Enfin le premier chapitre du deuxième tome ! Désolée pour cette longue attente. Si vous n'avez pas lut le premier, la fiction s'appelle Ma'mzelle Alice Potter. J'espère que le nouveau chapitre vous plaira et que je pourrais poster le suivant le plus vite possible. N'hésiter pas a me donner votre avis.
Bonne lecture et bien à vous,
Jonkille
Tome 2 : Héritier de Serpentard
Chapitre 1 : Les jours d'été
Assise sur le rebord de ma fenêtre, en plein cœur de Londres, j'attendais en observant la rue qui s'agitait en dessous de moi. Tout les matins à cette heure, je scrutais l'horizon, camouflée par les toits des vieux immeubles. J'attendais de voir une chouette des neiges apparaître dans le ciel, en vain. Depuis le début de l'été, soit trois semaines, vingt-et-un jours, cinq cent quatre heures, ou trente milles deux cent quarante minutes, je n'avais pas reçut la moindre nouvelle de mon frère. Pas la moindre réponses à aucune de mes lettres. Certain me dirons que c'est le propre des frères, de ne pas donné de nouvelle, de ne jamais répondre aux lettres. Mais nous ne sommes pas n'importe quel frère et sœur, je m'appelle Alice Potter et mon frère est Harry Potter. Le célèbre Harry Potter. Nos parents ont été tué par un mage noire peu de temps après notre naissance et je m'inquiétais de ne pas avoir de ses nouvelles ; d'autant que nos amis Ron Weasley et Hermione Granger n'avait pas eu plus de chance que moi. Harry passait ses vacances chez notre tantes Pétunia, la sœur moldu de notre mère chez qui il avait grandit, tandis que moi l'on m'avait confier à Chloé et Jared Prewet qui m'avaient élevé comme leur propre fille. Aujourd'hui ma mère était enceinte de sept mois, à cette âge, il paraît que le bébé pèse 1 kg 150 et qu'il mesure environs 30, et qu'il va encore grandir dans les prochain moi. Maman a dit qu'il entent maintenant tous se qui se passe et elle écoute du Célestina Moldubec pour éveiller le bébé. Ce qui est assez désagréable. Une fois que j'étais sûr qu'aucun hibou n'arriverais dans la matinée, je descendais dans la cuisine, et comme chaque matin, je cochais le calendrier, comptant les jours qui me séparait de la rentrée.
Ce matin ma mère me regardait exaspérée.
- Tu pourrais arrêté de cocher tes cases tout le temps, me reprocha-t-elle, ce n'est pas le bagne ici tout de même.
Je haussais les épaules négligemment et me servais un verre de jus d'orange frai.
- Et tu pourrais aussi dire bonjour, continua-t-elle.
- Bonjour... Marmonnais-je en mordant dans un pancake. C'est encore papa qui à fait le petit déjeuné ? Ils sont dégoutants !
- Sur un autre ton jeune fille ! Dit ma mère alors que je soupirais, et ne soupire pas !
- Mais...
- Pas de Mais ! Ne commenc...
Sentant la discutions s'envenimer mon père, diplomate, intervient :
- C'est vrai que je ne suis pas aussi fin cuisinier que toi ma chérie.
- Tu la défends toujours ! Reprocha ma mère. Ce n'est pas lui rendre service.
La journée commençais bien... Emportant un morceau de pain j'en profitais pour m'éclipser dans ma chambre. Évidemment pas de courrier. Harry n'était pas le seule à ne pas donné de nouvelle. Seule Lee et Hermione m'écrivait régulièrement. Cela devait être dans les gènes des Weasley de ne jamais écrire. Je relisais pour la troisième fois la dernière lettre de Hermione.
Alice,
Oui moi aussi je n'ai toujours pas de nouvelle. Je trouve cela inquiétant. Mais si il était vraiment arrivée quelque chose de grave tu aurai été au courant non ? À moins que se soit Hedwige qui ai des problèmes ? Quoi qui l'en soit tâche de ne pas trop t'inquiéter, Dumbledore n'aurait surement pas laissé Harry sans protection. Il fait beau ici, mais j'ai déjà terminé tout mes devoirs de vacances, il me tarde également d'être de retour à Poudlard et d'avoir les listes scolaires de l'année que je puisse prendre de l'avance sur les cours ; comme tu as de la chance d'habiter sur le chemin de Traverse, avec tout ses livres à deux pas de chez toi.
