Bonjour tout le monde ) Si vous êtes sur cette page c'est surement parce que le résumé vous à intéressé, ou tout par simple curiosité si ce n'est pas une erreur. J'espère en tout cas que cette histoire va vous plaire autant qu'elle me plait à moi, je prend du plaisir l'écrire puissez vous en prendre autant à la lire !

Disclaimer : Pour faire court rien ne m'appartient, pour plus d'information contacté J.K. Rowling...

Bonne lecture !


Chapitre 1:

La nuit était tombée depuis maintenant de nombreuses heures sur Londres, cependant une ombre seule semblait décidée à troublé le calme de la ville endormit. Furtive elle se faufilait entre les maisons, passant de rue sombre à rue sombre contournant les zones les plus lumineuses elle se mouvait avec agilité. Si la mystérieuse silhouette du personnage aurait étée plus grande, à plus forte carrure on aurait facilement pu identifié un cambrioleur. Cependant elle semblait plus petite, plus frêle, plus chétive et plus jeune.

De toute façon qui aurait bien pu surprendre cette dernière ? Plus personne n'osait s'aventurer la nuit dans les rues du vieux Londres ou la légende racontait qu'il s'y passait des évènements 'bizarre' depuis toujours, mais encore plus depuis ces derniers mois. Pas une seule semaine ne se passait sans qu'il n'y ait un enlèvement, une disparition ou un meurtre, ainsi la police retrouvait des corps sans vie et les morgue était plus que débordées par l'affluence des clients. Le plus surprenant n'était pas le fait que les forces de l'ordre n'arrivaient à coincer le ou les coupables, mais que les victimes qu'on retrouvait caché sous un pont ou dans les poubelles ne portaient aucune blessure physique apparente. Tous les médecins légistes s'accordaient à dire qu'il n'y avait aucun raisonnement rationnel qui aurait pu démontrer scientifiquement la mort de ces pauvres innocents, les victimes avait tout simplement cessés de vivre.

Bien que le gouvernement en place s'efforçait de ne pas céder à la panique, la psychose s'emparait peu à peu de la population. Les gens ne sortaient plus après la tombée de la nuit, forçant indirectement plusieurs restaurants et boite de nuit à fermer leurs portes, seules les grosses boîtes n'avaient pas encore coulées.

Cependant l'ombre que nous suivons ne semblait pas s'inquiété des récents évènements, si l'on supposait qu'elle en savait quelque chose. Elle semblait perdue, tournant a gauche puis revenant sur ses pas une poignée de secondes plus tard, et puis a bien à bien y regarder cette dernière exprimait des signes d'essoufflement bien qu'elle n'est pas courue une seule fois.

Ne cessant de se retourner, la respiration saccadée, était-elle suivie ? Avait-elle peur de l'être ?

Puis soudainement alors que son manège durait depuis quelques heures elle marqua un arrêt, et plongea une main dans ne poche intérieure de sa robe et en sortie une baguette en bois alors qu'un sourire étira ses lèvres

Bien qu'il soit près de quatre heures du matin James Potter ne dormait pas, on le distinguait grâce à faible lumière de la lune qui pénétrait dans sa chambre, sur son lit en position assise. La tête penchée sur son torse il ne bougeait pas, ses traits étaient tirés comme si il ne dormait pas depuis plusieurs nuits, et pour cause sa mère. Diplomate anglaise était partie à l'étranger depuis maintenant huit jours, il se faisait un sang d'encre puisqu'elle aurait déjà du rentrée deux jours plutôt.

N'y tenant plus il se leva, enfila une robe sur ses épaules et sortit hors de sa chambre, il traversa le manoir des Potter en direction du bureau de son père. Lui non plus ne devait pas dormir il saurait quoi faire, il arriva dans le couloir qui menait à la pièce recherchée allumant la lumière il réveilla une bonne quinzaine de ses ancêtres qui dormaient dans des tableaux à leur effigie. Arrivé devant la porte il toqua appuyant son mouvant par un appel.

- Papa ?

- Oui, entre mon fils » la réponse sonna comme un soupir mais James poussa ce pendant la porte.

