Bonjour, c'est Seraf' ou Sandrine, comme vous vous voulez. Peut etre avez vous deja connu cette fic , mais tres peu de chance , elle fut ecrite il y'a un an , et abandonnée au bout de trois chapitres, mais je reviens a nouveau et vous montre ceci...I hope you'll enjoy.. ce chapitre ets unpeu bordélique mais tout s'arrange apres...Dites moi ce que vous en avez pensé

Contexte: Fin des années hippies, Voldemort commence depuis deux ans à peu près à faire parler de lui(11ans avant de mourir) les maraudeurs rogue et tout le tintouin sont en deuxième année, mais on ne s'occupera pas d'eux. Du moins C'est pas les héros. Mon amour des maraudeurs a rétrogradé grave en lisant le5.....

En avant.

Au faite, dsl pour mes autres fic, mais là j'ai vraiment besoin de l'écrire, avant d'oublier.

Et Quand le Il ou le sujet est en Italique, C'est notre héros, l'inconnu, mais lisez vous capterez

Chapitre1: L'allée des embrumes où la mémoire se perd dans la brume.

Il était assis là. La tête vers le bas , ses longs cheveux noirs de jais lui cachant le visage. Il ne voulait pas regarder les passant. A quoi cela lui servirait-il? Croiser leurs regards méprisants, inquiets ou indifférents. Ou les voir passer sans un regard de peur peut être qu'il les détourne de leur dessein si pressant apparemment. Non, peu lui important. Il se foutait pas mal des passants. D'ailleurs qui s'occupait de lui. Ici ne passaient que des hommes avec de grandes capes noires, de vielles femmes hideuses, ou alors des créatures qui ressemblaient à tout sauf à des humains.

Quelle aide pourraient-ils lui apporter.. En avait-il besoin d'ailleurs ? Comment quelqu'un pourrait-il aider un amnésique?... Et oui autant employer les grands mots, il ne savait plus rien, ou presque. Il ne savait plus qui il était, il ne se rappelait plus de rien avant de se retrouver dans cette rue. Cette allée. Il ne savait plus rien. Perdu. Il ne se rappelait plus rien, ni son nom, ni ce qu'il faisait là. Mais à en voir les passant, il ne devait ni être connu, ni être très net pour aller dans cet endroit. Personne à l'horizon ne semblait avoir son âge. Non pas qu'il se rappelait son âge, mais à en juger par son corps et sa voix, il c'était parlé à lui-même pour vérifier, il était un adolescent. Peut-être adulte, mais jeune. Il n'avait pas trouvé de miroir pour faire connaissance avec son visage. Mais au toucher il ne sentait aucune ride. Il ne savait pas comment il était. Et de toute façon il s'en fichait pas mal. A quoi lui servirait une image si il ne pourrait pas mettre de visage dessus.

Il ne se rappelait que d'un éclair rouge, et un éclat de rire. Un rire féminin, mais glacé. Un rire de triomphe. Puis il c'était sentit basculer, comme un tout petit vol, son corps avait été projeté dans les airs. Il avait sans doute paniqué , il ne s'en rappelait pas. Mais il n'avait pas touché le sol comme il l'avait attendu. il avait senti une vive douleur parcourir ses veines, puis comme un immense soulagement. Il ne saurait dire si il était debout allongé ou autre pendant ce laps de temps qui lui avait paru long, mais il n'était plus au sol, il n'avait plus aucun repère dans le plan. Et se sol qui ne venait pas. Mais il n'avait plus mal. Puis un choc dur. Ces fesses avaient touché le sol. Un sol de pavés durs comme la pierre qu'ils étaient.

Il c'était retrouvé assis au milieu d'une allée ou des gens se pressaient, se cachaient aussi le visage. Et assis au milieu, il attirait les regards. Il lui avait fallu un moment pour reprendre ses esprits. Mais personne ne s'était penché pour lui tendre une main secourable, pas une parole de polie inquiétude. Pas une interrogation. il avait vite senti l'atmosphère du lieu. Mieux valait ne pas se faire remarquer. il s'était levé, et avait marché un peu au hasard pour trouver un endroit ou s'asseoir, un marteau lui fracassait le crâne, et il avait mal au coccyx. Il ne saurait dire combien de temps il avait ainsi traîné son corps au gré de ses pas, longtemps à son goût, rapidement pour les autres. Puis s'était assis là.

