Disclaimer: Je n'ai pas volé les personnages de Tolkien si c'est ce que
vous pourriez penser! Ni ceux de Joanne K. Rowling! (Ben vi! elle est là!
C'est pour ça que c'est une fic d'Harry Potter! lol) En clair, rien ne
m'appartient et je ne touche pas d'argent ni rien, ni rien! Cette une
fanfiction, quoi!
!!!!!! SPOILERS TOME V!!!!!!!! Mais ce n'est pas le tome 6, le 7 en fait!
Note: Je suis dans le monde d'Harry Potter mais j'y rajoute quelques petites choses, évidemment, pour que ça reste 'possible'.
Note(encore): C'est un prologue un peu long pour un prologue donc nous dirions que c'est le premier chapitre!
Chapitre 1: Une arrivée étrange.
Que se passe-t-il? Où suis-je? Que fais-je ici? Pourquoi suis-je ici? Avec qui? Car ce sont bien des voix que j'entends!
Respire! Respire et calme-toi!
Je sais que ce n'est pas un rêve, je ne me souviens comment j'ai atterrit ici mais je suis sûre que ce n'est pas un rêve car je sens la douleur s'infiltrer dans mes membres et mon dos. J'ai dû tomber de haut sur un sol dur, dallé, au milieu de plus d'une centaine de personnes.
J'ouvre lentement, et difficilement, les yeux avant de les refermer promptement, éblouie par une lueur aveuglante, probablement une torche ou quelque chose du genre. Je ne sais pas si je dois être rassurée ou non. Je ne comprends pas ce qu'il se dit autour de moi, cette langue m'est totalement inconnue. Mon coeur commence à palpiter, la panique commence à arriver.
Je fais un sublime effort pour ouvrir les yeux. Au-dessus de moi, se trouve des hommes, des humains. Mais où suis-je? Ils me regardent bizarrement, plus paniqués que moi apparemment, comme si... comme s'ils n'avaient jamais vu d'Elfes de leur vie... Ce qui peut être logique quand on y pense! Le plupart des gens de Gondor n'ont pas... Mais je ne suis pas en Gondor!
Cette remarque me saute aux yeux. Je ne peux pas être en Gondor! Ni même dans un quelconque autre pays de la terre du milieu vu que je venais d'arriver sur la Terre des Valars!! C'est impossible! Impossible... !
Je perdis à nouveau connaissance...
"Qui est-ce, professeur? Un... Elfe? C'est un Elfe?"
Pas de réponse. Je ne comprends même pas ce qu'ils disent mais essaye de retenir ces étranges paroles. C'est une femme qui parle. Une femme à voix dure mais interloquée.
"Minerva" Dit une autre voix. "Auriez-vous l'aimable obligeance d'aller me chercher Firenze?"
Firenze? Etrange comme mot en plein milieu de si différentes paroles.
"Firenze?" S'étonne la femme.
Ben, je suis pas toute seule à trouver ça bizarre, apparemment!
"Bien, Professeur Dumbledore, j'y vais!"
Des pas s'éloignent. Elle prend soudain conscience qu'elle se trouve dans un lit douillet, qu'elle a chaud et qu'elle sent un regard perçant fixer sur elle. Mais elle n'ouvre pas les yeux durant la première minute, écoutant de son ouïe fine et développée, chaque son qu'elle peut capter. Cela allait de la respiration lente et silencieuse de l'homme à côté d'elle au doux piaillement d'un moineau dans un arbre dons les feuilles bruissaient avec lenteur.
Après cette inspection méthodique de chaque son, j'ouvris un oeil... puis deux. Un sourire sur les lèvres, un vieil homme m'observait derrière une paire de lunettes en forme de demi-lune de ses yeux bleus, pétillants de malice. Je ne sais pas qui c'est mais il me paraît, au premier regard, sympathique. Malheureusement, il ne faut jamais juger les gens trop rapidement, même un elfe. Je me raidis donc un peu, regardant les alentours.