Il observa la pièce a la dérobée, il ne venait pas souvent ici et jamais a son souvenir la pièce avait changée. Un énorme bureau surchargé de papier sûrement les rapports des autres Aurors, son père étant l'ex directeur du bureau de ces derniers. Il avait démissionné lorsqu'il avait été élu a la sous direction du Magemagot, il passait maintenant son temps entre les séances du Magemagot et son nouveau travail dont James ignorais tout mais il supposait que cela avait un rapport avec le nouveau Grindelwald comme l'appelait ses grand parents avant leur mort en Janvier dernier.

Cela faisait bientôt six ans que Lord Voldemort était apparu, au départ seul Dumbledore un ami de son grand père et actuel directeur de Poudlard l'école de sorcellerie qu'il fréquentait depuis six ans maintenant, l'avait prit au sérieux avertissant la communauté des sorciers du danger qui les guettait. Mais ces derniers ne l'avaient pas prit au sérieux, ou plutôt n'avait pas voulu, ils sortaient tout juste d'un période de crise majeur lié à Grindelwald bien que ce dernier fut vaincu depuis une trentaine d'années auparavant par ce même Dumbledore. Malheureusement ils on bien du se rendre a l'évidence que l'équilibre précaire qu'ils avaient réussi a installé allait de nouveau être perturbé.

James fut sorti de ses pensées par l'appel de son père.

- James, vient d'asseoir à coté de moi je dois te parler.

- Oui, oui…

- Ne soupire par c'est extrêmement important.

James s'exécuta et vint se laissé choir dans un fauteuil près de son paternel.

- Tout d'abord j'ai eu un contact avec ta mère, elle devrait plus tarder à rentrer.

- Pourquoi a-t-elle mi tant de temps ?

- Tu lui poseras la question toi-même. Mais ce n'est pas de ça que je souhaite te parler. Il respira de lassitude. Je vais devoir partir.

James qui s'était calmé en apprenant l'arrivé imminente de sa mère réagit immédiatement en sautant littéralement de son fauteuil, il vint se planter devant son père en hurlant : comment ça partir ? Mais il se figea immédiatement.

Son père qui d'habitude abordait une mine joyeuse et insouciante qu'il devait avoir scotché à son visage plus jeune, abordait des traits tirés, des énormes cernes lui pendaient sous les yeux, ses cheveux étaient plus emmêlé que jamais. Bref il était méconnaissable.

- Calme toi, laisse moi t'expliqué avant de te mettre dans tous tes états.

James se rassit docilement en maugréant des paroles incompréhensibles, mais son père saisit tout de même les mots «faudrait dormir mon pote » ou encore « faudrait arrêter de manger comme une goule ». Son père sourit à la remarque mais se reprit bien vite.

- Donc comme je te le disais je vais devoir partir, il y a deux heures l'entrée du domaine a été forcée ou plutôt la salle sous scellée l'a été.

- Le domaine d…

- Les questions seront pour plus tard James, je n'ai pas vraiment le temps ni l'envie de tant dire plus pour le moment, de plus ta mère ne devrait pas tarder et j'aimerais pouvoir te dire ce que je souhaite.

-…

- Bien, qui ne dit mot consent, donc je partirais demain soir je dois encore régler quelque formalité avec le ministère et exposer la situation à ta mère. Je veux que tu sache que quoi que tu pourras lire, entendre ou ce qu'on te dira il ne faille pas t'y fier. Si tu souhaites me contacter utilise ton miroir à double sens, il faut bien que tu es conscience que cela est important aucun hibou ne doit m'être envoyé pendant mon absence.

- Tu penses t'absenter longtemps ?

- Je ne sais pas James, tout dépendra des difficultés que je rencontrerais sur mon chemin.

- Tu comptes mettre ta vie en danger ?

- A priori je ne risque rien, mais par les temps qui courent il faut mieux être prudent.

- Tu ne feras rien d'irréfléchi ? Hein ? Jure le moi.

- Je ne peux rien te promettre mon fils, mais quoi qu'il arrive je ne veux pas que tu cesse d'être un Potter n'oublie pas ce que je t'ai apprit. Tu te dois d'agir comme un homme à présent, tu as maintenant 16 ans tu seras majeur dans moins d'un an et alors tu devras faire un choix. Choisiras-tu la facilité, l'ignorance ou la difficulté ?