Et là, il avait commencé à penser. Bien qu'avant il avait pensé, mais c'était de l'instinct de conservation, plus que de la pensée humaine conditionnée. Mais maintenant il réfléchissait, remontait dans ses souvenirs, ou ce qu'il aurait dû avoir comme souvenirs, pour savoir. Savoir, mais quoi? Tout. Ce qu'il faisait là, il avait beau chercher il ne voyait pas. Il revoyait l'éclair, mais ce n'était pas ici. Pas dans une rue, pleine de monde. De monde répugnant soit, mais du monde quand même. Non, c'était une pièce close et sombre surtout. Pas ici. Il avait aussi regardé ses habits.

Il portait une cape noire, qui avait été déchirée dans de nombreux endroit, comme si il avait passé dans des ronces. Il avait aussi des bottes de cuir et en palpant sa jambe, il senti le cuir élimé qui lui montait jusqu'au genou. Son jean était déchiré et délavé. Et ce n'était pas fait exprès, pour faire à la mode. Il sentait des blessures sur son dos. Il avait l'impression d'avoir fait la guerre. Pourtant, que ferait un gamin d'une quinzaine d'année, c'est tout ce qu'il se donnait, dans une guerre. Et ici les gens n'avaient pas l'air d'être en guerre. L'endroit était sombre, les boutiques poussiéreuses et les fenêtres blanches de toiles d'araignée, et les gens n'avaient pas l'air joyeux, ni prêt à souhaiter de joyeuses Pâques à un lapin rose. Mais ce n'était pas en temps de guerre.

Et il ne pensait pas que de toute façon, un gosse de 15 ans aurait guerroyé. Il lui était arrivé quelque chose, il le sentait, mais quoi? Il était quasiment sur qu'il s'était battu, il en sentait les restes et les contusion, même amnésique, il savait encore ce que c'était de se battre. Mais contre qui, contre quoi? Evidemment il aurait pu penser à une autre bande de jeunes, qui l'auraient ainsi abandonné dans cette rue peu attirante pour se venger. Mais quelque chose au fond de lui, lui disait que ce n'était pas. Il c'était battu, mais pas contre des enfants, des adultes. Mais quel adulte irait tabasser un gamin. Enfin peut être pas totalement tabassé. Mais il savait qu'il s'était battu.

Et voilà qu'il se retrouvait ici, totalement perdu sans avoir le moindre indice de l'heure de l'endroit, du jour, assis sur un banc, à se demander qui il était. Au moins il était dans un pays anglophone. Il comprenait les mots que prononçaient les gens, mais pas forcément leur signification.. Il avait entendu le mot moldu et sang de bourbe. Ça ne lui disait pas grand chose, mais ça avait allumé comme une petite lumière dans le grenier de son esprit. Cela lui faisait naître des souvenirs. Il ne pouvaient pas les dater, mais il commençait à se souvenir de ce qu'il était. Il n'était pas moldu et le savait. Il se rappelait de la voix d'une femme insultant les sang de bourbe, disant qu'il ne méritait pas de vivre, et surtout pas d'être acceptés à Poudlard.

Poudlard.... il connaissait ce nom. il l'avait utilisé... Il y avait été .... Mais c'était très loin.. Ou alors il n'y avait pas été.. Il ne savait pas, mais il en avait entendu parler.. Poudlard , la plus grande école de sorcellerie.. Attends, qu'est-ce que j'ai dit? Ecole de sorcellerie?? Non, C'est pas possible. Pourtant, C'est la périphrase qui me reviens quand je parle de Poudlard.. Alors il y'avait des sorciers? Et il en était un? Non, ce n'était pas possible, il n'avait pas de pouvoir, sinon, il s'en serait souvenu aussi bien qu'il se souvenait qu'il était un gars...mais il n'avait aucune idée de ce qu'il venait faire ici si il n'était pas sorcier. Qui l'avait amené ici? Il était sur que la bataille n'avait pas eu lieu ici.. Mon dieu pourquoi est-ce que je ne suis pas capable de me rappeler ce qu'il s'est passé? Pourtant une bataille C'est sensé rester dans les esprits...

