Disclamer : L'univers et les personnages de Harry Potter sont à J.K.R., seuls les personnages OC sont miens. J'écris pour mon propre plaisir et celui de ceux qui pourront apprécier cette histoire.

Petite info : L'histoire en elle-même est longue à démarrer. Les premiers chapitres sont orienté sur mon OC, ne vous découragez pas pour autant et lisez l'histoire au moins jusqu'au chapitre 10.

Bonjour à tous,

Je me lance dans ma toute première histoire sur Harry Potter à l'époque des maraudeurs. J'espère que ma vision de ces derniers arrivera à vous captiver. Je ne maîtrise pas exactement la personnalité de ces personnages, sur qui ont ne sait malheureusement, peu de chose. Cependant, je me suis un peu inspiré de ce que « le pire souvenir de Rogue » (Chap.28 OP) nous donne comme aperçut. A quelques détails près. Je m'inspire aussi beaucoup du site de l'Encyclopédie Harry Potter.

Il en sera de même avec mon Dumbledore, un personnage énigmatique, dont le contrôle m'échappe. Ne soyez donc pas surprit si certains personnages sont un peu OOC.

Il y a évidement un OC, dans mon histoire, je fais beaucoup d'efforts pour de celui-ci ne prenne pas la voie du Mary-Sue. Je cherche surtout à éviter cela. J'espère que vous vous y attachez à mon petit OC ! J'ai d'ailleurs joué avec ses initiales, vous verrez. Autre chose sur mon OC, ce personnage n'est pas le héros de mon histoire ! Non, non ! Ce rôle, je l'ai réservé aux personnages Canon. Ce qui me semble, être le plus juste. Reste à savoir, qui, je vous laisse cogiter dessus ! (rire).

L'histoire est bien sûr un UA. J'espère que vous n'êtes pas contre cela. Je préfère aussi prévenir qu'il y aura certaines allusions Yaoi ! Je répète, allusions ! Vous comprendrez dès la lecture du premier chapitre.

Pour avoir de plus amples informations sur l'histoire, je vous invite à faire un tour sur mon profil !

Je vous laisse d'ailleurs en compagnie de ce dernier. Bonne lecture. N'hésitez pas à donner vos avis qui sont toujours bon à prendre quelques soient leurs natures. Et puis une Review, c'est gratuit et ça me fait toujours plaisir d'en avoir !


01

LE VORTEX

L'atmosphère était humide et silencieuse dans cette vaste et dangereuse forêt. L'obscurité de la nuit, la rendait encore plus menaçante, les créatures malsaines qui y vivaient pouvait se cacher et approcher leurs proies sans qu'elles ne s'en aperçoivent. D'épais nuages noirs ne tardèrent pas à recouvrir l'ensemble du bois, des éclairs sillonnèrent le ciel suivit par un concert de tonnerre. Dans une des clairières de la forêt, un homme mi-cheval s'arrêta pour observer le spectacle. Le centaure, déjà bien âgé, fronça les sourcils suspicieux.

— Quel étrange phénomène... murmura-t-il pour lui même.

Un vent froid s'éleva, faisant tourbillonner les masses cotonneuses du ciel formant ainsi un tourbillon. L'hybride se recula inquiet se demandant ce qu'il pouvait bien se passer. Les grondements et éclairs redoublèrent. Une tornade prit forme au loin, elle descendit jusqu'à épouser la terre, puis se dissipa aussi vite qu'elle était apparut. L'orage se dispersa en quelques secondes, laissant un magnifique ciel dégagé où l'on pouvait admirer la voûte étoilé.

