Il faisait chaud en ce mois de mai, tous les étudiants du seul lycée de Mystic-falls étaient presser d'en finir avec l'année scolaire dont Bonnie Bennett en faisait partie. Elle était là, debout en attendant son père venir la chercher pour aller directement à l'aéroport. Cette dernière n'avait aucune envie de partir une fois de plus sans son père dans un pays tout à fait inconnu. Mais son père s'en fichait royalement. A chaque fois que Bonnie lui disait qu'elle voulait rester avec lui, il lui répondit qu'elle devait apprendre à vivre toute seule afin de dépendre de personne et aussi qu'elle devait absolument apprendre plusieurs langues étrangères qui selon lui serait un atout dans sa futur recherche d'emploi.

-pffffffffffff se dit-elle en regardant droit devant elle afin de voir son père arriver. Puis, cinq, dix, puis vingt minutes se sont écoulées et la cruelle absence de son géniteur pouvait se faire ressentir. Elle restait donc là blasée. Comme si le comportement de son père l'affectait en rien. C'était tout le contraire. La froideur, la distance qui existait entre lui et elle la rongeait de l'intérieure. Elle aurait aimée que le seul être qui lui restait sur cette triste et sinistre Terre soit proche d'elle. Mais, le destin en à fait autrement, au lieu que la disparition brutale de sa mère renforce le lien père fille ils étaient devenu distant comme deux étrangers.

Un klaxon, la fit sortir de sa léthargie, elle regarda la voiture qui s'était stationnée devant elle. Puis, pris son sac d'un geste lasse. Ensuite, elle s'avança d'un pas lent pour s'engouffré dans la voiture.

-démarre, je vais rater mon avion dit-elle avant de poser sa tête sur la vitre de pour ensuite fermer les yeux.

-parle-moi sur un autre ton jeune fille ! dit son père d'un ton sévère. Je n'ai aucun compte à te rendre. Je suis ton père. Sache que ce travail est très important pour toi et pour moi. Il nous permet de vivre.

-parle pour toi ! Je sais très bien que ce travail t'importe plus que moi. Alors démarre pour qu'on en finisse. Tu pourras après revenir à ton travail chéri.

-tu dis n'importe quoi dit-il en redémarrant la voiture. Je ne sais pas ce qui peut te faire croire une chose pareille. Je t'aime plus que tout, il faut que tu le croies même si je ne te le montre pas. Je ne sais pas y faire avec toi. Tu es si réservée et agressive que je ne sais pas m'y prendre. Je ne suis pas démonstratif, je n'arrivai pas à donner aucune marque d'affection. La seule chose que je puisse te donner est une bonne instruction. Tous ces voyages te permettrons de t'ouvrir au monde de faire de belle rencontre, d'apprendre une nouvelle langue, d'apprendre à vivre tout seule.

-je le fais déjà…vivre toute seule ! Tu n'es jamais là. Je sais m'occupée de moi, ce n'est pas un énième voyage loin de tous ce que je connais qui va me l'apprendre.

-je ne pas faire autrement…

-si tu peux. J'ai dix-sept ans, j'ai grandie plus de la moitié de ma vie seule sans la présence d'un parent. Je pense que si tu ne sentais pas capable de t'en sortir avec un enfant tu aurais pu me placer dans un orphelinat. J'aurai pu faire le bonheur d'une famille qui aurait fait le mien en retour. Je saurai maintenant que veut dire le verbe (aimer) et la vraie définition du mot famille.

A ces mots, le père de Bonnie arrêta brusquement la voiture puis se retourna pour faire face à elle pour lui infligée une gifle monumentale.

-Ne t'avise plus de dire une connerie pareille. Jamais, je ne t'aurais abandonné. Quel genre de père de personne j'aurais été.

-une personne honnête avec lui-même. Une personne qui s'est reconnaître ses faiblesses. Un homme qui sait très bien qu'il n'est pas à la hauteur d'être père. Un homme qui sait que le fait de voir sa fille une fois de la journée le fait souffrir car elle représente le pourquoi sa défunte épouse n'est de ce monde. Qui lui en veux d'être encore envie. Elle fit une pause et repris. Pourquoi, moi je suis vie et pourquoi pas elle. Pourtant j'avais la même maladie qu'elle.

-elle a seulement eu moins de chance que toi c'est tout. Toi tu es en vie et c'est le principal. Tu es une partie d'elle. Elle vivra toujours à travers toi et ça sa me donne du baume au cœur. Le passé est le passé, je t'en voudrais jamais d'avoir mieux répondue au traitement et que tu l'as pris avant elle. Elle était déjà très épuisée. Il fallait qu'elle parte…qu'elle repose en paix. Il faut qu'elle repose en paix et se n'est pas en réagissant comme une enfant pourrie gâté qu'elle le sera. Fait lui honneur en croquant la vie à pleine dent Bonnie. Tu l'as rendra autant heureuse que moi dit-il en reprenant la route.

Vit cette expérience car elle sera ta dernière. L'année prochaine tu seras à l'université. Les voyages comme cela se feront rare. Profite s'en bien ! C'est la seule chose que je peux te dire dit-il avant que le trajet jusqu'à l'aéroport se faisait en silence.

Arrivée devant la barque d'embarcation, le père de Bonnie la pris dans ses bras ce qui surpris par ce geste.

-Prends bien soin de toi

-Je le fais déjà dit-elle en s'extirpant de cette étreinte très étrange. Elle regarda le sol puis leva les yeux vers son père. Ne te force pas à faire des choses que tu ne veux pas faire comme cette étreinte. Reste comme tu es. Tu es mon père dit-elle d'un ton amer comme si elle ne le considéra pas comme tel. Et je dois t'accepter comme tu es. Mais ne me demande pas de changer, je suis peut-être trop timide réservée et agressive pour que tu puisses m'approchée mais as-tu fait un seul effort pour me connaître ou passer du temps avec moi…non. Alors ne me demande pas de te parler autrement. Tu ne me donne pas envie de te parler d'une autre manière que comme celle-là. Tu es peut-être mon père sur les papiers mais tu n'agis pas en tant que tel dit-elle avant d'avancer vers l'agent d'escale pour donner son ticket d'embarquement puis s'engouffra dans l'avion.

Elle avait enfin dit ce qu'elle avait au fond de son cœur. Peut être que ses paroles allaient le faire réagir. Et qu'à son retour, il agisse autrement même si elle lui avait dit qu'il fallait qu'il ne change pas. Elle était très contradictoire Bonnie Bennett, mais on ne l'est pas tous un petit peu.

Quelque heure plus tard, Bonnie se retrouvait sur les terres italiennes où un certain Stephan Salvatore devait l'attendre au parking souterrain de l'aéroport. Elle se demandait à quoi ressemblait-il ? S'il était aimable ? Tant de question lui venait en tête en pensant à ce mystérieux individu tout en se dirigeant vers la supposée localisation de ce dernier. Elle s'avança d'un pas lent afin de pourvoir apercevoir une pancarte à son nom. Lorsqu'elle le vis, elle accélérait son pas pour faire face à ce Stephan.

-Bonjour, tu dois être Stephan

-Oui et toi Bonnie ! Je suis enchanté de faire ta connaissance

-On n'y va dit bonnie en évitant de s'attarder avec lui car il l'a mettait mal à l'aise.

-Bien sûre ! Tu peux monter dans la voiture, je m'occupe de tes bagages.

-Non, je peux le faire moi-même dit-elle en montant le ton.

-Ok ! Calme-toi dit-il en souriant. Je ne vais rien te voler, je voulais juste me rendre utile.

-Désolée, je me suis emportée. Je n'ai pas l'habitude que quelqu'un m'aide surtout un inconnu.