Et qu'était cette lumière rouge? Et ce rire, cette voix de femme. Il ne se rappelait pas. Il avait beau chercher en se concentrer uniquement sur ce qu'il pouvait avoir gravé dans sa mémoire avant de la perdre, quelque chose qui lui ferait revenir ne serait-ce que des bribes... Un nom, un lieu, quelque chose qui l'aiderait à se souvenir. C'était comme si on lui avait totalement formaté le cerveau. Impossible de retrouver les dossiers perdus. Il avait beau chercher, se creuser la mémoire, le message qui aurait pu s'afficher aurait été fichier introuvable, veuillez vérifier que vous avez bien entré l'adresse. Mais il en connaissait pas d'adresses, juste quelques mots qui lui venaient comme ça, comme de petits jets de lumières.

Et la mémoire est une chose vaste.. Mais il suffit de perdre la faculté de l'utiliser à 100, ne serait-ce que 99 et on ne se rappelle quasiment plus de rien, il savait parler marcher, il savait qu'il devait manger, il savait comment s'habiller et écrire aussi... Mais sa propre identité, il ne la connaissait pas. C'était tellement frustrant, de savoir qu'on savait tout le reste sauf ça. C'était une telle impression de vide. C'était si bizarre. Il se sentait comme nu, mais se n'était pas son corps qui était nu, mais son esprit, un esprit nu. Il avait perdu les vêtements de son esprit –peut-être qu'il existait des boutiques pour ça? Non? Vu qu'apparemment il y'avait des sorciers...

En parlant de sorciers, il n'était toujours pas capable de savoir si il en était un ou pas. Comment pourrait-il en avoir le cœur net? En trouvant quelqu'un qui le connaîtrait.. Or il n'y avait peut-être personne. Ou alors, les sorciers ça à des baguettes non? Il plongea les mains dans ses poches. Il en sorti différent trucs mais pas grand chose d'identifiable. Il y'avait une photo. Une dizaine de personnes souriaient sur la photo et bougeaient. Il ne savait pas les distinguer, Il ne savait pas qui ils étaient, mais en tout cas, ils étaient bizarre .L'une des filles sur la photo avait les cheveux roses, drôle de couleur, pensa-t-il.

Il y'avait aussi toutes sortes de choses, des papiers chiffonnés un bouton, un billet de 5£ , mais pas de portefeuille, pas de papier d'identité, même pas de permis, enfin si il en avait un, il ne savait même pas son âge. Tout ça ne l'aidait pas. Il tata ses poignets, pas de gourmette, il tata son cou, pas de collier. Il n'avait qu'une bague, au pouce, une bague en argent assez grande. Il la retira et regarda à l'intérieur, rien, absolument rien. Il n'avait rien sur lui qui pourrait permettre de dire qui il était. Restait à espérer qu'il n'habitait pas loin et que quelqu'un allait le reconnaître, il ne voyait que ça.

Mais et si personne ne le reconnaissait, si personne ne savait qui il était, et qu'il ne retrouvait jamais la mémoire? Comment ferait-il? Il ne pouvait pas passer toute sa vie assis sur se banc en train de se poser des questions, ou il allait finir par se perdre dans sa propre tête, ce qui d'ailleurs n'était pas si éloigné de ce qu'il ressentait, il se sentait perdu dans son esprit, un esprit qu'il n'avait même pas l'impression d'être sien. il se sentait comme prisonnier d'un corps et d'un esprit étranger. Mais si le corps et l'esprit lui étaient étranger qu'est ce qu'il restait? Qu'est-ce qu'il était... Il devait bien y avoir quelque chose qui était à lui.

