Titre : Sous les ailes de mon néphillim
Auteur : Gaya972 (anciennement connue sous le pseudo de Anonyme972 ;) )
/!\ Warning /!\ : Rating M ! Ceci est une fic yaoi comportant des relations homosexuels Boy x Boy ! Donc les mineurs et ceux qui n'apprécient pas le genre, pas de lecture ^^ ! Je suis pas responsable, moi ! Compris ?
Pairing : Ichi/Grimm (principalement) et d'autres couples secondaires
Disclamer : Bleach est à Tite Kubo et ne m'appartient pas... malheureusement T-T !
Genre : Romance, Humor, Angst et Surnaturel
Bonjour à tous et à toutes ^^ !
Ceci est ma première fic et j'espère qu'elle vous plaira ! J'accepte tous les commentaires, surtout ceux qui sont constructifs et qui me permettront de m'améliorer ^^ ! Certains, me connaissent déjà comme la gentille Anonyme972, revieweuse yaoi un peu déjantée et d'autres pas XD ! En tout cas, je vous souhaite une bonne lecture ! Bye ^^ !
Synopsis : Londres au 19ème siècle, Ichigo est un jeune homme de 19 ans, pas tout à fait comme les autres, majordome fidèle et dévoué à sa jeune maîtresse, Lady Momo Hinamori. Cette jeune fille douce, généreuse et peu sûre d'elle, est devenue orpheline à 12 ans et est sous la tutelle de son oncle Aizen Sosuke, pour qui elle a une admiration totale mais, qui n'est pas aussi aimable et plein de bonnes intention qu'il veut lui faire croire... Ichigo, lui, le sait et fera tout pour protéger la délicate jeune fille, comme il l'a promis à la Marquise Hinamori, la mère de Momo, sur son lit de mort et avec l'aide de ses amis et d'un allié inattendu et mystérieux, il empêchera Aizen d'accomplir ses sombres desseins !
Note 1 : Les inconditionnels des anges et des démons, vous allez être servis XD !
Note 2 : Peut-être des fautes ou des lettres mal placées -_-' ! Désolé, je n'ai pas de correcteur automatique car j'utilise un logiciel pas très élaboré ! Le logiciel du pauvre, quoi XD ! Donc, gomen ^^' !
Prologue
La lune est haute dans le ciel et éclaire les rues pavées de Londres. En cette douce nuit de juin, le silence accompagne l'astre lunaire. Tout est calme. Cependant, un bruit vient perturber cette ambiance nocturne.
C'est un homme. Son souffle est irrégulier, il halète, ses jambes ont du mal à le porter et pourtant, il continue à courir. Il court, court, aussi vite qu'il le peut encore et son regard ne cesse de s'attarder derrière lui. Il fuit en réalité. Il fuit avec une peur non feinte marquée sur le visage, cette ombre qui malgré tout ses efforts, ne cesse de se rapprocher de lui, toujours plus près.
L'homme balaya les rues de son regard à la recherche de la prochaine direction à prendre. Il était bien loin de chez lui, de son quartier, de sa femme et de ses enfants. Et c'est avec le visage de ces êtres chers en tête, qu'il continue de courir, c'est pour avoir la chance de les revoir demain matin, qu'il fuit pour sauver sa vie. Il ne connaît pas le quartier dans lequel il se trouve, alors il prend n'importe quelle direction, pourvu qu'elle l'éloigne de cette ombre meurtrière qui le poursuit. Il tourne et...
- Malheur, c'est une impasse !
Il n'a pas le temps de retourner sur ses pas, l'ombre ou plutôt, l'homme qu'il essayait de semer, est déjà là !
Un homme portant une longue cape noire dont le capuchon empêche de voir son visage.
Le fugitif est dos au mur et regarde cet homme, qui se rapproche inexorablement de lui, avec une peur sourde qui lui noue l'estomac et assèche sa gorge. Puis, la voix de l'inconnu s'élève dans la nuit :
- Enfin, je vous rattrape mon cher. Quelle idée de me faire courir ainsi, par une si belle nuit ! Vraiment, quelle indélicatesse !
