Titre : Que la bouffe ? Ou pas

Autatrice : lasurvolte (de pseudo) ou mari (mais vous pouvez m'appelez aussi Plectrude si ça vous dit ^^)

Disclaimer : Ils sont pas à moi, mais je veux bien épouser Sanzô et adopter Gokû

Résumé : Y a que la bouffe qui compte pour Gokû, son monde tourne autour de ça. Ou pas.

Genre : minuscule ficclet, presque drabble

Couple : yen a pas, mais c'est Sanzô et Gokû, donc imaginez ce que vous voulez

Thème : Peut-être bien que…

Note : écrite pour la commu 6 variations

Note 2 : je dédicace cette mini fic à ma petite sœur, qui adore saiyuki et qui se saigne pour acheter les mangas. Et grâce à qui j'aime (même si l'anime est pourri). Et à tous nos délires, et parce que Gokû c'est toi et Sanzô c'est moi, je t'aime frangine et j'espère ce que ce machin te plaira. Promis j'écrirai la petite famille mais faudra patienter.

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Depuis qu'il était sorti de sa cellule, la chose la plus importante pour Gokû s'était la nourriture. Tout ce qui était comestible, il l'aimait, tout ce qui se mangeait il le voulait, et s'il ne dormait pas il avait faim. Quand il se réveillait la première chose à laquelle il pensait était son petit déjeuner. S'il n'avait pas ses sept repas par jour il avait l'impression d'avoir raté quelque chose de super important, et il oubliait toute tristesse rien qu'en mangeant.

Quand il était devant de la bouffe il ne pouvait pas se contenir, il oubliait tout, rien que son estomac parlait à ce moment là.

Ses mots préférés étaient « j'ai faim », et la chose qu'il détestait le plus c'était d'être privé de nourriture.

Là dedans il y avait une petite place pour le jeu et c'était tout.

C'était tout ? Vraiment ?

- Abruti de singe je t'ai déjà dis un million six mille deux cents soixante dix huit fois de manger moins vite

- Ah ? Chanzô t'yas vraymient comptié ?

- La ferme babouin ta voix me vrille les oreilles.

- D'achord je manche ayors.

- Et parles pas la bouche pleine singe dégoutant !

Et Gokû se remettait à manger joyeusement.

Parce que peut-être bien que y avait encore plus important que la nourriture, y avait celui grâce à qui il avait à nouveau faim…

Fin.