-ce n'est rien. Mais habitus-toi vite car j'aime aider mon prochain surtout les jolies filles comme toi.

-j'ai compris dit-elle en rougissant au compliment de Stephan.

-monte dit-il en fermant son coffre. Je vais t'emmener là où tu vas habiter les neuf prochains mois.

-bien…..tu habite tout près de mon logement d'appoint ?

-Non….mais ne t'inquiète pas. Je viendrai te chercher tout les matins pour te faire visiter la ville pendant la première semaine. Ensuite, je t'emmènerais à l'institue où tu apprendras la langue.

-donc, si je comprends bien tu seras avec moi juste la première semaine.

-Pas du tout dit-il en la regardant. On va au même institut, j'apprends là-bas l'anglais. J'aimerais habiter aux états unis comme toi.

- Ah C'est pour sa que tu parles si bien anglais ! Appelle-moi lorsque tu débarques, je te rendrais l'appareil.

-Je te prends au mot Bonnie Bennett.

- T'inquiète, je suis une personne qui ne dis jamais rien en l'air. Je tiens généralement mes promesses.

-on a déjà ça en commun dit-il en souriant. Parle moi un peu de toi…je n'aime pas être en présence d'une personne sans lui parler. Je trouve ça gênant.

-Sa ne me gène pas le silence ! Mais comme je suis dans ta voiture dans ton pays natale. Je ne vais pas faire ma difficile. Alors part où commencer : je m'appelle Bonnie Bennett. J'ai dix-sept ans. Je vis encore avec mon père même si vivre est un grand mot. J'aime énormément lire et écrire des histoires. Je suis passionnée de la mode, j'aimerais bien être plus tard être une journaliste plus tard. Je pense que le fait d'aimer écrire et la mode feraient de moi une bonne journaliste de mode.

-Je pense aussi…allez continue. Je ne sais pas parle moi de tes amies, de ton petit ami.

-je n'aime parler de moi avec qui que se soit.

-fais un effort sinon, je vais te bassiner avec ma vie et mes problèmes de famille.

-j'aime écouter…..c'est ma plus grande qualité ma meilleure amie Caroline te le dira si tu passe un jour à Mystic-falls.

-Bien accroche toi sa risque d'être long. Donc, je vis avec mon oncle et mon grand frère Damon. D'ailleurs je n'ai pas de bonne relation avec lui. On se bat pour la même fille qui est indécise. Elle ne sait pas qui choisir. Selon elle, on lui apporte tous les deux quelque chose de différent. On se complète en gros. Je n'aime pas cette situation, je fais un break avec elle en lui laissant le temps de faire un choix. Mais, j'ai l'impression qu'elle va le choisir lui. Elle est plus intéressée par lui que part moi. Je suis un peut trop transparent alors que lui il est énigmatique. Elle aime ça le mystère. Bref, je suis dans la merde. Je me suis jamais réussit à garder une fille plus de deux ans. Je dois être trop sérieux. Je crois que les filles d'aujourd'hui ne veulent pas s'investir dans une relation sérieuse. Sinon, je m'entant très bien avec mon oncle. Je le considère comme mon père. Il est génial je te présenterai comme ça tu ne connaîtras pas que moi et mon stupide frère en Italie. J'ai une meilleure que je connais depuis l'enfance, elle s'appelle Lexie. Elle est bonde aux yeux. Une pure beauté. Elle est très gentille et te mettra vite à l'aise. Bref, j'aime lire la littérature et regarder les films en noir et blanc. Je ne suis pas fêtard, je laisse ça à mon frère. Je ne dirais pas plus. Je pense qu'en neuf mois tu auras le temps de m'apprendre par cœur.

-tu es déconcertant ! Il faut que tu m'apprennes à m'ouvrir comme toi. Tu as le contacte facile ce que je n'ai pas du tout.

-fais comme moi, dis toi que si ton interlocuteur ne te trouve pas à intéressant c'est lui qui perd quelque chose. Tu dois te trouver exceptionnelle pour que les gens te remarquent. Il faut qu'il sente que tu ne t'écrases pas car ils ne vont pas hésiter à te prendre pour leur punshing ball.

-Je le sais bien ! D'ailleurs je sais très bien remettre les gens à leur place. Je ne me laisse pas faire. Mais, je ne veux pas qu'on me prendre pour une fille sans défense que l'on peut faire ce que l'on veut avec elle.

-là je ne peux rien faire pour toi !dit-il en lui souriant qui sonnait comme un désolé. Mais mon frère peut t'apprend cet art. Il en est le roi. Par contre, je ne te recommande pas trop de t'approcher de lui, il a tendance à tout casser sur son passage. C'est pour sa qu'il n'a que très peu d'ami.

-Mais si ta copine le trouve assez bien pour elle. C'est qu'il n'a pas un si mauvais fond.

-Attends de le connaître avant de faire ce genre de supposition.

-désolée, je ne voulais pas te faire du mal. Je ne pense pas que quelqu'un puisse être aussi méprisant.

-tu verras par tes propres yeux. Il te dégoutera tellement que tu ne voudras pas qu'il s'approche à nouveau de toi.

-je préfère faire mes propres idées sans te vexée. Je n'aime pas juger sans vraiment connaître réellement les personnes.

-c'est tout à ton honneur, mais je te demande juste de faire attention. Je t'apprécie réellement. Tu me apparais être une personne entière qui ne donne pas ton amitié facilement. Et j'ai peur que tu lui donne et qu'il te fasse souffrir.

-je te remercie de te soucier de moi mais je le fais déjà pour moi. Laisse-moi faire mes erreurs. Pourrais-je compter sur tout pour me relever au cas où.

-tant que tu seras en Italie tu pourras prendre mon épaule pour te consoler. On est arrivé dit-il arrêtant la voiture.

-c'est magnifique dit-elle en sortant de la voiture.

-tu n'as pas encore vu ma maison dit-il en regardant se perdait en elle. Elle éveillait en lui une certaine curiosité et il faut dire qu'elle ne le laissait pas indifférent. Il l'a trouvait très belle. Il pourrait tenter sa chance pourtant une petite voix lui disait qu'elle serait pour lui une excellente amie. Une excellente amie qui pourrait peut-être l'aider à mieux comprendre son frère car, elle le faisait pensé à lui à certain égard.

-Pourquoi, ta maison est un manoir ?

-Dans le mille ! je peux dire que je ne manque de rien…

-peut-être que si…..

-Quoi donc ? dit-elle surpris par ses suppositions

-De l'amour. La chose la plus importante.

-Mais, je l'ai. Elle m'aime. Il faut juste qu'elle s'en rende compte.

-tu parles de qui ? D'Elena ou de Lexie ?

-D'Elena bien sure ! je n'aime qu'elle pourquoi ?

-Je ne sais pas. J'ai eu juste l'impression en parlant de Lexie qu'il y avait plus qu'une forte amitié.

-Tu n'as pas tord….je suis sortie une fois avec elle. Mais on a vite compris qu'on ne voulait gâcher notre amitié si cela ne fonctionnait pas entre nous.

-tu as peut-être raison. Mais tu as tord de ne pas aller au fond des choses avec elle. Tu passes peut-être à côté de l'amour de ta vie.

-je ne veux pas parler de sa…ok !

-bien…mais sache que tes yeux pétilles deux fois plus lorsque tu parles de Lexie que d'Elena. Je trouve bête de gâcher ton temps pour une fille qui ne sait pas faire un choix entre deux hommes. On sait toujours lequel on préfère. On n'a simplement peur de faire un choix.

