J'écris ici, à partir du jour où Nick s'est fait rejeté par les scoots, il va raconter du coup comment ça l'a mené à être ce qu'il est maintenant, c'est à dire dans le film Zootopie qu'on peut voir.
J'essaye de respecter le fait qu'il n'a que 9 ans et qu'il ne peut pas trop dire de mots trop élaborés pour son âge !
J'ai reprise cette fanfiction, au moins un an après ^^' donc j'espère qu'il n'y a pas de faux raccords sur ce que je voulais dire et sur certains mots !
Bonne lecture !
Journal de Nicholas Wilde :
1er jour de l'écriture de mon journal :
Aujourd'hui maman m'avait enfin offert mon uniforme tout neuf de ranger, ce que je rêvais depuis longtemps, j'allais enfin pouvoir faire partie des rangers scoot juniors, d'une bande ! Ma casquette, le tee- shirt, le short sans oublier le foulard, la tenue parfaite et qui m'allait super bien, j'étais très heureux, super content et tellement fier.
Dans la soirée, à l'heure où il fallait que j'y aille, j'ai couru jusqu'à Zootopia Juniors Rangers troop 914 pour aller faire mon serment et être officiellement ranger, je courrais jusqu'à arriver à l'endroit convenu, les autres rangers m'attendaient j'étais tellement heureux. J'étais tellement fier, j'avais bien révisé et je m'étais super entraîné. Lorsque j'arrivais en courant, le chef de la bande me dit : « alors Nick, t'es prêt pour l'initiation », arrivé en bas de l'escalier, je lui dis : « oui je suis super prêt les gars » fier d'être arrivé là et d'avoir une bande de copains qui vivait pour les mêmes envies et mêmes rêves que moi. J'étais trop impatient !
Je tapais dans les mains de mes futurs camarades, hyper excité fier et tout content de ce que je m'apprêtais à faire, soudain le chef éteignit la lumière, j'eu un peu l'angoisse de ce qui m'attendait puis une lumière m'arriva dans les yeux du chef, ce qui me rassura quand le chef affirma : « Très bien maintenant, tu vas lever ta patte droite et réciter le serment », je levais ma patte et dit aussitôt : « Moi Nicholas Wilde promet d'être courageux, loyal, obligeant et digne de confiance » je voyais le chef se tournait un peu vers les autres puis vers moi et me dire : « même si tu es un renard ? ».
Mais à ce moment-là je n'ai plus rien compris, pleins de questions me sont venus en tête mais surtout j'éprouvais de la peur et aussi un peu de déception, pourquoi être un renard changerait tout ? J'ai envie de servir aussi comme eux, je comprends pas… je n'ai eu le temps de dire que : « Quoi ? mais… » mais je n'ai pas eu le temps de comprendre quoique ce soit de ressentir autre chose car le chef me poussa à terre et là : ma peur grandit encore et encore je savais pas jusqu'où ça pouvait aller.
Je respirais trop fort par peur et parce que j'arrivais pu à respirer comme je devais respirer, et ils m'attrapèrent, je me débattais, je les suppliais, leur disais : « non, non, qu'est-ce que j'ai mal fait les gars ? non, s'il vous plait, dites-moi ce que j'ai mal fait ».
Je sentais leur haine, leur rage, leur méchanceté et leur force me plaquer, me plaquer de force me retenir que le chef me mis une muselière que je continuais à crier : « qu'est-ce que j'ai fait ? noooonn… » J'avais envie de pleurer, la muselière, l'humiliation, la peur, le mal que ça me faisait car ils me retenaient les bras très fort et puis j'avais mal au cœur aussi comme si y avait quelque chose qui me pinçait à cet endroit.
Comment j'allais m'en sortir, je me débattais, je ne savais plus quoi faire mais le chef de la bande continuait sur sa lancée : « tu crois quand même pas qu'on allait faire confiance à un renard sans muselière » ce qui me blessa encore plus, et il rajouta « t'es encore plus bête que t'en as l'air » et ils me lâchaient enfin mais j'avais tellement peur que je n'arrivais plus à bouger, je ne savais pas quoi faire ni ce qu'ils allaient me faire, mes rêves détruits, et ma possibilité de m'intégrer fichue parce qu'ils me prenaient pour un sauvage alors que pourtant ce sont eux les méchants. En plus, ils ont dit que j'étais bête, j'avais appris tout par cœur, j'étais très intelligent, et comme ils disent les renards sont censés être intelligent, je voulais participer à ce qu'ils faisaient car j'étais intelligent aussi, je me suis très entraîné, j'étais vraiment beaucoup déçu.
