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Ces sentiments que l'on cache
Genre: Fic yaoi FMA
Couple(s) : Dans un premier temps, il y aura du Royed, après, on verra…TwT
Disclamer: FMA n'est pas à moi mais appartient à Hiromu Arakawa.
Note 1: Homophobes s'abstenir et ce yaoi ne comportera pas de lemon !! De plus je ne respecterai pas totalement le scénario, mais bon, dans une fic, on est libre de faire un peu ce qu'on veut, non ?
Note 2: Je compte bien traumatiser un maximum de personnes (j'ai déjà réussi à choquer ma sœur TwT) à l'aide cette fic. J'espère pouvoir réussir avec ceux qui liront cette histoire…w
Résumé : Edward et son premier chagrin d'amour…et Mustang qui en profite pas du tooooout ! XD
Chapitre 1
Edward dormait. Allongé en travers du lit, tout habillé, ses cheveux blonds détachés, il se reposait depuis maintenant un peu plus de neuf heures, la tête enfouie entre ses bras.
Impossible de le réveiller. Alphonse poussa un énième soupir exaspéré et tenta une nouvelle fois de réveiller son grand frère en le secouant. Peine perdue, Edward poussa un grognement en refusant obstinément d'ouvrir un œil. Au contraire, il se recroquevilla sur lui-même et ne bougea plus.
Alphonse soupira une nouvelle fois et jeta un regard vers l'horloge qui se trouvait sur la table de nuit à côté du lit où dormait Edward. Huit heures et demie. Et il fallait qu'ils soient au quartier militaire de Central à neuf heures.
Mais à cause du blondinet qui roupillait toujours, ils seraient tout, sauf à l'heure.
Il faut dire qu'Edward était rentré tard la veille. Et il avait semblé démoralisé, chose plutôt rare chez lui.
Alphonse avait bien essayé de savoir où il était passé et pourquoi il rentrait à une heure aussi tardive, il n'avait rien pu savoir étant donné que son frère s'était écroulé et endormi sur son lit tout de suite après.
De plus, ils devaient encore chercher des infos concernant la Pierre Philosophale, une pierre qui, aux dires des légendes, permettait d'obtenir la vie éternelle ainsi que le pouvoir de faire de l'alchimie sans avoir à ce soucier de l'échange équivalent qui était la règle fondamentale en alchimie.
Mais si les frères Elric recherchaient la Pierre Philosophale, c'était pour récupérer le corps d'Alphonse dont l'âme habitait maintenant une imposante armure de métal dû à l'intervention de son frère, et pour rendre son bras et sa jambe à Edward, qu'ils avaient perdus en effectuant une transmutation humaine visant à ramener leur mère décédée à la vie et qui s'était soldé par un échec. Echec dont ils subissaient encore les conséquences.
De plus, depuis quelques mois, ils étaient poursuivis par des homonculus, des créatures artificiellement humaines issus de transmutations humaines ratées, et qui voulaient se servir d'Edward afin qu'il puisse créer lui-même la Pierre Philosophale vu que les homonculus ne pouvaient pas se servir de l'alchimie pour la faire eux même, n'étant pas humaines. Et puis le Fullmetal Alchemist était l'un des seuls alchimistes à pouvoir la créer. Mais pour cela il fallait sacrifier des vies humaines, ingrédient malheureusement indispensable pour avoir une chance de fabriquer la Pierre. Et ça, Edward le refusait catégoriquement, même si le pouvoir de la Pierre légendaire pouvait peut-être leur rendre leurs corps à son frère et lui.
En fait ils voulaient plus d'informations sur la Pierre pour savoir s'il n'y avait pas un autre moyen de la fabriquer sans utiliser de vies humaines. C'était peine perdue, au fond d'eux, ils le savaient mais ils refusaient tout de même d'y croire malgré ce qui s'était passé dans le laboratoire numéro cinq.
Un nouveau grognement plus fort que le précédent provenant du lit tira Alphonse de ses sombres pensées. Edward semblait enfin vouloir se réveiller. Pas trop tôt.
