Souvenirs d'enfances, ...

Souvenirs d'enfance qui auraient pu exister si...

Si quoi au fond ? Je ne sais pas. Si ne n'avais été moi ? Cruel destin qui me permis de te rencontrer. Cruel destin qui se rappel à moi. Pour qu'elles raison ? Juste une dissertation.

Où j'ai laissé mon cœur parler :

« A l'Automne, les feuilles s'envolent, affriolante brise qui détache des arbres leur verdure monotone.

Qui d'entre nous n'a joué avec ?

Les ramassant pour en faire un bouquet à offrir à maman. Ou sautant dedans pour y laisser sa marque, se faisant gronder par papa qui venait de les ramasser...

En Hiver, lorsqu'on se lève, se penchant à la fenêtre, on peut apercevoir les anges qui ont laissés elur trace parterre. Les ailes déployées, ils essayent de s'envoler.

La lune déserte du Printemps fait renaître les bourgeons qui, au matin, s'ouvriront pour nous offrir leurs corolles chatoyantes bercées par rayons du soleil.

Les brumes matinales, témoignant du réveil de mère nature, laisseront place aux chants des oiseaux discutant de leur voyage dans les contrées lointaines d'Afrique.

L'Eté, chaud, brûlant, arrive, nous laissant plonger avec délice dans l'eau fraîche de la mer, où nos amis se lançaient dans une course pour atteindre l'horizon.

Papa maman, jouant au tennis après avoir lu de nombreux livres au soleil, nous berçaient tranquillement par leur rires lointains et incertains, que nous ne pouvions comprendre,tant Morphée nous paraissait agréable.

Si cependant, on me demandait de choisir laquelle de ces saisons a ma bénédiction, je lui répondrais tout simplement que chacune fait partie de mon cour, mais que l'Automne, époque de l'année où les poètes et les couleurs se rassemblent, me donne l'inspiration. »

Que dire de plus ?

C'est le seul passage de ma copie double que j'affectionne particulièrement.

Hélas, seul Trowa, mon Amour, a eu l'autorisation de la lire.

La famille Winner a honte de posséder dans sa famille, un descendant refusant de rendre le devoir demandé...