Intrigué, par ce phénomène des plus étranges, le centaure s'aventura vers le lieu où se trouvait le vortex quelques minutes auparavant. Il se fraya un chemin parmi les différents buissons et verdures en tout genre jusqu'à arriver à une nouvelle clairière, œuvre de la dite tornade. Ses yeux s'écarquillèrent à la vue du spectacle qui s'offrait à lui, un véritable cataclysme. Et au milieu de ces décombres de branches, il vit un corps étendu sur le sol. Au dessus de celui-ci, il vit une ombre scintillante puis quelques instants plus tard, la silhouette déploya deux grandes ailes et s'envola à une telle vitesse que le centaure n'aperçut qu'un bref éclair de feu qui illumina le ciel.

Avec prudence, l'hybride s'avança vers la dépouille. Quelle surprise, lorsqu'il découvrit qu'il s'agissait d'un enfant humain. Un garçon. Délicatement, il le prit dans ses bras et remarqua qu'il respirait encore, bien que faiblement. Le centaure ne chercha pas à comprendre ce qu'il y avait bien pu se passer, pour le moment, il devait sauver cet enfant. Il prit la direction du château, se demandant si c'était un des élèves de ce cher Albus Dumbledore, un de ses plus vieux amis.


Aux portes de Hogwarts, deux personnes observaient le ciel avec perplexité. Il s'agissait du professeur Dumbledore et du professeur McGonagall. La vieille sorcière porta sa main à son cœur lorsqu'elle aperçu le jeune homme dans les bras du centaure. Albus et elle se rapprochèrent.

— Chiron, mon ami, que s'est-il passé ? Demanda le sorcier.

— Occupons nous, d'abord de l'enfant, si tu le veux bien ! Lança l'hybride pour réponse.

— Bien sûr, bien sûr ! S'exclama Dumbledore en invitant son ami en entrer.

Ils parcoururent les couloirs en direction de l'infirmerie où Mme Pomfresh les accueillit. Chiron installa le garçon sur un lit et l'infirmière l'examina sous le regard attentif de trois paires d'yeux. Puis elle partit vers son armoire où tout un tas de potions aux effets divers et variés étaient bien rangés. Elle sembla chercher un petit moment puis, l'instant d'après elle était de retour auprès de son patient. Elle lui fit boire un liquide rosé que contenait une toute petite fiole.

— Poppy, est ce grave ? Demanda McGonagall d'un ton inquiet.

— Il est faible, mais sa vie n'est pas en danger, la rassura Mme Pomfresh. Maintenant, pouvez-vous me dire, qui est cet enfant ?

Les deux professeurs se tournèrent alors vers Chiron qui arqua un sourcil. Le vieux centaure leur raconta l'évènement qui s'était produit dans la forêt, comment il avait trouvé l'adolescent jusqu'à arriver ici. Dumbledore l'écouta très attentivement.

— Albus, il est évident que ce fait n'était pas d'ordre naturel ! Inféra le professeur de métamorphose.

— Je le pense aussi, Minerva. Et la question est : que faisait ce jeune homme au milieu de cette discorde magique ? Dit-il avec lenteur.

— Je n'avais jamais vu un tel phénomène, quel genre de magie est-ce ? Les interrogea l'hybride.

— Je l'ignore, mon ami, avoua Albus en observant le garçon inconscient. Mais, je vais faire quelques petites recherches à ce sujet.


Chiron quitta le château et d'alla retrouver les siens. Dumbledore laissa le soin à Minerva et Poppy de procéder à une fouille du jeune garçon. Elles ne trouvèrent pas grande chose, l'adolescent n'avait sur lui que le strict nécessaire : une baguette qui s'était cassée et un pendentif en or blanc où était gravé deux lettres «O.C. ». Cela fâcha quelque peu le directeur n'ayant aucune idée de l'identité de cet enfant qui n'était pas un de ses élèves.

Il se rendit alors à son bureau où il griffonna quelques mots sur un parchemin, qu'il confia à un hibou. Albus fit les cents pas dans son bureau se souvenant de ce qu'il avait pu voir du château. Bien qu'avec ses qualifications de Président-Sorcier du Magenmagot; Manitou suprême de la Confédération internationale des mages et sorciers; Ordre de Merlin, première classe, et Enchanteur-en-chef, jamais, au grand Merlin, jamais il n'avait vu une telle chose se produire. Dumbledore était perplexe et vexé de ne pouvoir résoudre ce mystère. Les jeunes hommes ne tombaient pas du ciel portés par un vortex magique tous les jours ! Il y avait forcément une raison à cela.

