Et voilààà ! Toute première Fic ! ça faisait un moment que je voulais en écrire une sur Zoro et Sanji. Juste un chtit délire à moi. Si Oda savait ça il me tuerait sans doute. o_o'
J'espère qu'elle vous plaira mais j'ai peur que mon style d'écriture soit un peu trop lourd et que l'intro soit trop longue, mais c'est mieux après ! promis! ;P
Si quelqu'un a des remarques/critiques à faire ou juste si il aime (ou pas d'ailleurs) , laissez une tite review svp ^^ j'angoisse de savoir si c'est bien ou pas . :S
Help me ! haha.
Pour rappel , one piece ne m'appartient pas ! ( malheureusement ^^) et ses personnages non plus. Juste mes délires.
Enjoy!
De la part de l'auteure tordue.
Un jour comme les autres ?
Lever du jour.
Le soleil pointait timidement ses premiers rayons à travers les hublots du dortoir des garçons. La mer était calme, la houle berçant encore doucement les membres de l'équipage au chapeau de paille, toujours profondément endormis. Ussop revenait de son tour de garde, l'air proprement crevé, signe qu'un autre membre n'allait pas tarder à s'activer.
J'émergeais tout doucement après une nuit assez courte comme d'habitude. Normal, vu que je suis le cuisinier, je me couche après tout le monde pour ranger les crasses que ces rustres imbéciles laissent après diner, c'est-à-dire un véritable champ de bataille. Et je me lève le premier pour préparer le déjeuner gargantuesque nécessaire à satisfaire l'estomac sur pattes qui nous sert de capitaine. Encore au radar direction la salle de bain, histoire d'être présentable pour mes deux mellorines !
Je sors sur le pont, le ciel est dégagé « il va faire chaud aujourd'hui. Il me semble que Nami-schwaaan avait prévenu que nous arrivions bientôt sur une île tropicale. Je ferais mieux de préparer un petit déjeuner frais et énergique ce matin. »
Alors que notre Cook préféré se dirigeait vers la cuisine, plein d'idées de petits plats pour gâter ses deux beautés (et la bande d'ingrats au passage), le soleil se levait et dardait ses premiers rayons sur le pont.
C'est là que Sanji remarqua qu'il n'était finalement pas le seul à être debout aux aurores. Une silhouette se détachait dans les premiers rayons sur la pelouse du Sunny. Sanji reconnu immédiatement de qui il s'agissait. Une fois n'est pas coutume, le marimo était debout tôt. Ce n'est pas la première fois qu'il se lève si tôt pour méditer et s'entrainer en paix mais ça reste rare. Lentement, il sortit un de ses katanas, presque avec dévotion. Il déposa délicatement le fourreau et Sanji aperçu un éclair blanc indiquant qu'il s'agissait de wado ichimonji.
Zoro se mit en position puis commença à enchainer les mouvements, tous plus fluides les uns que les autres et Sanji resta bouche bée. Il était rare de voir l'épéiste se servir que d'un seul sabre et le spectacle valait le détour. Beaucoup plus gracieux qu'avec trois sabres, sa technique n'était que finesse, sans fioritures, aucun mouvement superflu, d'une grâce peu commune.
S'il devait le comparer à quelque chose, on eut dit de l'eau mouvante. C'était comme si il dansait. Sanji se trouvait comme hypnotisé, incapable de détacher son regard de Zoro. Il observait son corps musclé virevolter dans une danse mortelle, chaque muscle se contractant et se relâchant dans un ballet fatal sur fond de feu qui fascinait Sanji.
Soudain, Zoro s'arrêta, terminant son entrainement à un sabre et Sanji sortit de sa transe. Dire qu'il avait admiré le marimo en mouvement. Hu ? Attends, je viens de penser quoi là ? Moi ? Admirer le marimo ?! Impossible ! J'appréciais seulement sa technique ! Oui, c'est ça, en tant que collègue combattant, c'est tout! La seule chose que j'admire ce sont les délicieuses melloriiines melloriiines !
S'en voulant de s'être laissé distraire, il entra dans la cuisine, laissant le marimo à son entrainement et se mit au travail.
Le bateau reprenait petit à petit son train-train quotidien remplit des doux sons de ses membres d'équipages se réveillant délicatement.
-« SANJIIIIIIIIIIIIIII ! FAIIIIIIIIIM ! ». (Enfin, aussi délicatement que possible sur un bateau pirate… . )
Ce cri de guerre annonçant invariablement une attaque imminente de la cuisine par le jeune capitaine affamé, aussitôt repoussée vigoureusement par le cuistot à grands renforts de coups de pied.
Le Sanji en question grinça un peu des dents mais ne put empêcher un petit sourire se pointer au coin de ses lèvres. Encore une journée normale sur le Sunny Go.
Enfin, pas si normal que ça comme nos chers mugiwaras le constaterons d'ici quelques heures.
