Je
te regarde, tous ces gens autour de toi m'effraient. Je suis fan,
folle, amoureuse de toi, mais tu ne me verras jamais. Je ne suis pas
une de tes groupies qui hurlent et te crient "Je t'aime"
comme elles se maquillent. Je suis juste une fille de XX qui te
trouve beau et qui aime ce que tu fais. Nous
nous sommes croisés une fois dans la rue, je t'ai évité de finir
étouffé par un groupe de filles qui hurlaient ton nom. J'ai ouvert
la porte de chez moi, tu es apparut juste devant ma porte de dos.
Quelques minutes avant tu courrai et tu t'es arrêté juste devant ma
porte. J'ai sortit la tête par l'embrasure de la porte et les aie
entendu. Je voulais pas qu'elles t'attrapent dans les filets de leurs
sourires et de leurs appats et c'est sans réfléchir que j'ai
attrapé ton pull pour te tirer vers moi.
"Si tu cries elles te retrouverons et tu auras couru pour rien" T'aie-je signalé lorsque j'ai mis ma main sur ta bouche pour t'empêcher de crier.
Je t'ai lâché je suis allée voir si elles étaient passées, ce n'est que lorsque je suis arrivée près de la porte qu'elles sont passées en coup de vents devant la porte, je les aie vu à travers les carreaux en verre de la porte en chêne de ma maison. Regard à gauche, à droite rien en vue. Je referme la porte, te tend la main et t'aide à te relever.