Le ton froide de cette voix, semble délier la langue de notre homme, qui soudain s'exclame :
- Pitié, pitié, ne me faites pas de mal ! Laissez-moi partir, je vous en conjure ! Je ne dirai rien de ce que j'ai vu, je vous l'assure ! Mais, par pitié, laissez-moi partir ! dit-il d'une voix éraillée par la peur.
- Vous laissez partir ? Je suis navré, mon cher ! Mais après ce que vous avez vu, mon maître n'apprécierait pas que je vous laisse ainsi vous échapper... répondit l'inconnu d'une voix toujours horriblement calme.
Et de sous sa cape, il sortit une dague, dont s'échappa un son presque imperceptible, en même temps qu'il la retirait de son fourreau.
Tremblant de tous ses membres, le pauvre homme se laissa glisser le long du mur, jusqu'à se retrouver à genoux et d'une voix tremblante et presque éteinte, il supplia celui qui s'annonçait comme son bourreau :
- Pitié, j'ai une femme et des enfants qui m'attendent... Je n'ai même pas pu... les embrasser ce soir... Pitié, pitié !
- Vous m'en voyez vraiment désolé mais, ce n'est pas ce soir que vous pourrez embrasser votre femme et vos enfants, messire... répondit-il, maintenant proche sa victime, en élevant son arme.
- Non, non ! Je vous en prie ! NOOOON !
Un cri, du sang sur le mur, puis plus rien. Rien à part, le silence maintenant oppressant de la nuit.
La nuit laisse place au soleil et le matin se lève doucement sur ce manoir. Des bruits de pas dans un couloir, une porte qui s'ouvre puis se referme doucement et une voix tout aussi douce et calme, qui s'élève dans la pièce encore plongée dans l'obscurité :
- Pardonnez-moi Hinamori-sama, mais il est l'heure de vous lever.
Les rideaux s'étirent et une forme endormie sous des draps immaculés s'animent. Sur les oreillers où seuls, des mèches brunes s'éparpillaient, apparaît le visage d'une jeune fille encore embrumée par le sommeil.
Ses paupières se soulèvent, révélant ainsi de doux yeux chocolat . La jeune fille se tourne vers la deuxième personne présente dans la pièce et malgré, la lumière qui agresse quelques peu ses pupilles, un sourire rayonnant éclaire ses traits délicats et c'est d'une voix encore un peu ensommeillée qu'elle dit :
- Bonjour, Ichigo !
À la lumière qui transperce les fenêtre de la chambre, un jeune homme âgé de presque vingt ans, aux cheveux roux flamboyant et au regard tendre d'une couleur ambrée, se tourne vers celle considérée comme sa maîtresse. Il porte un costume caractéristique de sa fonction : un costume trois pièces dont la chemise blanche contrastait avec le gilet gris, ainsi que le pantalon et la veste à queue-de-pie de couleur noir. Une paire de gants blancs, une chaîne en argent provenant d'une montre à gousset gravée aux armoiries de la Maison et des chaussures en cuir noirs, complétaient la tenue. Tenue qui, par d'ailleurs, moulait à la perfection le corps du jeune homme, qui était étonnamment musclé mais, tout en finesse.
Dire que ce jeune était beau eut été un euphémisme, car bien au-delà de sa beauté physique, il se dégageait de lui, une aura solaire, chaleureuse et bienveillante qui semblait embellir encore les traits fins et harmonieux mais, néanmoins masculins, de son visage.
Un sourire emplit de tendresse illumina ses traits et c'est avec cette même voix douce qu'il lui répondit :
- Bonjour, mademoiselle. Avez-vous bien dormi ?
- Fort bien, merci ! répondit-elle joyeusement
- Bien, votre bain est prêt et votre petit-déjeuner le sera bientôt. Que désirez-vous pour accompagner votre thé ?
- Hum... Je te le dirais à une condition... dit-elle d'un ton joueur
Nullement surpris par un tel comportement de la part de sa jeune maîtresse, le dénommé Ichigo, sans se dépareiller de son sourire, lui demanda :
- Et cette condition, quelle est-elle ?
