His love through time

Titre: His Love Through Time (Son amour à travers le temps)

Couples: Gellet Grindelwald/Albus Dumbledore Gellet Grindelwald/Ron Weasley

Les personnages appartiennent à leur auteure (c) J.K.R

Contexte: (Cette histoire se situe vers le septième tome.) La guerre fait rage entre le clan du mal et celui du bien, Voldemort à trouvé les reliques et les a en sa possession. Pour que le bien triomphe du mal, ils doivent trouver une solution et rapidement car le Lord noir n'attendra pas. Hermione, bien décidée à finir cette guerre a une idée tordue, mais c'est leur seul espoir.

Je m'excuse déjà auprès de vous, car il se peut que les expressions employées dans le texte vous soient méconnues. Pour remédier à cette situation, vous pouvez m'envoyer un petit message me demandant une clarification. S'il vous plait, si vous n'aimez pas, ne commenter pas à moins que ce soit constructif. Je sais bien que le couple mentionné peut vous sembler bizarre, mais j'ai bien envie d'essayer au moins une fois. Bonne lecture!

Eva.

Chapitre I

Caché dans une grotte, les héros se préparaient à écouter le plan « sensationnel » d'Hermione. Ils étaient tous suspendus à ses lèvres. La jeune femme faisait de son mieux pour placer des sorts de protection provisoire afin de les protéger du Lord noir. La majorité avait les vêtements tachés de sang soit des autres ou leur propre sang. Tous savaient que la bataille allait être rude, mais malheureusement pour eux, Voldemort était sur le point de la gagner. Ginny fut prise d'une quinte de toux, Harry la serra dans ses bras. Hermione tourna rapidement la tête vers eux, elle termina de lancer le dernier sortilège et elle avança vers ses amis. Elle fit les cent pas.

-Tu m'énerves à faire ça, déclara Ron, on jurait que tu as une mauvaise nouvelle à nous apprendre et que tu ne sais pas comment le dire.

-C'est un peu ça, répondit-elle en tournant la tête vers lui, j'ai un plan, mais il est un peu casse-cou. Tu en fais partie Ron.

-Pourquoi moi? pleurnicha-t-il.

-Tu es le seul ne nous à être le moins blesser, de toute façon, nous avons besoin d'Harry ici. Alors arrêtes de faire l'enfant. J'ai besoin qu'on m'aide à ouvrir une brèche temporelle. Je sais que c'est fou, mais comme Voldemort a les reliques, j'ai pensé que nous pouvions aller dans le passé et emprunter les reliques pour tenter de lui faire face.

-En ce moment, je ne sais plus quoi faire, je suis a bout, je suis prêt à tenter n'importe quoi. répondit Harry.

Hermione reprit:

-Et comme Ron est le moins blessé d'entre nous, j'ai pensé que ce serait lui l'idéal pour y aller.

-Tu veux m'envoyé là-bas? Je ne connais personne et je ne sais même pas où elles sont ces foutues reliques! Tu le sais très bien que je ne suis pas aussi futé que toi.

-Ron, commença Ginny, d'après le livre écrit sur la vie de Dumbledore, il connaissait quelqu'un qui les cherchait aussi.

-Pourquoi vous êtes tous contre moi?

Un long silence plana pendant un moment, les regards de tout le monde étaient posés sur Ron. Le jeune homme se leva d'un bond et fit les cent pas. Il était nerveux. Il ne voulait pas abandonner ses amis:

-Je ne sais même pas combien de temps cela va prendre pour les trouver…

-Je sais, avoua Hermione, mais c'est notre seul espoir.

-Vous allez faire quoi pendant que je vais être parti?

-On va tenter de gagner du temps Ron, je sais que tu peux le faire, affirma Harry.

-Ginny tu peux le faire non? tenta Ron.

-T'es con ou quoi? Tu le sais bien qu'avec ma cheville je ne peux pas bouger comme je le souhaite.