James ne répondit pas mais dans sa tête tout était clair, il serait contre Voldemort même si sa vie devait devenir difficile il luterait pour ses idéaux quitte à en mourir se sera la tête haute, comme le digne fils de son Père.

- Je sais que tu feras le bon choix j'ai confiance en toi, tu es un vrai Potter. Mais revenons-en au sujet initial de cette discussion veux-tu. Je me dois de partir James, je suis actuellement chez les furtifs mon groupe et moi dois partir à la source pour une mission.

Si James tiqua à la remarque il n'en laissa rien paraître, cependant intérieurement il ne pouvait le croire. Son père chez les furtifs, c'était tout bonnement incroyable jamais il n'aurait pu imaginer son père travaillant pour se service si secret du ministère que même les langues de plomb en était jaloux.

- Une fois sur place j'en profiterais pour cacher notre artefact, bien entendu je veux que tout ceci reste secret si l'on apprenait que Albus et moi connaissons tant de choses des projet de Voldemort la situation risquerait de devenir plus complexe quelle ne l'est déjà… Notre discutions touche à sa fin, le portail magique viens de s'ouvrir ce doit être ta chère mère.

James ne réagit pas tout de suite à la remarque encore trop sonné par les révélations de son père. Il finit par se lever pour se diriger vers la porte, sans s'arrêter il murmura un vague bonne chance à son père et sorti en courant du bureau. A la fois pressé de revoir sa mère et aussi parce qu'il ne voulait pas pleurer devant son père, il souhaitait se montré digne de se dernier, et un homme ne pleure pas. C'est donc au pas de course qu'il se dirigea vers le hall du manoir, dans son empressement il rata une marche de l'escalier qu'il était entrain de dévaler. Alors qu'il allait dire bonjour au sol sa mère pénétra dans le hall.

- levicorpus ! Sa mère avait crié la formule lui évitant un aller simple pour le carrelage le fit léviter jusqu'à sa hauteur. Alors mon Jamesie, il faut que je te rappelle comment marcher ? Se moqua sa mère.

- Il manquerait plus que ça, s'offusqua le concerné, libère moi plutôt. Gémit-il.

- Comme tu voudras, Finite Incantatem, accompagnant d'un geste sa parole elle reposa James sur le sol avant de le serrer dans ses bras.

- Maman tu me fais mal, moi aussi je suis très plaisir de te revoir mais ce n'est pas une raison pour me serrer si fort, parvint à souffler James entre deux étreintes particulièrement musclées.

Finissant par le libérer à la suite d'une énième embrassade, elle le tint par les épaules prenant du recule comme pour le jaugé, après une bonne minute d'observation un sourire naquit sur ses lèvres sûrement rosée par un quelconque cosmétique.

- Tu n'as pas changé mon bébé, lâchât-elle enfin, toujours le même: mon petit Jamie.

- Arrête de me donner des surnoms stupides, répliqua-t-il exaspéré par les appellations que lui réservait toujours sa mère. Et puis bien sur que je n'ai pas changé, ça ne fais que 8 jours que nous ne nous sommes pas vu comment aurait-je pus changer pendant ce temps ?

- On ne sait jamais Jamie, il ne faut surtout pas sous estimer le pouvoir du temps. Enfin quoi qu'il en soit si c'est tout l'effet que ça te fait de me revoir je me demande pourquoi je me donne la peine de te prouver mon amour. Comme ton père tu veux jouer à l'insensible…

Ne prenant pas la peine de lui répliquer il lui sauta dans les bras, bien sur qu'il s'était fais un sang d'encre pour elle. Si il y a une chose qu'il ne voulait pas voir arriver par-dessus tout c'est bien la mort d'une des personnes chères à son cœur, et à fortiori ses parents.

- Allons bon Jamesie, arrête s'il te plait tu veux me faire pleurer devant Sirius ?

- J'emmerde Sirius, répondit-il avant de se reprendre bien vite, Sirius ? Sirius…

- On m'appel ? James se retourna pour voir à qui appartenait cette vois bien que sachant d'avance ce qui allait se passer. Dans l'embrassure de la porte se tenait son meilleur ami, Sirius, dire qu'il ne pensait pas le revoir avant le premier septembre.

- Que ce que tu fais la mon pote ? demanda James incrédule tenant toujours sa mère d'une main.