Je me trouvais dans une pièce blanche, dans un lit banc, avec des draps blancs. J'aime pas le blanc! Trop voyant! Les murs étaient de pierres, tous les murs étaient de pierres! Je n'aime pas la pierre non plus. Une sensation étrange émane pourtant de chaque (presque) chose qui se trouve autour de moi, en plus particulier du vieil homme qui me sourit toujours. Cette sensation, je ne la trouve ni maléfique ni bénéfique, ni gênante ni réconfortante. Qu'est-ce que c'est?
Des bruits de sabots me frappent soudain les oreilles, quelques secondes avant que l'humain ne les entendent aussi apparemment. La porte de la pièce s'ouvre soudain, laissant passer une grande vieille (moins que l'homme cependant) femme à l'air sévère, suivie de près par une créature étrange que je reconnais comme étant un centaure! Un centaure palomino aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Il me regarde, je le regarde... nos regards se croisent une minuscule seconde puis s'évitent.
"Dumbledore" Dit le centaure.
Décidément! S'il ne parle aucune autre langue, je vais bien me retrouver dans la merde, moi!
"Cette Elfe n'est pas d'ici!" Continua-t-il.
"Je le sais parfaitement, Firenze!"
Firenze? C'est lui Firenze? Ah! Je comprends ça au moins...
"Pourquoi suis-je ici?" Demanda le centaure.
"Je pensais que vous pouviez nous servir d'interprète! Je ne sais pas parler elfique." Dit Dumbledore.
Au moins, je trouve que ce nom lui va bien pour le moment! Et je pense que c'est le sien en vrai.
"Nous devons savoir d'où elle vient, n'est-ce pas?"
Le vieil homme sourit. Le centaure me regarda à nouveau et je sentis un regard plus pesant que le premier. Que signifiait tout cela? Qui était-ce et, par Gilthoniel, qu'est-ce que je fous ici???
[Qui es-tu?]
J'ai sursauté et ai regardé le centaure. Il parlait ma langue!! Ouff!
[Je me nomme Nesline Eärwen] Ais-je répondu.
Autant se contenter de répondre simplement aux questions. Ne pas donner d'indices utiles si jamais ils n'étaient pas... bien intentionnés.
[D'où viens-tu et que fais-tu ici?] Continua le centaure, me fixant de ses yeux bleus.
[Je viens... Je viens de la Terre du milieu, de Fondcombe, plus précisément! Pour ce qui est de la raison de ma présence ici, j'espérais que vous pourriez me le dire!]
Le centaure parut étonné de sa réponse. Il la fixa avec des yeux incrédules avant de se tourner vers Dumbledore qui attendait patiemment. Il lui traduit ce qu'elle venait de lui dire et Dumbledore la regarda.
J'en ai assez de tous ces regards! Que quelqu'un me montre la sortie!
Mon père m'a toujours dit que je ne devais pas à avoir un vocabulaire pareil mais dans de telles circonstances...
[Et vous, qui êtes-vous? Et où suis-je?]
Ce fut au tour de Firenze de sursauter au son de ma voix. Dumbledore me regarda mais ne dit rien, pareil pour la femme dont je ne connais pas encore le nom.
[Je me nomme Firenze, centaure, et voici le plus grand sorcier de ce monde, Albus Dumbledore et voici Minerva McGonagall, une sorcière elle aussi. Vous êtes à Poudlard, une école de sorcellerie.]
Hého! Du calme! Pardon??? Une école? Des sorciers? Centaure, ça je pouvais m'en douter.
[Cela ne m'avance guère, Firenze! Et je ne vois pas plus où je suis qu'avant!]
Il traduit à nouveau pour Dumbledore tandis que je me redressais confortablement dans les draps. Je commençais vraiment à avoir peur mais, néanmoins, je me disais que j'aurais pu tomber pire! Ces gens me paraissaient sympathiques, jusqu'ici.
"Vous êtes tombée de nulle part, en plein milieu de notre grande salle" Dit Dumbledore en me regardant.
C'est difficile de comprendre que je ne parle pas votre langue? Rhâa!
[Vous souvenez-vous de quelque chose avant. ici? Qu'avez-vous fait dans votre monde?]
[Je n'ai pas demandé à me trouver ici! Si c'est ce que vous voulez dire! Je n'ai rien fait! J'étais.]