-certes ! Elle vaut le coup. Quand tu la rencontras, tu verras. Tu viendras très vite son amie dit-il en prenant les bagages de Bonnie pour les emmener dans la nouvelle demeure de cette dernière. Pendant ce temps Bonnie resta planté là. Ressentant un gène entre elle et Stephan. Comme si elle avait mis les pieds dans le plat avec lui. Elle le sentait si distant tout d'un coup. Elle s'en voulait un peu car il a été tellement gentil avec elle. A cette pensée, elle couru pour le rattrapée afin de se mettre devant lui.

-Attends Stephan ! Je suis désolée de t'avoir blessé en jugeant ta relation avec ta copine et d'avoir pris des conclusions rapides pour tes sentiments vis-à-vis de ta meilleure amie alors que tu m'aides.

Je suis vraiment en dessous de tout dit-elle en baissant la tête.

-Je ne suis pas fâché Bonnie. Ce que tu as dit à une grande part de vérité. Lexie et moi ne sommes pas prêts à franchir le cap et ne nous le serons peut-être jamais. Et Elena je n'ai pas envie de m'attarder sur elle car rien que d'en parler ça m'énerve, malgré toute l'affection que je lui porte… Tu m'as seulement déstabilisé à mettre le doigt sur quelque chose que j'ai enfouis au plus profond de mon être. Lexie est peut-être celle qui me correspond le mieux mais j'ai envie de laisser une chance à Elena car elle compte beaucoup pour moi.

-Stephan, je sais que je me mêle de ce qui ne me regarde pas surtout que je sais plus sur ta vie que ne sait sur moi…..mais, je crois que tu as peur de souffrir avec Lexie car elle est plus proche de toi que n'est Elena. Elle te connaît par cœur, elle pourra appuyer sans hésiter sur tes points faibles quand ça n'ira pas. L'amour fait mal mais il est si beau…..je dis ça mais je n'ai jamais connue l'amour car personne ne me l'a montré. Je l'idéalise peut-être mais j'ai envie de croire que si on veut réellement quelque chose il faut faire des sacrifices. Ce sacrifice peut-être de se dévoiler encore plus que d'habitude…..de se mettre a nue devant une personne réellement importante et risquer de souffrir après. J'ai lu quelque part qu'il n'y a pas plus pire qu'une histoire inachevée, qu'il fallait vivre la vie au jour le jour pour ne rien regretter afin de mourir ayant le sentiment d'avoir le plus vécu possible. Je te dis ça car tu t'es ouvert à moi sans problème en me connaissant à peine sans te demander si je n'étais pas une psychopathe une dingue sortie tout droit de l'asile tu ne pas juger….tu m'as ouvert ton cœur et donné ton amitié. Et je considère que mon rôle d'ami et de faire part de mon avis même si sa gène sa casse ou sa fait mal.

-On est ami dit-il en souriant.

-Oui ami ! Dis-toi que tu es le quatrième ami que j'ai. Et je compte te garder car j'en ai très peu car comme tu l'as dis je fais difficilement confiance. Mais avec toi s'est tout le contraire, j'ai l'impression que je suis faite pour être ton ami comme toi tu es fait pour être le mien. Tu sais qu'en seulement deux heures tu as appris plus sur moi que les simplets de ma classe en une année ! Sa veut tout dire…tu lis en moi comme dans sa livre ouvert et s'est assez effrayant mais sa évite de parler quand l'envie n'y est pas. Tu es comme ma Caroline…..elle me comprenait en un regard, elle savait on état d'esprit grâce à l'intonation de ma voix de ma façon de marcher ou sur mon visage. Elle connait toute ma vie. Elle est comme ma sœur. Je souhaite que tu sois ainsi. Je donne peut-être l'impression de vouloir pas d'aide mais j'en veux. Je veux me sentir aimer. J'ai besoin être entouré car je ne le suis pas. J'ai besoin d'une famille d'un entourage solide pour me construire. Heureusement que je suis tombée sur toi, ne me quitte pas ne te fâches pas quand je te donnerais ma façon de penser. J'ai tendance à ne pas trop réfléchir avant de parler de dire ce que les gens pense tout bas car ils n'ont pas envie de te blaiser. Je fonce au lieu de réfléchir car je préfère mettre les points sur les i ou sauver les gens que j'aime dans une histoire dangereuse et après regarder les dégâts.

-Ouawouh ! tu débites quand tu veux réellement parler. Je suis content que tu te dévoile un peu sa me permet de connaître mon amie di-il en souriant.

-ami dit Bonnie en lui tendant la main.

-chez-moi les amis se prennent dans les bras dit-il en joignant les gestes et à la parole.

L'étreinte dura quelques minutes mais fut interrompus par la présence d'une tiers personne.

-Tu ne me présente pas petit frère ! En entendant cette voix Stephan se retira de l'étreinte de Bonnie.

-Que fais-tu ici Damon ?

-Te rendre visite…et te prévenir qu'Elena vient de prendre sa décision. Elle est passée à la maison il y a une demi-heure. Elle nous attend, elle a l'air tressée.

-Elle peut attendre encore une heure. Je dois aider Bonnie à s'installer.

-Alors la jolie créature à un nom…..Bonnie…pas très original

-Tout comme Damon…..Non ?!

-Et en plus elle mort…..je crois que l'on va bien s'entendre tout les deux dit-il en la fixant de ses yeux bleus pénétrant. Ensuite, il dévia son regard pour s'arrêter vers son frère : elle nous attend petit frère en plus elle est en stress ne la fait pas regretter d'avoir pris sa décision aujourd'hui.

-Elle nous a bien fait attendre…alors faisons la attendre à notre tour. Ça ne va pas la tuée. Au pire elle te le dit à toi en premier ensuite, elle me le dira.

-elle veut nous affronter tous les deux alors viens avec moi dit-il ayant la voix héritée d'agacement.

-D'accord, mais on emmène Bonnie ! Je ne vais pas la laissée seule ici.

-Pas la peine Stephan ! Tu peux y aller et revenir après. Je serai de trop et elle aura plus de mal à vous expliquer sa décision si elle voit une nouvelle pair de yeux.

-Arrête ma décision est prise tu viens. Sa te donnes l'occasion de visiter ma maison de faire la connaissance de mon oncle et de rencontrer Elena même si ce n'est pas le bon moment. En plus je t'ai promis de ne pas te laisser une minute toute seule.

-Oui, alors allons-y.

Quelque minute plus tard, Damon Bonnie et Stephan se trouvent devant Elena qui était assise sagement sur le canapé du salon des Salvatore. On voyait sur son visage tout le stress qu'elle avait accumulé depuis qu'elle les attendait. Elle n'arrivait plus à sourire et montrer son agacement voyant la proximité de Bonnie et Stephan alors qu'ils se connaissaient à peine. Elle était jalouse de Bonnie car sa faisait longtemps qu'elle n'avait pas été aussi poche de Stephan. Elle n'avait pas le droit d'être aussi proche de son Stephan, il était à elle et personne d'autre. Elle voulait le lui dire pour marquer son territoire mais d'abord, il fallait qu'elle donne sa décision qui a été pénible pour elle. Elle ne voulait pas faire souffrir aucun des deux mais surtout pas Stephan qui était le plus fragile des deux. Elle souhaite être en paix avec elle-même se sentir mieux sans avoir cette ambiguïté en permanence dans son cœur. Maintenant, elle le savait ce qu'elle voulait, qui elle aimait. Elle faisait maintenant la différence entre l'amour et le désir physique. Stephan est l'amour et Damon n'est seulement que désir. Un désir qu'elle avait du mal à contrôler…..qui n'arrêtait pas de la consumer et de grandir à chaque fois qu'il était en sa présence. Elle est inévitablement attirée par lui et elle a besoin de lui dans sa vie mais elle savait que le plaisir charnelle ne bâtissait pas un couple. Ils étaient trop divergeant sur de bon nombre de sujets, ils ne parlaient très peu alors que Stephan était tout le contraire. Avec lui, elle pouvait parler des heures même si les moments intimes n'étaient pas si spectaculaires et orgasmique qu'avec Damon. Si elle pouvait trouver un homme qui pouvaient incarner les deux, elle les quitterait tout les deux sur le champ. Mais elle savait qu'un homme aussi parfait n'existait pas, alors elle se contenterait de Stephan.

