Salut les crevettes ! Ceci est ma deuxième fanfiction parodie officielle (et ouais, ça devient mon métier, huhu). Comme je suis une grosse geek, c'est de nouveau à propos d'un jeu vidéo ; Animal Crossing : Wild World. Vous suivrez les discussions, les potins, les disputes des "personnalités" d'Animal Crossing, de Tom Nook à Thibou en passant par Amiral, Opélie ou encore Kéké, et tout ça au café du Perchoir ! Croyez-vous que ces animaux si gentils d'ordinaires dans le jeu soient toujours d'aussi bonne humeur qu'ils le prétendent ?
Rating K+, car y'a quand même des insultes. Les personnages appartiennent à Nintendo, par à moi, mais j'en fais ce que je veux, fufufufufu.
Bonne lecture !
Animal Crossing : Wild World
- Les Chroniques du Perchoir -
Prologue : Nouvel arrivant.
Lieu : Le Perchoir, café du Musée municipal.
Opélie, Tom Nook, Thibou et Robusto discutent.
Opélie : C'est aujourd'hui qu'il arrive ?
Tom Nook : Ouais, il devrait pas tarder.
Robusto : Un nouveau résident ?
Tom Nook : Yep.
Opélie : Je vais pas tarder à y aller, moi, je dois l'accueillir à la mairie. Robusto, tu me sers un allongé avant que j'y ailles, s'il te plaît ?
Robusto : ça marche.
Thibou : Enfin une bonne poire pour remplir ce musée, c'est pas trop tôt.
Tom Nook : Les affaires reprennent. Avec le prêt qu'il devra rembourser – parce qu'il est obligé, kri hi hi -, je vais me remplir les poches !
Opélie(vide sa tasse): Bon, allez je file, il doit être en train d'attendre.
Le goéland se précipite vers la sortie après avoir salué ses camarades. Peu de temps après, une tortue fait son apparition dans le Perchoir.
Robusto : Salut l'Amiral. Un petit café ?
Amiral(s'assoit): Un déca comme d'habitude, alors.
Tom Nook : Alors l'Amiral, t'as escorté le nouveau ?
Amiral : La nouvelle, en fait. Elle s'appelle Alice.
Thibou : Une femme ?(râle)Mais les femmes sont nulles à la pêche ! Putain, c'est pas demain la veille qu'elle va me ramener des poissons au musée, celle-là.
Tom Nook : C'est pas mauvais pour mon business, ça. Je te parie mon tablier qu'elle va me vider le magasin en 5 minutes après m'avoir vendu la totalité des fruits de ce bled.
Amiral : C'est une petite blondinette aux yeux bleus. Elle porte une robe à vomir.
Robusto : Depuis quand tu reluques les habitantes, toi ?
Amiral : Eh ben quoi ? Pour une fois que c'est pas une putain de souris ou d'écureuil qui emménage...
Tom Nook : Hm, avec un peu de chance, elle a trouvé le chemin de sa maison et je dois aller l'accueillir à mon tour. J'vous laisse les gars.
Thibou : A plus, Nook.
Le raton-laveur s'en va. C'est alors qu'Opélie ré-apparaît.
Opélie : Pfiou, j'ai cru qu'elle me lâcherait jamais.
Thibou : Alors ?
Opélie : J'ai dû lui faire sortir 3 fois son plan pour lui montrer où elle habitait, cette nouille !
Thibou : C'est bien qu'est-ce que je disais : Une incapable.
Amiral : Laissons-lui une chance, si ça se trouve elle est juste un peu intimidée.
Thibou : Non, les femmes sont juste des idiotes.
Opélie : Eh ! Tu veux qu'on parle des vieux grabataires ?
Thibou : D'accord, faisons un pari ; Si elle arrive à me ramener un bar commun avant ce soir, je n'insulterais plus jamais le sexe faible.
Opélie : ça marche !
Thibou : Et si tu perds, tu m'épouses !
Robusto(choqué): ….
Opélie : Mfr...(grognon)Bon, d'accord.
Amiral(soupire): Opélie, tu sais comment ça se termine à chaque fois...
Thibou : Moi je sais qu'à chaque fois qu'elle a perdu, elle s'est débrouillée pour annuler le mariage.
Opélie : Pas cette fois ! J'ai distingué une lueur d'intelligence dans ses grands yeux bleus !
Robusto : En arrivant, tu l'as traitée de nouille.
Opélie : Oui, bon...
Thibou(jubile): Je sens que je vais encore bien m'amuser.
Céleste(arrive en courant): Grand-frère ! Grand-frère !
Thibou : Qu'est-ce que tu nous veux, femme ?
La chouette, essoufflée, s'arrête quelques instants à côté de Robusto, et le regarde timidement.
Céleste(rougit): S...Salut Robusto.
Robusto : …...
Thibou(soupire): Mais c'est pas possible...
Opélie : Qu'est-ce qu'il se passe, Céleste ?
Céleste : Ah... Euh ! La nouvelle ! Alice ! Elle n'est qu'à quelques pas du musée, elle arrive !
Thibou : QUOI ?
Robusto : Personne avant n'avait trouvé le chemin du Musée aussi vite !
Opélie : On est complètement à l'opposé de la boutique Nook et de la Mairie. Et j'ai regardé, la maison de Alice aussi est de l'autre côté de la ville. Qu'est-ce qu'elle vient faire là ?
Céleste : Peu importe ! Il ne faut pas qu'elle vous trouve tous ici ! Grand-frère, vite, à ton poste !
Thibou : Très bien ! Il est temps pour moi d'aller faire semblant de dormir dans le hall d'entrée de ce bâtiment délabré !