- Si tu ne viens pas me faire le même accueil qu'à ta mère je crois que je vais me sentir vexé, répondit le concerné.

- Mais bien sur Patmol, tu m'excuses si je ne t'embrasse pas ? Questionna t-il en donnant à Sirius une accolade fratricide, je ne souhaite pas que des ambiguïtés se crées dans notre relation.

- Bien entendu Jamie, le su nommé lança un regard noir devant le sourire qu'il affichait à ce moment et se promit intérieurement de le faire payer plus tard. Alors tes vacances, ça se passe bien ?

- Rien de plus que ce que je j'ai pu te raconter dans mes lettres…

- Désoler d'interrompre vos retrouvailles qui m'on l'air fort passionnantes, s'excusa Madame Potter qui ne semblait pas désolé le moins du monde pour autant. Mais il me semblerait judicieux que…

- Jane ? Ma chérie c'est toi ? Interrogea le nouveau venu du haut des mêmes escaliers que James n'avait su descendre quelques minutes auparavant.

- Henryyyyyyyyyyyyyyy, s'écria la dite Jane comme une jeune étudiante devenue hystérique devant une idole, sa fais si longtemps. J'arrive, elle ponctua sa phrase par une montée brusque des escaliers afin de se jeter dans les bras de son homme. La réaction de ce dernier fut à quelque chose près la même que celle de son fils.

- Jaaaaaaaaaane, soupira-t-il, moi aussi je suis content de te revoir, mais la tu m'étouffe vois-tu.

- Excuse moi mon homme mais je suis si contente que tout ce sois si bien passé pendant mon absence, répondit-elle en embrassant amoureusement son mari qui répondit volontiers à ces retrouvailles plus à son goût que les précédentes. J'ai ramené Sirius avec moi, je l'ai trouvé errant dans Londres alors que je revenais du domaine, expliquat-elle devant le regard interrogateur que son mari pointait en contrebas. Je ne connais pas l'histoire dans les détails, mais il semblerait qu'il se soit enfuit de chez lui après qu'un ami de son père soit venu vanter auprès de sa famille sa participation à l'attaque de se soir, continuat-elle en abaissant la voix, tu sais ce … Macnair…

L'expression qu'affichait actuellement Mr.Potter sur son visage à ce moment en disait longs sur ce qu'il savait sur ce Macnair, en effet une haine profonde s'était tracée sur les traits de son visage. Il se retourna néanmoins vers Sirius tout sourire. .

- Tu ne viens pas me dire bonjours Sirius ? Questionna t-il ce dernier l'invitant à monter le rejoindre. James ferme la porte s'il te plaît et appel TaduTaf qu'il prépare une chambre pour Sirius, je pense qu'il va rester un petit moment avec nous…

- Je ne voudrais surtout pas abuser de votre hospitalité monsieur Potter, répondit Sirius en serrant la poigne de ce dernier.

- Tu ne dérangeras personne Sirius sois en sur, répondit Jane. Tu es ici chez toi, tu peux y rester le temps que tu souhaite.

- Je vous ne vous en serai jamais assez reconnaissant de m'héberger le temps que je puisse subvenir moi-même à mes besoins, dit Sirius qui intérieurement s'étranglait. C'était la première fois de toute sa vie qu'il parlait ainsi sans une trace sarcastique ou hypocrite dans la voix. Il faut dire qu'avec ses parents il n'avait pas eu beaucoup d'occasion de leur prouver un quelconque remerciement, puisque tout jeune ils avaient engagés un précepteur pour lui inculper les principes de la vie et lui donner des cours de magie. Le précepteur occupait toute sa journée avec des choses qu'il n'avait jamais jugées digne d'intérêt, il parlait souvent de sang pur et sang de bourbe. En y repensant dès son plus jeune âge ses parents avaient cherchés à faire de lui ce que les Malefoy avait fais de leur plus jeune fils Lucius : un haineux des moldus. Ce dernier avait d'ailleurs quitté Poudlard l'année dernière en compagnie de Narcissa, une de ses cousines qui partageait les mêmes idéaux que lui, et si il en croyait sa mère il était vouée à mettre au monde un fils bien d'une meilleur trempe que lui. Quoiqu'il en soit il ne voyait jamais ses parents puisque le soir c'était Kreattur qui lui amenait ses repas, les rares occasions où ils les voyaient c'était lors des réunions de familles ou lorsqu'il faisait une bêtise. Et puis deux semaines avant sa rentrée à l'école de magie la plus renommée de l'occident, ils avaient remerciée le précepteur et passaient leurs journées à vouloir faire rentré des stupidités dans le crâne de leur fils. Enfin c'est du moins ce que lui pensait mais il se gardait bien de le leur dire, alors quand ils apprirent que le choixpeau l'avait envoyé a Gryffondor ils crurent d'abord à une blague. Puis criant à l'erreur et au scandale ils demandèrent à refaire passer leur fils sous le chapeau magique, mais Dumbledore refusa catégoriquement argumentant sur le fait que le choixpeau avait fait son choix et qu'il était irrévocable.