Voyant qu'il était le seul à pouvoir y aller, il soupira. Il s'adossa contre la paroi rocheuse. Il attendait qu'Hermione fasse la brèche, du moins, qu'elle la provoque. Il baissa la tête, personne n'osait aller le voir, ils savaient tous que c'était une pression énorme sur le rouquin. Ron se demandait bien ce qui allait arriver s'il ne les trouvait pas, s'il allait pouvoir revenir à la bonne année. Quelques minutes plus tard, Hermione lui toucha l'épaule. Il sut que le moment était arrivé. Il se leva lentement et regarda ses amis, ils mettaient leur vie entre ses mains. Le rouquin prit une profonde inspiration et marcha vers la brèche. Il n'avait pas le moindre indice où commencer ses recherches. Il entendit crier derrière lui, il tourna la tête et vit qu'ils avaient été repérés.

-Grouilles-toi Ron! s'écria Harry qui tentait de les repousser. Je sais que ça risque d'être dur, on est avec toi Ron, fais de ton mieux!

Sous les encouragements de ses amis, il fonça dans la brèche d'un pas décidé qui se referma derrière lui. Tout tournait autour de Ron, il sentait le mal de cœur l'envahir. L'envie de vomir était de plus en plus forte, sa tête tournait. Il voyait des images défiler devant ses yeux, il les ferma de peur que ses images restent gravées dans sa tête. Il sentit finalement son corps s'écraser sur une surface dure, il gémit de douleur. Ron tenta d'ouvrir les yeux, mais la douleur était trop forte pour lui, il tomba dans les ténèbres d'un sommeil agité. Il sentait son corps lourd comme une grosse pierre, il entendait des voix sans pouvoir leur répondre. Cette situation dura, ce qui semblait à Ron, une éternité. Il vint à sentir une main froide sur sa joue.

-Tu crois qu'il est mort? demanda une voix.

-Je ne sais pas, mais il a fait une sacré chute, il doit avoir quelque chose de cassé… J'y pense, peut-être qu'il a le cerveau en bouillie.

-Cela expliquerait pourquoi il ne se réveille pas. Tu m'aides Albus?

Si Ron avait pu, il aurait figé. Il se souvenait du vieillard sympathique qui aidait Harry dans n'importe quelle situation. Il essaya de bouger l'un de ses bras pour leur dire qu'il n'était pas mort. Il n'y parvint pas, mais il entendit parler sans pouvoir entendre clairement les paroles. Le bruit d'une porte que l'on fermât lui arriva aux oreilles. Même si son esprit était dans les limbes, il pouvait quand même reconnaître les bruits du quotidien. Il sombra de nouveau dans le sommeil. Quand il se réveilla, il se sentait en pleine forme, il s'assit dans le lit et regarda autour de lui. Il ne reconnaissait aucunement l'endroit où il se trouvait. Il était dans une chambre, mais la chambre de qui? Il se souvint qu'un jour Hermione lui avait dit que si l'un d'eux tombait dans la passé, il ne devait pas changer les choses. Ron sourit, il allait devoir passer pour un amnésique.

-Tu es réveillé ? demanda une voix.

Tout en tournant la tête Ron répondit:

-Je crois que oui.

Le jeune homme qui avait environ son âge se mit à rire. Il avait les cheveux blond qui descendait jusqu'aux épaules, des yeux bleus à faire rêvé de la mer et un magnifique sourire. Il avait un corps élancé. Le rouquin pensa aussitôt qu'il était très beau. Soudainement, il vit un autre homme entrer dans la pièce.

-Oh, Il est réveillé Gellert?

-Ouais, mais il me semble un peu à l'ouest.

-Comment tu t'appelles? demanda Albus.

-Je ne m'en souviens plus… c'est curieux ça… répondit nerveusement Ron.

-Hé bien, si tu ne t'en souviens plus, il faudra bien t'en trouver un, moi je suis Gellert Grindelwald et lui c'est Albus Dumbledor.

