Résumé : Heero reçoit une invitation pour une réunion d'ancien élève. Victime de brimades, il décide de s'y rendre pour se venger de Treize, son bourreau et montrer à tous sa réussite.

Genre : UA, OCC un peu je pense

Couple : 1x2

Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi.

Note : De 1, je n'ai encore jamais écris de fanfic (juste des histoires originales) et de 2, je ne connais Gundam Wing qu'au travers des dizaines et des dizaines de fanfictions que j'ai lu sur ce site, alors ne vous attendez pas à des miracles.

Mais à force de lire, bah j'ai cette histoire qui m'est venu en tête et elle ne m'a pas lâché, donc je me suis résigné à l'écrire. Comme elle ne me paraissait pas trop mal, j'ai aussi décidé de la mettre en ligne, j'espère donc que vous aimerez.

S'il y a un problème dans l'histoire (même si c'est UA, j'ai pu me tromper quelque part) ou la forme (comme je viens de créer le compte, c'est la première fic que je met en ligne et il peut y avoir des incompatibilités), n'hésitez pas à me le signaler.

Pour celles et ceux qui ont eu le courage de lire cette note inutile, bonne lecture !


Tel est pris qui croyait prendre

New York 2008

C'était un soir de juin, la chaleur du jour n'était pas encore suffisante pour perdurer la nuit, mais on sentait déjà que l'été n'était pas loin.

Un jeune homme bien habillé, les cheveux un brin ébouriffés après une longue journée passée au bureau, sortit du taxi. En habitué, il prit un billet dans sa poche pour payer le chauffeur, pendant qu'avec l'autre main, il tenait sa mallette.

Il se retourna ensuite vers l'immeuble haut standing derrière lui et se rendit dans le hall. Tout ici était impeccable, du sol imitation marbre aux plantes vertes luxuriantes qui ornaient les coins. Il salua le concierge par son prénom, mais sans sourire ni dégeler son magnifique regard cobalt.

Puis il prit l'ascenseur jusqu'au vingt et unième étage et sortit une clef de sa poche quand la sonnette retentit. Il ouvrit la porte 212, déposa sa mallette et son manteau dans l'entrée, prit le courrier qui attendait sur le meuble et se posa quelques instants sur le canapé.

L'appartement était spacieux et meublé avec goût. Il montrait surtout que l'homme qui y vivait avait réussi. Très bien réussi.

Après une minute à se relaxer, l'homme feuilleta rapidement les publicités et autres tracts puis tomba sur une lettre qui le fit se figer. Sur l'enveloppe, un gros tampon du Lycée de Oz était apposé à côté du nom du destinataire, Heero Yuy.

Très tendu, le jeune homme ouvrit l'enveloppe pour découvrir à l'intérieur une invitation à la réunion des anciens élèves promotion 1998. Heero failli broyer la feuille, la déchirer en mille morceaux ou la bruler. Mais ses muscles se détendirent et un sourire carnassier naquit sur son visage.

Non, il n'allait pas fuir. Il allait leur montrer à tous que le binoclard était devenu quelqu'un. Oui, il allait leur montrer.


01 juillet 2008 Ville d'Oz, hôtel Khushrenada

Treize Khushrenada était très satisfait. La plupart des élèves de la promo 1998 avaient répondus présent pour la petite réunion qu'il avait organisé en tant qu'ancien délégué de classe. De plus, il lui tardait d'étaler sa réussite devant tous ces gogos.

A l'époque, la fortune de son père et son physique avantageux avait fait de lui le garçon le plus populaire du lycée, et il s'était toujours arrangé pour être en plus l'un des meilleurs élèves, quels que soient les moyens employés.



Aujourd'hui, il était le propriétaire du plus grand complexe hôtelier de la ville, avait épousé Une, la fille la plus convoitée du coin car d'ascendance noble, et avait eu une magnifique petite fille que tout le monde lui enviait.