Ils se sont tous mis à rire, j'étais tétanisé de peur mais j'ai réussi à m'en aller : je me suis enfui en courant et en respirant vraiment très fort car j'avais peur tellement peur que j'avais l'impression de ne plus avoir d'air surtout avec cette muselière, et ils ont sortis : « ah et il va se mettre à chialer ! ».
J'étais dehors contre le mur, j'étais caché, je les entendais rire alors que je respirais fort et j'avais mal partout et surtout au coeur, ma colère montait en même temps j'essayais d'enlever cette fichue muselière quand j'ai su après dix secondes à tirer dessus et de colère dessus, en la jetant au fond : ma colère commençait à partir mais après c'était plus les larmes qui arrivaient, j'étais triste vraiment très triste , dégouté aussi et très déçu, j'avais vraiment très mal au cœur vraiment très mal comme si on m'avait blessé à cet endroit-là et je commençais à pleurer à pleurer me demandant ce que j'avais bien pu faire de mal, pourquoi moi ? Pourquoi j'avais eu ça ? Est-ce que je le méritai ?
En rentrant chez moi, je ne dis rien à ma maman, rien du tout je ne lui montra rien du tout pour ne pas la blesser, je lui ai juste dit que j'avais raté les tests et que ce n'était pas fait pour moi je n'étais pas assez sportif, j'inventai un mensonge, je ne voulais pas montrer qu'on m'avait blessé, et je me disais que je ne le montrerai plus jamais à personne.
C'est pour ça que j'ai décidé d'écrire un journal aujourd'hui pour y écrire mon changement, mes décisions, et ce que je venais de me rendre compte mais surtout ce que je ne dirais à personne car à qui faire confiance dans ce monde ? Puisque personne n'avait confiance aux renards et après ce que j'avais eu dans la soirée ? Alors les autres pensaient ça sur les renards et peu importe ce que l'on fasse cela ne changerait pas ? à quoi bon se donner alors ? à quoi bon être autrement ? Je décidai donc de devenir comme on décrivait les renards… Comme ça, je ne serai plus blessé… Ce journal est l'endroit où je confie mes pensées, mes blessures et tout ce que je ne montre pas devant les autres pour éviter à nouveau ce que je trouve injuste et ce qui me fait mal.
J'ai 9 ans et maintenant, je me méfie de tout le monde et je vais tout faire pour ne plus avoir de sentiments et devenir un vrai renard !
2ème jour de l'écriture de mon journal :
Aujourd'hui j'essayais de ne plus penser à hier, j'avais pris la décision d'être un vrai renard alors j'ai demandé à ma maman de me raconter ce qu'elle faisait à mon âge et ce que papa pouvait bien faire lui aussi à mon âge. Elle m'avait encore demandé ce qui m'avait fait changé d'avis et je lui avais répondu : « Tu sais maman, je ne crois pas que ce soit la place d'un renard, en plus j'ai du mal à courir trop vite sans avoir un problème après pour respirer alors j'avais peur de ne pas tenir », je sais que c'était un mensonge mais je ne voulais pas la décevoir ni la faire pleurer comme moi hier surtout que si je l'avais vu pleurer j'aurai pleuré moi aussi, ma maman avait tout fait pour moi et ça m'aurait fait mal au cœur de la voir pleurer parce que j'étais malheureux et que j'avais eu des problèmes hier avec les faux copains.
Ma maman avait fait une drôle de tête quand j'avais dit « la place des renards », j'aurai peut-être pas du dire ça car elle me dit : « De quoi parles-tu Nicholas ? Tout le monde a sa place où que ce soit, que tu sois un renard ou non, je ne vois pas pourquoi il n'y aurait pas de place pour les renards… Mais si tu es malade quand tu cours de trop et que tu as du mal aux épreuves dans ce cas n'y va plus, tant pis, ne te rend pas malade pour ça même si c'est ton rêve, au moins tu as conscience que ta santé est plus importante, c'est bien mon petit justicier ! »
Ce qu'avait dit ma maman me touchait, et je me rendais compte que je n'étais pas le seul à penser que c'était injuste de dire que les renards n'avaient pas leur place aux rangers, et ça me donnait l'envie de me venger.