- Patmol ? Que ce qu'y t'arrive ? Lança James revenu après avoir fermé la porte.

- Rien, rien … Laisse tombé j'étais dans les nuages, répondit Sirius, je suis un peu fatigué c'est tout.

James remarqua que la voix de Sirius sonnait faux, cependant il ne dit rien et ce dernier lui en fut reconnaissant. Si voulait parler de sa fuite il pourrait le faire une autre fois, mais pas se soir le souvenir était encore trop présent dans sa tête.

- Patmol ? Joli surnom Sirius, intervint le père de James. Allez jeunes gens je pense qu'il est plus que l'heure que vous alliez vous reposez, le jour se lève dans quelques heures et nous risquons d'avoir de la visite.

James et Sirius se retirèrent en silence laissant le couple Potter au milieu du couloir silencieux.

- Nous ferions mieux de les imiter Janes si ils pointent leurs nez demain matin il ne faudrait pas être trop fatigué, annonça Henry en brisant le silence.

- Quel dommage, je comptais profiter de mon mari avant qu'il ne parte, dit Mme Potter. Et oui je suis au courant, expliquat-elle devant le visage déconfit de son mari. J'ai croisé Albus au domaine.

- Tiens puisqu'on en parle, que ce qui c'est passé là bas ?

- A vrai dire je n'en sais pas plus que toi j'y suis passée en coup de vent, je suis tellement fatigué, se justifiat-elle. Je suppose que même la gazette en sais plus que nous, allons nous coucher on parlera de tout ça demain.

- Demain je pars chérie…

- Alors profitons de la dernière nuit que nous passons ensemble avant un bon moment. Le petit sourire innocent de Jane Potter convint son mari qui se laissa tomber dans son étreinte amoureuse avant de l'entraîner vers une chambre.

- Jamie, … tu dors ?

- Te fou pas d'moi connard, y a que ma mère qui a l'droit de m'appeler comme ça.

- Juste Jane ?

- Ouai pourquoi ? Répondit James que la conversation exaspérait.

- Oh rien, je pensais juste qu'à Evans aussi tu lui réservais ce petit plaisir… Jamie.

- La tu va trop enfoiré. Et sur ces paroles James sauta sur Sirius qui dormait sur un lit que Tadutaf avait installé dans sa chambre.

- Arrête tu m'étouffe, beugla carrément Sirius qui se faisait écraser la tête par les bras de James.

- Moi, faut pas me chercher. Répondit cyniquement James, et surtout parle pas comme ça d'Evans !

- Mais, j'en ai parlé normalement. Tenta de se justifier Sirius.

- Y a pas de 'mais' qui tienne, je m'en fou tu ne parle pas d'elle et tout ira pour le mieux.

- Tu sais mon vieux, je pense qu'avec Evans tu ferais mieux de laisser tomber. Après la scène qu'elle t'a faite près du lac une fois la BUSE de défense passée… Je pense qu'elle a été clair mon pote, il faudrait mieux que tu la laisses tranquille pour un moment ou …

- … Que je sois moins prétentieux, je sais, je sais, si tu savais combien de fois j'ai pu me repasser cette phrase dans la tête. Mais après tout je ne vois pas pourquoi je changerais, elle m'a tout de même comparé à Servilus…

- Et avouée préférer le calamar que toi mon gars. Ce moqua Sirius …, aie…

- Ca t'apprendra.


Fin du chapitre