Ron ne pu s'empêcher de fixer Albus, il n'en revenait pas, il venait de voir à quoi ressemblait le défunt directeur de Poudlard. Gellert ne sembla pas apprécier le regard de Ron sur son ami. Il fusilla donc le rouquin du regard. Avant qu'il pu demander quoique ce soit, le dénommé Grindelwald prit Albus par la main et l'entraina avec lui. Une fois qu'ils furent hors de vue, Ron en profita et fit l'inventaire de ce qu'il avait sur lui. Il avait toujours ses souliers et ses vêtements en loques. Il remarqua que son habit était encore tâché de sang. Il chercha sa baguette qu'il trouva, il regarda son état et fut soulager de voir qu'elle n'était pas brisée. Il se rappelait encore des escargots, il en avait gardé un très mauvais souvenir. Il approcha de la porte pour écouter, s'il n'entendait rien, le rouquin pouvait penser à sortir par la porte d'entrée. Malheureusement pour le rouquin, il entendit des voix. Il ne pu s'empêcher d'en entendre une partie.

-Tu as vu comment il te regardait Albus?

-Non pas vraiment, pourquoi tu me parles de ça?

-Il avait l'air de te trouver de son goût.

-Quoi? s'écria Albus. T'es malade?

Ron se mit à regarder par la serrure, il voulait savoir s'ils étaient loin de la porte. Il pu voir une scène qu'il n'avait jamais pensé voir un jour. Il vit Grindelwald agripper Dumbledore et l'embrasser à pleine bouche. Le rouquin laissa échapper un cri d'étonnement. Il vit que Dumbledor ne tardait pas à répondre au baiser. Ron rougit et arrêta de regarder, il n'avait pas une seconde à perdre à regarder. Il devait faire vite. Il regarda par la fenêtre voir s'il pouvait sauter. Voyant que la fenêtre n'était pas très élevée du sol, il tenta de l'ouvrir.

-Que fais-tu? demanda Albus qui venait d'entrer dans la chambre.

-« Serpensortia! » cria Ron dont la seule formule venue à son esprit confus était celle-là.

Albus recula pour ne pas être mordu par le serpent.

-Par la barbe de Merlin c'est un sorcier!

-Jamais je l'aurais cru, laissa tomber Grindelwald, il n'est pas entrain de se sauver par hasard, tu crois qu'il a quelque chose à cacher?

Ron, se rendit compte de l'inutilité de son sortilège, il décida d'en lancer un autre:

-« Stupéfix! » Ha merde!

Il venait de toucher Dumbledore alors que c'était Grindelwald qu'il visait. Gellert semblait rire de lui, il devait le trouver minable. Grindelwald s'élança à la poursuite de Ron qui, d'un coup de pied, lui envoya le bout du lit dans le ventre. Il sauta par la fenêtre qu'il avait finalement ouverte. Il entendit une plainte, mais il se concentra sur sa fuite. Il se mit à courir le plus vite qu'il pouvait. N'ayant jamais été un de ses sportif à l'endurance à toute épreuve, il s'essouffla. Soufflant comme un bœuf, il regarda derrière lui, il ne voyait personne. Il sentit un coup dans le genou gauche, Ron chancela. Une personne l'agrippa pour ne pas qu'il tombe, mais il ne pouvait pas se servir de ses bras et de sa baguette par fait même. Cette personne murmura à son oreille, Ron reconnu la voix sur-le-champ.

-Tu pensais vraiment t'échapper? murmura Grindelwald.

Trop étonné pour répondre, Ron tourna lentement la tête vers le beau jeune homme. Il frissonna juste à sentir son corps contre le sien. Le remarquant, Grindelwald sourit:

-Tu aimes les hommes toi, je me trompe?

-Pas du tout! s'offusqua Ronald.

Gellert passa ses lèvres sur la nuque de Ron avec une sensualité qui fit frémir le rouquin. Le blondinet fit descendre une de ses mains sur l'un des hanches de Ron. Inconsciemment, le rouquin ferma les yeux et gémit de plaisir.

-Hmm, je crois que tu mens, je suis sur que oui.

-Tais-toi… ordonna Ron en rougissant.