La plupart des membres de son ancienne classe travaillaient pour lui et beaucoup dépendaient de son commerce. Quand à ceux qui étaient partis faire fortune ailleurs, il avait plus ou moins enquêté sur eux pour voir que pas un n'avait réussi.

Et bien sûr, il y avait Heero Yuy. Son larbin, sa chose, sa tête de turc préférée, celui qui lui faisait ses devoirs pour qu'il le laisse un peu tranquille.

Il n'avait pas pu le martyriser autant le dernier trimestre, juste avant le bac, à cause de cette grande perche de Trowa Barton, itinérant du cirque qui l'avait pris sous son aile quand il était arrivé, mais il allait pouvoir se venger maintenant.

Il se rappelait très bien la petite crevette de quinze ans, au physique ingrat mais au cerveau surpuissant. A l'époque, il était aussi petit que maigre, blanc comme un cachet d'aspirine et son visage était caché sous une touffe de cheveux impossible à coiffer, de grosses lunettes qui déformaient ses yeux et un appareil dentaire hideux.

Il se demandait comment il était devenu. Après tout, c'est sûr lui qu'il avait eu le moins d'info, juste une adresse à New York. Il ne connaissait pas le coin, mais ce devait être un quartier minable. Peut-être aurait-il dû lui envoyer un billet d'avion pour être sûr qu'il vienne ? Bah, peu importe. Il avait répondu qu'il serait présent, accompagné certes, mais sa femme devait être du même acabit que lui.

Même jour, un peu plus tard

Treize était dans l'immense hall et recevait les premiers invités. Il avait réservé toute une aile de son hôtel pour accueillir cette nuit les participants qui venaient de loin, et la salle de bal pour toute la soirée. Elle était prête pour recevoir tout le monde, la déco en place, le traiteur sur le pied de guerre. Ne restait plus que les convives.

Sa femme et son ancienne bande se trouvaient près de lui, il pouvait faire étalage de sa réussite.

Un peu plus loin, un jeune homme blond, habillé décontracté mais pourtant très élégant, était en train de regretter sa merveilleuse idée de vacances incognito dans un endroit paumé ou personne ne viendrait le déranger. Heureusement qu'il avait réservé à l'avance, car l'hôtel semblait plein à craquer de tous ces gens qui venaient fêter les dix ans de leur bac.

Franchement, qui ça intéressait de revoir des personnes qu'on avait côtoyé pendant la pire période de sa vie, l'adolescence, et qu'on ne reverrait plus après ?

Il soupira sur son cocktail, accoudé au bar dans le hall et pensa à remonter dans sa chambre. Ses yeux rencontrèrent alors ceux du propriétaire des lieux et il s'empressa de détourner le regard de se vautour au sourire faux qui l'avait chaleureusement accueilli à son arrivée.

Recevoir Quatre Raberba Winner, héritier des entreprises du même nom, était évidemment un privilège, même si celui-ci venait incognito. Il le voyait se pavaner au milieu de ses invités, le sourire condescendant, et failli opter pour un repli stratégique.

C'est alors qu'il entendit un moteur rugir au dehors et une superbe voiture noire se garer juste devant l'entrée. Tous les invités se tournèrent vers elle, se demandant sûrement qui pouvait se payer une si belle voiture. Et d'ailleurs qu'elle modèle était-ce ?

Quatre sourit. Lui connaissait très bien le propriétaire de ce bijou, modèle unique commandé et réalisé spécialement et répondant au doux nom de Deathscype.

Après tout, il allait peut-être rester un peu plus au bar.

Un mauvais pressentiment assaillit Treize tandis que la voiture se garait devant son hôtel. Aucun invité ne pouvait se payer un tel véhicule. Non, ce n'était pas possible. Ca devait être un des amis de Quatre Winner, après tout le richissime homme d'affaire avait choisi son hôtel pour y passer ses vacances, ce devait être une de ses connaissances. Oui, c'était sûrement ça.