Le jeune blondinet se redressa sur son séant, les cheveux en bataille, en regardant la chambre d'un œil encore endormi et bailla à s'en décrocher la mâchoire. Puis il se frotta les yeux et sembla se rendre compte de la présence de son petit frère.
« Yé kelheure ? Demanda le jeune homme, d'une voix pâteuse.
-L'heure d'aller au boulot. Ca fait bien une heure que j'essaye de te réveiller j'te signale ! » Gronda Alphonse, mécontent.
Edward marmonna une vague excuse avant de se lever pour se diriger vers la cuisine et se préparer un café bien fort en traînant les pieds. L'armure le suivit.
« Ed, on a plus beaucoup de temps. Il faut qu'on se rende au quartier militaire de Central sinon le colonel Mustang ne va pas te louper…
-Mmmmh…
-Il faut aussi qu'on accompagne Winry à la gare. Et on a vraiment plus le temps par ta faute ! »
A l'évocation du nom de Winry, leur amie d'enfance mais qui est aussi la mécano chargée d'entretenir les auto-mails qui remplaçaient le bras et la jambe d'Edward, l'expression du blondinet s'assombrit.
Cela n'échappa pas à Alphonse qui demanda :
« Quelque chose ne va pas ? »
Edward ne répondit pas, se contentant de se verser du café dans une tasse qu'il touilla avec une cuillère, pensivement.
Alphonse ne préféra pas insister, sachant que quand il le voulait, son frère devenait un véritable coffre-fort. Mais ça lui faisait quand même de la peine de voir que son grand frère ne lui confiait pas tout.
Quelques minutes plus tard, ils se préparèrent à partir.
« Bon, commença le plus jeune des frères Elric, on va chercher Winry et on l'emmène à la gare, puis…
-Ecoute… tu peux pas y aller tout seul ? L'interrompit Ed, en regardant ailleurs.
-Pardon ?
-Et bien oui…toi t'es pas un alchimiste d'Etat, donc t'as aucune obligation envers l'armée, moi si et j'suis à la bourre, je peux pas m'attarder. »
Alphonse se doutait que c'était un plutôt prétexte pour éviter Winry. Mais pourquoi ?
« Ed…T'es sûr que ça va ? T'es bizarre…
-C'est rien t'inquiète ! Bon faut que je me grouille là, on se voit tout à l'heure okay ? S'exclama Edward en lui adressant un sourire forcé qui ne trompa pas Alphonse.
-Mais Edward ! C'est ta petite amie ! Qu'est ce qui ne va pas, vous vous êtes disputés ?
-Rien de grave j'te dis !! Bon à plus !! » Cria le jeune homme en s'enfuyant littéralement, laissant Alphonse seul au milieu de la rue.
Ce dernier poussa un lourd soupir en se promettant de demander à Winry la cause du changement d'état de son frère qui était sûrement dû à une dispute entre eux. Une autre.
Cela faisait trois mois qu'Edward sortait avec Winry, depuis l'affaire du laboratoire numéro cinq en fait. Au début on peut dire que tout se passait bien malgré le fait qu'il y ai quelques petites disputes par ci par là, mais au fil des semaines ces dernières s'étaient intensifiées.
L'armure secoua la tête, dépité, avant de reprendre son chemin vers l'appartement où logeait Winry…
Edward ne s'arrêta de courir qu'après avoir vérifié qu'Alphonse ne puisse plus le voir. Il s'appuya sur ses genoux, haletant. De longues mèches de cheveux dorés cachaient ses yeux ne laissant apercevoir que sa bouche. Bouche qui se tordit en une grimace amère.
« Pourquoi faut-il que je lui cache toujours tout ? »
Il se redressa et parcourut la rue dans laquelle il se trouvait du regard. OK, il ne s'était pas trop égaré, le Quartier militaire se trouvait quelques rues après. Tout en marchant il se remémora les événements de la veille.