J'espère que tu vas bien,
À bientôt,
Hermione
Après avoir reçut cette lettre, je m'étais empresser de lui envoyer le plus gros livre de la bibliothèque familial. À se moment là j'entendis la porte d'entrée claquer. Toute une journée avec ma mère... Génial... Comme chaque jour, elle allait tricoter des chaussettes pour bébé, elle en était à sa cent quarante deuxième paires depuis le début de sa grossesse. Quand je lui avais demandé la semaine précédente si elle comptait ouvrir un commerce, elle n'avait pas apprécié la plaisanterie et j'avais été envoyer dans ma chambre. Moi j'allais sans doute écrire à Harry, à Ron, à Hermione, comme chaque semaine... Puis j'écrirais à Lee qui était le seul des garçons à me répondre avec assiduité, ainsi qu'aux jumeaux qui envoyait Hermès une fois sur deux, accompagner souvent d'un petit mot de Ron... Je n'avais jamais aimé les vacances, trop d'attente, trop de temps à tournée en rond, à ne rien faire... Je détestais bronzer sur les plages de sable blanc. Je préférais sauter dans les vagues. Je préférais de loin la vie mouvementer de Poudlard au calme plat de la maison.
Avec la ferme intention de bouder dans ma chambre tout la journée je m'installais sur mon lit en regardant le plafond. Ma mère m'aurait dit lit un livre, dessine, profite du temps que tu as pour faire du bricolage... J'avais horreur des travaux manuel, un jour j'avais même fait bruler la table du salon. J'enviais l'été des Weasley, qui me décrivaient dans leurs lettres, les gnomes envahissant leur grand jardin, leurs partie de quidditch dans un champs voisin, leur grande maison et leur famille nombreuses. J'enviais leur ciel bleu et ensoleiller en regardant le ciel morose de Londres, j'enviais les rires qui devais s'élever en permanence de la maison qu'habitait Fred et George.
- ALICE !
Et c'est repartie...
J'étais assis dans le jardin parfait de la maison dans laquelle j'avais grandis, fixant la haie bien droite séparant la propriété de celle des voisins. Encore un mois, quatre semaine, trente et un jours, sept cent quarante quatre heures, soit exactement quarante quatre mille six cent quarante minute avant la rentrée. Dans une autre vie, j'aurais pu aimé les vacances. Si ses dernière n'avait pas rimée avec Soixante-deux jour passé en compagnie des Dursley. Malheureusement, mes parents qui ne sont pas mort dans un accident de voiture comme je l'ai longtemps cru, on été assassinés par un puissant mage noir du nom de lord Voldemort. J'ai été confier à mon oncle et ma tante, et ai passé presque dix ans avec un placard à balai en guise de chambre. Les Dursley aurait aimer mener une vie parfaitement normal, sans aucun anicroche, aucun incident. Ils détestait par dessus tout les événement étrange, inexplicable ou anormal. Alors pour eux j'étais la pire chose qui ai put leur arriver. Un sorcier dans leur maison...