Mais déjà, un grand silence s'était installé dans le grand hall, même les gens qui étaient dans la salle de bal étaient revenus voir ce qui se passait. Et tout le monde regardait la voiture plutôt que lui. C'était inadmissible. Il devait réparer ça.

Comme il se dirigeait vers la grande baie vitré qui donnait sur l'extérieur, la portière côté conducteur s'ouvrit et un homme en sortit. Un homme ? Non, plutôt une bombe sexuel.

Les cheveux savamment décoiffé, les lunettes de soleil hors de prix devant les yeux, le visage hâlé sans défaut, mais surtout un corps …. moulé dans un jean de grand couturier étroit, un tee shirt noir de marque dessinait ses muscles, une tablette de chocolat à en faire pâlir de jalousie plusieurs sportifs. Et une démarche assurée, chaloupée, qui faisait ressortir la perfection de ses hanches et de sa silhouette toute entière.

Le silence s'est alors changé en une multitude de chuchotements, gloussements et surtout regard admiratifs de la part des hommes comme des femmes.

Treize était en rage. Qui ? Qui osait lui voler la vedette ?

L'homme contourna alors la voiture tout en lançant ses clefs au groom statufié et béat d'admiration. Il put ainsi faire profiter la foule du côté pile de sa personne qui n'avait rien à envier au côté face, ses fesses pouvant facilement être classé de tentation divine au pêcher. Il se pencha à la portière côté passager, devançant le portier qui avait pris un léger retard du fait de son étonnement et son derrière, ainsi mis en valeur, failli faire tourner de l'œil plusieurs femmes.

Durant les trois secondes que durèrent l'ouverture de la portière, les conjonctures les plus folles se firent chez les personnes présentent pour savoir qui allait en soritr, mais la réalité dépassa l'imagination. Qui aurait pu prévoir ça ? Au lieu d'une princesse, d'une actrice célèbre ou d'un top model connu, c'est un dieu, le plus grand mannequin du moment qui sortit. Shinigami, tel était son nom de scène.

Cela faisait cinq ans qu'il était apparu, venant de nulle part, hypnotisant les couturiers comme les photographes et laissant les journalistes sur leur fin. Son physique androgyne, mais surtout ses longs cheveux retenus en natte ensorcelante et la couleur améthyste presque hypotonique de ses yeux faisait de lui l'homme sensuel par excellence. Personne ne connaissait son vrai nom, juste que ses rares amis l'appelait Duo, ni l'endroit où il habitait ou une seule bribe de son passé.

Tout ce qu'il avait bien voulu révéler, était qu'il était fou amoureux depuis trois ans déjà de la personne avec laquelle il vivait, qu'il était très heureux avec elle et ne pourrait pas vivre sans son amour. Bien sûr, personne n'avait jamais vu la très chanceuse femme, et pour cause.

Duo, une fois sortit, s'étira tel un chat et pu faire profiter à toute l'assistance de son corps parfait, encore rehaussé par un pantalon en cuir plus que moulant et une chemise noire également, largement ouverte sur son torse. Ses cheveux, nattés comme d'habitude, coulaient le long de son dos et ses yeux brillaient d'excitation.

- On est arrivé Hee-chan, dit-il joyeusement à son compagnon.

Son sourire fit presque s'évanouir toutes les femmes présentes. Le conducteur enleva alors ses lunettes de soleil et toutes purent voir les yeux cobalt légèrement en amande. Décidément, il faudrait prévoir des urgentistes.

Les deux hommes se prirent alors par la main pour entrer dans le hall. Les conversations avaient repris et les coups d'œil se firent presque frénétiques. C'est qu'il y avait matière à spéculation !

Rouge de rage, Treize se précipita à l'accueil où les invités devaient se présenter pour recevoir un badge avec leur nom à mettre sur la poitrine. Alors qu'il arrivait derrière les deux nouveaux venus, il entendit justement le conducteur se présenté à l'hôtesse béate.

