C'est un matin d'Avril que mon histoire débuta. Il y avait un léger vent frisquet suivis par quelques rayons de soleil pour réchauffé la terre. J'étais assise sur une chaise en métal, dans le vieux jardin familiale, sous le Saule Pleureur centenaire qui s'y trouvât alors. J'étais concentré sur mon ordinateur portable, essayant par tous les moyens possibles d'écrire la première phrase de mon nouveau roman. Le froid, très léger de ce début de printemps ne me gêner en aucun cas. Au contraire même, cela me plaisais énormément et me soulager des températures instable de ces quelques dernières années. Mon organisme n'avait jamais supporté les variations trop importantes de température et me rendait bien souvent malade, me forçant à rester à l'intérieur de la maison. Le silence et le vent étaient bien souvent mes alliés les plus précieux pour écrire, bien que parfois j'avais, de temps a autre, besoin d'un léger fond sonore, comme un peu de musique ou la télévision. Le vent faisait voleter, légèrement des mèches de mes longs cheveux blonds et me faisait soupirer d'aise et de nostalgie. De nostalgie, car il me faisait revoir des scènes de mn enfance ou je courais après mes cousins et cousines pour jouer avec eux. Puis, comme un écho a mes souvenirs, j'entendis les rires de mes petits cousins et cousines qui se rapprocher rapidement de moi. En ouvrant les yeux, je pus les voir ce courir après en tournant autour de moi et du tronc du vénérable arbre qui en aura vue des petits garnements comme eux et moi.

Mais, j'entendis au loin, la voix de ma mère qui m'appeler pour venir m'ordonner de venir faire la cuisine.

« - Belinda ! Viens ici toute suite ! Le repas ne se fera pas seul, alors viens faire la cuisine au lieu de bailler aux corneilles ! Me hurlât-elle alors avec mépris. »

La réflexion ne me plus guerre, mais je préférai me taire pour ne pas déclencher un conflit. Puis, je rentrai et posa mes affaire sur la console de l'entrée, pour ensuite me rendre dans la cuisine, où j'entrepris de mettre mon ablier et de commencer à cuisiner le repas. Je mis attela avec aisance et rapidité. De tous dans la famille, j'étais la seule à savoir cuisiner sans cramer mes aliments, chose qui me fit rapidement passer au rang e cuisinière en chef de la famille, chose que je n'appréciais pas du tout.

A leurs yeux à tous, je n'étais qu'une bonne a rien. Ils pensaient tous que je devais rapidement trouver un vrai travail, car celui que je faisais ne leur convenait pas, car passer glorieux. De toute façon, on me considéré comme la bâtarde de la famille, née hors mariage et non reconnut par mon père.

En parlant de lui, je ne le connaissais pas, je ne savais rien de lui, ni son âge, ni son nom, ni ces origines. Par contre j'avais trouvé une photo de lui cacher dans le grenier, il y'a de cela plusieurs années. Il semblait grand, le visage arborant une expression de tristesse infinie, les cheveux brun, long jusqu'au épaules, onduler et les yeux rouge. Son apparence était la seul chose que je savais de lui. Cela me suffisait, car je comprenais de qui je tenais ces cheveux ondulé et ce regard si expressif. Je lui ressemblais un peu, voir beaucoup. Ma mère m'avait souvent raconté que mon père était partie du jour au lendemain en apprenant la grossesse de ma mère. Mais min instinct me disait le contraire, il y avait sans doute une autre explication, mais elle refusait de me la donner.

Quand le repas fut au four et que je nettoyer mes ustensile, ma mère décida de prendre enfin la parole.

« - Belinda, je crois qu'il est temps que je t'annonce quelque chose d'important. Me dit-elle avec nervosité.

- Qu'il y'a-t-il maman ? Tu semble nerveuse. Fis-je en entrant dans son jeu, pendant que la colère commencer à monter en moi, car je me douter de la teneur de son annonce. Tu va te marier ?

- Quoi ? Mais non, ce n'ais pas ça. En faite, je… J'ai reçut une demande en mariage te concernant, j'ai fait ma petite enquête l'homme en question est un bon partie et il gagne beaucoup d'argent grâce a son travail de chirurgien. Alors j'ai décidé d'accepter de te fiancer à lui. Me racontât-elle alors avec un sourire d'excuse et de joie. Il viendra dans quelque jour pour te rencontré et établir un contra de mariage avec nous.

- TU AS QUOI !? Hurlais-je alors quand l'information eu atteins mon cerveau faisant rameuter le reste de la famille qui se demander ce qu'il ce passer pour que j'hurle ainsi.

- Ecoute, Belinda. Je comprends que cela te contrarie au plus au point, mais comme tu refuse de trouver un vrais travail il faut bien penser a ton avenir et j'aimerais enfin devenir grand-mère, alors je veux que d'ici l'an prochain tu sois au moins déjà marier. M'expliquât-elle alors en faisant encore monter ma fureur.

-MON TRAVAIL EST UN VRAIS TRAVAIL QUOI QUE TU EN DISES ET QUOI QU'EN DISE LA FAMILLE. TU N'AVAIS PAS LE DROIT DE ME FIANCER SANS MON AUTORISATION. ENCORE PLUS QUE JE SUIS MAJEUR. CE QUE TU A FAIS EST ILLEGAL. Hurlais-je encore plus fort en faisant trembler les plus jeunes.

- ARRETE DE HURLAIS. JE L'AI FAIS POUR TON BIEN ET POUR ÊTRE SUR QUE TU AURAS ENFIN UNE FAMILLE A TOI. JE VEUX TON BONHEUR ET ASSURAIS TON AVENIR. N'AIS-JE PAS LE DROIT DE VOULOIR CE QU'IL Y'A DE MIEUX POUR MA FILLE ? Hurlât-elle a son tour pour essayer de me faire entendre sois disant raison. »

Je ne continuai pas la conversation, préférant, enlever et jeter mon tablier par terre pour ensuite me diriger vers l'entrée, prendre mes affaires, ma veste et partir en ignorant ma mère qui m'ordonnais de rentrée immédiatement a la maison. Je montai dans ma voiture et démarra pour ensuite quitter la propriété sans un regard en arrière.

J'étais furieuse. Comment avait-elle pus aller aussi loin ? Elle voulait mon bonheur mais elle agissait à son détriment. Nan, ce n'ais pas ça qu'elle voulait, elle souhaiter juste se débarrasser de moi comme elle la si souvent tenter de le faire par le passer depuis que je suis née. Mais cette fois je ne risquer pas de lui pardonner cela, si je le souhaiter, je pourrais aller voir la police et leur expliquer la situation, mais je voulais régler cette histoire en interne.

Ironiquement, conduire me permis de me vider l'esprit et de me calmer quelque peux, bien que la colère gronder toujours en moi. Une heure plus tard, après tout cette histoire, je pus enfin me garer dans mon garage et rejoindre mon immeuble. Je pris mon courrier et je montai dans l'ascenseur direction le septième étage. Une fois dans mon appartement, je déposai sur ma table basse, dans le salon, mon courrier, mes clés, ma veste et mon ordinateur portable que je mis en charge. Ensuite, j'entrepris de me préparé un plateau repas que j'engloutis devant les informations. Apres avoir mangé, je passai plusieurs heures à écrire la première ébauche de mon nouveau roman. Puis, je pris une douche et je me couchai et tomba dans les méandres du sommeil. Un sommeil qui ne fut pas reposant, loin de là.