Je fronçai les sourcils pour se souvenir. Mais je ne se souvenais plus de la dernière chose que j'avais fait. Plus rien du jour précédent. Comment était-ce possible?
Firenze avait certainement remarqué mon air perdu, un claquement de sabot me ramena à la réalité. Ils me regardaient tous, attendant une réponse.
[Je l'ignore, je ne me souviens plus!] Murmurais-je.
[Plus rien?] Insista le centaure.
[Non]
Il regarda Dumbledore d'un air inquiet. En fait, tous se regardèrent d'un air inquiet avant de s'éloigner en murmurant, me laissant seule sur ce lit d'hôpital. Ce qu'il ne comprenait certainement pas, c'est que je n'avais plus besoin de repos! Une Elfe (Ok, à moitié seulement) n'avait pas besoin d'autant de repos qu'un humain.
Je me suis donc levée, sans bruit, mais Firenze me remarqua et s'approcha de moi. Je me suis donc assise, les yeux fixés sur lui, les bras croisés sur ma poitrine.
[Et je fais quoi, moi?] Ais-je demandé.
[Vous restez calmement ici pour récupérer!] M'a-t-il dit, ordonné plutôt.
[Je n'ai nul besoin de rester plus allongée dans ce lit!] Ais-je répliqué. [Dites-moi ce qu'il se passe!]
Il ne dit rien, regarda Dumbledore en échangeant quelques paroles, mais il ne me répondit pas. J'allais commencer à m'énerver si ça continuait.
[Je suis ici pour une raison et je sais que vous la connaissez! Peut-être même que vous y êtes pour quelque chose alors dites moi ce qui se passe!] M'énervais-je.
[Vous avez raison.] Dit le centaure d'un air grave. [Vous êtes bien ici pour une raison!]
Il me regarda d'un air grave.
[Mais nous n'y sommes pour rien.!]
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voilà! Dites-moi ce que vous en pensé!
J'ai besoin de vos avis! Vraiment besoin!
- Qui voulez-vous au poste de prof contre la défense contre les forces du mal? Un personnage totalement inventé ou un personnage d'Harry Potter( précisez lequel si oui.)
Il n'y a rien d'autre pour le moment. J'ai déjà prévu quelque chose pour notre petite Nes mais je ne vous le dirais pas!
Dans le chapitre suivant: Harry.
!!!!!! SPOILERS TOME V!!!!!!!! Mais ce n'est pas le tome 6, le 7 en fait!
Note: Je suis dans le monde d'Harry Potter mais j'y rajoute quelques petites choses, évidemment, pour que ça reste 'possible'.
Note(encore): C'est un prologue un peu long pour un prologue donc nous dirions que c'est le premier chapitre!
Chapitre 1: Une arrivée étrange.
Que se passe-t-il? Où suis-je? Que fais-je ici? Pourquoi suis-je ici? Avec qui? Car ce sont bien des voix que j'entends!
Respire! Respire et calme-toi!
Je sais que ce n'est pas un rêve, je ne me souviens comment j'ai atterrit ici mais je suis sûre que ce n'est pas un rêve car je sens la douleur s'infiltrer dans mes membres et mon dos. J'ai dû tomber de haut sur un sol dur, dallé, au milieu de plus d'une centaine de personnes.
J'ouvre lentement, et difficilement, les yeux avant de les refermer promptement, éblouie par une lueur aveuglante, probablement une torche ou quelque chose du genre. Je ne sais pas si je dois être rassurée ou non. Je ne comprends pas ce qu'il se dit autour de moi, cette langue m'est totalement inconnue. Mon coeur commence à palpiter, la panique commence à arriver.
Je fais un sublime effort pour ouvrir les yeux. Au-dessus de moi, se trouve des hommes, des humains. Mais où suis-je? Ils me regardent bizarrement, plus paniqués que moi apparemment, comme si... comme s'ils n'avaient jamais vu d'Elfes de leur vie... Ce qui peut être logique quand on y pense! Le plupart des gens de Gondor n'ont pas... Mais je ne suis pas en Gondor!
Cette remarque me saute aux yeux. Je ne peux pas être en Gondor! Ni même dans un quelconque autre pays de la terre du milieu vu que je venais d'arriver sur la Terre des Valars!! C'est impossible! Impossible... !
