One-Shot : Pity Party
Coucou mes lapinous ! Aujourd'hui, petite songfic sur "Pity Party" de Melanie Martinez. Pourquoi ? Parce que :
1. J'ai envie.
2. la discographie de Melanie Martinez est juste GENIALE et son univers est complètement BARGE
3. J'aime cette chanteuse.
Comme d'hab', les paroles en gras traduites par mes soins.
Disclaimer : Je ne possède ni la chanson, ni le personnage.
Bref, Bonne Lecture !
Mes invitations ont-elles disparues ?
Pourquoi ais-je mis tout mon coeur dans chacune d'entre elles ?
Dites moi pourquoi personne n'est venus ?
Dites moi quoi faire pour qu'ils se sentent tous mieux ?
Ca va bientôt faire une heure que j'attends. Pourquoi personne n'est arrivé ? La pièce devrait être pleine de monde, non ? Avec toutes les invations que j'ai distribué dans la cour...
Peut-être me suis-je trompé de date en écrivant mes cartons d'invitation ? Non, imposible. Je les ais lus et relus pour m'assurer que tout était parfait, jusqu'au moindre détail, à la moindre virgule, au moindre point.
Je me fais des idées, ils vont arriver. J'en suis sûr.
Peut-être me joue-t-on une farce cruelle ?
Peu importe, peu importe
Cela veut simplement dire qu'il y aura plus de gâteau pour moi
A jamais, à jamais
Peut-être est-ce une blague ? Si ça se trouve, ils sont tous cachés dans la maison, ou devant la porte, attendant que je les trouve pour me sauter au cou ! Oui, il doit y avoir de ça. Je vérifie partout. Je les appelle.
Pas de réponse.
J'ouvre la porte.
Personne.
Je sort dans la rue.
Per..sonne...
"Tant pis, il y aura plus de gâteau pour moi !"
C'est ma fête et je pleurerais si j'en ai envie
Pleurer si je veux (pleurer, pleurer, pleurer)
J'attrape une boîte d'allumette. J'en sort une. Je la craque. J'allume les bougies sur le gâteau.
Je vais pleurer jusqu'à ce que les bougies brûlent cet endroit
Je vais pleurer jusqu'à ce que ma fête de misère soit en flammes
Je pleure. Je pleure à chaudes larmes. Les bougies se consument lentement et les larmes déferlent sur mes joues.
"Pourquoi... Pourquoi, pouquoi, pourquoi ne viennent-ils pas ?"
Peut-être que si je les avais mieux connus
Je n'aurais pas été piégé dans cet enfer qui me détient
J'ai dû me tromper sur leur compte. C'est sûr. Ils ne sont peut-être pas ceux qu'ils prétendent être sous leurs masques gentillets.
J'aurais dû apprendre à mieux les connaître.
J'aurais dû.
j'aurais dû...
Peut-être que leurs ais-je jeté un sort
Ou leurs ais-je dis que la décoration était des rubans pastels
Peut-être ais-fais quelque choses pour leur déplaire ? Ou bien peut-être que je n'aurais pas dû leur préciser comment était la décoration...
Peut-être me joue-t-on une farce cruelle ?
Peu importe, peu importe
Non, je divague. Ce n'est rien de plus qu'une blague. Oui, c'est ça. Une blague. Une très bonne blague même, ha ha...
Cela veut simplement dire qu'il y aura plus de gâteau pour moi
A jamais, à jamais
Ce n'est pas grave... Il y aura plus de gâteau pour moi. Oui. Il faut voir le bon côté des choses : je vais profiter de ce délicieux gâteau. Seul.
tellement seul...
C'est ma fête et je pleurerais si j'en ai envie
Pleurer si je veux (pleurer, pleurer, pleurer)
Les larmes recommencent à rouler sur mes joues. Elles tombent sur la part de gâteau au chocolat fraîchement coupée. Elles inondent l'assiette en plastique. Je n'arrive pas à m'arrêter.
je n'y arrive pas...
Je vais pleurer jusqu'à ce que les bougies brûlent cet endroit
Je vais pleurer jusqu'à ce que ma fête de misère soit en flammes
Les bougies continuent de brûler. Les flammes montent haut, haut, si haut. Elles atteignent une décoration de papier crépon mal accrochée qui tombait trop bas. Celle-ci prend feu.
Maman t'avais prévenue...
je ris,
C'est une balgue
je pleure
Une très bonne blague...
C'est comme si je mourrais
Ce n'est pas comme si...
Je ris, je pleure
C'est très drôle.
C'est comme si je mourrais
C'est hilarant.
C'est comme si je mourrais
C'est ironique...
si je mourrais
ça brûle.
Je meurs, je meurs
Tu te consume...
C'est ma fête et je pleurerais si j'en ai envie
Et je pleure.
C'est ma fête et je pleurerais si j'en ai envie
Et tu brûle...
"C'est ma fête et je pleurerais si j'en ai envie
Pleurer si je veux (pleurer, pleurer, pleurer)
Je vais pleurer jusqu'à ce que les bougies brûlent cet endroit
Je vais pleurer jusqu'à ce que ma fête de misère soit en flammes"
Je suis paralysé par la peur.
Je ne peux pas bouger et la pièce se consume autour de moi.
Je me recroqueville, répétant frénétiquement :
"c'est ma fête, c'est-c'est ma fête
c'est ma fête, c'est-c'est ma fête
C'est ma fête et je pleurerais si j'en ai envie
Pleurer si je veux (pleurer, pleurer, pleurer)"
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Dans l'encadrement, deux personnes murmurraient, observant l'enfant sécoué de violents tremblements :
" - Chéri... je suis inquiète pour notre fils... On devrait l'emmener voir un spécialiste, tu ne pense pas ?
- Il est un peu jeune tu sais... C'est assez prématuré. Je ne pense pas que l'on puisse tirer des conclusions à son âge.
- Tu as raison. Laissons le dormir en paix."
L'une des silhouette s'approcha, déposant un baiser sur le front de l'enfant, l'appaisant un peu.
" Bonne Nuit Mathieu... Je t'aime mon fils" déclara-t-elle en quittant la pièce, refermant la porte sur le petit garçon.
MOUAHAHAHAHAHAHAHA !
Vous vous y attendiez pas hein ? Chui sûre que vous pensiez que c'était le Geek. Non ? Ah. Merde.
...
Bref, j'espère que ça vous a plu ^^
Hune riviou oux d sou !
jveu dla thune é c tou !
