Chapitre premier,

Point de vue, Louis Tomlinson:

Il n'était que 8.00 an et pourtant je m'ennuyais déjà profondément, mes yeux restèrent vides et mes pensées divaguèrent. Je repensais au temps de mon enfance. Là où tout était plus simple, il n'y avait aucuns préjugés, l'amour était une chose tellement simple et tout paraissait plus beaux. Ce fut alors qu'un vieux souvenirs me revint à l'esprit,

[Flash-back]

Si je me souvenais bien, nous étions en hivers. La neige avait recouvert la capitale d'une épaisse couche blanche. Se jour là, ma mère ne se sentait pas très bien, je ne savait pas pourquoi mais se fut tellement fréquent ces derniers temps. Ne voulant pas me morfondre dans ma chambre à essayer de trouver une occupation, je pris mon manteau et affronta le froid de la capitale. Ma mère était quelque peu inconsciente, si bien que lorsque je lui dis que je sortais elle ne me répondit que par «C'est bien mon chéri, c'est bien.» A cette époque je n'avais alors que 10 ans et pourtant, devant m'éduquer seul, je raisonnais comme un enfant plus âgé. D'aussi loin que je m'en souvienne, je n'ai pas eut d'enfance, ou alors qu'à très court termes. Je crois que mon enfance c'est totalement arrêté le jour ou mon quitta ma mère. Nous avons déménagé à Londres avec ma mère et depuis notre emménagement dans cet appartement quelque peu délabré, ma mère ne se sentait pas bien tous les jours... Alors que je me dirigeais vers le parc, je vis un enfant, un peu plus jeune que moi qui pleurait. Je me rapprocha de lui.

«Ba, pourquoi tu pleures? Demandais-je au petit garçon, tes yeux vont finir par être tous rouges.»

Le petit garçon était brun et les yeux marrons, malgré qu'il paraissait malade et que sa peau était plus blanche qu'elle ne devait l'être, je pouvais voir que cette dernière était métissé. Le garçon ne me répondit pas et continuait de pleurer.

«Tu veux me dire ce qu'il ne vas pas? Lui dis-je en essayant de sourire le plus possible.»

«Je suis perdu... M'avoua-t-il en sanglotant»

«Mais ce n'est pas bien grave ça! Dis moi où tu vas et je te raccompagne, moi!»

Le brun me fit un grand sourire. J'essuyai les larmes du petit garçon avec le revers de ma manche je pris le métisse par la main et nous commençâmes à marcher. Je me rendis compte qu'il était plus petit que moi d'une tête voir une tête et demi. Il afficha un grand sourire.

Nous avions marché pendant environs une heure, nous étions arrivé à destination. Il m'avait assuré que sa mère serait là. Nous avons attendu, attendu encore et encore, mais personne n'est venu.

«Personne ne vient petit... Ma voix se brisa quelque peu sur la fin.»

«Non! Elle viendra je le sais! Criait-il, elle viendra je le sais, elle viendra...»

Le petit garçon regarda au loin les yeux rempli de détermination! Il y croyait tellement que j'avais envie de tout sauf de le décevoir... Il me serra la main aussi fort qu'il peu, ce qui m'arracha un sourire étant donné sa force minime. Il se faisait tard, et de plus en plus froid, et je ne voulais pas le laisser seul.

«Tu sais quoi, demandais-je au garçon, tu vas venir avec moi, et on reviendra demain. Je suis sur que ta maman va revenir. »

Il hocha la tête, je resserra sa main, et nous marchions à sens inverse. Pendant un moment, l'idée que ma mère soit inquiète me frôla mais, des larmes commencèrent à couler lorsque je me rappelai que ma mère ne faisait plus attention à moi. Le petit homme à côté de moi me regarda et me demanda pourquoi j'avais les yeux tous rouge. Je lui répondis que je lui en parlerais plus tard.

Nous arrivions à notre appartement, nous montions les marches et j'ouvris la porte. Comme attendu ma mère était encore allongé sur ce maudit canapé, j'eus parfois des envie de le brûler.