Quelle drôle de question, savoir ce qui lui appartenait, si ni son corps ni son esprit ne semblait être à lui, qu'est-ce qui était à lui, une sorte d'âme, mais l'âme n'est-ce pas l'esprit? Ou l'âme et l'esprit sont différent? Est-ce que l'âme à plus d'information sur la personne, peut-être est-ce que c'est comme la base de registre d'un pc, le centre vital qui explique non seulement son état de santé du moment, mais aussi ses automatismes, ses propriétés.. Peut-être.. Mon dieu, je suis amnésique, et je pense à mon âme et à un éditeur de registre??? Mon dieu, mais est-ce que je suis devenu fou?

Ça ne l'aiderait pas de penser à ça.. Qu'est-ce que ça pouvait l'importer de savoir si une âme ressemblait à Regedit(1) ou alors à un spectre quelconque de la personne qu'il était avant. Non, il lui fallait réfléchir à ce qu'il allait faire si il ne se retrouvait pas. Ça faisait bizarre comme phrase, mais bon. il c'était perdu lui même... ça aussi ça faisait bizarre. En faite être amnésique était quelque chose de totalement bizarre. Et peu nombreux, et heureusement, étaient les gens qui faisaient cette expérience.

Il ne savait pas quoi penser, il ne savait pas quoi faire. Qu'est-ce que les gens amnésiques étaient sensés faire? Devait-il aller quelque part ou alors demander sa route? Oui, mais quelle route, demander pour aller où? Où vont les amnésiques? ...Oui, il devait aller à l'hôpital normalement. Mais apparemment, il était dans un monde sorcier et est-ce qu'il y'avait des hôpitaux? il ne savait pas trop quoi penser, mais quelque chose au fond de lui avait un peu peur. Il ne savait pas pourquoi mais il sentait qu'il ne devait pas demander quelque chose a ces gens. Peut-être était-ce de la pure folie.

Ou peut-être était-ce tout simplement son caractère.. il n'avait pas l'habitude peut-être de réagir aux problèmes mais plutôt de laisser couler en attendant que ça se calme. Peut-être qu'il espérait que sa mémoire lui reviendrait d'elle-même. Il doutait que ce genre de chose puisse arriver normalement . Il ne pensait pas que la mémoire c'était comme un chien, capable de faire plusieurs milliers de kilomètres pour retrouver son maître, même si en ce moment il avait totalement perdu le contrôle de sa mémoire... il n'était plus le maître de sa mémoire, il avait beau lui dire assis couché, ou reviens, elle ne s'asseyait pas ne se couchait et surtout ne revenait pas..

Mon dieu, mais pourquoi est ce que je pense à ce genre de conneries... J'ai perdu la mémoire, merde!! et je ne trouve rien de mieux que de la comparer à un chien ou alors de comparer mon âme à un éditeur de registre, il faut vraiment que je me fasse soigner -d'ailleurs c'est vrai il faudrait réellement. Peut-être que je suis un évadé d'un asile psychiatrique, peut-être pour avoir ce genre de pensée, je pense que j'étais déjà comme ça avant de perdre la mémoire. Eh beh, dites donc ce ne devait pas vraiment être triste.

Il en était là, assis sur se banc, en train de se parler à lui-même, enfin de se penser à lui-même, parce qu'il ne parlait pas à voix haute, les jambes étendues, perdus dans sa mémoire, quand quelqu'un se heurta dans ses jambes. Il ne releva même pas la tête pour voir la personne. Cette dernière trébucha et grogna quelque chose. Puis il sentit quelque chose l'agripper par le col, enfin des mains. Il leva la tête et se retrouva nez à nez avec un jeune homme qui le regardait avec une expression de haine ancrée sur le visage. L'arrivant le mis sur pied.