« Edward devait passer la soirée chez Winry qui était depuis quelques mois sa petite amie et qui devait retourner chez elle à Risembool le lendemain. Il n'avait rien dit à Alphonse, sans trop savoir pourquoi d'ailleurs. Tel qu'il le connaissait, son petit frère risquait de s'inquiéter s'il rentrait trop tard. Enfin qu'importe. Ce soir c'était soirée avec Winry point barre. Et puis vu leurs dernières disputes, ils fallaient qu'il mettent les choses au clair.
Arrivé devant la porte de l'appartement où habitait temporairement Winry, Edward avait frappé et avait attendu qu'elle ouvre. La porte s'était ouverte, dévoilant son amie qui l'avait accueilli avec un sourire un peu bizarre.
« Ah, Ed…je ne t'attendais pas si tôt ! M'enfin c'est pas grave, entre… »
Sa voix aussi était bizarre, un peu chevrotante.
« Winry…quelque chose ne va pas ? Avait il demandé, étonné.
« Je…Non tout va bien !! Avait répondu un peu trop vivement Winry, avec un sourire qu'elle voulait enjoué.
-Te fous pas de moi, explique moi ce qui ce passe, t'as un problème ?
-En…entre d'abord ! Avait répliqué son amie en s'effaçant.
-Non, tu m'expliques avant ! »
La jeune fille avait alors baissé la tête et avait commencé d'une voix mal assurée :
« Ecoute…je sais que ça risque d'être dur à digérer mais…entre nous…ça devient vraiment n'importe quoi…
-Abrège! » Avait ordonné Edward, craignant de comprendre où elle voulait en venir.
Winry avait inspiré un bon coup avant de lâcher :
« On arrête pas de se disputer ! Ca ne peut pas tenir entre nous, ne me dis pas le contraire ! Alors je pense qu'il vaudrait mieux…qu'on en reste là…et qu'on redevienne juste amis, comme avant… »
Edward était resté pantois, essayant d'assimiler ce que venait de lui dire son amie, incapable d'émettre un son.
Une fois que l'information eut atteint son cerveau, il avait cligné plusieurs fois des yeux en regardant Winry comme s'il la voyait pour la première fois. Puis il s'était détourné laissant la jeune fille en plan sur le seuil de sa porte. Celle-ci n'avait pas tenté de le retenir, trop effondrée qu'elle était. Causer de la peine à son ami d'enfance ne la réjouissait pas du tout, car elle l'aimait. Vraiment. Elle avait refermé la porte, malheureuse et prête à pleurer.
Edward avait continué de marcher. Marcher oui. Pour extérioriser sa peine. Il était donc rentré tard sans répondre aux questions anxieuses que lui posait son petit frère et s'était effondré sur le lit où il s'était endormi direct… »
Edward secoua la tête. Quelle soirée pourrie il avait eu! Tout ça par sa faute… Il aurait dû essayer de rattraper le coup bien avant… Tout ceci ne serait, peut-être, jamais arrivé sinon.
Le jeune alchimiste fronça les sourcils. Inutile de repenser à ça, cela ne servait plus à rien.
Il pénétra dans l'imposant bâtiment qu'était le quartier militaire de Central, et se dirigea vers le bureau du colonel Roy Mustang sans noter au passage qu'il était plus qu'en retard.
Il entra, comme d'habitude, sans frapper et fit face à son supérieur.
« Et bien mon petit Edward, une panne de réveil ? Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, tu es plutôt en retard… » Lança Mustang, de derrière son bureau où trônaient plusieurs piles de dossiers qui attendaient sa signature depuis au moins trois semaines.
Edward ne répliqua rien, se contentant de s'affaler dans le canapé noir qui se trouvait dans la pièce, sans se formaliser du fait que Mustang l'avait appelé « petit » au début de sa phrase.
C'est ce qui alerta le colonel Mustang car d'habitude, dès qu'on faisait référence à sa taille, même pour rire, le Fullmetal avait tendance à péter un câble ce qui amusait franchement le colonel.