Il passa des heures à analyser divers hypothèses à travers divers ouvrages de tout âge, de toutes magies. Trop absorbé par ses recherches, il passa une nuit blanche sans vraiment s'en rendre compte. Ce n'est que lorsque quelqu'un frappa à sa porte, que le sorcier releva la tête et qu'il s'aperçut que le jour se levait.

— Entrez ! Lança-t-il.

McGonagall apparut suivit par une autre femme, plus petite et sûrement plus âgée. Elle portait un petit chapeau pointu tout chiffonné, ses yeux étaient cerclés par des lunettes ronde qui lui couvrait la moitié du visage et portait une longue robe violette.

— Nymphéa ! S'exclama Dumbledore en se levant.

— Albus, ça faisait si longtemps ! S'écria-t-elle d'une voix très aigüe tout en l'embrassant. Que me vaut l'honneur d'une demande si mystérieuse? Rajouta-t-elle en secouant un bout de parchemin.

— Eh bien, j'aurai besoin des services d'une prestidigitatrice en généalogie! Expliqua-t-il.

La sorcière afficha un air de surprise. Rare était les fois, où on lui demandait de pratiquer cette magie là. Le professeur McGonagall remonta ses lunettes, étonnée.

— Nous avons un enfant inconnu étendu sur un des lits de notre infirmerie. Aussi, il nous serait très utile de connaître son identité, les éclaira Albus.

— Bien, menez moi à cet enfant !

Les trois adultes quittèrent le bureau du directeur et arpentèrent les couloirs, de Hogwarts en direction de l'infirmerie, d'un pas pressé. Minerva se pencha vers Dumbledore.

— Avez-vous trouvé quelque chose ?

— Ce fut des recherches futiles, lui lança-t-il dans un soupir. Comment va-t-il?

— Si vous parlez du jeune homme, Albus, il a reprit des couleurs mais demeure inconscient.


Ils pénétrèrent dans l'infirmerie. Mme Pomfresh les salua leur annonçant qu'il n'y avait rien eu depuis le départ de McGonagall. Nymphéa s'approcha du chevet de l'adolescent. Elle l'observa attentivement tout en sortant une petite baguette. Elle fit un moulinet avec.

— Pagina genealogiæ! Prononça-t-elle théâtralement.

Un rayon blanchâtre frappa la victime tout en le pénétrant, puis une fine fumée de la même couleur sortit de son corps peu après dessinant d'étranges symboles que seule la prestidigitatrice semblait pouvoir déchiffrer. Elle afficha un air étonnée.

— Eh bien, eh bien? L'encouragea Albus.

La sorcière toussota comme pour clarifier sa voix.

— Cette jeune personne se nomme Orphen Refia Abby Hestia Cross déclara-t-elle.

— Pourquoi a-t-il des prénoms féminin ? Questionna aussitôt Minerva. C'est étrange pour un jeune homme !

— En effet! Approuva Dumbledore.

Il observa Nymphéa du haut de ses lunettes en demi-lune. Quelque chose semblait la contrarier, il l'encouragea une fois de plus, pour qu'elle en dévoile davantage.

— Il est tout à fait naturel d'avoir un prénom féminin lorsque l'on est une femme. Et c'est son cas! Déclara Nymphéa d'une voix étouffée.

— Vous voulez dire, que cet enfant est une fille ? S'étonna le professeur de métamorphose en observant le jeune homme allongé sur le lit.

— C'est ce que me révèle le sortilège du Pagina genealogiæ. Un sort dont on ne peut douter, sa fiabilité est sans égale, nul ne peut le tromper! Expliqua la prestidigitatrice.