Mais il y avait pire que de devoir passer l'été en compagnie des Dursley, je n'avais reçu aucune nouvelle de mes camarades de poudlard. Bien entendu, que Ron n'écrive pas n'était pas particulièrement surprenant. Mais cela ne ressemblait pas à Alice. D'autant plus que nous étions le 31 juillet, que les Dursley ai oublié mon anniversaire était habituel mais que mes amis n'y pense pas me touchait plus que je ne voulais bien l'admettre. Ron avait du oublier, et Hermione n'avait pas de hiboux... Mes autres camarades n'avait pas de raison de m'écrire... Mais que ma sœur ai oublié mon anniversaire (qui est aussi le sien) était plutôt intriguant. Peut être que de retour chez elle, elle s'était rendu compte qu'elle n'avait jamais eu de frère et qu'elle n'en avait absolument pas besoin ? Ou peut être s'était elle dit que le bébé que ça mère attendait était une famille suffisante... Poudlard était ma maison, et cela depuis le premier soir et ma répartition à Gryffondor, une famille... Mais de tout cela c'était Alice qui me manquait le plus. Ma sœur, ma famille. Elle était la seule personne qui me restait depuis la mort de mes parents, la personne que j'avais espéré trouver pendant dix ans, et voilà qu'en un mois d'été elle disparaissait. Je poussais un profond soupir. Ne pouvant de toute façon pas lui écrire moi même, Hedwige était prisonnière dans sa cage, Mon oncle refusait de la laisser sortir, j'étais contraint d'attendre patiemment la rentrée en septembre pour comprendre pourquoi personne ne m'avait écrit.
- Je sais quel jour on est...
J'attendais a ma fenêtre, aujourd'hui plus longtemps que d'habitude. Harry ne pouvait pas m'avoir oublié, il ne pouvait pas avoir oublier notre anniversaire, c'était impossible... J'avais ouvert une nouvelle fois ma petite boite d'enfant que je ne pensais pas devoir ouvrir encore...
- Joyeux anniversaire Harry... Avais-je soufflé au vent.
Mon hiboux était une fois de plus revenu bredouille. Pourtant je continuais d'espérer un mot en fixant l'horizon. Ce n'était pourtant pas le courrier qui avait manqué. Même Ron m'avait envoyé une lettre.
- Alice !
Je descendis de ma chambre sous les combles par la petite trappe et rejoignit la cuisine.
- Joyeux anniversaire ma chérie ! Me dit ma mère en me serrant dans ses bras. J'ai préparé des lasagnes au légumes pour le repas !
- Et on a acheter un gâteau à la crème, comme tu les aimes, compléta mon père.
Je fis un faible sourire.
- Ne t'en fait pas je suis sûr que tout va bien pour lui. Ajouta t-il devant mon sourire triste.
- T'es grand parents n'ont pas put venir mais il t'embrasse très fort.
Ma petite Alice,
J'espère que tu vas bien et que tu profites de tes vacances.
JOYEUX ANNIVERSAIRE ! Je t'envoie plein de bonheur depuis les plages ensoleillées d'Espagne, le camps de vacances pour sorcier est agréable, tu devrais y venir l'an prochain. On y fait des rencontre intéressante. Je rentre à Londres dans quelque jours, j'espère te voir bientôt.
Je t'embrasse mais n'en fait pas une habitude, c'est uniquement pour ton anniversaire et je n'ai pas du tout adopté les coutumes Française.
Lee
Douze bougies brulaient sur un petit gâteau. Ma mère est derrière moi et entour mes épaule de son bras.
- Souriez ! Dit mon père brandissant mon appareil photo.
Lys,
Si nous sommes réuni en se jour très spécial autour de se morceau de parchemin,c'est pour te souhaiter le meilleur anniversaire que tu n'ai jamais eu...
...De rentrer très bientôt officiellement dans l'équipe de quidditch de Gryffondor...
… Et de ne pas croiser de troll pour les dix prochaine année à venir !
Porte toi bien jusqu'à la rentrée et on a tous hâte de te retrouver, surtout Ron !
À tout bientôt,
George,Fred et Ron
- Fait un vœux !
Je fermais les yeux... Qu'est ce que je voulais ? Facile à trouver : un hiboux de Harry... Je rouvrais les yeux et en un seul souffle éteignis toute les bougies.
Ma jolie Alice,
Je te souhaite un très belle anniversaire, une merveilleuse nouvelle année à Poudlard, et de passer un été inoubliable. J'ai appris pour Chloé et tu feras une grande sœur formidable. J'ai trouvée du travaille, et je pars demain pour l'Espagne. Nous n'aurons guère d'occasion de nous voir cette année encore… Ne te ballade pas dans le château la nuit et prends soin de toi. J'espère te voir bientôt.