Il sonda un peu plus le visage de son jeune subordonné : le visage morne, les yeux dans le vague, il ne semblait pas dans son assiette.
Le Flame Alchemist soupira en se renversant dans son fauteuil. Puis il demanda :
« Qu'est ce qui ne va pas ? »
Edward tourna la tête vers lui.
« Quoi ? Je vais bien, ça se voit nan ?
-tu veux une réponse franche ? »
Le jeune alchimiste grimaça et détourna le regard qui vint se fixer sur le mur en face de lui.
Après un long silence, il grogna, la mine sombre :
« 'Me suis fait plaquer par Winry… »
Le colonel Mustang retint de justesse un petit rire amusé. C'était juste ça ? Une amourette brisée ?
L'aîné des frères Elric se tourna de nouveau vers lui et croisa le regard légèrement hilare de son supérieur.
« J'vois pas c'qu'il y a de si drôle à se faire jeter !! Rugit-il, soudain hors de lui.
-Tu vois, c'est ça ton problème Edward. A la moindre réflexion tu te mets en colère.
C'est pour cette raison que je ne suis pas étonné d'apprendre ça…»
Edward voulut lui balancer une réplique bien cinglante mais il ne trouva rien.
Avec une moue renfrognée, il se renfonça dans le canapé, croisa les bras et les jambes, et imposa un silence boudeur.
Mustang observa le jeune alchimiste pendant quelques minutes avec une sorte de tendresse dans le regard avant de se lever de son siège pour venir s'installer à ses côtés. Ed ne broncha pas, s'obstinant à rester cloîtré dans son mutisme. Le colonel prit le menton de son subordonné, l'obligeant à le regarder. Trop surpris pour riposter, Edward se laissa faire et croisa le regard sombre de son supérieur qui le dévisageait, un étrange petit sourire au coin des lèvres.
« Ca t'attriste tant que ça? » Murmura t-il, doucement.
Le Fullmetal déglutit péniblement et marmonna d'une voix qu'il voulait quelque peu ironique afin de se donner une contenance, tout en se demandant ce que son chef avait fumé pour agir de cette manière envers lui :
« Naaan, pas du tout, chuis super heureux, ça se voit sur mon visage…»
Roy Mustang sourit davantage sans quitter des yeux le jeune blondinet qui commençait à se sentir de plus en plus mal à l'aise. Ed voulut dégager son menton que tenait toujours Mustang, quand soudain, sans prévenir, ce dernier se pencha brusquement vers lui obligeant Edward à s'allonger sur le divan et l'embrassa.
Le jeune alchimiste papillonna des yeux, incapable d'accepter la réalité de cette situation. Il ignorait vraiment ce que son commandant avait fumé, mais en tout cas, ça devait être très fort!Il tenta de se dégager une nouvelle fois, sentant le rouge lui monter aux joues, mais le colonel le tenait fermement plaqué sur le canapé et continuait de l'embrasser.
Bizarrement, Edward ne trouvait pas cela trop déplaisant, mais enfin, il venait se faire plaquer par une fille ! Et pas n'importe laquelle, il s'agissait de Winry ! Et puis… il était hétéro bon sang !! nda : mais pour combien de temps ?Hin hin… TwT
Encore une fois, Il voulut repousser Mustang à l'aide de ses mains mais ce dernier lui bloqua les poignets, empêchant toutes tentatives de fuite.
Le voilà bien.
Edward commençait LEGEREMENT à paniquer quand soudain, il sentit les lèvres du colonel se détacher des siennes.
Les prunelles dorées rencontrèrent celles, onyx, du colonel Mustang.
« Et c'est aussi pour cela que ça ne pouvait pas marcher entre toi et ta mécano…
-Que voulez-vous dire ? Demanda le Fullmetal Alchemist d'une voix étranglée, le souffle court.
-Et bien, disons que vous n'étiez pas fait pour être ensemble, tu comprends ?