« Alors? »Demanda-t-il avec hargne

« Alors quoi? » Répéta l'amnésique qui ne voyait même pas de quoi l'autre voulait parler

« Tu ne t'excuse même pas? »

« Oh... »Oh, c'était ça, qu'il voulait si ce n'était que ça... Il allait le faire, tout ce qu'il voulait c'était pouvoir se rasseoir et chercher en lui même et en paix les vestiges de sa mémoire perdue. « Très bien, excuse-moi »

L'autre le regarda bizarrement, mais ne dit pendant un moment, on aurait dit qu'il était troublé par quelque chose. L'amnésique en profita pour détailler son assaillant, et remarqua pour la première fois que ce dernier n'était pas seul, en effet, une petite bande s'était approchée pour voir ce qu'il se passait. Il y'avait une femme assez forte, mais pas grosse, il voulait dire avec de jolies formes, mais robuste, avec des cheveux noirs de jais et des yeux de la même couleur, un jeune homme grand et blond, le visage émacié et les yeux bleus, et un garçon, plus jeune, plus petit le visage pale et gras, les cheveux noirs et pendants.

Quand à l'arrivant il mit quelque temps au départ à le regarder en face. Il avait de long cheveux blonds soyeux et luisant. Son visage était simple et masculin, ce qui aurait pu être le contraire en voyant ses cheveux blonds. Il avait sans doute un bouc, mais dans le soleil, et avec ses poils blonds. Il avait des yeux gris très clair. Il était grand et fort. Il fixait l'inconnu avec une expression qui aurait fait frémir un catcheur. Mais Il ne frémit pas. Il n'avait pas peur. Peut être était-ce un restant de sa perte de mémoire, mais il n'avait pas peur du blond. Il n'avait plus peur de rien. Sans doute cette inconscience venait-elle de son amnésie peut être pas.

Car c'était bel et bien de l'inconscience. Sur le visage du blond on pouvait clairement lire qu'il n'était pas homme à faire des prisonniers dans une guerre. Il avait l'air de quelqu'un de diabolique purement et seulement rempli par le mal. Il en aurait fait fuir plus d'un, c'est d'ailleurs ce qu'il faisait bien souvent. Mais le brun amnésique n'avait pas peur. Il le regardait dans les yeux, sans aucune expression. Peut être certains auraient-ils eu une lueur de défi dans les yeux en le regardant ainsi, mais pas lui. Et si il n'avait ni regard de défi ni regard terrorisé c'était pour une raison toute simple.

Il n'avait pas peur. Et même si cet homme, enfin qui n'en était peut-être pas encore un, pouvait le battre et le laisser ensanglanté sur le parvis, il s'en foutait pas mal. Peut-être de toute façon que comme ça, on l'emmènerait à l'hôpital et que quelqu'un là-bas pourrait l'aider à retrouver la mémoire. Le blond du percevoir cette lueur de désespoir, de défi peut-être. Pourtant il en avait battu des gars et des filles aussi, plus vieux parfois, mais aucun n'avait jamais eu cette lueur dans les yeux. Ce garçon n'avait pas peur. Il relâcha un peu la prise sur le col du brun, mais ne lâcha pas totalement.

Dans la petite bande, les adolescents se regardaient l'un l'autre. Ils murmurèrent quelques petites chose, qu'il ne put pas entendre. Mais il avait l'air étonné. Seul le garçon aux cheveux noirs et pendants ne semblant pas être si étonné, il avait juste un petit sourire en coin. Le blond fixait toujours l'autre. il ne comprenait pas pourquoi le blond ne le tabassait pas. Le blond se retourna, en laissant toujours une main sur le col de l'autre.

il fouilla dans sa poche, à la recherche de quelque chose, il en sorti une petite bourse totalement en velours mordoré. Elle était fermée par un petit cordon jaune doré, et il eut l'intuition que c'était de l'or pur. Le blond la balança a la fille brune, faisant tinté ce qui devait être une bonne ration de pièces d'or.

« Vous savez ce qu'il me faut, allez me le chercher! »

La jeune eut soudainement l'impression qu'on avait échangé son ami en un lapin rose distribuant des oeufs de Pâques... Elle ouvrit de grand yeux. Comme d'ailleurs tout les autres, à part le plus petit, le garçon aux cheveux gras.

