Mes dès ont eu un résultat bizarre. Mais ce résultat est tellement tentant que je vais le faire quand même !

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Sybille Trelawney n'aimait pas la compagnie des autres. Elle faisait croire que le bruit et les préoccupations personnelles de son entourage perturbaient son troisième œil. Evidemment, son don appréciait davantage le silence et la pénombre, mais ce n'était pas la seule raison. Les autres se moquaient toujours de la personne qui comptait le plus pour elle. L'ensemble des professeurs et la majorité des élèves ! Elle ne pouvait pas supporter cela ! Donc elles restaient seules dans la tour nord, pour manger, pour vivre. Oh, bien sûr, elle devait enseigner, mais elle entendait les élèves qui rabaissaient son amour et elle croisait parfois son regard, malheureux et triste. Elle lui souriait pour la réconforter, pour lui dire 'tout ira bien, ils ne te connaissent pas comme moi' et son amour lui répondait par un sourire semblable.

Quand elle devait descendre dans le château, Sybille lui disait toujours de rester là, ce n'était pas la peine de subir toutes les deux les autres. Elle faisait mine d'obéir sagement, mais la voyante savait qu'elle venait aussi. Elle apercevait son visage de temps en temps, près d'une fenêtre, à côté d'une armure. Elles n'en parlaient pas, elles faisaient comme si rien n'était arrivé. Le soir, Sybille embrassait les lèvres fraiches de son amour avant de s'endormir, souriante.

Le lendemain matin quand elle faisait cours, les elfes venaient ranger sa chambre… et passait un moment à enlever la tache de rouge à lèvre qu'elle avait laissé sur son miroir.

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Bon, pour ceux qui n'aurait pas compris –non pas que vous soyez nuls, loin de là, c'est moi qui suis pas claire – il s'agit d'un Sybille-Sybille, qui n'a pas compris que son reflet n'était pas une autre personne. Je l'imagine bien Schizo par les bords, la Trelawney.