-De moins en moins… »
Mustang poussa un énième soupir avant de chuchoter à un Edward de plus en plus rouge :
« Alors laisse-moi t'expliquer un peu mieux… »
Et avant qu'Edward n'ait pu répliquer, Roy Mustang l'embrassa de nouveau, déterminé à lui faire comprendre sa théorie sans que, cette fois, le Fullmetal n'impose de résistance…
De son côté, Alphonse s'était rendu au domicile de Winry et attendait que celle-ci lui ouvre afin qu'il puisse la conduire à la gare.
« Hé Winry !! Dépêche toi !! Ton train part dans moins de trente minutes !! Cria t-il à l'adresse de son amie qui était en train de vérifier si elle n'avait rien oublié. Mais qu'est-ce qu'il ont tous à vouloir se mettre en retard ? Rajouta l'armure pour elle-même.
-O-oui ! Attends deux secondes !! Je vérifie que tous mes outils sont bien rangés… voilà, c'est bon !! » S'écria la jeune fille blonde en sortant de la maison avec une grosse valise qui avait l'air bien lourde. Elle ne parut pas surprise de voir qu'Edward n'était pas là, mais semblait bizarrement mal à l'aise et triste, même si elle faisait des efforts pour ne rien laisser paraître.
Elle traîna tant bien que mal la lourde valise le long de la ruelle jusqu'à ce qu'Alphonse la lui prenne des mains pour la porter. Winry lui adressa un sourire reconnaissant et ils continuèrent d'avancer vers la gare en silence. Le plus jeune des Elric prit la parole alors qu'ils étaient en vue de la gare.
« Dis Winry… Il s'est passé quelque chose entre Ed et toi ? »
La jeune blondinette stoppa soudainement. Alphonse, remarquant que son amie ne marchait plus à ses côtés s'arrêta lui aussi et se retourna, apercevant la jeune fille, tête baissée qui semblait au bord des larmes. Cela ne lui ressemblait pas beaucoup, se dit-il.
« Winry ?
-…
- C'est vraiment si grave ce qu'il s'est passé entre vous ?
- Ed ne t'as rien dit ?
-Non. Il faisait une drôle de tête hier, j'ai bien essayé de lui soutirer des infos mais il s'est endormi…
-… je vois, souffla t-elle en relevant la tête mais sans oser regarder son ami, c'est parce qu'Edward et moi… on a… rompu… »
Alphonse ne dit rien, se contentant de regarder la jeune fille. Avec son armure, il était difficile de deviner ses émotions. Puis il baissa la tête et murmura :
« Je vois…Je comprends mieux maintenant… »
Puis sans un mot de plus, il reprit la direction de la gare.
Le sale quart d'heure de l'auteur
Edward (l'air profondément choqué) : T'as…t'as pas osé ??
Akina (air innocent) : De quoi ?
Ed : Dès le premier chapitre, tu me cases avec l'autre abruti de Mustang ?!
Akina : Oh, ça…
Ed : Et chuis hétéro bordel !!
Mustang (arrive au galop) : Moi aussi !!
Akina : Et alors ? Dans une fic, on fait un peu ce qu'on veut nan ? Alors fermez-la sinon je vous case avec Gluttony !! (regard ultra sadique)
Ed et Mustang : Elle veut vraiment dégoûter le peu de public qu'elle va peut-être avoir, ma parole… Oo
Akina : Vous en doutiez ? TwT
Ed et Mustang : Pas une seule seconde…--''
Al (se ramène) : Et moi ? A part soupirer et poser des questions à la con, je fais rien !!
Winry (s'incruste aussi) : Edward est gay ? Quel gâchis !!
Al (à Akina): Puisque dans ta fic Edward est gay...ça signifie que tu vas me caser avec Winry? w
Winry : N'y compte pas !! C'est Edward que j'aime !!
Mustang : Et si…
Akina : Et si vous la fermiez au lieu de dire que des conneries ?