Ma maman m'avait donc raconter quand elle était petite et en fait ça ne ressemblait pas à ce que m'avait décrit les méchants d'hier sur les renards, papa lui faisait apparemment pleins de bêtises elle m'a dit avec une bande de pote, des blagues, des farces elle dit qu'il était rusé petit et malin pour avoir n'importe qui dans son jeu, qu'elle l'avait aimé parce qu'il la faisait rire et jouait bien le jeu, qu'elle savait même pas le jour où il allait l'épouser qu'il le ferait parce qu'il avait tellement bien cacher et fait rire qu'on aurait pas dit !
Je m'étais dit que papa était peut être rusé alors donc fallait que j'attende qu'il rentre du travail pour en savoir plus et devenir un vrai renard…
Quand mon papa est rentré, tard comme d'habitude du travail, il était un peu épuisé, mon papa travail dure pour nous il m'avait dit un jour.
Je suis arrivé vers lui et je lui ai demandé comment on devait faire pour devenir un vrai renard. Mon père très fatigué m'avait répondu qu'il fallait savoir se servir de son flair et travailler ingénieusement avant de s'endormir.
Je n'ai pas compris ce qu'il voulait me dire par-là. Mais je voulais vraiment comprendre ce qui m'était arrivé.
Je me suis couché dans mon lit, je viens d'écrire mon tout premier journal intime pour me libérer d'un poids que je ne veux donner à personne et je m'apprête à aller dormir, demain je réfléchirais à tout ça… En attendant, j'essaye de me remettre de cette soirée, des larmes me viennent encore aux yeux, je ne saurais pas dire s'il y a de la tristesse, du dégoût, de la déception, de la haine, du désir de vengeance, de la colère ou encore de la souffrance. Ce que je sais c'est que je suis tout retourné à l'intérieur de moi, je n'arrive plus à contrôler quoique ce soit et j'ai sans arrêt envie de pleurer…
3ème jour de l'écriture de mon journal :
Ce matin en me réveillant, j'ai décidé d'aller faire un tour dans les quartiers afin de me vider l'esprit, car la soirée d'hier m'était restée en tête et j'avais toujours une boule à la gorge.
En me promenant dans des quartiers peu fréquentés, les endroits où justement je voulais aller pour être tranquille, j'ai fait la connaissance de Finnick, un fennec. Il trainait dans les fonds de quartier et venait de se battre. Il m'a dit « Hey petit renard ? », je suis donc allé vers lui et il a continué « Qu'est-ce que tu fais ici ? » je lui ai répondu que je venais me vider l'esprit mais il insista pour savoir ce qu'il s'était passé pour que je sois aussi triste, en colère et malheureux. Je lui ai donc raconté ma mésaventure d'hier et il m'a tout de suite répondu : « Tu sais, les gens nous voient comme des mauvais, alors je cherche pas je me comporte comme ils me voient comme ça, je ne serais pas accusé pour rien ». Je réfléchis et je lui répondis « Tu as raison… » en baissant la tête. A ce moment-là, pour me faire sourire, il me dit : « On va aller défoncer leur QG, je m'en fou, ils avaient pas à te rendre aussi triste ! ». J'étais tellement déterminé et en colère que je l'ai suivi. « Tu as raison, ils n'ont pas à nous traiter de la sorte parce que nous sommes des renards ou des fennecs… »
On est arrivé au Zootopia Juniors Rangers troop 914 et Finnick a cassé une fenêtre avec un gros galet, on est rentré par-là, je me suis mis à déchirer toutes leurs cartes, leurs papiers et Finnick a mis le désordre partout. Il a même tagué certains murs, certaines tables, certaines chaises… Il en a cassé aussi, il a cassé des tables, des chaises, fait un trou dans le tableau de craie en les insultants de « racistes » de « mauvaises langues », « d'abrutis », de « lâches » et j'en passe.
Il écrivit même : « Scoots intolérants et dénigrants, où est la réalité ? » sur un mur avec un tag.
Finnick, écrivait pas mal de mots leur disant qu'ils n'étaient pas digne d'être scoot en traitant les autres, et les prédateurs de la sorte. Qu'ils étaient méprisables et déplacés, stupides, hargneux, malsains, mauvais, abrutis, sans aucune éducation, in-civilisés et que c'est pour cela qu'il méritait ce bordel dans le QG à l'image de ce qu'ils étaient.