«Maman, demandais-je, mon ami peut rester ici pour cette nuit, voir quelques jours. »

«Oh, tu es déjà rentré, me dit-elle sans même me regarder, bien sur qu'il peut rester, maintenant fais à mangé, tu veux, moi je vais me coucher.»

Voilà ce à quoi se résumait mes journées, je sortais et faisais à mangé en rentrant, pour moi seul.

«Dis moi petit, tu as faim?»

«Oui... Me répondit-il timidement, mais, euh... Je... m'appelle Z... Zayn, pas petit...»

Il fut vrai qu'avec toutes ces agitassions nous ne nous étions même pas présenté.

«Moi, c'est Louis, dis-je de mon plus beau sourire tout en lui serrant la main.»

Je venais de finir de préparer à manger, je fis des pommes de terre à la poêle, en mis dans l'assiette de Zayn puis dans une autre pour ma mère, que je rangea au frigo. Je m'installa à côté du jeune homme.

«Tu ne mange pas, Louis, me questionna-t-il inquiet.»

«Non, sinon tu n'en aurais pas assez.»

«Mais et l'autre assiette?»

«Elle est pour ma mère.»

J'essayais de garder le sourire malgré que je sentais les larmes venir. A ce moment là, le petit Zayn qui mourait de faim, fit un acte que je garderais en mémoire pendant longtemps encore. Il cherchait dans les placards et sorti une assiette et une fourchette, la posa devant moi et partagea son assiette de pomme de terre. En cet instant, je ne put retenir mes larmes, je pleurais tout en souriant. Je dégusta chaque pommes de terre, comme ci elle venait du ciel.

«Mr Tomlinson, Mr Tomlinson! Aller, on se réveille! Mon professeur de Maths m'extirpa de mes pensées. Comme je le disais précédemment, un nouvel élève va arrivé. Je vous prierais d'être gentil et chaleureux et de ne rien lui demander sur son passé. S'il vient se plaindre concernant des questions déplacés, j'appliquerais des sanctions, est-ce clair?»

Mon téléphone vibra, je le sortis et le mit de façon à ce qu'il ne soit pas vu par notre enseignante.

De Hazza' 3

Un nouvel élève, Youpi!

:)

De Liamounet 3

T'as entendu ou tu t'es rendormis?

Un nouveau débarque!:D

De Nialler 3

Tu crois qu'il aime les oreos le

nouveau?:)

Ces messages de la part de mes meilleurs amis ne me surprirent pas. Comme à mon habitude, je n'avais pas très envie d'écrire des messages à tout le monde, alors je me contenta d'un message groupé.

A Hazza' 3; Liamounet 3; Nialler 3

Une expulsion, ça fait longtemps?:D

C'était l'une de mes habitudes préférées. Quand les gars et moi voulions parler ou tout bonnement passer du temps ensemble, nous nous faisions expulser de cours, ce qui nous amusait beaucoup. En revanche, cela ne plaisait guère à Simon, notre tuteur.

Les gars me répondirent tous par un oui. D'habitude, c'était Harry qui nous faisait exclure mais, comme je m'étais déjà fait remarquer par la prof, autant continuer. Je sortis le premier livre qui me vient à la main de mon sac, je le posa sur ma table et l'ouvrit à une page quelconque, je me mis à la recherche d'un dialogue avec des exclamations, de préférence. Après quelques minutes de recherche, les gars me regardèrent toujours, je leur fis un signe de la tête pour leur dire que tout était prêt, et que nous pouvions passer à l'action. Ils sourirent et se retournèrent. Je me mis en condition, livre devant les yeux. Je toussota.

«NON! Protesta Jimmy! M'écriais-je dans toute la salle de classe»

«Mr Tomlinson, encore vous! Me gronda méchamment mon enseignante. Vous voulez vraiment vous faire exclure n'est ce pas? Arrêtez donc de perturber le cours!»