Dumbledore s'avança d'avantage du lit puis pointa à son tour sa baguette sur l'inconnue.

— Vultum tuum revelat.

Le jeune homme qui était de grande taille, brun les cheveux en bataille se mit à rapetisser. Il se transforma en une adolescente au teint laiteux, un visage de poupée de porcelaine avec une longue chevelure noire donc des mèches courtes encadraient son visage. Albus rangea sa baguette quand son sortilège se dissipa brusquement, laissant place de nouveau au jeune homme

— Visiblement, cet enfant a été touché par un puissant sortilège...Il ne va pas être simple de lui rendre sa véritable apparence, appréhenda le directeur.

— Slughorn devrait pouvoir concocter un remède contre ça ! S'exclama Nymphéa.

— Je l'espère, médita Albus en se caressant la barbe. Avez-vous d'autres informations à nous donner, mon amie? Demanda-t-il à la prestidigitatrice.

— Eh bien, sa date de naissance...dit-elle hésitante. Cette enfant serait née le 1er Avril, elle a 16 ans. Voilà tout ce que je peux vous dire! Déclara-t-elle. Je n'ai pas accès aux restes de ses données...C'est comme si quelqu'un les avaient délibérément effacés. Cette personne doit être extrêmement puissante...

Dumbledore sembla songeur.

— Je te remercie, Nymphéa. Aussi je t'invite à aller te restaurer dans la grande salle. Minerva, suivez-moi! Finit-il par dire.


Le directeur et son adjointe parcoururent de nouveau les divers couloirs du château en direction du bureau de Albus.

— Je n'ai jamais entendu ce nom de famille, Albus, lui confia le professeur de métamorphose qui trottinait à côté de lui.

— Il en est de même pour moi, Minerva ! Subir un tel maléfice ainsi que falsifier ses informations personnelles...Cela ne va pas nous faciliter la tâche...

— Serait ce une née-moldue ? Tenta d'élucider McGonagall.

— Peut être bien, mais je souhaite en être sûr. Avec les temps qui cours, je veux m'assurer que nous n'ayons pas un ennemi dans le château, dit-il en accélérant.

— Albus ! C'est une adolescente voyons ! S'outra la sorcière. Vous venez vous-même de dire qu'elle a été touché par un maléfice !

Le directeur pénétra dans son bureau et se dirigea vers une armoire dans le fond de la pièce, il l'ouvrit à la volée et prit un parchemin sur lequel un sceau avait été frappé "1960-1961". Albus passa sa main au dessus de la cire qui disparut puis déroula le papier. McGonagall reconnut la liste des élèves qui avait fait leur rentrée pour l'année scolaire 1971-1972.

— Albus, elle n'était pas sur la liste !

Le directeur survola les noms de famille commençant par la troisième lettre de l'alphabet. Cross n'y apparaissait, effectivement, pas, alors il se redressa sur son fauteuil, se demandant si cette enfant était une moldue ayant trouvée la baguette ou encore si elle était destinée à une autre école de sorcellerie. Son regard se figea sur le parchemin, la liste s'étira laissant un espace où "Orphen Refia Abby Hestia Cross" s'inscrivit, se rajoutant ainsi à la liste. Le sorcier resta sans voix, jamais il n'avait vu cela se produire.

— Albus, qu'est ce que cela signifie ? Demanda McGonagall.

— Que cette enfant est maintenant inscrite à Hogwarts, répondit-il légèrement perplexe.


Après de longue recherche sur l'origine du nom de famille de la demoiselle, Dumbledore ne trouva rien. Il décida de regarder un registre des familles moldu du pays. Il y découvrit une lignée de Cross, mais aucun d'eux n'avaient eu de prédispositions magiques et aucune Orphen n'y apparaissait. Cela l'embêtait à un plus au point. Il lui vient alors une idée.