Je t'embrasse,
Remus
Un énorme paquet rectangle était posé sur la table de la cuisine. « C'est de la notre part à tout les deux. » M'avait dit mon père. Je déchirais l'emballage.
- Un nibus 2001 ? m'exclamais je, c'est le meilleur cadeau que l'on m'ai jamais fait !
- Pour ta participation dans l'équipe de quidditch.
Deux jours que j'étais prisonnier de ma propre chambre. J'avais beau retourner le problème dans tout les sens je n'arrivais pas à trouver un échappatoire. Sans magie, je ne pouvais rien faire. Les Dursley me « nourrissait » trois fois par jour. Peu être que j'allais tout simplement finir par mourir de faim... Je ne pouvait pas m'empêcher de penser qu'Alice aurait trouvé une solution. Elle aurait crocheté la serrure en un tour de main puis aurait monté un plan tordu d'évasion. Malheureusement je n'avais aucun moyen de la contacter. Je savais désormais qu'elle avait essayer de m'écrire. J'avais repérer beaucoup d'enveloppe avec son écriture dans le paquet que je n'avais pas réussi à reprendre à Dobby. Elle devait s'inquiéter... Je soupçonnais l'elfe de maison de continuer à intercepter mon courrier.
Cette après midi, mes parents m'avaient fait une surprise, il m'avait emmené dans une clairière pour tester mon nouveau balai, mon père et mon avions improvisé un quidditch à deux, pendant que ma mère dont le ventre c'était encore arrondit nous observait depuis le sol. Si il n'y avait eu que des dimanche comme celui-ci les vacances aurait pu être agréable. Le nibus 2001 était un balai formidable ; il obéissait au moindre de mes mouvements. J'avais hâte d'être de retour à l'école pour le tester dans de vrai matche.
Le cœur léger nous primes le chemin du retour. En arrivant dans ma chambre, je poussais un cris, une chouette au plumage blanc neige que je connaissais si bien, attendait sur le rebord de ma fenêtre. Sans plus attendre je couru lui ouvrir et fébrile je détachais la lettre de sa patte.
Alice,
Je t'écrie depuis la voiture volante des Weasley parce que Ron m'a dit que tu te faisait un sang d'encre. Nous volons actuellement en direction du terrier. Fred, George et lui sont venu me libérer des Dursley qui m'avait enfermé dans ma chambre à cause q'un Elfe de maison qui est venu me rendre visite pour m'empêcher de venir à poudlard cette année. Il a d'ailleurs intersecté tout mon courrier. Hedwige enfermé dans sa cage, je ne pouvais pas t'envoyer la moindre nouvelle. Enfin ce n'est qu'un mauvais souvenir, nous arriverons bientôt chez les Weasley et d'ici je pourrais t'écrire. L'on se verra sans doute quand on viendra faire les courses sur le chemin de traverse.
Les Weasley te disent tous bonjour. Il ne l'avouerons jamais mais je crois que tu manque beaucoup à Fred et George.
Je t'embrasse, à très bientôt,
Harry
La réponse de Harry apporta sont lot de soulagement mais notre correspondance épistolaire n'apaisait la monotonie de l'été. Pire encore je pouvais facilement imaginer Harry, Ron et les jumeau Weasley joué au quidditch dans le champs près de les maison et leur lettres me laissait un goût amère dans la bouche. Je continuais à compté les jours me séparant du départ du poudlard expresse et continuais à exaspérer ma mère. J'avais déjà écrie vingt centimètre de parchemin et à encore deux semaine de la rentré j'avais déjà fini tout mes devoirs de vacances. Je m'étais d'ailleurs bien garder de faire par de mon attitude studieuse aux garçons qui n'aurait pas manqué de se moquer de moi. Un chant d'amour stupide de Célestina Moldubec me parvenait à travers les murs de ma chambre, j'avais bien essayé de détruire le radio ou de cacher les CD mais toutes mes tentatives avaient lamentablement échouées. Les lettres de poudlard était arrivée la veille et les élèves avaient commencer à affluer en masse sur le chemin de traverse affin d'acheter les nouvelles fournitures scolaire. N'aillant pas beaucoup grandit, je n'avais pas grand chose à acheter, seulement la collection complète des livres de Gilderoy Lockhart, un sorcier connu pour avoir accomplie toute sorte d'exploit dans le domaine des forces du mal, mais aussi pour être particulièrement apprécier des sorcières. Personnellement après être passé un ou deux fois devant la grande affiche installer devant chez fleury et botts qui annonçait prochainement une dédicace, je trouvais qu'il avait plus l'air d'un charmeur de pacotille imbu de lui même que d'un génie des forces de mal en puissance. J'avais reçut une lettre d'Hermione, m'informant qu'elle viendrait acheter ses livres sur le chemin de traverse le mercredi suivant.