Elle souffla un bon coup, puis regarda Damon et Stephan puis s'attarda plus sur Damon car, elle savait que Damon allait mal le prendre surtout qu'ils avaient passées les trois nuits précédentes ensembles

-Je suis désolée Damon….je choisi Stephan. On n' a rien en commun à part cette attirance sexuelle. Je ne t'aime pas comme je le devrais. Tu es trop bien pour moi. Tu trouveras la bonne un jour, j'en suis sure

-Pas l'à peine de m'expliquer le pourquoi de ton choix. Je sais très bien se que tu penses dit-il ayant la voix amère. Je suis juste bon pour un petit coup à droite et à gauche mais pour construire un avenir je ne le suis pas. Quelle ironie…dire que je pensais que tu allais me choisir vue le dernier évènement de ses trois derniers jours. Je t'ai dévoilé des partis de moi, je tes dis mes aspirations pour le futur, mes craintes, mes peurs, je tes donné mes trippes mon cœur en te parcours de mes multiples baisés et en te parlant.

Voila c'est pour ça que je n'aime pas faire confiance et tomber amoureux car au final tu donnes trop et tu ne reçois pas assez et on te fait souffrir. On est déçu, on est brisé. Je ne regrette pas d'avoir tenté ma chance de mettre dévoiler à toi.

-Damon….

-Arrête de pleurer….c'est à moi de le faire pas à toi ! dit-il en montant le ton. Tu n'as pas le droit de pleurer du mal que tu me fais…..d'être désoler alors que tu es en paix avec toi-même. Tu n'as plus le droit de te soucier de moi, d'avoir mal pour moi, d'avoir de l'envie pour moi. On a rien à faire ensemble ni en amitié ni pour quoi que ce soit autre.

-Ne me fait pas ça Damon dit-elle en pleurant tout en s'avançant vers lui.

-Ne me touche pas dit-il en reculant. Stephan va te consoler, il le fait si bien dit-il en partant de la maison.

-Je l'ai perdu…Stephan…je l'ai perdu à tout jamais.

-Tu as fais ton choix Elena…comment peux-tu espérer qu'il le prenne avec sourire même si il s'agit de Damon. Il a un cœur. Laisse-lui seulement du temps pour accepter ta décision.

-Je voulais faire du mal à personne.

-Je le sais mais tu l'as fait dit-il en la prenant dans ses bras. Tout va aller pour le mieux.

-Je t-aime Stephan…..je suis désoler de tout le mal que je t'ai fait.

-je sais tout ça Elena….arrête tout es fini. On va continuer comme avant.

-Je t'aime dit-elle en l'embrassant puis mit sa tête sur l'épaule de Stephan puis regarda Bonnie d'un air méprisant.

-Je crois que je vais vous laissé…vous avez beaucoup de chose à vous dire.

-tu vas où ? Tu ne connais rien ni personne ici.

-Je ne vais pas très loin. Je serais, juste devant la maison l'air est irrespirable ici dit-elle en fixant Elena.

-Ok ! Je te rejoins dans quelque minutes je ne saurais pas long.

-Prends tout ton temps dit-elle en souriant à Stephan. Puis elle sorti de la maison en soufflant, contente d'être sorti de cette maison mais sa joie fit vite parti voyant Damon entrain de donner des coups de pieds dans la beine à ordure.

-fais chier ! Quelle garce…je suis qu'un con d'avoir cru que trois petites nuits allaient lui faire comprendre qu'un nous était possible. Je me déteste pour toujours tombée sur des filles aussi merdiques.

Il se passa les mains sur son visage pour enlever toute trace de larme puis passa ses mains dans ses cheveux toujours dos à Bonnie.

Je dois me ressaisir ! Il y a plein de femme sur terre. Je peux trouver mieux. Je vais trouver mieux mais c'est dure de trouver quand on à toucher la perfection. La femme parfaite qui te fait devenir tout bizarre, con et homme à la fois. MERDE….ET MERDE dit-il en faisant tomber la beine.

Le bruit du son fit sursauter Bonnie ce qui fit montrer sa présence à Damon.

-Que fais-tu là, planter à m'écouter comme une de ses commères qui n'ont aucune vie social.

-Je ne…..

-tu ne …..quoi ? Tu ne sais pas aligner trois pauvres mots ? Je te fais peur ? Je croyais que tu avais du répondant. En faite tu fais parti de ses pauvres fille qui ne savent pas penser par elle-même qui se laisser marcher sur les pieds.

-Pas du tout ! Je suis juste venue prendre l'air et je suis tombée sur toi t'apitoyant sur ton sort comme si cette fille t'était due. On dirait un petit garçon à qui on a confisqué son jouet.

-Ne parle pas ce que tu ne connais pas. Tu ne sais rien sur moi, rien sur mes sentiments pour Elena, sur ma relation avec elle, rien. Alors ne me juge pas ! Ne te mêle pas de ma vie.

-Je ne fais rien de la sorte, je dis juste ce que je pense d'après ce que je sais et vue. Tu fais peine à voir aimer la femme de son frère. De coucher avec elle pour qu'elle te choisisse, tu as même joué la carte de la sensibilité en lui ouvrant ton cœur. Que s'est touchant mais tellement pathétique.

-Ne dis plus rien dit-il en lui prenant par les épaules et la secouant. Ne t'avise plus de parler et de réduire ma relation avec elle par une envie primaire alors que tu es une genre de fille sainte nitouche qui n'y connait rien à l'amour et au plaisir charnelle, d'être complet avec une autre personne que soi, de se sentir chez soi qu'en présence de l'autre. Ça tu ne connais pas et tu ne vas jamais le connaître car tu n'es qu'un petit juge qui ne va jamais à la profondeur des choses. On te dit des choses et du y crois.

-tu ne connais pas dit-elle en se dégageant de son emprise. J'arrêterai de te juger quand tu arrêteras de me juger. Je n'ai pas peur de toi et de personne. Ne m'approche plus Damon, je peux te faire très mal.

-Tu crois ? je crois que tu ne peux pas faire pire qu'elle.

-Moi, je ne crois pas. Ce que tu ressens est qu'une pale copie de la souffrance. Elle t'a faiu croire en couchant avec toi qu'un vous était possible pour satisfaire son désir pour toi. Elle ne se confiait pas à toi mais à Stephan. Tu éveillais en elle tous ses fantasmes tous ce que Stephan ne lui donnait pas. La partie mystérieuse de toi la titillait. Elle a eu ce qu'elle voulait même si son désir pour toi n'est toujours pas satisfait. Tu lui donne que du sexe alors que Stephan lui donne beaucoup plus, de la sécurité de l'amour, une oreille attentif de la tendresse. Je sais que dans un couple les rapports sexuelles doivent être importante mais ne dois pas être plus fort que le lien d'amitié et le lien d'amour dans le couple. La complicité, le partage, la communion, la sincérité doivent être importante. Et tout ça tu ne l'avais pas avec elle. Elle n'est pas faite pour toi, elle est trop mielleuse pour toi. Toi tu as besoin de quelqu'un aussi fougueux et désinvolte que toi qui arrive à satisfaire tes désirs et qui te tiens tête, qui te dise sans détour ce qu'il pense même si sa fait mal.

-c'est bon ta fini avec ta pseudo analyse bidon.

-Non, je n'ai pas fini ! Elle ne t'aime pas et t'aimera jamais. Là j'ai fini dit-elle en souriant.