« Mais Lucius... Tu ne viens pas? »

« Bellatrix? Tu mettrais en doute mes ordres? »Répondit le blond, nommé Lucius, d'un ton froid et calme, mais qui suffit à hérisser les poils du dos de Bellatrix. Il ne comprenait pas pourquoi, mais Lucius était puissant, et elle avait peur de lui, c'était clair en plongeant dans son regard, qu'elle n'oserait pas lui tenir tête. Le blond aux cheveux court à côté d'elle, lui prit le bras, d'un air tendre

« Viens Bella, laissons Lucius.. Il doit avoir ses intentions. »

Et c'est ainsi que le petit groupe parti, il ne savait pas où, mais ce qu'il su, c'est que Lucius s'assit sur le banc à côté de lui. il ne savait pas quoi dire, devait-il remercier son agresseur? Ou pas? il n'eut pas le loisir de laisser son esprit vagabonder bien longtemps car Lucius entama la conversation, il n'attendait apparemment ni remerciements, ni excuses.

« Comment tu t'appelles? »

Il avait deux choix.... Soit il racontait la vérité, qu'il ne savait pas qui il était qu'il s'était retrouvé là sans comprendre pourquoi, ou alors il inventait une histoire et un nom. Quelque chose en lui, lui disait qu'il fallait inventer quelque chose, qu'il ne pouvait pas faire confiance à un inconnu, que peut être cet inconnu, l'aiderait, du moins semblerait l'aider mais qu'il ne ferait que le duper, mas d'un autre coté, peut être que ce blond, avait la clé de ses souvenirs perdus, et qu'il lui permettrait de se retrouver...

C'était une lutte sans merci dans son esprit, il y'avait d'un coté son instinct de protection qui lui hurlait de garder sa vérité secrète, et l'autre côté son instinct, qu'il ne savait quoi, peut être un pressentiment, qui lui disait qu'il fallait faire confiance à ce gars, que c'était lui la porte de sortie de cette chambre close.

« je ne sais pas »

Lucius le regarda droit dans les yeux, peut être pour découvrir des traces de mensonge, ou peut-être parce qu'il s'y attendait.. Toujours est-il qu'il ne sembla pas si contrarié de la réponse du brun. Ce dernier le prit plutôt bien.

« Explique toi.. Tu comprends bien qu'une réponse comme celle-là demande explication. »

Il n'y avait aucun ton moqueur ou colérique dans la voix du blond. Le brun le sentit et pris de l'assurance, apparemment, non seulement celui qui avait failli lui foutre une routée ne le prenait pas pour un fou et le croyait et en plus il était sympathique... Tout ce qu'on aurait du mal à croire en le voyant. Ragaillardit par ces propos le brun se mit à parler.

« Eh bien, je suis amnésique dirait-on. Je me suis retrouvé en plein milieu de la rue à quelques pas de là. Je ne savais pas ou j'étais, d'ailleurs, je ne le sais toujours pas, je ne sais pas qui je suis, pourquoi je suis ici. Je me suis assit là à essayer de faire remonter mes souvenirs, mais je n'ai pas réussi à grand chose. Je me souvient d'une bataille, et j'en sens les contusions sur mon corps, je sais que je suis sans doute un adolescent, mais on ne semble pas être en guerre, et à part vous et vos amis, il ne me semble pas qu'il y'ait beaucoup d'adolescent...»

Le blond le regarda , pénétrant au plus profond du lac noir des yeux du brun, une douceur, un air de compassion sur le visage.

« Je peux t'aider. Tu es ici sur l'allée des embrumes. C'est une rue uniquement sorcière, c'est-à-dire que si tu es entré ici quelque soit le moyen tu es un sorcier. »

Le brun ne broncha pas, il s'en était douté, à cause du souvenir de Poudlard .

« En effet, il y'a peut d'ados ici, car cette rue est une rue commerçante de magie assez poussée que bien peut d'adolescents maîtrisent... D'ailleurs peu nombreux sont ceux qui s'y intéresse réellement... Et nous ne sommes pas Encore en guerre. »

Le brun eut la bizarre impression que Lucius appuyait un peu plus que nécessaire sur le 'pas encore'.

