blabla de l'auteur : pour ceux et celles qui ont connu le site saiyukiforever quand il était encore ouvert on peut être déjà lu cette histoire. je la re-publie ici après avoir retrouvé les brouillons au fond d'un sac. j'ai fait quelques modifications étant donné que j'avais perdu la version ordi avec l'ordi qui avait laché. courage a ce qui voudront bien la relire car je vais essayé de la retoouché au minimum, aprés tout ce fut ma première fic écrite et publiée. sachez déjà qu'elle contiend une dizaine de chapitre par trés long. je rajouterai peut être un chapitre un peu osé, ce que je n'avait pas fait la première fois.

bon je parle trop, je crois.

jané!


CHAPITRE I : LA RENCONTRE

Par un beau matin, nos quatre héros et dragon blanc, roulaient vers l'Ouest dans le calme et la bonne humeur :

BOUM ! BOUM ! BOUM ! « FERMEZ-LA ! Ou je vous bute tous les deux »

Quand soudain, une forme surgit de la forêt qu'ils longeaient. Poursuivie par un important groupe de monstre, elle fonçait droit devant elle, obligeant Hakkai à freiner brusquement pour ne pas l'écraser. Arrêté au milieu de la route, un jeune homme au cheveu brun mi-long, attaché en queue de cheval par un lien de cuir et dans des vêtements déchirés et tachés de sang, faisait face a ces assaillants armé de ses deux katanas.

« Hihihi, tu ne pourras plus nous échapper longtemps » ricana l'un des monstres. « Tu va pouvoir gouter à notre vengeance. »

« Né, Sanzô, on ne va pas le laissé se battre tout seul, hein ? »

« Surtout qu'il nous ignore complètement là ! »

« Ma, ma, un peu d'exercice ne nous fera pas de mal. Et puis, ils nous bloquent la route de toute façon »

Sanzô sorti son revolver anti monstres on jurant entre ses dents après tous ces boulets qui ne faisaient que le retarder. Il tira dans le tas une fois, tuant l'un des monstres, pour attirer leur attention.

« Dégagez de là, vous me gêner, ordures ! »

« Tu tiens tant que ça à mourir, moine ? bien, si c'est là ton souhait on te l'exaucera avec plaisir. »

« Baka… »

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire l'attroupement de monstre fut proprement éliminé. Se retournant vers l'inconnu qu'il avait sauvé, ils se dirent qu'il n'avait pas l'air en grande forme. Ces vetements déchirés et sanglants, les mèches de cheveux échappé de leur lien pendant devant ses yeux et appuyé sur ces sabres pour rester debout. Hakkai s'approcha du jeune homme et lui demanda si ça allait, il reçut en réponse un sourire et un ca va au poil.

« Waouh, ils sont géniaux tes sabres ! Né, Sanzô tu m'achèteras les même ? »

L'inconnu sourit devant cette remarque et la réaction instantané du moine qui le baffa avec un éventail en papier. Au moment où Hakkai lui demandait son nom, il vacilla et tomba en avant. Sanzô qui se trouvait juste devant à cogné sur Goku eu à peine le temps de le rattrapé avant qu'il n'aille s'écrouler au sol.

« On dirai qu'il s'est longtemps battu… trouvons vite un village, il faut des soins et du repos. »

«Humf, ce n'est pas nos affaire, on laisse au prochain village. »

« Tu es cruel, Sanzô. »

« Un village ? On va pouvoir manger : Sanzô tu m'achèteras… »

VLAM ! Le baffeur avait encore frappé. Goku, accroupi au sol gémissait en se frottant la tête tandis que Sanzô alla déposer le jeune homme dans la jeep et s'y installa.

« Bouge toi, baka saru, ou on ta laisse là. »

Ils trouvèrent non loin de là un assez grand village et une auberge plutôt cossie. Hakkai installa le jeune homme dans une chambre à part, tandis qu'ils se partageraient une seconde. Il ressorti de la chambre et passa dans celle d'à coté pour demander à Sanzô de bien vouloir s'occuper d'enlever les haillons du jeune homme.

« Tu me prend pour qui ? Une nounou ? »

« Non, non, mais Goku et Gojo vont aller me faire les courses et je vais demander aux aubergistes s'ils n'ont pas des bandages et des vêtements »

En fond sonore il avait droit à une éternelle dispute entre Goku et Gojo, en plus de la voix mielleuse du genre prof d'école que prenait Hakkai quand celui-ci voulait le forcer à faire quelque chose. Une grosse veine se mit à battre a sa tempe et sortant son baffeur en papier en distribua plusieurs coups à la volée.

« Sortez d'ici ! »

« Hai, Hai, on y va. »

Une fois que tout le monde fut sorti, Sanzô soupira et passa une main sur son visage. « Sérieux, un jour j'en buterai un, peut être même les trois. ». Il alla dans l'autre chambre et s'approcha du lit où le jeune homme était étendu toujours inconscient. De quelle vengeance parlaient-ils, que leur a tu fait pour qu'ils te poursuivent comme une bête a travers les bois ? Autant de questions sans réponses qui tournaient dans la tète du moine.

Il tendit la main et entrepris de déboutonner la tunique mais il s'arrêta net au milieu de sa tache.