- Heero Yuy et son compagnon.

Treize stoppa net. Lui ! C'était binoclard qui gâchait sa soirée. Non, ça n'allait pas se passer comme ça ! Ce n'était parce qu'il avait un peu embellit et réussit à devenir le gigolo d'une star qu'il allait lui voler la vedette. Un plan machiavélique vit aussitôt le jour dans son esprit.

D'abord, faire semblant de se réjouir, puis révéler pleins de petits détails à ce Duo qui ferait immédiatement disparaitre ce sourire amoureux de ses lèvres dès qu'il saurait la vérité sur son gigolo et enfin se réjouir de la déchéance de ce déchet. Après tout, sans Duo, il n'était rien.



Heero, munit de son badge et tenant toujours la main de Duo, se retourna pour se trouver juste en face de Treize. Cette scène le ramena dix ans en arrière et il se sentit redevenir le binoclard sans amis qui préférait faire les devoirs de son bourreau pour avoir un peu la paix plutôt que de se battre contre lui. Il avait cru que de venir ici et l'affronter après avoir réussi sa vie lui permettrait de lui tenir tête, mais tous ses mauvais souvenirs lui revenaient en tête et même la main de Duo dans la sienne ne put le ramener dans le présent. C'est alors que Treize commença son travail de sape.

- Heero, que je suis heureux.

- Hn, réussit à articuler celui-ci.

Voyant la gêne commencer à s'installer et le sourire pas très catholique du nouveau venu, Duo entreprit de se présenter et engagea la conversation. Ce fut avec un réel plaisir que Treize se mit à raconter les divers épisodes tous plus humiliants les uns que les autres pour Heero, sous couverts de « c'était une bonne blague n'est ce pas ? Nous n'étions que des gosses, tu me pardonnes, bien sûr ! Même les profs ont rigolé quand …» Il embraya sur plusieurs remarques sur son ancien physique, demandant pas très subtilement combien il avait payé pour devenir ainsi.

Au fur et à mesure qu'il parlait, lançant son fiel sous une fine couche de miel, le sourire de Duo s'effaça et son regard devint étrange. Surtout quand il sentit la main crispée de son amour dans la sienne. Il comprenait enfin pourquoi il avait eu cette sensation bizarre quand son amour lui avait demandé de l'accompagner à une réunion d'anciens élèves de son lycée.

Et pourquoi il s'était de plus en plus tendu en arrivant dans cette ville. Mais surtout, il comprenait pourquoi il ne lui parlait jamais de son passé, ne lui avait montré aucune photo de lui et avait ce caractère froid que cachait sa peur des autres. Ce mec allait payer, foi de Shinigami.

Heero, pour sa part, restait parfaitement calme, pas un muscle de son visage ne bougeait et sa réponse était toujours la même : Hn.

Mais une personne avisée, telle Quatre qui observait de loin, pouvait voir la vie quitter ses yeux ou sa main serrer convulsivement celle de son compagnon. Il ne savait pas ce qui se passait là-bas, mais il décida d'intervenir.

Juste au moment où Duo allait sauter sur Treize pour lui arracher les yeux, lui lacérer le visage, le brûler vif et éventuellement le finir à coups de pieds dans le ventre, une silhouette blonde surgit à son côté et s'exclama :

- Heero, Duo, quelle bonne surprise ! Je ne savais pas que vous deviez venir ici !

- Quatre ! hurla presque Duo, oubliant momentanément ses envies de meurtre. Mais qu'est ce que tu fais dans ce trou perdu ?

Treize tiqua mais décida de laisse passer. Après tout, il allait pouvoir démolir sa victime devant un de ses amis en plus de son compagnon, ça serait encore plus jouissif. Son meilleur client répondait d'ailleurs à la question :

- Justement, je me repose. Je pensais que personne ne pourrait me retrouver ici, mais je suis heureux que vous soyez là, dit-il en regardant ses deux amis.