Je perdis à nouveau connaissance...
"Qui est-ce, professeur? Un... Elfe? C'est un Elfe?"
Pas de réponse. Je ne comprends même pas ce qu'ils disent mais essaye de retenir ces étranges paroles. C'est une femme qui parle. Une femme à voix dure mais interloquée.
"Minerva" Dit une autre voix. "Auriez-vous l'aimable obligeance d'aller me chercher Firenze?"
Firenze? Etrange comme mot en plein milieu de si différentes paroles.
"Firenze?" S'étonne la femme.
Ben, je suis pas toute seule à trouver ça bizarre, apparemment!
"Bien, Professeur Dumbledore, j'y vais!"
Des pas s'éloignent. Elle prend soudain conscience qu'elle se trouve dans un lit douillet, qu'elle a chaud et qu'elle sent un regard perçant fixer sur elle. Mais elle n'ouvre pas les yeux durant la première minute, écoutant de son ouïe fine et développée, chaque son qu'elle peut capter. Cela allait de la respiration lente et silencieuse de l'homme à côté d'elle au doux piaillement d'un moineau dans un arbre dons les feuilles bruissaient avec lenteur.
Après cette inspection méthodique de chaque son, j'ouvris un oeil... puis deux. Un sourire sur les lèvres, un vieil homme m'observait derrière une paire de lunettes en forme de demi-lune de ses yeux bleus, pétillants de malice. Je ne sais pas qui c'est mais il me paraît, au premier regard, sympathique. Malheureusement, il ne faut jamais juger les gens trop rapidement, même un elfe. Je me raidis donc un peu, regardant les alentours.
Je me trouvais dans une pièce blanche, dans un lit banc, avec des draps blancs. J'aime pas le blanc! Trop voyant! Les murs étaient de pierres, tous les murs étaient de pierres! Je n'aime pas la pierre non plus. Une sensation étrange émane pourtant de chaque (presque) chose qui se trouve autour de moi, en plus particulier du vieil homme qui me sourit toujours. Cette sensation, je ne la trouve ni maléfique ni bénéfique, ni gênante ni réconfortante. Qu'est-ce que c'est?
Des bruits de sabots me frappent soudain les oreilles, quelques secondes avant que l'humain ne les entendent aussi apparemment. La porte de la pièce s'ouvre soudain, laissant passer une grande vieille (moins que l'homme cependant) femme à l'air sévère, suivie de près par une créature étrange que je reconnais comme étant un centaure! Un centaure palomino aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Il me regarde, je le regarde... nos regards se croisent une minuscule seconde puis s'évitent.
"Dumbledore" Dit le centaure.
Décidément! S'il ne parle aucune autre langue, je vais bien me retrouver dans la merde, moi!
"Cette Elfe n'est pas d'ici!" Continua-t-il.
"Je le sais parfaitement, Firenze!"
Firenze? C'est lui Firenze? Ah! Je comprends ça au moins...
"Pourquoi suis-je ici?" Demanda le centaure.
"Je pensais que vous pouviez nous servir d'interprète! Je ne sais pas parler elfique." Dit Dumbledore.
Au moins, je trouve que ce nom lui va bien pour le moment! Et je pense que c'est le sien en vrai.
"Nous devons savoir d'où elle vient, n'est-ce pas?"
Le vieil homme sourit. Le centaure me regarda à nouveau et je sentis un regard plus pesant que le premier. Que signifiait tout cela? Qui était-ce et, par Gilthoniel, qu'est-ce que je fous ici???
[Qui es-tu?]
J'ai sursauté et ai regardé le centaure. Il parlait ma langue!! Ouff!
[Je me nomme Nesline Eärwen] Ais-je répondu.
Autant se contenter de répondre simplement aux questions. Ne pas donner d'indices utiles si jamais ils n'étaient pas... bien intentionnés.
[D'où viens-tu et que fais-tu ici?] Continua le centaure, me fixant de ses yeux bleus.
[Je viens... Je viens de la Terre du milieu, de Fondcombe, plus précisément! Pour ce qui est de la raison de ma présence ici, j'espérais que vous pourriez me le dire!]