Ce mercredi je m'étais levée au aurore, je m'étais préparée en vitesse et tournait en rond dans mon entrée depuis presque une demi heure, en regardant sans cesse ma montre. Quand la sonnette retentit, je courut jusqu'à la porte d'entrée. À peine fut t'elle ouverte qu'une tornade de cheveux brun épais et bouclés me tomba dans les bras. Hermione Granger, ma meilleur amies était une petit brune avec de long cheveux broussailleux et épais qui s'emmêlaient sans cesse. À première vue Mme Granger ne ressemblait en rien à sa fille, elle était grande, élégante avec des cheveux foncée et raide. C'était de son père dont Hermione tenait sa tignasse épaisse et son nez retrousser.
Habituellement, Hermione et moi ne ressemblions pas franchement à ses filles qui se vernissent les ongles, qui mette du rouge à lèvre et se tombent dans les bras l'une de l'autre en hurlant leurs nom. Mais aujourd'hui, faisait exception. Hermione ne pouvait plus s'arrêter de parler, est ce que j'avais passé de bonne vacances, est ce que j'avais déjà commencé à lire les nouveaux livres, est ce qu'il avait fait beau...
- Hermione, haletais-je, tu m'étouffes... Dis-je en souriant malgré tout.
Hermione desserra son étreinte et je serais la main des Granger chaleureusement. Ma mère arriva dans le couloir en marchant lentement, la main sur son ventre arrondie. Elle était souriante aujourd'hui, sans doute était-elle ravie de se débarrassé de moi pour la journée.
- Bonjour, je suis absolument ravie de faire votre connaissance, Alice nous à tellement parlé d'Hermione... Je vous sert un thé ? Alice sort les tasses en porcelaine dans le buffet et installe les sur la table basse du salon.
Après avoir bu dans des tasse en porcelaine à fleurs violettes, le thé préparé par ma mère en parfaite maitresse de maison anglaise ; je suivis les Granger sur le chemin de traverse après que ma mère les ai chaleureusement remercier de m'emmener faire mes courses scolaires. A seulement six jours de la rentrée, les allées du chemin de traverse disparaissaient caché par la foule. Et je me demandais bien comment nous allions pouvoir retrouver Harry et les Weasley. Traditionnellement, nous nous dirigions vers la banque de Gringotts et ses impressionnante colonnes semblable à un opéra de la fin du 19ième siècle.
Arriver en haut des marches, j'observais la rue encombrée de passant. Puis la voix de la mère d'Hermione me tira de mes pensées.
- Cela m'embête Alice de devoir te laisser aller chercher de l'argent toute seule, mais j'ai bien peur que nous ne puissions pas t'accompagner, me dit elle d'une voix maternelle. Tu vas pouvoir te débrouiller ?
- Bien sûr madame, ne vous en faites pas pour moi.
- Je t'en pris appelle moi Jane, je ne suis pas encore assez vieille pour que tu m'appelle Madame.
Alors que nous nous dirigions vers la grande porte, Hermione qui scrutait elle aussi l'allée, s'exclama :
- Il y a Hagrid la bas ! Et... Tu devrais venir voir, tu sera contente.