« Je pourrais t'en dire plus mais de quoi tu rappelles-tu? Te rappelles-tu quelque chose sur toi, ou alors sur ton monde? Ton chez toi? »

« Non, désolé, je ne me souviens de rien, même pas d'être un sorcier, je l'ai juste deviné, en entendant les gens parler et aussi j'ai quelques souvenirs de Poudlard, mais rien de plus... »

« Tu te souviens de Poudlard? »Demanda Lucius étonné et intéressé.

« Me souvenir non, pas réellement, mais par contre, quelqu'un a parlé ici de Poudlard et je me suis rappelé qu'on disait souvent que Poudlard était l'école de magie et de sorcellerie la plus prestigieuse, mais je n'en ai aucun souvenir. »

« Si tu n'en as aucun souvenir, c'est sans doute parce que tu n'y as pas été... Si tu y avais passé tes études, vu ton âge apparent tu y aurais ou y serais en même temps que moi... Et je peux t'en assurer.. Quelqu'un avec une telle... Heu Quelqu'un comme toi, je m'en serais souvenu , je te l'assure. »

Le brun prit ça comme un compliment. Ce fut le moment où le reste du groupe arriva. Il se groupèrent tous autour de Lucius semblant attendre quelque chose, mais Lucius ne semblait pas disposé à les satisfaire.

« Qu'attendez-vous? »

« Euh .. On y va? »Demanda Bellatrix, la brune

« Depuis quand poses-tu ce genre de question? Tu te prends pour quoi Bellatrix? Tu me dois le respect je te signale, tu es peut-être d'une grande famille mais tu n'es rien comparée à moi! »

Bellatrix se raidit sous les mots du blond. Néanmoins Lucius se releva et prit le paquet qu'avait l'autre blond dans les mains, l'ouvrit doucement, laissant échapper une odeur acre, puis le referma vite fait, échangeant un regard complice avec le jeune homme. Il s'apprêtait apparemment à partir, et l'amnésique se sentait bizarre, comme avec un immense trou noir dans l'estomac, en plus d'en avoir un dans la tête. La rencontre, et la discussion avec Lucius lui avait fait espérer quelque chose, il ne savait quoi, mais peut être un début de lumière sur lui même. Le blond se tourna en effet, et commença a s'éloigner. Puis au moment ou le brun replongeait dans son apathie, Lucius se retourna, avec un sourire.

« Tu viens? »

Le visage du brun s'éclaira d'un grand sourire. Il se releva et marcha vers Lucius et la bande, sans trop comprendre, ils étaient quand même déjà assez loin c'est pour ça qu'il n'entendit pas le garçon brun demander:

« Lucius? Pourquoi fais-tu ça? Tu ne sais pas qui il est... je le sais je l'ai lu dans son esprit, il ne le sait pas non plus, alors à quoi joues-tu? »

« Severus... Tu es peut-être doué pour lire dans les pensées, mais tu ne vois pas les auras, la sienne est telle... Tu ne peux imaginer, plus grande que ce que j'ai pu voir jusqu'à présent chez quelqu'un de son âge... ça ne peut appartenir qu'à un sang pur... Et d'une puissance phénoménale... il nous seras utile... »

°°¤ fin du premier chapitre¤°°

Pour ceux qui le saurait pas, Regedit.exe est l'éditeur de registre de Windows nommé aussi base de registre, la ou est contenu toute les infos vitale a votre ordi. Quelques bidouilles dans cette base de registre permet aussi d'améliorer les performances de Windows, mais c'est dangereux..

Le bla bla de l'auteur: Wow! J'en aurais mis du temps a ce premier chapitre, mais je dois dire aussi que c'est le premier chapitre d'introduction d'une de mes fics que j'apprécie autant, sans vouloir pour autant m'en vanter... Mais j'aime beaucoup ce chapitre, ainsi que l'idée en elle même... mais bon.. j'attend vos réactions, et vos idées...Je suppose que vous avez tous deviné qui est cet homme.. cet amnésique.. Désolée pour les fautes si il en reste, et peut être les confusions que vous avez pu faire quand je parlais de l'amnésique... uu Mais bon... Le prochain chapitre sera sans doute vu du POV de Lucius lui même....

Terminé d'écrire le samedi 4 Octobre

Corrigé le vendredi 17 Octobre