peine le temps de s'installer qu'une flaupée de hiboux débarqua dans la pièce, lâchant une multitude de lettres et, paquets en tous genres, pour la grande majorité des élèves présents. Alors que Malfoy ne s'attendait pas à recevoir de courrier en particulier, un parchemin atterrit à côté de son assiette.
Il reconnut de suite l'écriture qui se déroulait sous ses yeux. Assez étonné que sa mère lui écrive, il se hâta de lire le contenu de la lettre, une boule lui enserrant l'estomac. A mesure que la lettre avancée, le regard du jeune homme se renfrognait. Alors que ses amis l'observaient, le Serpentard tapa du point et, sorti de table sans même avoir touché à son assiette.
Décidément Noël était bien la pire invention qui pouvait exister. Alors qu'il pensait pouvoir rentrer chez lui, comme à chaque période de fête et, échapper à la pression des bons sentiments qui régnaient à Poudlard en cette période de l'année. Drago Malfoy allait devoir rester coincer entre les murs du château.
Sans s'en rendre compte, le jeune homme s'était automatiquement dirigé vers le terrain de Quidditch. Trop en colère pour simplement rester en compagnie de ses amis, il décida d'aller chercher son balai avant de se mettre à voler.
Malheureusement pour lui, ce bonheur aussi fut de courte durée. Alors qu'il tourbillonnait dans les airs, effectuant quelques figures au gré de ses envies, un instant d'inattention suffit à le faire chavirer de son balai.