Je me rapprochais d'elle, et suivit son regard. En effet la silhouette massive de Hagrid qui dépassait tout le monde de quelques têtes ressortait particulièrement du bain de foule. Et malgré les nombreux sorcier qui se pressait de boutique en boutique, je pu distinguer au coté du garde chasse, un garçon maigre avec aux lunette de travers que je connaissais bien.
- HARRY ! Criais-je en dévalant les escaliers de pierre suivit de près par Hermione.
Avant qu'il n'ai eu le temps réaliser se qu'il lui arrivait j'avais sauté dans ses bras, manquant de nous faire tombés par terre. Harry Potter avait des cheveux aussi noir que les miens était roux. Il était petit et maigre et derrière de grande lunette ronde toujours abimer, on pouvait distinguer des yeux verts qu'il tenait de notre mère dont j'avais hérité aussi.
- On se demandait comment on allait te retrouver, dis-je en souriant. Contente de te voir.
- Moi aussi, répondit il, comment aller vous toutes les deux ?
- Très bien, mais je ne sais pas comment je vais pouvoir lire tout les livres avant la rentrée. On allait chercher de l'argent à la banque, tu viens avec nous ?
- Oui, une fois que j'aurais retrouvé les Weasley.
- Ce ne sera pas compliqué, dit alors Hagrid en nous montrant les Fred, George et Ron qui courait dans notre direction.
Fred et George souvent appelé les jumeaux Weasley était de redoutable farceur dont il fallait sans cesse se méfier, il avait beaucoup grandis pendant l'été, il avait tout deux de large épaules de batteur, de yeux noisette et rieur, un nez retrousser recouvert de tache de rousseur. Je faisais partie des seules élèves du château à réussir à les différencier, j'avais passé le plus clair de mon temps libre avec eux l'année précédente, il était facile de distinguer qui était George et qui était Fred. George était méticuleux et organisé tandis que Fred était plutôt impulsif et désordonné. De plus George avait un grain de beauté cacher sous ses cheveux derrière sa nuque.
Leur jeune frère Ron était dans la même année que moi, c'était le meilleur ami de mon frère, il était à peine plus petit que ses frères mais plus grand que Harry. Il avait de grand yeux bleu et des cheveux roux flamboyant comme tout les Weasley, des taches de rousseur parsemait son visage allonger. Derrière eux, on apercevait Percy, accompagner d'un grand homme au front dégarnie. Plus grand que les trois autres, Percy était préfet de Gryffondor, il avait les cheveux bouclés et des lunettes lui tombait sans cesse sur le nez.
À leur suite on pouvait voir se précipiter une petite femme rousse et replète qui trainait par la main une fillette au long cheveux (est ce encore la peine d'en préciser la couleur ?).
- Harry, s'exclama l'homme qui accompagnait les garçons et qui devait être leurs père au vue de la ressemblance. On espérait que tu n'ai pas atterri trop loin, Molly est dans tout ses états.
- ALICE, s'exclama Fred.
- Comment c'est passé ton été ? Continua George en me donnant un tape sur l'épaule que je lui rendis avec plaisir.
- Très bien et le votre ? Répondis-je en essayant vainement d'échapper à Fred qui ébouriffa méthodiquement mes cheveux roux.
- Pas trop mal, répondis se dernier, sauvetage de princesse, chapardage de voiture et dégnomage de jardin...
- Rien qui ne sorte de l'ordinaire en somme. Compléta George.
- Dans l'allée des embrumes, répondais Harry à Ron en détournant l'attention des jumeaux.
- Formidable, dirent-ils d'une même voix.
- Nous on n'a jamais eu le droit d'y aller, expliqua Ron, salut Alice !
- J'espère bien, il ne manquerait plus que ça ! Grommela Hagrid.
La femme et la fillette, sans aucuns doute possible Ginny et Mrs Weasley arrivèrent essoufflées à notre hauteurs. À peine était elle arrivées qu'elle commença à épousseter Harry méthodiquement. Tandis que j'étais prise en otage par Fred et George, qui chacun de leur coté m'avait saisi par le bras et m'entrainait vers Gringotts.
- Alors Lycette, les vacances on été bonnes ?