-j'espère que sa ta fait du bien de te défouler sur moi. Que sa t'a procurer un certain plaisir car moi, je n'ai été aucunement touché. Tu n'es pas assez proche de moi pour que ça me fasse quoique se soit.

-j'aurais cru le contraire, tes yeux se sont assombris. J'ai touché un point sensible Elena. Tu sais très bien que j'ai raison mais t'avouer la vérité est autre chose.

-Peut-être mais toi je t'ai touché….Bonnie…c'est ça. Si tu as aboyé aussi fort c'est que ça t'a touché. On ne juge pas lorsque l'on ne sait pas définir le verbe « aimer » et que l'on ne sait pas aimer en retour et ne sait pas recevoir. Tu ne t'y connais que dalle. Tu crois que lire des pauvres romans te montre la relation d'un couple. Moi je vais te la dire : s'est se donner à l'autre sans concession, s'aimer sans attendre en retour, de se comprendre sans un mot, de parler lorsque seulement c'est nécessaire, d'être présent même si ta présence n'est pas désirer car on te dit souvent le contraire ce que l'on veut réellement. Ça c'est l'amour avec un grand A. Elena et Stephan n'est qu'une petite amourette. Lorsqu'elle voudra aller plus loin avoir une réelle relation d'adulte je ne serais plus là. Elle sera ce qu'elle a perdu. Je pourrais me battre pour elle, mais se battre pour quelqu'un qui refuse mon amour je ne peux plus. J'arrête. Je ne veux rien savoir d'elle.

-et tu dis l'aimer ? Tu jettes vite l'éponge.

-c'est toi qui me dis ça il y a quelque minute tu me disais qu'elle ne m'aimera jamais. A quoi bon gâcher mon temps qui est si précieux. Je lui ai donné un an pour faire un choix. Elle a pris, elle ne m'a pas choisi. Ce n'est pas dans un mois ou un an qu'elle me prendra. Elle a honte d'avoir des sentiments pour moi car je suis un bad boy qui fait souffrir beaucoup de personne. Sortir avec moi au grand jour sa serait dire qu'elle est pareille.

-Pense ce que tu veux. Mais laisse ton frère tranquille. Ne le fais pas souffrir en empoisonnant sa vie par tes répliques cinglantes et stupides. C'est un homme bon, il a le droit d'être heureux.

Damon sourit : je dois dire que tu m'as bien cerné sur ma manière d'être. Mais, je vais te dire quelque chose ni toi ni personne me dira comment me comporter avec lui. Il parait tout lisse inoffensive mais il est sombre très sombre et j'en ai fait les frais dit-il en rentrant de nouveau dans la maison. il s'arrêta devant Stephan qui parlait à Elena et puis lui disait : Garde ta copine à distance, je risque de lui faire mal.

-Qu'est-ce tu as encore fait ?

-rien, elle fourre juste son nez dans ce qui ne la regarde pas.

-Elle a juste voulu t'aider.

Damon rigola : me crois t'es si difficile.

-Comment puis-je faire autrement tu m'as pris ma copine.

-Et toi ? Parlons de toi petit frère. Je te rappelle que tu m'as fait bien pire. Sage tu t'en souviens. Je l'aimais comme un dingue. Tu me l'as prise pour la lâcher comme de la merde après. Tu l'as tellement souffrir qu'elle s'est suicidée.

-c'est du passée !

-Du passé, ce n'est pas toi tout les soirs qui refait le même rêve. Retrouvant, Sage baignant dans son sang dit-il en montant dans les escaliers.

-c'est vrai ?

Stephan se retourna pour faire face à Bonnie.

-Oui, mais tu ne connais pas toute l'histoire et je ne suis pas prêt à te raconter cette partie de ma vie que je ne suis pas très fière.

-Alors que tu seras prêt je serai là.

-Je sais dit-il en souriant. Bon, il est temps pour que je te ramène dans ton nouveau chez soi.

-Je suis prête ! À plus tard Elena.

-Tu ne viens pas avec nous !

-Non, il faut que je parle avec Damon s'est important.

-Bien…..ne t'attarde pas trop avec lui il est d'une humeur massacrante.

-Ok…..je sais ! J'arrive à le dompté. Tu le sais très bien.

-Fais comme même attention à toi dit-il avant de partir avec bonnie.

Après le départ de son petit ami et de Bonnie, Elena allait rejoindre Damon dans sa chambre. Mais ce dernier n'était pas là. Elle entendit soudain l'eau coulé, elle savait après s'en où il était. Des flashes back lui apparus. Des flashes back de ses ébats avec ce dernier qui se déroulaient dans la même salle de bain où se trouvait Damon. Une pulsion soudaine lui donnait envie de le rejoindre mais se retins. Elle avait choisit Stephan pas lui. Elle fut partie dans ses pensées lorsqu'elle se rendit compte qu'il était la sous ses yeux mouillés de la tête au pied faisant ressortir le bleu de ses yeux et vêtue seulement d'une serviette. Son sang ne fit qu'un tour. Elle avait chaud puis froid et à nouveau chaud. Son cœur avait manqué un battement.

-Que fais-tu ici ? Je croyais que tout était clair.

-Je voulais m'expliquer sur mes sentiments pour toi

-Pas la peine de remettre le couteau dans la plais.

-je suis désolée.

-Désolée ne suffit plus. J'ai besoin de me changer

-tu peux le faire devant moi

-Elena plus rien n'est comme avant alors pars.

-je refuse de te laissé.

-j'ai besoin d'être seule alors vas t-en dit-il en la prenant par le bras mais elle résiste.

-je ne partirai pas sans te donné d'explication.

-Vas t-en Elena je t-en supplies.

-Non dis t-elle tout prêt des lèvres de Damon en les effleurant puis mettant ses mains sur son torse.

-Ne fais pas ça Elena.

-Quoi ? Dit-elle en le regardant avec plein de désir.

-Tout sa c'est fini, je n'ai plus la force de me battre pour toi

-Je ne te demande rien seulement de me satisfaire là maintenant. D'oublier ma décision pour un bref instant de volupté dit-elle en embrassant Damon tout le faisant tomber sur le lit. Puis se mettant en califourchon sur lui tout en continuant à lui prodigué mille caresses et baisée.

-Arrête Elena

-Non, j'en ai envie sa sera notre secret tout comme les trois nuits précédentes. Je veux que Stephan crois que je n'ai attendue que lui dit-elle en capturant les lèvres de Damon. Ce dernier n'arrivait plus a se contrôler, laissa ses désirs le consumé. Il réfléchira après à ses actes.

Mais avant, il disait : tu es une garce.

Tu aimes ça non dit-elle en souriant.

Une heure plus tard Damon se trouvait à regarder Elena se rhabiller.

-Alors c'est réellement fini ?

-Oui et non. On peut continuer à se voir en cachette si tu veux dit-elle en le regardant.

-Alors ça sera non.

-Pourquoi, c'est si bien comme ça.

-Je veux bien plus que des moments volés. Je t'aime.

-Moi aussi, mais pas de la même manière que j'aime Stephan. J'ai besoin de toi dans ma vie Damon. Je l'ai compris tout à l'heure en te voyant partir. Plus te voir, ne plus te serrer dans mes bras, ne plus t'embrasser te faire l'amour mets insupportable. Je te veux et je veux ton frère aussi. Accorde moi seulement quelques heures d'égarement on sera tout les deux satisfait. Stephan n'a pas à le savoir.

-je ne peux pas. Je suis capable de bien pire mais demande pas de faire souffrir à nouveau mon frère.

-entre toi et moi c'est surnaturelle. On est attiré comme des aimants. Tu dis ça maintenant, mais dans quelque temps tu verras, on sera de nouveau uni. Je le sais, je ne vais pas essayer de taire mon désir pour toi.

