Bonjour
Voici le premier chapitre de ma premiére fic:
Bon...
N'esiter pas a m'envoyer vos commentaires pour que je sache si c'est la peine de continuer ou pas...
Pis... Merci a Zazaone sans qui ce serait trufé de fautes d'orthographes de toutes sorte un peu partout!
Et...
Bonne lecture:
Les deux intrus se faufilèrent dans l'ombre pour ne pas être repérés par les deux droïdes patrouillant maladroitement dans le vaisseau BATEV ; les détruire ne servirait a rien, à part courir le risque de se faire repérer
Les deux ombres continuèrent leur chemin à la recherche de la pénitencier de dernière classe. En contemplant l'état des prisons « normales », on pouvait se demander comment seraient celles inférieures...
De toute façon, ils n'arrivaient pas à imaginer, et n'en avaient aucune envie...
Il avait été assez aisé pour eux d'arriver jusqu'ici et Estelle ne pouvait s'empêcher d'avoir un sentiment d'angoisse en approchant de son but : une si grande facilité la rendait mal à l'aise:Une prison était normalement gardée activement pour empêcher les évasions...
Un large couloir amenait à une passerelle en fer, la porte était anormalement ouverte grâce à l'ingénieux Pierre : ce féru de technologie avait désactivé le système de sécurité pour leur laisser le champ libre.
Après avoir ouvert la porte manuellement, ce qu'ils n'auraient pu faire si l'ordinateur central marchait normalement, ils continuèrent dans un nouveau couloir, puis par un embranchement en forme de T ; deux droïdes gardaient la porte qu'ils cherchaient : quelle chance qu'il n'y en eut pas plus !.!.! Ce fut un jeu d'enfant pour Estelle de les fracasser l'un contre l'autre en minimisant le bruit grâce à la Force…
Les deux rôdeurs rentrèrent donc dans la cellule du compartiment 3, secteur 117.On avait peine à croire qu'on puisse essayer de survivre ici... L'odeur était de plus en plus insupportable...
Estelle espérait vraiment que Pierre retrouverait son amante, mais sans trop y croire… A peine la porte ouverte, Estelle sentit l'odeur nauséabonde de la mort, une odeur répugnante qui leur donnèrent la nausée et qui fit pâlir Pierre Il rentra en premier dans l'ancienne geôle qui n'était plus qu'un tombeau…
Les cadavres étaient empilés par dizaines, la malnutrition avait eu raison d'eux ...les seules « choses » encore vivantes devaient être les mouches, qui bourdonnaient par dizaines...Et encore, on pouvait se demander comment elles y arrivaient...,. Ici avaient été entreposées toutes les personnes n'ayant eu aucune valeur politique : l'amante de Pierre, Sarah, était l'une d'entre elles… Il la reconnut parmi les cadavres, quelques insectes posés sur son corps... Il ne put que détourner la tête…
- Je suis désolée, murmura Estelle.
- Je sais !
- Mais nous allons faire payer ce salaud. Je sens sa présence dans ces murs, il paiera pour ses crimes.
Aucune larme n'apparut sur le visage de Pierre, mais il était bouleversé :
« Tu as raison, allons y, répondit il. »
Il était anormalement pâle et Estelle se demandait s'il était vraiment en état de continuer.
- Ça va aller, reprit-il en voyant la tête de son amie, nous devons nous presser, alors allons y !.!.!
Ils connaissaient la direction grâce aux plans de Pierre indiquant les salles du comte Dooku, et grâce à Estelle ressentant sa force dans le vaisseau. Quelques droïdes passèrent sous son sabre laser, mais rien de vraiment dangereux ne les détourna de leur direction. Le comte partit vers la machinerie, et Estelle le sentit encore. Ils continuèrent donc vers ce nouvel objectif, plutôt inquiets, s'ils avaient sentis la Force d'Estelle, des droïdes eux aussi pouvaient arriver n'importe quand pour les intercepter...
La machinerie était une immense plate-forme au dessus du vide, conçu pour aérer les machines en surchauffe constante... La chaleur faisait transpirer nos deux amis abondamment... La seule comparaison possible aurait pu être la jungle amazonienne . Dooku était sur la plate-forme, assis en tailleur, calme et sans aucune trace de transpiration :
- Je vous attendais, dit il en se relevant et en soupesant le manche de son sabre laser encore éteint… Estelle alluma le sien :
- Nous sommes venus te tuer, dit elle, tu n'auras plus l'occasion de faire du mal…
Pierre prit son blaster à deux mains mais n'eut pas le temps de tirer. D'un geste de la main, le comte le renversa de la passerelle. Il tomba dans le vide et son cri résonna longtemps dans la tête d'Estelle avant de s'éteindre.
« Nous serons plus tranquille sans lui, constata Dooku. »
Voir cet homme rester de marbre en tuant son ami, comme il avait dû rester de marbre en tuant son frère, la mettait hors d'elle : il allait payer, et tout de suite !.!.!.
Elle se rua sur le comte qui ne fit que parer les coups, sans reculer, et avec une facilité déconcertante. Il restait calme, trop calme, pendant qu'Estelle, écumant de rage, essayant de faire céder ses défenses.
- Les Jedi ne s'abaisseraient pas à envoyer l'un des leurs en mission d'assassinat, affirma-t'il, je les connais trop bien !.!.!
Estelle tenta de lui donner un coup au bassin, pensant qu'il ne pourrait tenir indéfiniment. Les coups de la Jedi étaient de plus en plus précis, sans jamais toucher au but !
« Tu n'es pas en mission, tu es juste ici par vengeance personnelle, tu dois avoir des raisons de me haïr !.!.! »
Que cet homme parle !.!.! Bientôt il n'en aurait plus la possibilité, Estelle frappait de plus en plus fort…
- Tu n'as que le niveau d'une padawan, et être ici te vaudra le renvoi de l'ordre. Ils ne tolèrent ni l'assassinat, ni les revanches personnelles, ni la désobéissance.
- Ce n'est pas à vous de me juger, hurla-t'elle, seule un vrai Jedi le peut !.!.!
C'est vrai, elle allait être renvoyée, mais si cet homme mourait, cela n'avait plus aucune importance…
Il avait tué son frère, et tant d'autres innocents, et les Jedi n'avaient rien fait !.!.!
Son maître, Windu, lui avait affirmé que tuer Dooku ne changerait rien, à part ajouter un nouveau mort à une liste déjà trop longue, ainsi que celle de ses assassins qui n'auraient pratiquement aucune chance de s'en sortir vivant .
Foutaises !.!.!
Dooku était mauvais, aucune personne ne pouvait le l'égaler en cruauté et en violence, il devait payer !.!.!
Le comte commençait à reculer face à l'agressivité de la jeune femme.
« Mais, toi-même, tu n'es plus une Jedi, murmura-t'il, ton ordre doit déjà t'avoir reniée !.!. ! »
Feindre le cœur et viser la tête … Il allait mourir …
« J'en ai assez, dit il en touchant Estelle au poignet, lâche ce sabre !.!.!
La douleur la saisit tandis que son arme atteignait le sol. Estelle hurlait de désespoir et de rage.
Elle s'élança sur Dooku prêt à l'étriper. Celui-ci éteignit son sabre et lui décrocha une droite. Estelle s'évanouit
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