Le centaure parut étonné de sa réponse. Il la fixa avec des yeux incrédules avant de se tourner vers Dumbledore qui attendait patiemment. Il lui traduit ce qu'elle venait de lui dire et Dumbledore la regarda.
J'en ai assez de tous ces regards! Que quelqu'un me montre la sortie!
Mon père m'a toujours dit que je ne devais pas à avoir un vocabulaire pareil mais dans de telles circonstances...
[Et vous, qui êtes-vous? Et où suis-je?]
Ce fut au tour de Firenze de sursauter au son de ma voix. Dumbledore me regarda mais ne dit rien, pareil pour la femme dont je ne connais pas encore le nom.
[Je me nomme Firenze, centaure, et voici le plus grand sorcier de ce monde, Albus Dumbledore et voici Minerva McGonagall, une sorcière elle aussi. Vous êtes à Poudlard, une école de sorcellerie.]
Hého! Du calme! Pardon??? Une école? Des sorciers? Centaure, ça je pouvais m'en douter.
[Cela ne m'avance guère, Firenze! Et je ne vois pas plus où je suis qu'avant!]
Il traduit à nouveau pour Dumbledore tandis que je me redressais confortablement dans les draps. Je commençais vraiment à avoir peur mais, néanmoins, je me disais que j'aurais pu tomber pire! Ces gens me paraissaient sympathiques, jusqu'ici.
"Vous êtes tombée de nulle part, en plein milieu de notre grande salle" Dit Dumbledore en me regardant.
C'est difficile de comprendre que je ne parle pas votre langue? Rhâa!
[Vous souvenez-vous de quelque chose avant. ici? Qu'avez-vous fait dans votre monde?]
[Je n'ai pas demandé à me trouver ici! Si c'est ce que vous voulez dire! Je n'ai rien fait! J'étais.]
Je fronçai les sourcils pour se souvenir. Mais je ne se souvenais plus de la dernière chose que j'avais fait. Plus rien du jour précédent. Comment était-ce possible?
Firenze avait certainement remarqué mon air perdu, un claquement de sabot me ramena à la réalité. Ils me regardaient tous, attendant une réponse.
[Je l'ignore, je ne me souviens plus!] Murmurais-je.
[Plus rien?] Insista le centaure.
[Non]
Il regarda Dumbledore d'un air inquiet. En fait, tous se regardèrent d'un air inquiet avant de s'éloigner en murmurant, me laissant seule sur ce lit d'hôpital. Ce qu'il ne comprenait certainement pas, c'est que je n'avais plus besoin de repos! Une Elfe (Ok, à moitié seulement) n'avait pas besoin d'autant de repos qu'un humain.
Je me suis donc levée, sans bruit, mais Firenze me remarqua et s'approcha de moi. Je me suis donc assise, les yeux fixés sur lui, les bras croisés sur ma poitrine.
[Et je fais quoi, moi?] Ais-je demandé.
[Vous restez calmement ici pour récupérer!] M'a-t-il dit, ordonné plutôt.
[Je n'ai nul besoin de rester plus allongée dans ce lit!] Ais-je répliqué. [Dites-moi ce qu'il se passe!]
Il ne dit rien, regarda Dumbledore en échangeant quelques paroles, mais il ne me répondit pas. J'allais commencer à m'énerver si ça continuait.
[Je suis ici pour une raison et je sais que vous la connaissez! Peut-être même que vous y êtes pour quelque chose alors dites moi ce qui se passe!] M'énervais-je.
[Vous avez raison.] Dit le centaure d'un air grave. [Vous êtes bien ici pour une raison!]
Il me regarda d'un air grave.
[Mais nous n'y sommes pour rien.!]
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Voilà! Dites-moi ce que vous en pensé!
J'ai besoin de vos avis! Vraiment besoin!
- Qui voulez-vous au poste de prof contre la défense contre les forces du mal? Un personnage totalement inventé ou un personnage d'Harry Potter( précisez lequel si oui.)
Il n'y a rien d'autre pour le moment. J'ai déjà prévu quelque chose pour notre petite Nes mais je ne vous le dirais pas!
Dans le chapitre suivant: Harry.