Évidemment, je sentais bien qu'ils se douteraient, même si la police n'arrivait pas avant qu'on s'en aille, qu'ils sauraient que j'étais responsable aussi de ce désordre.
Mais malgré tout, je n'ai pas pu m'empêcher d'être d'accord avec lui et de finir de désordonner Zootopia Juniors Rangers troop 914, j'avais enlevé les rideaux par terre et avait piétiné dessus. Finnick avait même craché dessus en les insultants « d'enfoirés ». Il avait également cassé toutes les craies contre le tableau, je les avais piétinés aussi, par rage. J'avais une larme à l'œil, mais Finnick me prit par l'épaule et me dit « T''inquiètes t'es plus digne que d'être dans ce genre d'endroit avec des soit-disant scoot qui n'ont pas appris la tolérance et l'ouverture d'esprit… Et encore moins l'ouverture aux autres, ce ne sont pas de vrais scoot Nick, tu permets je t'appelle Nick ? Au lieu de Nicholas… ils n'ont rien avoir avec des vrais scoot qui eux sont plus ouvert ! Laisse-tomber, ils n'ont ce qu'ils méritent, personne ne sait ce qu'est vraiment d'être un scoot… T'es mieux que ça Nick !»
Je me sentais plus soulagé, jusqu'à ce que les policiers arrivent et nous prennent. Je sais que maman n'a jamais été aussi honteuse, j'ai baissé la tête, Finnick m'a alors dit « Nicolas ?! Raconte à ta mère la raison… Tu sais très bien que tu peux pas garder ça pour toi… Fallait que tu fasses ça ! »
J'expliquais alors à ma mère la raison qui m'avait poussé à suivre ce chemin. Elle sembla attristée et me demanda de ne plus voir Finnick. Mais je lui répondis que lui au moins m'accepter et que je faisais vraiment parti d'une bande. Elle baissa la tête et refusa de me gronder d'avantage. Peut-être qu'elle pensait que j'avais raison. Donc, ensuite avec Finnick, on s'est donné un endroit à se rejoindre le lendemain et il m'a appelé par un surnom « Nick » ! J'avais enfin un surnom, une bande, un ami qui m'appréciait pour ce que j'étais, même en tant que renard.
Je pensais pouvoir faire tout avec Finnick, y compris dans mon avenir, et le métier quand je serais grand, qui pour lui serait adapté au renard sans qu'on nous reproche quoique ce soit ou qu'on nous accuse à tort. Il avait raison autant être ce qu'ils pensent, ce qu'ils voient de nous comme ça les accusations ne sont pas pour rien.
Le soir, papa n'eut pas la force de crier après moi, il était fatigué, il me dit quand même : « Est-ce que tu te rends compte de ce que tu as fait ? » Alors je lui ai expliqué la raison, il souffla et me dit : « Malheureusement, le racisme a toujours existé, faut être plus fort et ne pas céder à leurs bêtises, donc certainement pas réagir comme tu l'as fait, tu devrais être plus rusé toi qui est un renard… »
Ce que me dit à la fin papa, je m'en souvins, dorénavant j'agirais plus intelligemment, plus réfléchis, plus rusé afin de ne pas me faire prendre.
Cet après-midi, nous aurions dû partir avant l'arrivée des policiers, mais tant pis, maintenant c'était fait. Et puis, ces idiots au moins, j'avais vu leurs tête toutes écœurées, et tristes, comme moi, justice par rapport à ce qu'ils m'avaient fait ! Et ils avaient pu voir ma vengeance, pu voir que c'était moi, donc je n'ai pas de regrets là-dessus ! Je m'étais défoulé et j'avais pu exprimer mon ressenti et faire comprendre le mal qu'ils m'avaient fait.
Demain, j'espérais retrouver Finnick afin de voir ce qu'il pouvait faire d'amusant et être enfin avec un ami de confiance qui me comprend et qui me défend.
4ème jour de l'écriture de mon journal :
Aujourd'hui, je me suis levé assez tard, et je suis parti rejoindre Finnick à l'endroit qu'on avait dit. Et je l'ai vu en train de m'attendre avec des meubles anciens récupérés à la décharge.
Je l'ai regardé en me demandant ce qu'il faisait avec puis je suis allé le rejoindre.