-tu seras bien seule. C'est fini, se sont mes adieux Elena pour ce que l'on était tous les deux, sur mes sentiments pour toi.

-On verra dit-elle en voulant l'embrasser avant de partir mais Damon lui donna sa joue.

-Qu'est-ce qui te prends ?

-je t'ai dis que c'est fini.

-tu n'es pas sérieux.

-Si, dégage maintenant tu me dégoute.

-Damon…..dit-elle d'une petite voix.

-Sort tout à l'heure j'étais très compréhensif mais là je le serai pas. Tu as choisi mon frère tiens toi s'en. Ne m'approche plus. Tu as raison sur une chose je suis trop bien pour toi.

-Elena rigola : Soit ! c'est toi qui viendra ramper vers moi. Je ne te donne pas trois jours.

-attends toujours dit-il en se levant pour aller dans la salle de bain. Quand je reviendrai tu as intérêt d'être parti.

-Tu le regretteras. Crois-moi dit-elle en partant les yeux rougis de rage.

-c'est bon on a fini. Tu as vraiment voyagé léger.

-je comte faire des emplettes ici. La mode est exceptionnelle. Ici !

-Ahhhhhhhhh tu comptes revenir avec des bagages en plus.

-Oui, ma copine va être verte de jalousie.

-tu ne commences pas à avoir faim ?

-si un peu !

-Viens, je vais te montrer un centre commercial à 3 kilomètres d'ici. Tu peux faire tes courses là-bas et faire du shopping.

-Ok allons-y, j'ai hâte de bouger et de voir si les beaux italiens sont aussi beau que toi.

-Je suis l'exception qui confirme la règle.

Trois quart d'heure plus tard, ils se trouvaient tous les deux dans le centre commercial avec un chariot remplis de trucs diverses. Ils étaient bien amusés. Maintenant, ils faisaient maintenant du lèche vitrine. En rentrant dans un magasin, Stephan aperçu Lexie.

-Hé, jolie demoiselle.

-Stephan ! dit-elle en lui sautant dessus. Ça fait longtemps que je ne t'ai pas vu. Tu te fais rare.

-Non arrête, je suis reste la plus part de mon temps à l'institut.

-Tu parles déjà très bien anglais. Je ne vois pas pourquoi tu es toujours là-bas.

-je suis un perfectionniste tu le sais dit-il en lui souriant tout en lui remettant une mèche sur l'oreille de Lexie. Tu m'as manqué.

-Toi aussi dit-elle en lui souriant. Elle s'aperçu d'une personne les fixait. Tu connais la fille ? Dit-elle en pontant son doigt vers Bonnie.

-Oui, elle s'appelle Bonnie. Tu sais qu'avec l'institut on fait des échanges avec les étudiants new yorkais. J'ai été mis avec elle. Je l'aide. Elle est sympas tu verras.

-Laisse-moi faire ma propre idée dit-elle en s'avançant vers cette dernière. Tu dois être Bonnie, moi c'est Lexie la meilleure amie de ce beau gosse qui te sert de tuteur.

-Oui, je sais. Il m'a dit beaucoup de bien sur toi.

-je l'espère. Vous faites quoi dans mon magasin préféré.

-Du repérage.

-sacrilège. On ne fait pas du lèche vitrine dans ce magasin. Chaque semaine il renouvelle les vêtements. Tu ne risque de plus ses vêtements. Alors viens avec moi, on va essayer puis acheter. Tu seras ma nouvelle copine de shopping. Je jugerais si tu es digne de faire partie de nos amies.

-Sérieux dit-elle septique.

-Oui !

-Moi je vous laisse. Je vais rentrer ranger tout ça et je reviendrai te chercher Bonnie. Je sens que je vais ouvertement m'ennuyer.

-Ok dit-elle toute les deux en même temps.

-Tu es entre bonne main Bonnie dit-elle en soudant du regard en sachant pas très à l'aide de rester seule avec Lexie avant de partir.

-tu es prêtes ? dit-elle toute exciter.

-ai-je le choix ?

-Non ! dit-elle en lui prenant par le bras.

Une heure et demie plus tard. Bonnie et Lexie étaient avec plein de sac remplis de vêtement. Elles avaient parlé d'elle de Stephan….beaucoup de Stephan. Bonnie avait même parlé de sa manière de pensée sur la relation que Stephan et elle entretenait. Elle avait appris et compris que Lexie était très amoureuse de Stephan et qu'elle attendait qu'il se jette à l'eau. Mais elle savait qu'il avait des sentiments pour Elena qu'elle n'aimait pas beaucoup. Elle estimait qu'elle jouait trop avec Stephan et Damon. C'était une garce mais elle l'a tolérait pour faire plaisir à son meilleur ami.

-tu penses quoi de Damon dit-elle en se posant dans un snack.

-Rien, juste d'un petit branleur de service.

-Sa je le sais, c'est ce qui paraître. Mais, il n'est pas comme ça. C'est juste un genre qu'il se donne.

-ah de la méchanceté gratuite c'est un genre ! dit-elle stupéfaite de ce que lui disait Lexie.

-il a un bon fond ! Il peut être gentil quand il le veut. J'en sais beaucoup, il a été la quand Stephan était pas là. Il était un réelle épaule et ami. Je sais que c'est Stephan qui lui a demandé mais je sais que s'il ne voulait pas le faire il n'aurait rien fait. Il l'aime Stephan malgré toute l'atrocité que Stephan lui à fait subir.

-j'ai entendue parler brièvement de ça ! Stephan n'est pas prêt à me le dire.

-attends un peu, il te le dira mieux que moi. Revenons à Damon. Comment tu le trouves physiquement.

-Il est beau mais trop imbus de sa personne.

-Seulement beau ! C'est un dieu vivant dieu c'est que j'aime passionnément Steph mais son frère est réellement irrésistible. J'ai même voulu sortir avec lui il y a très longtemps mais il m'a mit un stop, il a dit qu'il ne touchera pas la meilleure amie de son frère en sache que Steph avait un petit béguin pour moi.

-il a vraiment dit ça ?

Oui.

-il est vraiment énigmatique comme mec dit-elle a elle plus que Lexie.

-il t'intéresse

-Non bien sure que non ! j'ai l'habitude d'éviter ses genres de mecs.

-tu irais très bien avec lui tu sais. C'est une fille comme toi qui lui faut.

-Moi dit-elle en rigolant. Je ne l'ai vu qu'une seule fois et on n'a faillis arrivée aux mains. Il m'a sortie de mes gonds en croyant me connaître.

-Sa commence par la haine puis sa fini au lit et après l'amour arrive dit-elle en souriant face une Bonnie énervée rien que pensée à ce simplet de Damon.

-Ne dis pas n'importe quoi. En plus, je ne suis pas son genre.

-Damon n'a pas de genre, il suffit que tu suscite de l'intérêt pour lui pour être dans son tableau de chasse dit-elle en buvant son milkshake.

-Arrêtons de parler de lui ! dis moi comment je peux apprendre rapidement à parler italien pour trouver un job.

-Tu peux regarder des films sous titrés et allez à l'institut et essayer de parler avec nous. Nous écouter parler et nous on te donnera quelque petit expression indispensable pour te faire comprendre.

-Ok, on peut commencer maintenant dis moi comment on dit « Je voudrais avoir l'addition s'il vous plait »

-Mi piacerebbe avere il conto per favore

-"Mi piacerebbe avere il conto per favore" répéta trois fois Bonnie puis éla un serveur et puis lui demanda l'addition.

-perfetto

- Merci dit-elle toute fière d'elle.

-je vais t'apprendre plein de chose t'inquiète. Tu seras parlé au final mieux l'italien que moi dit-elle en payant l'addition puis partie pour rejoindre avec Bonnie Stephan qui les attendait au parking.

