Enfin, après des semaines de travaille, j'ai le courage de publier le debut de ma première fanfiction. Avant tout, je tiens a remercier toutes les personnes, qui m'ont aidée et encouragée, a savoir: Simon mon frère, Falange, Kana 137, Elizabeth et j'en passe.

Comme tous le monde le sais, le personnage principale de cette fic (Saito), ne m'appartient pas. En revanche, Oki et son compagnon, oui (grand sourir plein de fierté).

Bonne lecture.

Léo

PS.: aidez-moi à ameliorer mon style en me laissant une petite review, de plus, j'aimerai beaucoup connaitre l'avis de mes future lecteurs.

La rencontre des Loups

Prologue

La langue pendante, l'œil vif, d'un trot souple et nonchalant : le loup, les lèvres encore maculée du sang d'un malheureux lièvre, se faufile invisible, dans la forêt protectrice et nourricière. La lueur de la lune réfléchit ses profonds yeux jaunes pailletés d'or et sa soyeuse fourrure noire et grise. Cette nuit la forêt lui appartient....

Le soleil levant de cette fin d'été torride sèche des ses rayons les dernières gouttes de rosée nocturne. Pas un nuage a l'horizon : tout semble indiquer que la journée sera une fois de plus, d'une chaleur étouffante, sans un orage, même minime, pour rafraîchir l'atmosphère. Alors que les oiseaux chante depuis bien longtemps, Tokyo s'éveille a peine.

La forêt agitée par une légère brise bienvenue, murmure quelques chants anciens, oubliés de tous. Tout est calme. Une biche traverse furtivement un sentier, une renarde nourrit ses petits, quelques écureuils s'attardent dans les hautes branches d'un pin mort. Seule le pas régulier d'un vieil homme avançant le long d'un sentier àpeine visible, trouble la sérénité de cet instant. Aidé de son éternel bâton, il vient ici chaque matin tôt, afin de goûter l'aire pur et vivifiant.

Il aime écouter la nature, se réveiller, et souvent, il lui arrive de surprendre quelques animaux sauvages. Pourtant, ce matin-là, quelque chose semblait différent. Cela faisait maintenant un bon quart d'heure que l'homme progressait dans les bois, lorsque soudain, il stoppa net. Le sentier débouchait sur une très petite clairière, bordée de buissons ; à son approche quelques corbeaux s'envolèrent en croassant. Allongé par terre, devant lui, se trouvaient quatre cadavres atrocement mutilés. Son visage blêmit. Ne pouvant supporter cette scène plus longtemps, il détourna les yeux, espérant ainsi oublier cette vision d'horreur, qui déjà le hantait. Réprimant un haut-le-cœur, l'homme sans plus tarder, fit demi-tour.

A suivre...