Ollivander, le fabriquant de baguette magique, avait une mémoire incomparable et était capable de se souvenir de toutes les baguettes qu'il avait vendu. Peut être pourrait-il confirmer si cette baguette était bien à la demoiselle. Albus s'empressa d'écrire une nouvelle lettre qu'il confia à un hibou.


Ce n'est qu'en début d'après-midi, qu'Ollivander arriva à Hogwarts par le biais d'un portoloin. Albus l'accueillit chaleureusement, heureux de pouvoir avoir sa réponse dans la journée. Garrick lui fit part de son étonnement quant à son invitation soudaine au château. Surtout qu'il devait préparer les baguettes pour les nouveaux élèves qui arriveraient à l'école d'ici quelques semaines. Les deux hommes s'installèrent au bureau d'Albus devant un bon thé chaud. Dumbledore sortit la baguette cassé en deux qu'il avait soigneusement emballé dans un tissu de soie grise.

— Voici la baguette, dit-il tout en la présentant à Ollivander.

Garrick observa l'objet de long en large, il sembla la peser, la renifler. De temps à autre, le directeur remarqua qu'une moue d'étonnement s'affichait sur son visage.

— Voilà qui est bien étrange...Cette baguette a la même couleur dorée qu'une baguette de poirier...Seulement, celle-ci sort bien de l'ordinaire commença-t-il.

— Que voulez-vous dire ? Demanda Albus, perplexe.

Ollivander prit un air grave, puis porta son attention sur l'objet magique avant de poursuivre :

— Myrte, 23 cm, crin de licorne et rigide analysa-t-il en tenant la baguette à ses deux extrémitées recollant ainsi les deux parties. Le bois de Myrte n'est vraiment pas commun. C'est même la première fois que je vois une baguette fait de ce bois avoua-t-il.

Garrick la fixa un instant.

— Le possesseur de cette baguette ne peut être qu'une personne de sexe fénimin. Le myrte est le symbole de Vénus, Vénus est le symbole de la femme expliqua-t-il. Cet arbre à un sens contradictoire, il a des valeurs possitives, pourtant sa signification est funèbre. Le myrte est remarquable pour les sortilèges, seulement si la sorcière le possédant a de bonne aptitudes dans ce domaine continua-t-il. Je ne peux pas la réparer...C'est malheureusement tout ce que je peux vous en dire...

Albus ne dit mot, écoutant simplement. Il trouvait tout ceci bien étrange. Une magie inconnue qui avait déposée un jeune homme qui se révélait être une fille victime d'un puissant sortilège de confusion sur son identité. Une demoiselle qui n'appartenait à aucune famille de sorciers, qui n'avait pas l'air d'être liés au seul Cross du pays, une famille moldu. Une enfant dont le nom apparaissait subitement sur la liste des sixième années, comme si le monde magique l'avait oublié et s'était subitement rappelé de son existence. Oui, Albus Dumbledore était déconcerté par tout ces évènements en ces temps de guerre.


Minerva se tenait au chevet de la jeune fille emprisonnait dans ce corps d'adolescent. La sorcière ne pouvait croire que cette enfant puisse incarner le mal. Le professeur de métamorphose se demandait qui avait bien pu oser lui jeter ce sort qui la privait de sa véritable apparence et espérait que l'idée de Nymphéa soit bonne. Est ce qu'une simple potion pouvait lever un tel sort quand on voyait que même Albus n'avait rien pu faire contre celui-ci ?

Elle n'entendit pas Dumbledore se rapprocher, si bien que lorsqu'il posa une main amicale sur l'épaule de la sorcière, celle-ci sursauta. Elle porta sa main à son cœur avant de reprendre un air neutre.

— Albus, que faisons nous ? Demanda-t-elle.

— Je crains que nous n'ayons d'autre choix que d'attendre son réveil, déclara-t-il. Minerva, je vous appelle à la prudence, nous ne savons pas quelle est la raison de la venue de cette enfant au sein de nos murs.