NDA : Voilà, je réessaie de me mettre à l'écriture sur NCIS. Pas dit que ça marche. Désolé pour les fautes je n'ai pas encore de correctrice pour cette histoire. J'espère que ça vous plaira. Dites moi ce que vous en pensez, merci :D
Bonne lecture
Prologue.
Les agents étaient assis à leur bureau comme n'importe quel jour. Les traces de l'explosion ont disparus depuis déjà quelque mois et le rythme du quotidien a vite repris sa place. Chacun vaquait à ses occupations lorsque Gibbs arriva, il déposa une enveloppe sur le bureau de Tony.
« C'est pour toi DiNozzo. » Déclara-t-il.
« C'est de qui patron ? »
« Aucune idée, je l'ai récupérée en bas »
L'homme s'assoit, son café en main il regarda la réaction de son agent. Ce dernier arracha un peu brusquement le scotch qui fermait l'enveloppe et afficha un visage surpris.
« Tony ? » Appela Ziva après un long moment de silence.
Il leva les yeux qu'il posa tour à tour sur les personnes qui l'entourait. Puis, il tourna la feuille pour que tout le monde puisse voir. Les trois personnes se mirent à lire... Il s'agissait d'une menace de mort. Comme si le malheur n'avait pas assez touché le NCIS.
« C'est quoi ça ?! » S'inquiéta Gibbs.
Tony retourna la lettre vers lui, l'examina avant de déclarer sur un ton rassurant :
« Sûrement un canular ».
L'équipe se calma un peu. Depuis l'explosion, un rien les stressait alors pour que une simple lettre il n'y avait surement pas de quoi lançait une alerte. Alors, l'après-midi passa sans problème. La lettre anonyme trônait dans la corbeille sans que personne ne se doute de tout ce qu'elle allait engendrer.
Abby faisait des expériences pour tuer le temps lorsque Gibbs vint lui apporter sa boisson préféré.
Elle lui demanda des détails sur la lettre, comme toujours trop émotive : Elle s'inquiétait énormément.
« Gibbs, tu crois pas qu'on devrait quand même vérifier si c'est rien ? »
Son regard suppliant fit céder son chef. Il lui tendit enfin la boisson et avec un sourire rassurant :
« Si ça peut te rassurer. » Il l'embrassa sur le front comme l'aurait fait un père avant de lui demander de ne pas trop s'inquiéter. Il précisa
« Abby, je sais que c'est pas facile, mais il faut tourner la page ». Et il se retourna sans même attendre sa réponse.
En haut, Ziva rageait contre son ordinateur. Depuis presque deux heures, elle se débatait pour lutter contre les caprices du réseau internet. McGee avait déjà essayé de l'aider, mais impossible, elle était trop énervée pour l'écouter.
« Ziva, va manger ! » Commanda le chef.
Elle rechigna un instant, assurant que l'email qu'elle devait envoyer était important. Mais, elle se rendit vite compte à quel point c'était idiot de pas être aller manger pour si peu. Elle s'empara alors de sa veste, déclara qu'elle n'en aurait pas pour longtemps. Elle s'engouffra dans l'ascenseur. Tout avait trop changé pour elle, ses nerfs ne tenaient plus autant qu'avant et elle retenait ses larmes.
Puis, elle ne sait plus vraiment ce qui s'est passé. Elle entendit un coup de feu puis se retrouva au bureau. Elle ouvrait doucement ses paupières découvrant peu à peu les visages inquiets de ses collègues.
« Je te l'avais dit Gibbs ! La lettre : c'était pas un canular ! » Clamait Abby, folle d'inquiétude qui marchait d'un côté à l'autre de la pièce.
« Il s'est passé... Quoi ? » Demanda faiblement la voix de l'agent.
« Ziva ! » Soupira de soulagement Tony en s'agenouillant en face de la femme assise à son bureau.
« T'as faillit te faire tirer dessus, c'était toi qui était visé on a reçut une autre lettre. Mais... » Commença McGee.
« Mais ? » Redemanda Ziva dont la tête explosait.
« On t'expliquera plus tard. Comment tu te sens ? » Demanda Tony.
Gibbs se trouvait derrière et regardait la scène en réfléchissant. Il reprit alors la première lettre qui se trouvait dans la corbeille et demanda à Abby de vérifier si elle trouve des empreintes dessus. La femme aux cheveux noirs regarda Gibbs étonné.
« Hé ! T'as pas écouté ce que je t'ai dit ? » Déclara-t-elle, offusquée.
Il reporta alors son attention sur la jolie gothique.
« Euh... »
« Gibbs, t'es dans les nuages en ce moment... Je te disait que je sais qui a écrit ça ! »
Toute l'équipe regarda Abby, elle prit alors l'enveloppe.