L'envie de rire devait se voir sur mon visage, tellement elle était grande.

«Ah, vous faites cours? Je suis confus... Dis-je d'un grand sourire.»

Elle soupira, et la classe se mit à rire.

«Le prochain qui rigole se verra exclure, comme notre cher ami Louis Tomlinson.»

Elle ponctua sa phrase d'un petit sourire malicieux, comme ci elle voulait me voir partir. Ce qu'elle ne comprenait pas était que je faisais tout pour l'être. La classe se tue. Seul trois autres personnes riaient encore aux éclats. Comme attendu de leur part, Harry, Liam et Niall faisaient pour être renvoyé de cours. Notre pédagogue explosa de fureur, il ne lui en fallait que peu pour s'énerver.

«Tomlinson, Payne, Horan et Styles: dehors!»

Nous sortîmes de la salle tout en riant, ce qu'elle était simple d'esprit cette prof. Une fois sortie de la salle de classe, nous arpentions les couloirs en direction de la sortie. Nous ne rencontrions que peu de personne. Notre lycée était très réputé et faisait partis des meilleurs. Jamais je n'avais compris pourquoi notre tuteur nous avez envoyé ici, Liam et moi. Mais je dus reconnaître que nous lui devions une fière chandelle, grâce à sa démarche, nous avons rencontré Harry et Niall, que Simon a vite pris à sa charge. Mes amis parlaient entre eux et mes pensées se remirent à divaguer... Je n'étais pas un grand fan de ces moments là, ils me faisaient mal. Je n'espérais qu'une seule chose, que mes compagnons s'en rendent vite compte et m'extirpent de ces pensées maussades... Je ne voulais pas me remémorer ces tristes souvenirs.

[ Flash-back]

«Allez viens, je vais te montrer là où tu vas dormir, Zayn.»

«Mais, et la vaisselle? Me demanda-t-il tristement.»

«Ne t'en fais pas, tu verras, lorsque tu te lèveras demain matin, plus rien ne traîneras! »

Il fit un grand sourire émerveillé tout en regardant les assiettes, comme ci c'était magique pour lui. Je souri bêtement.

«Aller, viens. Mais ne fais pas trop de bruit.»

Il acquiesça, je lui pris la main et traversions le couloir jusqu'à ma chambre. Je me dirigeas vers mon armoire et sortis un pyjama, trop petit pour moi, que je lui tends.

«Voilà pour toi. Bon je pense que tu vas pouvoir dormir sur mon lit, et moi je dormirais sur le canapé.»

il me regarda en hochant la tête. Sa maman lui manquait sûrement, et de son côté, elle devait s'inquiéter pour son fils, comme je l'enviais... Le petit bonhomme était dans la salle de bain, je pensais qu'il se changeait. Au moment où je voulais m'assurer que tout allait bien, je retrouvas le petit métisse assit dans un coin, les genoux replié et la tête dans ses bras, j'entendis quelques reniflements. Je m'approcha de lui, m'assis à ses côtés, l'entouras par les épaules et le berças.

«Elle te manque n'est-ce pas?»

«Ou..Oui.. Dit-il en hochant la tête, dis, tu peux dormir avec moi, j'ai peur sans ma maman...»

«Bien sur!»

j'essayai de lui répondre avec un sourire rassurant. Je ne savais pas s'il l'était réellement, mais il releva la tête et souriait. Il avait les yeux rouges et les joues roses à cause des pleures, cela le rendit adorable.

Nous étions revenu dans ma chambre, j'ouvris la couette de mon lit, et l'invita à venir. Il s'y installa. Je m'installa à mon tour. Zayn enroula ses bras autour de moi et je fis de même. San m'en rendre compte, je me mis à le bercer pour qu'il s'endorme.

«Bonne nuit Zayn...»

Une main passa devant mes yeux plusieurs fois de suite et me tira de mes pensées.