- Ne m'en parle pas... Mes parents sont insupportable...
- Ça ma petite Alice, c'est le propre des parents, dit sagement George.
- Petite, petite, rouspétais-je, tu ne trouves pas que j'ai grandis pendant les vacances ? Dis-je en me redressant le plus possible.
- Non pas du tout ! Dit Fred en courant pour échapper à ma menace.
Nous arrivions en haut des marches à bout de souffle et en riant. Quand les autres nous eurent rejoint, Hermione présentât ses parents aux Weasley tandis que Harry gêné de ne pas y avoir pensé avant me présentât au parents de Ron ; ce fut bientôt à moi de rougir, quand Mr Weasley s'exclama (après s'être extasier devant l'argent des Granger) : « La fameuse Alice Potter ! »
Laissant Hermione et ses parents dans le halle, notre petit troupe descendit récupérer de l'argent dans les souterrain de gringotts. J'étais assez gêner de devoir me servir dans deux coffres différent celui de mes parents pour les fournitures scolaire et celui des Potter comme argents de poche, alors que les Weasley avait un coffre pratiquement vide.
Sortie de la banque Fred aperçut Lee et me traina presque de force à travers la foule, me laissant à peine le temps de crié au trois autres que l'on se retrouverait plus tard.
- Ne vous avisez pas de mettre les pieds dans l'allée des embrumes, nous cria Mrs Weasley tendit que nous nous enfoncions dans la quasi totalité de la population sorcière de Londres à la rencontre de Lee Jordan.
Ce dernier retrouvé nous nous dirigions joyeusement vers les boutiques du chemin de traverse et une fois les fourniture scolaire emballées, nous pûmes enfin allée chez pirouette et bandin pour faire nos réserves de pétard du docteur flibuste. Ressortant de la boutique les bras charger de paquet en tout genre, nous débattions de la méthode la plus efficaces pour les emmener à Poudlard en douce. Fred soutenant qu'il suffisait de les cacher dans un tas de chaussette sale tandis que Lee soutenait qu'il valait beaucoup mieux les dissimuler dans un livre découpé préalablement. J'eu un sourire en pensant à la tête que Hermione aurait bien put faire en l'entendant décréter quelque chose de la sorte.
Notre débat se révéla vraiment utile lorsqu'en nous voyant arrivés chez Fleury et Botts chargé de paquet, Molly Weasley s'empressa de regarder ses garçon et de leur dire : « Interdiction d'emporter quoi que se soit de tout se bazar à l'école ! Clair ? » George avait hocher la tête avec un sourire angélique, et après un dernier regard soupçonneux Mrs Weasley se pressa à dans la fil d'attente de sorcière d'age mure entassées devant la librairie ; mais elle n'avait pas vue les doigts de son fils croisés derrière son dos, ni le clin d'oeil appuyé que me fit Fred une fois qu'elle eu tournée le dos.
La foule était plus dense dans la boutique que dans toutes les rues du chemin de traverse, toutes les sorcières du pays semblaient s'être donné rendez vous ici pour la dédicace du grand, du beau, du merveilleux Gilderoy Lockhart. Harry, Ron et Hermione ne tardèrent pas à nous rejoindre, la file avançant à la vitesse d'une tortue sur le dos il nous fallut une bonne demi-heure avant d'arriver au bout de l'embouteillage et de pouvoir enfin apercevoir la table du prodige des force du mal, provoquant l'excitation de Mrs Weasley. Pour cette raison j'étais plus que ravie que ma mère ne puisse jouer les groupies et que son ventre rond l'ai forcé à rester à la maison.
Le sorcier présent en face de nous occupé à signer soigneusement chaque livre que l'on lui tendait et à lancer des sourires charmeurs, ressemblait plus à un mannequin pour une marque de parfum bourgeois qu'à un génie de la défense contre les force du mal. En effet l'homme ne dégageait pas la puissance magique évidente de Dumbledore ni même l'attirance et la connaissance palpable de Rogue, notre maitre des potions, pour la magie noir. Gilderoy Lockhart était blond avec un brushing soigné, une robe bien apprêtée assortie à la couleur de ses yeux et un sourire trop blanc pour être naturelle. Alors que nous faisions tranquillement la queue, nous faisant piétiner par le photographe de la gazette du sorcier, Lockhart leva les yeux et s'exclama :
- Ma parole, ce n'est quand même pas Harry Potter ?