« J'ai fait des recherches et.. un ancien ami m'a parlé d'un psychopathe qu'on appellerait « Le Rusé », ce serait d'après le peu d'information qu'on a sur lui : Un homme riche qui beigne dans le trafic de drogue et qui aime détruire la vie des gens. Plusieurs policiers ont tout perdu et on vécu un enfer. Il joue avec ses victimes et rentre dans leur tête. Il fait de leur vie un enfer. Mais... Je sais pas vraiment qui c'est. »
Les agents du NCIS l'avait écouté attentivement et trouvaient cela totalement tiré par les cheveux. Pourquoi quelqu'un voudrait faire ça, quel personne sur Terre trouve ça « cool » de détruire la vie de personne. Et surtout : Pourquoi eux ?
« Comment tu peux être sûr que c'est lui ? » Demanda Gibbs
« Le Rusé n'a jamais était médiatisé, la police a tout fait pour limiter sa notoriété alors un imitateur est a exclure. » Expliqua Léon qui venait d'arriver par surprise.
En quelques heures, ils retournaient tous dans un cauchemar. Le sort s'acharnait sur l'équipe.
Dans le laboratoire, Abby était assise. McGee arriva, Gibbs lui avait demander d'aller voir si elle avait besoin d'aide pendant qu'il irait parler avec un des agents de police qui avait était la victime du Rusé.
Le geek trouva Abby assise, comme vidé de toute énergie. Il en fut presque choquée, il ne la voyait que rarement sans énergie. Il s'approcha doucement et essaya de capter son attention mais son regard restait figé dans le vide.
« Abby, ça va ? »
Le regard de la gothique se releva doucement, les yeux gonflés. Elle se laissa même glisser par terre.
« Abby, ça va s'arranger ! » Promit-il en s'asseyant à ses côtés.
Ils restèrent un moment par terre. Ils réfléchissaient aux malheurs qui leur arrivé. On ne voit jamais la douleur arrivait, elle pointe son nez quand on s'y attend le moins. Tout se détruit, on est emporté dans un ouragan et on se rend compte des dégâts seulement après.
« McGee, tu crois qu'on est maudit ? » Interrogea Abby en tournant son regard vers Tim.
Il regardait vers l'horizon et haussa les épaules. Il était aussi perdu qu'elle. Mais, il se promit qu'il serait toujours là pour la protéger.
De son côté, Tony veillait sur Ziva. Elle était encore sous le choc et son regard se baladait lentement entre ses mains et le regard de son coéquipier.
« Tu veux manger quelque chose ? » Se soucia l'homme en sortant de son tiroir des bonbons.
Elle fit signe que non avant de paraître soudain choquée comme si elle réagissait à retardement.
« C'est quoi le « mais » dont m'a parlé McGee ? »
Tony grimaça. Il n'avait pas prévu de lui en parler si tôt, personne ne voulait qu'elle se sente coupable. La jeune femme était plus déterminée qu'il n'y paraissait, elle se leva encore un peu secouée. Croisant ses bras sur sa poitrine, elle prit un air sévère et redemanda :
« Tony, vous me cachez quoi tous ? »
« Ziva assis toi sinon.. » Menaça-t-il
« Sinon quoi ? »
« Sinon, on t'envoie à l'hôpital. »
« J'ai dit que j'allais bien ! » S'énerva la femme avant de se rassoir, par précaution.
« Tu crois vraiment que tu vas bien ? Ça fait presque une demie heure que tu regardes dans le vide, alors je suis pas sûr que tu vas bien »
Il eut un grand silence, Tony baissa les yeux tant dis que Ziva amenait ses mains à son visage pour cacher ses yeux devenu rouge avec la fatigue accumulée ses derniers temps.
« S'il te plait...Dis moi la vérité »
Tony ne voulait plus continuer à cacher ce qui s'était passé.
« En fait, tu as faillit être touchée... Mais, la balle a atteint une adolescente. Elle est dans le coma apparemment. Des agents sont avec elle au cas où. Mais t'as pas à te rendre coupable. »
Ziva n'avait rien dit, son regard vide revint et Tony s'en voulut de lui avoir annoncé aussi tôt.
Gibbs se trouvait dans un hôpital psychiatrique. Un homme aux visage creusé venait de lui raconter l'enfer qu'il avait vécu :
« Une fois qu'il vous a choisit. C'est finit. Vous tomber en enfer, en dépression et rien ne va plus. Bizarrement, il vous connait par cœur. Il a joué avec mes nerfs, m'a retiré tout ce qui comptait pour moi : Mon emploie, ma famille. Après ça, il m'a retiré l'esprit. C'est comme si il m'avait tué. Oui, et maintenant, je suis là déclaré fou. »
Même si il ne laissait rien paraître, le chef d'équipe commençait à être inquiet. Il se demandait jusqu'où cette homme irait vraiment, c'est ce n'était pas qu'une folie d'un jour et que demain il ne s'intéresserait plus à eux. Il espérait, oui que tout irait mieux. Il ne sentait pas son équipe à affronter ça, pas maintenant, c'était trop tôt.
Alors ? Vous en pensez quoi ? Je dois continuer ou non ? La suite dans deux semaines parce que j'ai d'autre fic en cours. Merci d'avoir lu.