- Et bien, tu dois prendre le thé avec moi, ce matin ! dit-elle tout sourire
- Hinamori-sama...
- Non, Momo ! Juste Momo, s'il te plaît ! Enfin... du moins, lorsque nous sommes seuls, veux-tu ?
- Soit ! Momo, vous savez qu'un majordome, n'a pas le droit de s'attabler avec ses maîtres. Vous n'êtes plus une enfant et nous ne pouvons plus nous permettre ce genre de fantaisie. Il y a un code hiérarchique à respecter !
- Je ne le sais que trop bien mais... Mais, s'il te plaît Ichigo, juste pour aujourd'hui ou du moins, ce matin... Je n'ai guère envie de petit-déjeuner seule, aujourd'hui..., lui dit-elle la mine soudainement assombrie.
Ichigo soupira. Sachant quel jour nous étions, il ne comprenait que trop bien la demande de sa maîtresse. Aujourd'hui, était le jour anniversaire de la mort de la Marquise Hinamori, Dame Yoshiko, la mère de sa jeune maîtresse. Ayant déjà perdu son père, quelques mois auparavant, la mort de cette dernière avait affreusement affecté cette enfant, alors âgée de 12 ans. Trois ans étaient passés depuis, mais la douleur de cette perte était encore présente dans le cœur de la brune et Ichigo, le voyait bien, lui.
Alors, une fois de plus, il allait céder à sa jeune maîtresse, à laquelle il était décidément incroyablement attaché depuis le jour, où il avait pris ses fonctions.
Et de cette voix qui restait éternellement douce pour la jeune fille, il lui dit :
- Très bien, j'accepte votre demande, Momo.
Le sourire illumina de nouveau, le visage de la jeune marquise
- Mais, seulement pour aujourd'hui. Et bien évidemment, cela restera entre nous ! Pas un mot à votre oncle, n'est-ce pas ? Dit-il en se penchant sur la jeune fille, avec un doigt sur les lèvres, en signe de silence
- Oh oui, bien sûr ! Ne sois pas inquiéter Ichigo, il n'en saura rien.
- Bien, en ce cas... dit-il en se redressant
Puis, il lui tendit son bras comme un gentleman le ferait pour inviter une demoiselle et lui dit :
- Nous y allons, mademoiselle ! Votre bain vous attend ! Le tout accompagné d'un clin d'œil complice
Clin d'œil auquel Momo répondit, par un petit rire dissimulé derrière sa main. Puis, elle s'accrocha au bras que son majordome et ami lui tendait et ensemble, ils sortirent de la pièce pour rejoindre la salle de bain.
- Merci Ichigo. Dit-elle dans un chuchotement
- Mais de rien, mademoiselle. Vous savez, rien ne me fait plus plaisir que de vous donner le sourire et puis, je ne serai pas digne d'être au service de la maison Hinamori, si je ne savais point faire ce genre de chose. C'est le devoir de tout bon majordome qui se respecte !
- Hihihi ! Oui, tu as raison, Ichigo !
- Bon, à présent, parlons de votre programme de la journée.
- Oh, Ichigo, non ! S'il te plaît, pour l'amour du ciel, pas aujourd'hui ! gémit la jeune fille en pensant à ce qui l'attendait.
A suivre...
Bon alors ? Qu'est-ce que vous en avez pensé pour un prologue ? Bon, pas bon ? Je sais ça sent un peu le Black Butler ^^ ! Normal, c'est aussi ce qui m'inspire mais, je n'ai l'intention de faire un numéro 2 v_v ! Je prends juste l'idée du majordome extraordinaire ! C'est court mais après tout, ce n'est qu'un prologue, une mise en bouche, dirons nous ^^ ! J'ai l'intention de faire des chap' plus longs, rassurez-vous ! Mais, je ne garantie rien pour le rythme de parution qui se ferait en fonction de mon inspiration ! J'attends vos commentaires ! Bye ^^ !