«Ouhou, Louis tu nous écoute, dis? Niall prit un petit air boudeur, mais à quoi tu penses ses derniers temps?»

«Rien» se fut ma réponse. Nous avions à peine franchi les grilles qui séparaient le lycée de la grande rue, que la sonnerie de mon téléphone retenti. Le prénom Simon s'afficha à l'écran. Je n'attendis pas longtemps pour décrocher.

«Allô Simon? Dis-je à mon interlocuteur»

«Louis, Vous avez cours là?»

Je rigolais intérieurement suite à cette question, Simon ne serait pas content s'il apprenait que les garçon et moi étions renvoyé vendu de cours. Il n'apprécierait pas du tout.

«Non, nous venons justement de sortir.»

«Cela tombe bien, j'ai à vous parler! Dans 10 minutes à l'appart', soyez à l'heure!»

A cet instant je me demandais ce qu'il avait à nous dire. Peut être était-ce par rapport à nous et le fait qu'il soit notre tuteur, peut être que cela ne pouvait plus durer... Je ne voulais pas envisager le pire, je pensais donc au meilleur. Peut être nous avait-il enfin trouvé ce qu'il nous manquait, mes colocataires et moi avions pour passion le chant. Ayant un ami qui travaillait dans une maison d'édition, nous l'avions supplié pour qu'il nous présente à son ami, mais il n'a jamais voulu.

«Hé, les gars, à l'appart', maintenant!»

«On fait la course? Me demanda Liam d'un air provocateur.»

«Tu vas morfler Payne!»

«C'est ce que tu crois Tomlinson!»

Nous courions comme des fous pendant que Niall monta avec Harry sur son scooter. Je dominais Liam, j'étais fière de moi. Voyant que l'immeuble n'était plus très long je commençais à ralentir, grossière erreur! Liam se mit à courir comme un digue et me dépassa sans aucun problème. Il était très avantagé grâce à ses footing matinaux.

«Ba alors Tomlinson, toujours à la ramasse? Me dit-il d'un petit air satisfait.»

Je me contenta de lui sourire en lui faisant une tape sur l'épaules, nous riions. Les garçons étaient arrivés bien avant nous. Nous commencions à monter dans l'immeuble et une voiture s'arrêta devant. Une dame monta dedans, elle avait des cheveux brun et une peau métissée. Elle me rappelait vaguement quelqu'un mais je ne savais pas qui. Elle venait tout juste de sortir de l'immeuble. Je n'y prêtas pas plus attention. Nous montions à l'étage. Dans les escaliers, nous faisions autant de bruits que nous le pouvions. Aucuns des voisins ne nous aimaient pas, ils nous embêtaient sans cesse, changeaient nos courriers de place, nos vélos et scooters également, alors nous leur rendions la monnaie de leur pièce.

«Bande de chenapans! Cria l'un de nos voisins.»

Cela me fit exploser de rire. Nous arrivions au seuil de la porte, je l'ouvris, et sans l'expliquer pourquoi j'en avais la peur au ventre.

«Ah vous voilà!»

Simon nous accueillit les bras grands ouvert, comme d'habitude. Il était comme un grand frère pour certains d'entre nous ou comme un père pour d'autre. Il nous invita à nous asseoir sur le canapé.

« Je vais faire vite, car j'ai des papiers à remplir. Vous allez avoir un nouveau frère, nous annonça-t-il.»

Cela peut paraître bête, mais il avait toujours utilisé cette expression: «un nouveau frère.». Lorsqu'il m'avait présenté à Liam, il lui dit: «voilà ton nouveau frère Liam.». D'un côté, nous étions tous comme des frères alors cette phrase ne me dérangeait pas, au contraire je l'appréciais.

«Bon, je vais devoir vous laisser...»

«Déjà, mais tu viens seulement d'arriver! Commenta Liam quelque peu déçut...»

«Désolé les garçons. N'oubliez pas, il arrive dans l'après midi.»

