>salut tout le monde c'est une courte fic. c'est la seconde que je publie (l'autre et sur drago/hermione).si celle là vous intéresse alors SVP mettez moi une review et même si elle vous plait pas d'allieur.

Le temps d'une danse

Elle dansait au milieu de la piste, ses beaux cheveux ondulés virevoltant autour de son joli visage fin illuminé d'un magnifique sourire. Elle se laissait entraîner au milieu de la piste ne se souciant guère de ne pas avoir de cavalier et d'avoir un grand nombre de regards dirigé sur elle. Lorsqu'elle fut essoufflé, elle sortit de la piste avec grâce, et alla s'asseoir dans un coin tout en regardant les couples commencé un slow. Quelques garçons s'aventuraient à l'invité mais elle refusait toujours disant qu'elle ne danserait qu'avec une personne et qu'elle attendait qu'il vienne la voir, ne précisant jamais son nom.

Moi, assis à l'autre bout, je la regardais sans me lasser de voir ses beaux yeux verts émeraude au reflet doré. Cela faisait presque deux mois que ce petit rituel se passait. J'arrivais au moment ou cette boite moldu de Londres ouvrait, je m'installais à cette table en demandant que l'on me serve un verre de Malibu et à chaque fois au moment où je tournais la tête vers la porte, elle entrait et allait sur la piste de danse jusqu'à être essoufflé et allait s'installer à sa table à l'autre bout de la pièce me regardant fixement dans les yeux tout en repoussant quelques hommes audacieux. Mais ce soir se fut différent, au bout d'un moment elle se leva et partit sur la terrasse. Trop curieux, je me levais à mon tour et partit la rejoindre et sans très bien comprendre se qu'il m'arrivait, je me dirigeais vers elle et l'invitais à danser. Et pour la première fois, elle répondit: "oui".

Nous entamâmes un slow lent et doux. Elle posa sa tête sur mon épaule tout en fermant les yeux et je pus respirer l'odeur vanille de sa chevelure. Dansant toute la nuit, loin de notre enfance à Poudlard et de nos querelles enfantines. Le matin avant de s'enfuir, la jeune femme me glissa habillement un parchemin sur lequel était inscrit ses coordonnées pendant que je lui donnais un tendre baisé.

Un mois plus tard, nous étions devant l'hôtel, moi en smoking et elle, dans une magnifique robe de mariée immaculée. Ce fut à ce moment là que je me rappelai les moments où je la voyais danser et que je me rendis compte à quel point je pouvais l'aimer.

Neuf mois plus tard, de cet amour si grand, naquit la plus belle preuve qui puisse y avoir: Notre fils que l'on nomma si tendrement Harry.

>gros bisous, j'espère que sa vous a plus.bye