Les personne encore présente devant nous, s'écartèrent pour laisser passer le sorcier, trainant un Harry qui avait l'air de vouloir disparaître sous terre, sur le devant de la scène. Les yeux écarquiller il fut assailli par les flash du reporter tandis que je crachais de mes poumons la fumée expulser par son appareil.
- Fais un beau sourire Harry, dit celui ci, Toi et moi on va faire la une.
Continuant à m'étouffer j'essuyais les regard noir des sorcières qui regardais la scène avec émoi, comme si elle assistait à une très bonne pièce de théâtre et que je leur en gâchait l'intrique. Au bout de quelque seconde alors que Lockhart entamait un monologue Lee, confiant nos livres et sa bourse au jumeaux me saisie par les épaules et m'entraina hors du magasin.
- Il serai tout particulièrement bête qu'il y ai comme épitaphe « ci-git Alice Potter tué par un flash d'un photographe bedonnant de la gazette » sur ta pierre tombal, me dit-il une fois dehors, tu ne trouve pas ?
Je hochais la tête en essayant de reprendre ma respiration, savourant l'air plus ou moins pure de Londres. L'air frai eu l'effet escompté et mes quintes toux cessèrent rapidement.
- Tu tiens à y retournez ? Demandais-je à Lee.
- Sincèrement ? Non je n'y tiens pas.
D'un commun accord, soulagés d'avoir trouvé une bonne excuse pour échapper à ses mondanités, nous nous assaillons sur le bord du trottoirs, laissant s'installer entre nous un silence gêner. En effet nous avions peu l'habitude de nous retrouver seul tout les deux. Pourtant, bien qu'assument tous plus ou moins un rôle de grand frère protecteur, c'était Lee qui prenait se rôle le plus à cœur. Lee Jordan était le meilleur ami des jumeaux Weasley, comme eux je l'avais rencontrée l'année précédente dans le poudlard expresse. Lee Jordan avait une couleur chocolat au lait, des yeux noisettes souvent pétillant de malice ainsi que de long cil noir. Il portait ses cheveux long, des dredslocks rarement attachés, qui encadrait son visage encore fin, tardant à grandir, il était plus petit que les jumeaux et semblait physiquement plus jeune.
- Alors, demanda Lee, comment trouve tu le grand Gilderoy Lockhart ?
- Plutôt décevant, il n'a vraiment pas l'air d'un génie des forces du mal...
- Pourtant tu es la première personne à me connaissance ayant faillit mourir d'asphyxie en le voyant, venant de ta part, je t'avouerais que c'est aussi plutôt décevant.
- Hé, protestais-je en le tapant à l'épaule, ce n'était pas aussi pathétique que ça. Et ce type, quelle prétention !
- C'était pathétique ! Tu as vue comment il s'est jeté sur Harry, dit-il en riant. C'était assez gênant.
- Pauvre Harry, tu as vue ça tête !
C'est ainsi que notre petite troupe nous retrouva, pouffant sur le trottoir. Devant leurs air abattu, nous cession aussitôt de rire.
- Bah que c'est il passé ? Demandais-je, vous avez vue vos tête ?
- On a croisé Malfoy et son père, expliqua Hermione.
- Lui et mon père se sont battu, chuchota Ron.
Ouvrant de grand yeux rond nous nous relevions et suivions le petit groupe sans un mot. L'incident avait jeté un froid. Lee rejoins ses parents assez vite tandis que les Granger me laissèrent au bas de mon immeuble. Après avoir embrassée Harry, remercier les Granger et fait promettre au Weasley d'écrire, je grimpais ma vieille cage d'escalier charger de paquet en tout genre.
- C'est moi, je suis arrivée ! Dis-je en poussant la porte de l'appartement.