-Alors comment s'était ?

-Perfetto

Stephan sourit: quindi sono molto felice

-Il a dit quoi en regardant Lexie?

-Juste qu'il en était content pour toi.

-Ok.

-Bon je vais vous laissez, j'ai été ravis de faire ta connaissance. J'espère te revoir très vite.

-Moi aussi. Si une envie shopping te revient dite le moi.

-Aucun problème. addio

-Addio dit Bonnie et Stephan.

-Elle est très sympas. Tu avais raison impossible de ne pas l'aimer.

-Je te l'avais dit dit-il en montant dans la voiture après avoir mis tous les sacs de Bonnie dans le coffre.

Le temps passait vite pour Bonnie en Italie, cela faisait maintenant deux mois qu'elle était là-bas. Elle était toujours aussi proche de Stephan et maintenant de Lexie. Elle apprenait très vite la langue grâce à Stephan. Elle avait trouvé un job dans une boutique de fringue pas très loin de chez elle. Elle sortait très peu trop fatigué entre les cours et son travail. Ses amis venaient souvent chez elle pour se faire une séance ciné. Ils alternaient les versions soit anglais ou italien. A part ça, elle avait du mal à sympathiser avec Elena. Elle l'a trouvait bizarre. Elle avait l'impression qu'elle jouait des rôles différents selon son interlocuteur. Elle n'était pas la seule à le penser. Lexie, lui disait souvent qu'il ne fallait pas s'attarder sur une fille pareille. Et ne parlons pas de Damon, la guerre était ouverte. Il n'arrêtait pas de lui lancer des piques à chaque fois qu'il l'a voyait. Il l'aimait la faire sortir de ses gond. Il prenait un malin plaisir à lui sortir ses quatre vérités. Elle en avait marre que ce mec arrive à la comprendre sans qu'il n'est eu une conversation digne de ce nom. Il avait un don. Ou peut-être qu'elle était très transparente. Qu'elle laissait les autres la voir trop facilement. Et sa la blessait d'être a nu devant cet inconnue qui ne ratait une occasion de la blesser.

Elle se posait énormément de question tout en attendant Stephan chez lui pour allez dans une soirée organisée par le grand frère de Lexie : Alaric. Qui n'était nul autre qu'un très proche ami de Damon.

Il allait surement être là. Il savait qu'il prendrait son pied à pourrir l'ambiance se dit-elle. Elle fut sortie de ses pensées en voyant Damon la regarder longuement. On dirait même qui la déshabillait du regard. Elle se sentait bizarre, toute chose tout d'un coup, elle avait le cœur qui battait à mille à l'heure. Les yeux bleus d'acier de Damon lui faisaient de l'effet, elle le savait depuis maintenant une semaine. Elle ne voulait pas tombée sur son charme. Elle ne le voulait pas, elle savait qu'elle allait souffrir car ce mec n'aimait que lui.

Il lui avait montré plusieurs fois durant ses deux mois. Il a souvent laissé dans des coins pommés alors que Stephan lui avait gentiment demander de la raccompagner. Ils se disputaient fréquemment car, ils se vexaient mutuellement.

Elle devait vite se ressaisir et le regarda aussi fixement que lui tout en ajoutant un sarcasme : ce que tu vois te plait. Il fallait me le dire avant. On serait passé aux choses sérieuses avant.

-c'est vrai qu'il y a de l'amélioration dans l'air. Mais tu n'es pas assez jolie pour passer entre mes mains expertes. Fais encore un grand effort et peut être que je changerai mon jugement dit-il en passant près d'elle ensuite lui frappa les fesses. Je savais que derrière ses vêtements il y avait du calibre.

-Gros pervers dit-elle en voulant lui donner une gifle mais Damon le lui retint et la rapproche de lui. Leur yeux se rencontrèrent leurs lèvres étaient à quelques centimètres l'un de l'autre. Damon s'approcha doucement des lèvres de Bonnie puis dévira tout près des oreilles de cette dernière.

-Je sais que tu me désir en secret et je te mentirai si je disais non. Mais tu es trop un petit juge pour je puisse m'attarder sur toi. Réserve-moi quelque danse. Je veux voir ce que tu vos sur une piste de danse. On se voit plus tard, jolie demoiselle dit-il avant de partir laissant une Bonnie pantelante.

Elle avait chaud très chaud mais elle le devrait pas. Elle s'était interdit d'être attirer par un tel individu qui était si sexy, une pure merveille…..

-Bonnie on y va dit-Stephan en descendant les escaliers.

-Quoi dit Bonnie se réveillant de ses pensées.

-On y va, la fête commence dans une demi-heure

-on n'attend pas Elena ?

-Non, elle y va seule. On est un peur en froid. Elle est trop jalouse de ma relation avec toi et Lexie.

-C'est ridicule…on ne fait rien qui pourrait pensée qu'il se passe quelque chose entre nous. Après vis-à-vis de Lexie s'est autre chose. Il se passe définitivement quelque chose entre vous deux. Je vous ai vu vous embrasser et rentrer dans un hotel

-Comment sa se fait que tu est passé par là.

-Je trainais un peu. Je vous ai vu sans faire exprès. Alors ?

-Alors quoi ?

-Tu vas quitter Elena ?

-bien sure que non. On n'est pas allé plus loin que d'enlever nos vêtements. On a tout les deux rigolés en nous voyant à poil. Je ne me suis jamais trouver aussi inconfortable qu'à cet instant. On est mieux étant ami. Cette expérience nous la prouvée. On sait que l'on s'aime beaucoup mais pas de la manière que l'on voudrait. Je pense que de sortir ensemble est une sortie de secours pour éviter d'affronter nos démons et de nouvelle rencontre.

-Et bien, j'aurais cru que vous allez finir ensemble. Mais c'est bien que vous avez mis au clair vos sentiments. J'espère que tu trouveras le bonheur avec Elena.

-J'espère…je l'aime plus que je le pensais en faite dit-il lui souriant.

-tu seras heureux tu le mérites. Il faut juste qu'elle soit à la hauteur.

-elle le sera, en plus elle est plus câline que d'habitude. Sa rends nos ébats encore plus passionnée dit-il en souriant de pleine dents.

-évite de me donner les détails.

-pas de soucis dit-il en lui prenant la main pour la faire sortir du manoir pour arriver plus vite à la soirée.

Arrivé, là-bas Bonnie se sentie toute petite. Elle commençait à suffoquer voyant le nombre de personne qui bondait la salle. Elle avait la gorge sache, les mains moites et tous les membres qui tremblaient. Elle comptait partir mais une main l'appris et la fit avancer puis tourné. Elle se trouva vite blottie contre un torse dur. Elle releva les yeux et ne fit pas étonner de voir Damon.

-Que veux-tu ?

-Une danse même plusieurs, ma cavalière est très ennuyeuse trop centrée sur elle-même. Je suis déjà narcissique, je ne veux pas que la femme qui m'accompagne me ressemble trop. J'ai l'impression de danser avec moi-même dit-il en souriant narcissiquement.

Bonnie sourit. Tu es belle quand tu souris, tu n'es pas la même. Je peux même essayer de t'approcher.

-Tu veux m'approcher ? Je croyais que j'avais des efforts à faire.

-J'ai dis ça pour voir ta réaction. C'est marrant de voir comment tu parts au quart de tour. Tu es ma distraction Bennett.