Il m'a dit « Nick, tu vois ces vieux meubles pourris ? », je lui ai répondu : « Oui.. » et il m'a alors dit : « On va les repeindre et les retaper pour les revendre, comme ça on pourra aller voir un cinéma ensemble tu veux ? » je lui répondis « Oui mais ces meubles tu les as eu où ? » il me dit « dans une décharge, ça m'a rien coûté, les gens n'en veulent plus car c'est vieux et que la mode change, nous on va les embellir comme ça les gens auront l'impression que c'est mieux et ils les achèteront… Les gens ne se rendent pas compte de ce qu'ils jettent ! »
On prit les meubles avec un diable et on les mit de côté, Finnick avait quelques outils, on ponça et enleva les coups avec, Finnick m'apprit quelques astuces puis on peint tout en nouvelle couleur.
On ramena les meubles sur la brocante d'à côté, à un emplacement tout au bout, nos meubles étant si visible au loin, attira les gens. Évidemment, nous n'avions pas payé l'emplacement quand quelqu'un nous demanda, alors que je n'étais pas au courant qu'il le fallait, Finnick répondit « Mon père m'a chargé de vendre nos meubles pour lui, il a payé cet emplacement ». Les gens nous laissèrent tranquille, surtout que Finnick avait pris un air très innocent, c'est là que je me rendis compte que finalement c'était plus facile qu'on ne le croyait de berner les gens sur l'apparence comme l'avaient fait les scoot et comme nous le faisions en ce moment même en vendant des meubles de la décharge. Mais j'étais tellement écœuré par les gens que ça ne me posait plus de problèmes.
Les meubles partirent plus vite que je ne le pensais et Finnick se mit à compter la liasse de billet. Il me dit « Tu vois, Nick, faut pas vendre trop cher ni peu cher, sinon les gens se méfient ! Un conseil ! »
Puis il rajouta : « Comme prévu, on va au ciné ! Le reste on verra pour demain ou pour s'acheter des glaces et des bonbons ! »
Nous sommes donc partis ensuite au cinéma, on a été voir un film de bandits, moi qui n'avait pas l'habitude, j'avoue qu'en la compagnie de Finnick j'ai trouvé ça amusant et pas mal.
Ensuite, nous sommes allés acheter des glaces et des bonbons, et là, nous avons songé à pas mal de manière de se faire de l'argent.
J'avais remarqué qu'avoir de l'argent comme ça aussi facilement, nous permettait d'être autonome et de pouvoir faire pleins d'activités et ce que l'on voulait après. Sachant que mon papa et ma maman ne gagnait pas grand-chose, c'était vraiment super, car je n'avais jamais pu aller au cinéma et m'acheter autant de glaces et friandises !
Je me suis dit que plus tard, nous devrions nous spécialiser Finnick et moi dans la revente de trucs par-ci par-là en se faisant un paquet d'argent, ça m'éviterait de finir comme mes parents à galérer pour le moindre achat.
J'avais finalement passé une bonne journée et je suis rentré assez tard, j'ai mangé, ma mère avait l'air soucieuse, je l'ai rassuré un peu même si elle n'aimait pas me savoir avec Finnick, je lui ai dit que de toute façon, il était le seul à m'accepter en tant qu'amis que je m'amusais et qu'on avait été au cinéma… sans trop lui dire trop de détails sur comment on avait trouvé l'argent etc.
Je suis donc ensuite parti dans ma chambre afin d'écrire le récit de ma journée dans mon journal intime.
Je compte retrouver encore Finnick demain et jusqu'à la fin des vacances avant la reprise scolaire, je songe aussi à arrêter l'école le plus tôt possible afin de créer une espèce de boutique avec Finnick où nous revendrions plein de vieilles choses réaménagés !
Merci d'avoir lu ! N'hésitez pas à me laisser des commentaires et ne vous en faites pas nous arriverons bientôt aussi au présent, c'est à dire à l'histoire que l'on connaît afin de savoir ce que ressent Nick, assez mystérieux dans Zootopie sur ses ressentis ^^'
J'espère que ça vous a plu ! J'essaye de vérifier mon orthographe, car Word parfois s'amuse à corriger seul des trucs et me fait des mots terriblement affreux ou alors parfois avec la fatigue j'oublie des accords, quand j'écris le soir ou je tape des mots pas dans le bon sens et Word corrige aussi !
J'espère retrouver du monde pour le prochain chapitre avec plusieurs jours de la vie de Nick décrite dans son journal intime !
Je vous aime fort mes cher(s)/ chère(s) lecteurs/Lectrices ! Bonne soirée !
Gothikana