Il avait rencontré Heero dans le cadre de son travail, ce dernier étant le meilleur dans son domaine, et il avait tout fait pour qu'il collabore personnellement avec les entreprises Winner. Puis, lors d'un dîner d'affaire, il avait rencontré Duo qui accompagnait son compagnon et ils avaient tout de suite sympathisé. Ils s'étaient alors rapprochés de Heero et les comptaient maintenant tous les deux parmi ses plus proches amis.

Après avoir demandé des nouvelles des uns et des autres, Duo sembla se souvenir de la présence de Treize qui n'avait pas bougé, attendant son heure, et ses yeux redevinrent des mitraillettes qui fusillèrent l'hôtelier.

Celui-ci, voyant une ouverture, décida de lancer une énième pique :

- Tu as de la chance que Duo t'ai fait découvrir ce milieu Heero, j'espère que tu ne t'y sens pas trop mal à l'aise.



Heero serra encore plus fort la main de son compagnon pour l'empêcher de sauter à la gorge de Treize et Quatre comprit enfin le problème. Ce dernier pensait être la star de la soirée et venait de se faire piquer la vedette par l'ancien looser du lycée, comme le prouvait les nombreux regards qui se posaient sur le couple.

Dans un moment de grande faiblesse, alors que Duo était partit depuis quelques jours pour un défilé à l'étranger, Heero lui avait raconté le calvaire de ses jeunes années et le blocage qu'il avait encore avec ça. Il s'était vite repris, lui faisant promettre de ne rien dire à Duo. S'il avait pu se douter que le propriétaire de l'hôtel était son ancien bourreau … Quatre décida alors de lui donner un coup de main. On ne s'attaquait pas impunément à ses amis. Après tout, si Treize pensait qu'Heero se faisait entretenir par Duo, quoi de plus jouissif que de lui prouver le contraire ?

C'est donc d'un ton enjoué qu'il lui demanda des nouvelles de son entreprise.

- Ca va, répondit sobrement Heero.

Mais Duo avait compris la manœuvre et il enchaina.

- Il fait le modeste, mais il vient de décrocher un contrat en Chine avec l'entreprise Shenlong alors que le marché est vraiment très difficile à pénétrer là-bas.

- Toutes mes félicitations, répondit Quatre.

Treize, intrigué mais sûr que la plus prestigieuse entreprise de Chine n'en avait qu'après l'argent de Duo, demanda tout de même :

- Et tu es dans quelle branche ?

- L'informatique, répondit Heero.

- Vous devez sûrement le connaître, reprit Quatre. En plus de créer des logiciels, il fournit du matériel. J'ai vu un de ses ordinateurs dans ma chambre.

- Vous avez dû confondre, dit ironiquement Treize, je ne me fournis que chez les meilleurs, tout mon équipement provient de chez Wing Corporation. Même mon système de sécurité, déclara l'hôtelier arrogant.

Duo et Quatre pouffèrent alors de rire, et Treize sentit une goutte de sueur froide descendre le long de son dos. Non. Ce n'était pas possible ?

- Je suis Wing Corp, dit alors Heero.

C'était sa plus longue phrase depuis son arrivée, mais il se sentit libre quand il vit le visage pétrifié de son bourreau. Celui-ci ne réagit pas quand Quatre proposa d'aller prendre un verre au bar.

Les conversations continuèrent longtemps après que Treize se soit repris et ait essayé de faire bonne figure au milieu de ses invités.

Mais quand un slow commença et que le couple vedette dansa sous les lumières tamisées, il sut que cette fois ci il avait perdu.

Tel est pris qui croyait prendre.


Il y a encore quatre chapitres déjà écrits qui suivent cette histoire, même s'ils sont indépendants les uns des autres. Si vous avez aimé celui-là, je serais heureuse de poster la suite, à vous de me dire.