Touts les personnages sont à Kurumada, mais je les emprunte avec joie, même un peu trop. Les autres ? Heu sont à la mythologie ou à moi.
Couple – Beaucoup Camus/Milo Shion/dohko Aphro/dm et plus… Yaoi et hétéro aussi
Rubrique – Aie ? Romance, guerre divine, humour, drame ?
C'est ma première vrai fisc, la première longue que j'ai tapé donc c'est parfois un peu hésitant. Les chapitres sont d'ailleurs très courts. Bonne lecture et merci à toutes celles qui m'ont laissé des reviews.
La Petite déesse
Quel que part dans un passé lointain à une époque incertaine, Elle fuyait devant un ennemi trop dangereux pour elle. Il fallait qu'elle les prévienne, qu'elle trouve de l'aide.
Trop tard, Il l'avait retrouvé, et il avait raison, nul ne se soucierait d'elle, tous étaient bien trop occupés. Il n'aurait aucun mal à la faire passer pour une traîtresse pour se blanchir.
Qui viendrait mettre sa parole en doute, il penseraient qu'elle était la mieux placer pour les tromper. Alors qu'il allait la détruire la petite déesse repensa à tous ceux qui lui avaient demandé une faveur, mais aujourd'hui nul ne viendrait l'aider. Qui se souviendrait d'elle ?
Une image s'imposa a elle, une enfant haletante sur un lit. Prés d'elle un homme serrait gentiment sa main, témoin impuissant de sa vie qui s'éteignait. De sa fée qui l'abandonner, qui sereine contemplait le monde des vivants dont elle s'éloignait.
Mais déjà la divinité sentait son pouvoir disparaître, elle n'y pouvait rien.
La petite déesse mourante regarda une dernière fois la gamine agonisante et elle senti le peu de conscience qui lui restait devenir fillette et se fondre dans les souvenirs de l'enfant.
Une ultime fois elle le défia et changea le destin. Elle vivrait en elle.
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Il faisait beau en cette fin de printemps, dans le grand jardin fleuri elle jouait. Innocente ayant oublié dans l'inconsciente de l'enfance qu'elle avait failli mourir.
Elle entendit des pleurs, qui pleurait ?
Dans l'ombre des arbres une fille de son age sanglotait.
Pourquoi pleures tu ?
Je pleur car le monde est méchant.
Le monde ?
Oui tous, je les déteste tous.
Mais y a des gens qui t'aiment non.
Non je les déteste tous. Ils sont tous mauvais.
Moi j'aime tout le monde, ils sont si gentils avec moi.
Le soleil se voila, elle cligna des yeux elle était seule.
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La jeune fille laissait son regard errait sur le jardin, son cœur était étrangement vide.
Les gens la regardaient surpris par cette jeunette aux yeux trop secs pour la circonstance.
Dans sa tête une petite voix tinta.
Tu vois le monde est méchant. Il n'y a rien à espérer.
(silence)
Tu ne feras que souffrir comme aujourd'hui.
(silence)
Ils te voleront tous ce qui t'est cher.
Elle était trop perdue pour penser, penser à quoi d'ailleurs.
Les jours avaient passés, à dix huit ans, par la force des choses, elle était devenue adule. Les siens avaient besoin d'elle.
Devant elle s'étalait le décor familier des jours heureux envahit par les broussailles.
Une langueur bien connue l'envahie, elle se mit à penser qu'il suffirait d'un rien pour que tout s'arrêter. Mais se serait offrir son tourment à d'autre. Elle pensa à lui qui la croyait forte elle,
elle si faible si timide, si effrayée d'ennuyer les autres. Ils n'avaient jamais su se comprendre, trop semblable.
Une fois de plus la voix l'interrompit.
Tu vois, je te l'avais bien dit, il te prendra tout. Il te détruira. Comme moi. Si tu te fais assez petite peut être qu'il t'oubliera.
Dans Le sentiment de vide qui dévorait sont cœur une petite graine germa, comme une ronce l'enserra. Il n'était plus temps de pleurer ni de regretter. Elle ferait de sa faiblesse sa force, elle n'avait que faire d'un cœur qui pleure, elle serait un roc.