Puis Simon parti, nous n'aimions pas ça du tout... Depuis quelques temps, il ne passait plus de temps avec nous. Je savais très bien que tôt ou tard, nous allions devoir nous séparer de lui, mais je n'en ressenti nullement l'envie. Pour résumer, il était tous pour nous.

Vu que nous étions rentré, et que nous n'avions rien à faire. Je me décida à monter dans ma chambre. Je le signalas à mes meilleurs amis, qui étaient déjà sur la console de jeux. Je 'ouvris la porte de ma chambre, la referma derrière moi, et jeta littéralement sur mon lit. J'étais sur le dos, les yeux fixant le plafond, encore et toujours à me repasser ces vieilles images dans ma tête.

[flash-back]

Le petit homme s'était enfin endormis. Il avait pleuré une bonne partie de la nuit. J'essayais de me détacher de lui sans le réveiller, pour aller faire la vaisselle avant que maman ne se lève. Je ne voulais pas qu'elle crie en se demandant pourquoi elle avait eu un fils pareil. De toute façon, c'était toujours la même chose, lorsque je faisais quelque chose de mal, elle me réprimandait en me comparant à mon père. En revanche, lorsque j'étais là sans rien faire, où même quand je sortais, elle ne remarquait pas... Je ne savais pas ce que je préférais, le fait d'avoir mal en étant comparé à un père que je ne connaissais pas ou alors le fait d'avoir le cœur qui se brise lorsque ma mère ne me remarquait pas... Je pensais que même si je sautais d'un pont elle ne le remarquerait que lorsqu'elle ne verrait pas son assiette dans le frigo...

Arrivé dans la cuisine, je remplis une casserole d'eau que je fis chauffer, puis je la renversas dans une bassine où se trouvait les assiettes et les couverts sales. Je nettoya le tous le plus vite que je pus pour retourner me couché. Une fois lavé et essayé je rangeas les couverts et les assiettes dans les placard.

Le lendemain, nous étions retourné à l'endroit où il devait retrouver sa mère. Il était tellement convaincu qu'elle allait venir.

Nous y retournions tous les jours pendant 2 semaines, Zayn n'avait toujours pas perdu espoir. Il était désormais 9.00 pm et nous étions sur le chemin du retour. Il faisait nuit et le métisse avait froid et peur, je le remarquas car il tremblait et me serrait la main très fort. Voyant que Zayn perdait le moral de jours en jours je décida de faire des petites affichettes pour dire que nous avions retrouvé le petit Zayn.

«Dis moi Zayn, tu as quel âge?»

«8 ans et demi.»

[ellipse]

Une personne sonna à la porte, ma mère m'ordonna d'aller ouvrir, une dame brune se dressa devant moi.

«Oui, c'est pour quo...»

«Maman! Me coupa Zayn.»

Ils étaient tellement beaux tout le deux. Ils pleuraient, heureux de se retrouver. Fut alors qu'un homme apparut dans l'encadrement de la porte. Zayn parut furieux tout à coup.

«Il fallait que tu l'appel lui aussi! Tu ne pouvais pas juste prévenir ma maman? Zayn se mit à pleurer, t'es vraiment méchant Louis, je te déteste!»

Cela me fit mal au cœur. Le petit garçon s'enleva des bras de sa mère, et s'enfuit.

Après plusieurs semaines de recherche, personne n'avait eu de ses nouvelles, cela entraîna le divorce de ses parents. Son père reprochait à sa mère de ne pas avoir été assez attentif. C'était la première fois de ma vie que l'on me disait que j'étais méchant, et c'était ce que me fit le plus mal...

[fin du flash-back]

Je m'endormis.

La sonnette de l'entrée me tira de mon sommeil. Je jetas un œil à mon réveil, il affichait 4.30 pm. La personne n'arrêtait pas de sonner, je me décidas donc de descendre pour aller ouvrir. Je pris la poignée en main et l'abaissa. La porte s'ouvrit, l'individu se présenta.

«Bonjour je suis Zayn Malik, votre nouveau colocataire.»