Les pensées sont écrites en gras.
Un jeune homme blond se contemplait dans le miroir d'une petit rue sale de Londres, satisfait. D'un geste nonchalant et amoureux, une femme, qui devait être sa mère, lui aplatit une petit mèche platine rebelle tandis que son père arborait un sourire de carnassier satisfait et fier.
Le jeune homme avança d'un pas majestueux dans un cabine téléphonique après avoir adressé à ses parents un vague geste d'adieu ; Sa mère lui fit également un signe lointain accompagné d'un sourire effacé et timide tandis que son père le toisait d'un regard froid, comme dans ses meilleurs jours.
Bonjour, déclara une voix mielleuse venue de nulle part, Puis-je vous demander le motif de votre venue ?
On s'en fout, je suis peut être venu pour poser une bombe, grogna t'il sèchement.
merci beaucoup ! Passez une agréable journée !
Un déclic se fit entendre un petit badge bleu scintillant rebondit sur le sol avec bruit. Le jeune homme lut avec pitié le titre : « POSEUR DE BOMBE »» Un léger soubresaut de la cabine lui indiqua qu'il étai bientôt arrivé…IL jeta un coup de pied rancunier dans le badge avant de l'écraser d'un coup de talon négligent. La voix se fit entendre une seconde fois.
Vous êtes arrivé au ministère de la magie…Bienvenue. Ayez l'obligeante courtoisie de vous présenter et d'aller voir le gardien. Au revoir !
Une sonnerie retentit et les portes s'ouvrirent. IL enjamba le seuil de la cabine qui se referma aussitôt et renifla d'un mépris et d'un dédain les plus profond. IL se dirigea vers un petit guichet où semblait dormir et homme dont la puanteur qu'il en émanait était digne des égouts seuls. Il s'approcha avec dégoût. S'apprêtant à le pousser du bout de sa baguette il sursauta en entendant un voix grasse lui parler. Un visage rabougri se tourna vers lui tandis qu'une mouche au dessus de sa tête suivait les moindres mouvements de l'homme. Le jeune homme réprima une grimace de dégoût.
V'z'êtes qui ?
Sur un autre ton. O.K ?
Oh ! vous êtes qui s'you plait ?
Il dodelina de la tête et son gros nez sale frémit. Une intense vague nucléaire se dégagea.
Draco, Lucius Malefoy. La clé de mon bureau.
Il tendit la main tout en regardant la statue gigantesque qui ornait la fontaine en face de lui.
Comment ?
Draco
Ouias et ensuite…
Lucius…
Hum
Malefoy.
Oh ! p'tin sainte mère de dieu çà en fait une ribanbelle de titre mon beau baron. S'avez qu'vous p'vez acheter le « de » là ! ça fait style…z'avez…Oh et pis vot' clé de bureau qu'j'allais oublier…31, département des mystères
Tout à coup il s'aperçu que Draco ne faisais plus attention à lui, étant parti…Il repensa tout à coup à la famille Weasley, Ronald Weasley et surtout Harry Potter son ennemi juré. Il ricana ; il était mort en emportant avec lui le seigneur des ténèbres…
Ah! le 31!
Il tourna la petite clé dans la serure et ouvrit la porte. Il siffla d'admiration devant la petite pièce coquette et proprette. Deux bureau de bois,garnis d'une plaque de marbre noir sur lesquels était posés deux vase de jade, était disposé élégament l'un en face de l'autre.
Ils font franchement des efforts...
Il continua à parcourir la pièce du regard. On toqua un léger coup et draco sortit de sa torpeur pour aller ouvrir. Une jeune fille blond cendré tibuta sous la charge d'une immense pile de dossier qui cachaient son visage.
Alors, bonjourbonjour...J'èspère que çà vous plait parce que je me suis donnée un mal de chien; perso je trouve çà plutôt bien réussi...Bon vous vous en foutez peut-être mais je crois que si vous aviez u comment c'était avant...Hum! MI-TEUX! Et encore j'améliore. Un vrai trou à rat. Bref que je vous explique, pour les dossiers, il suffit juste de les lire t d'en faire un compte-rendu. Il y en a dans la petite chambre d'à côté; faites gaffe au puces sur les coussins il y en a trois...
C'est quoi ce BORDEL? Un guichet man qui pue et qui a eu sa première mouche, un trou à rat liteux , des puces...
Et elle sont trois, Dumbledore les a baptisées, Il est à moitié cinglé; même s'il dit qu'il a les 150aine triomphante...
Baptiser des puces...Non mais c'est...
Joséphine, Géraldine et Prunille.
Dingue.
Je crois que j'ai tout passé.
Heu?
Oui...
Vous avez pas oublié un petit truc...
Il fit un aimable sourire comme elle tiarit sa tête évouriffée de ses dossiers. Il fût frappé par son air qui lui semblait vaguement familier, toutefois ses souve,ir demeuraient vagues et confus. Elle cligna des yeux.
Le puces? les dossiers? Les...
Non mais...
Les domadaire qui stationne...Oh mais vous inquié...
Nononononononononon...Vous êtes qui?
-tez pas...
Elle ouvrit et ferma la bouche avec un air béha...
On ne vous a pas dit?
Non...
Hermione Granger...et vous?
Her-mi-on-e Gran-ger? NON mais je RÊVE LA! C'EST PAS POSSIBLE...QU'EST CE QUE J'AI FAIT AU BON DIEU POUR ME RETROUVER AVEC ELLE? POURQUOI MOI?FAUT SURTOUT PAS QU4ELLE SACHE QUI JE SUIS...ALLER TRAVILLE UN PEU TON IMAGINATION...
Ben, moi c'est...
Putin!
Lucius...
wah! c'est marrant j'ai l'impression de vous connaître.
C'est pas POSSIBLE!
Je ne pense pas...
Il hocha les épaules pour souligner sa réponse.
Thé, café?
Rien, merci.
Elle se replongea dans ses dossiers; Il s'affala sur le siège douillet en fuixant intensément sa colaboratrice. Il eut la encore l'occasion de voir la merveilleuse efficacité d'une bonne sorcière
Il posa ses bras sur les acoudoir et soupira d'aise tout en continuant a fixer la touffe de cheveux qui dépassait de la pile de dossiers. de l'autre côté, elle l'obersait elle aussi. Elle scruta attentivement le beau visage par un espace fin entre deux pile de feuilles volantes.
Non mais, C'est quadn mm pas LUI? ET IL SAIS QUI JE SUIS.
Elle leva prudement la tête et aperçu on collaborateur les yeux clos comme un pacha satisfait, et qui arborait un sourire distrait. Elle se mordit la lèvre inférieure.
Non mais qu'est ce que je vais faire, il va foutre en l'air mon boulot. Je démissionne.
Elle poussa un gémissement après avoir jeter un autre coup d''oeil sur le bureau voisin.
Mamamiya! Et en plus je suis en train de tomber amou...
Elle plaqua sa main sur sa bouche, horrifié venant tout jsute de s'apercevoir de la GROSSe boulette qu'elle avait faite. Elle se tapa la tête contre le bois de la tête avant de courrir vers la porte pour partir, honteuse.
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