-Moi ça ne fait pas rire dit-elle en voulant partir mais Damon ressaisis son étreinte

-Je n'ai pas fini avec toi. Je te trouve marrante et attirante et ça je ne sais pas pourquoi. Je me retrouve en toi. J'étais comme toi avant idéaliste. Je croyais que l'amour était parfait sans s'embuche. Mais j'ai vite compris en ayant une déception amoureuse que tous en quoi je croyais ma copine, mon petit frère me mentaient. Ils s'envoyaient en l'air derrière mon dos. En même temps j'étais étonner, je voyais les yeux doux qu'envoyaient Stephan à ma femme. il faut dire que le Stephan d'aujourd'hui n'est pas le même. Il était désinvolte, il s'enfichait de tout et s'envoyait en l'air avec une fille tout les soirs. Il ne supportait mal la mort de nos parents. C'était sa manière à lui de dire merde à la terre entière. Mais ce n'était pas une raison de s'en prendre à la femme que je respectais le plus au monde. Il me l'a pris ! C'est amuser pendant des semaines et puis la l'achement laisser tomber. Il l'a trouvait à ses dires plus à son goût. Il l'a trouvait fade, terne. Il l'a trouvait plus jolie quand elle lui était inaccessible.

Elle s'était plus attachée à lui qu'à moi. Je ne pouvais pas comprendre comment en si peu de temps elle a pu m'oublié. Je l'a trouvais plus vivante avec lui bien plus heureuse et épanouie qu'en quatre ans de couple. Qu'elle ironie je m'apprêtait à la demander en mariage. Je voulais m'unir à elle dit-il en ayant la gorge serrée par la douleur. Mais je n'ai pas pu, elle m'a quitté en disant qu'elle était amoureuse de quelqu'un d'autre. Qu'elle ne ressentait pour moi qu'une simple amitié. J'ai pleuré des heures entières. Mais je me suis vite repris. Je voulais essayer de sauver mon couple savoir ce que ce me avait plus que moi. Je voulais me battre pour l'amour qui m'unissait à elle. Mais comment le faire l'autre qu'il s'agissait de ton propre frère. Je ne voulais le faire souffrir et j'ai pris sur moi et j'ai regardé leur couple de loin pour savoir s'il prenait soin d'elle. Il ne le faisait pas. Il continuait à aller voir ailleurs de lui parler comme une moins que rien. Je ne sais pas le nombre de fois que je me suis interposé entre lui et elle. Combien de fois, je lui ai dit de rompre avec mon frère, mais elle me disait qu'elle aimait plus que sa vie. Je l'ai laissé, jusqu'au jour où elle m'appelle en pleurant en disant qu'il avait quitté pour une autre et qu'elle ne supportait cette perte. Qu'elle voulait partir loin de tout. Elle ne voulait plus vivre. J'étais mort de trouille. J'ai essayé de la résonner en disant qu'elle trouvera mieux. Et elle me répondait que non. Que Stephan était le bon et qu'il le restera à jamais.

Lorsque je l'ai entendu, je suis partie de chez moi pour l'empêcher de faire une bêtise mais je suis arrivé trop tard. Elle s'était taillé les veines. Il y avait plein de sang par tout. Je me suis écroulée. Je suis resté prostré là en la regardant. Criant de désespoir. Elle était morte. Elle m'avait laissée une lettre en me disant qu'elle regrettait son choix. Qu'elle s'avait au fond elle qui jouait avec elle. Elle m'avouait au début qu'elle voulait tester mon amour pour elle et qu'elle s'était bruler toute seule les ailes.

-Pourquoi, tu me dis tous ça tu penses que sa va changer ma façon de voir Stephan ?

-Non, peut-être que je suis d'humeur nostalgique. Tu me fais penser à elle à moi. Je t'envie.

-Moi ?

-Oui, de ne pas voir ce que moi je vois.

-Des fois je t'envie aussi. J'aimerais te ressembler que l'on me craigne afin d'éviter que l'on s'en prenne à moi.

-Tu mords déjà assez. Pas besoin de te damoniser. Je peux par contre t'apprendre des choses.

-Quoi donc ?

-à vivre

-Je vis déjà !

-Tu survies. Il faut que tu te dévergondes un peu. Tu as quoi seize dix-sept ans et on dirai une vieille fille. Tu es en Italie : il y a des beau gosses plein la rue. Tu en as même un devant tes yeux et tu n'essaie pas de tenter ta chance.

-Je ne sais pas m'y prendre. Tu l'as dis toi-même je ne trouverai pas l'amour.

-il ne faut pas prendre mes paroles pour argent comptant. Je le dis souvent dans la colère.

-Peut-être mais tu as raison sur tout. Je ne sais pas aimer et on ne m'a jamais aimé.

….

-tu me connais par cœur Damon et je trouve ça déstabilisant. Tu me déstabilise beaucoup malgré des air de je m'en fou de tout tu es quelqu'un de tendre et meurtrie. Tu m'intrique.

-toi aussi.

-j'ai envie de te connaître plus. J'ai fais une erreur en m'arrêtant sur les dire d'une seule personne. Je ne creuse pas assez.

-J'ai l'impression d'entendre mes propres paroles dit-il en souriant.

-Toi aussi quand tu souris tu es encore plus beau.

-Tu me fais des avances ?

-Dans tes rêves. On n'est pas arrivé à ce stade. Je te signal on est encore à je te déteste.

-On peut en rester la si tu veux. Je prends mon pied à te mettre hors de toi.

-Non sur tout pas ! On peut essayer de se connaître et peut être devenir ami.

-tu en sais déjà trop sur moi et mon frère n'appréciera pas notre rapprochement.

-Je n'ai pas besoin de son accord. Sa se trouve que l'on ne pourra pas se piffré. Pour l'instant c'est juste une trêve. On verra où la vie nous mènera.

-Je suis d'accord dit-il la faisant tournoyer.

-Qu'est-ce qui se passe entre Bonnie et Damon demanda Elena à Stephan.

-Je ne sais pas et je n'aime pas ça.

-Pourquoi ?

-Je ne sais pas. J'ai juste un mauvais pressentiment.

-Tu es jaloux ?

-et toi tu l'es ?

-Non, je n'aime que toi dit-elle en posant sa tête sur le torse de Stephan tout en regardant Damon sourire comme jamais. Elle avait une lancinante douleur au niveau du cœur. Elle savait après s'en qu'elle avait définitivement perdu l'un des frère Salvatore pou toujours.

-Moi aussi. Fais-moi confiance dit-il en embrassant les cheveux d'Elena.

-Je te fais confiance et toi ? Oui mais difficilement.

-Je te comprends

Pendant, que c'est deux la discutait la fête battait son plein et Bonnie et Damon s'était éclipsé sous les yeux intrigués de Lexie.

-On fait quoi dehors ?

-il fait trop de bruit l'intérieur. Dis-moi la chose la plus folle que tu as faite dans son existence.

-fuguée !

-Tu es sérieuse. Et la chose que tu ne risque de ne jamais faire ?

-me faire un tatouage.

-Alors allons-y !

-Où ?

-tu vas savoir très vite.

-Non, ne le ferait pas.

-Si tu le peux. Tu veux vivre alors fais le. C'est la première étape pour ta nouvelle vie.

-Ok mais c'est toi qui choisit le dessin et l'endroit où il sera car avec moi sa peut durée des heures.

-tu me fais trop d'honneur.

Une heure plus tard, Bonnie se trouva maintenant un tatouage au bas de son dos en force de cœur avec le nom de Damon inscrit. Elle le voyait enfin et son sang ne fit qu'un tour. Elle allait sauter sur Damon pour l'étrangler.

-Une minute mignonne. Tu m'as dit de choisir le tatouage et l'emplacement. Cette phrase refroidit Bonnie, elle savait que c'était de sa faute. Pourquoi, elle lui a fait confiance. Alors qu'il y a quelque heure, elle l'évitait comme la peste. Quelque chose de bizarre était entrain de se produire. Et elle le sentait que ça aller de mieux en mieux grâce à lui. Mais sa allait trop vite. Elle allait laissée son cœur….elle le savait.